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18.03
Library of the Museum
COMPARATIVE ZOOLOGY,
AT HARVARD COLLEGE, CAMBRIDGE, MASS.
| The gift of E
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№. s
Arr. "eh. = 8, Va Ge
BULLETIN
de la
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE
DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
Publié
sous la Rédaction du Docteur Renard.
ANNEE 1884.
—— —9
Tome LX.
———
Deuxiéme Partie.
(Avec 1 planches)
MOSCOU.
Imprimerie de l’Université Impériale.
74884.
BULLETIN
SOCIÉTÉ INPÉI
DES NATURALISTES
REALE
DE MEO sc o tot.
Tome LX.
SAAADRLA ALISA
MOSCOU.
Imprimerie de l'Université Impériale. (M. Katkoff.)
BUELGUES FORMULES DE LA THÉORIE DES COMÈTES.
Par
Th. Bredichin,
Associate of the Royal Astronomical Society. |
2.
Les formules du mouvement hypérbolique d’un point
soumis al’action de la pesanteur et de la force répulsive
du soleil se déduisent de la maniére suivante.
L’équation de l'hyperbole étant
y dure » Si On pose 1:е = cost
e. cos v—1 |
on aura
zm р Е.
"= (cos 0—cosb) 2sin!() + 0) sin 1 ф — 0).
p sims (Pv) —
pour 1) — 0 ul et pour v= и — ©.
1*
ie
Puis on a
9.sen 10. cos 1 9. sin 14. cos tv
9 — 1 = = lou A 20 —- T i -
sin i (DV — 0) sin $ (b — 0)
Pd vs
= ing i coingzy, Coing:Ÿ — D
En posant tng 1 M = p ing: Е, on aura
. т: (фо) Sims. cos io + coss. sin #0
— sin? (Ÿ — ve) sinid.cosie — cos id. sin tw
L4 e ing à v. cotng. ds 1 + ing 1F
n'a v. coëng. 20 — 4 — ing 3E"
и — ing (45° + 2 V), (2)
pour v=o F— 0 u—ı
re F=90° yao.
On déduit facilement
pa eee
и cos Е
E
et comme и — Su ae) on oblient
sin 3 (ф — 0)
е — C08 9 Ti
e cos v —1 (3)
1
cos F
1 1 —
logu = log. sin 1 (Y + v) — log. sin? (y — 0), d'ou
d
EE cong: (V + 0) + cotng 1 9—0 | dv, ou
LE Lu
dw _ sin t dv
и 9. sin 1 (b +»). sin 1 (b —)
el d'aprés l'équation (1)
ELE ing. d v, d'où
| PS |
jnpb «b oan
r° dv ET À du . (4)
A l'aide de l'équation (3) on obtient
:
e: cos Е-+ 1 = —. ing’ %,
p gU
d'ou, en faisant b — p. cotng’. v, On à
r = p.cotng’ V es. 1 ) —b.
rl (мн, 1] = 4 e (ur) (5)
En introduisant cette expression de r dans l'équation (4)
on aura:
r'dosb. ing 9| : er г)» | du=K.yp. di
et
^. : : 1
ear me [ise 2)
— К. Vb. ing V t,
2
=") Kt
+ Qu = ys
lu de ae
et pour les logarithmes tabulaires:
A к
i (* =) + lu = ARE
U Ds
où log. A= 9.6877843e K—k yy,
К étant le nombre de Gauss et u l'accelération effective
du soleil sur la parlicule à l'unité de distance.—
Au lieu de и introduisons maintenant F.
at
ing F = E = et и — ing (45° + ГР), donc
Aetng Р-н log tng (45°+ } F)=
N
ing à 0 — ing: F. ing 3 Ÿ
pour l'hyperbole convexe vers le soleil. -
Quand l’hyperbole est concave vers le soleil, on aura:
A Kt
лед Е — log. tng (4553.1 B NIE.
ing 1o = tng: Е: ing $ \.
2. En nommant а et © les coordonnées du noyau, «!
et ©: celles du point observé de la queue et a et d les
eoordonnées du soleil, on aura pour le calcul des
angles de position du rayon vecteur prolongé (p?) et du
point de la queue (p) au noyau les formules:
ing М = cing d cos (a—a)
ing (a — a). sin М
Oi EOIN) A NE ARE DA QT RENT UE
= cos (M + c)
9
Bia M n.
où m. sin M i cos d. cos (a — а)
m. cos mi: sin d
ing N = cing 6.! cos (a! — a),
__ tng (a! — a) sin N
BAT Siege toMy
cing ($ + N)
ing Ss =
Ч COS p
n sin N = cos 6' cos (a! — à), п. cs N= sin 8.
s est la distance angulaire entre le point observé et le
noyau.
3. Réduction de l'angle p — p° au plan de l'orbite.—
Soient: О le point de l’intersection de la sphère célèste
avec la ligne menée parle noyau perpendiculairement à
l'orbite; К — le point où la ligne, menée du noyau
vers la particule de la queue dans le plan de l'orbité,
rencontre la sphère; 1, — le point de la sphère indiqué
par la ligne menée du noyau vers le centre dela Terre.
Posons OL — S, К L = T. — Le point O est pris de
la maniére que pour lui le mouvement orbitale du noyau
se présente dans la méme direction que le mouvement
de la Terre se présente au pôle nord de l'écliplique. Les
coordonnées (A R et Decl.) géocentriques du point O so-
ient A et D. En connaissant Vinclinaison de l'orbite ©
et la longitude € de son noeud, ou trouvera la longitude
A et la latitude 8 du point O et on les transformera en
A et D: |
N ing A
ing NP; | ing A о
ры oak
ing D = ing N+). sin A
sin N a le signe de sin В; cos N — le signe de sin À.
cos B. sin À. cos(N + =) = cos D. sin A. cos N
sin A a le signe de cos (№-+- =) et cos A le signe de cos À.
Puis on a les formules connues:
ing G == cing D. cos (А-а)
ing G' = cing ©. cos (A—a)
gos sin G. tng (A—«)
cos (G +9)
‚_ sin G. tng (А-а)
Me onl |
cing S = — cos P. ing(G-+£) = cos P". ing (G'+-D) ©
S « 180° |
9. Sin G = cos (4—2); 9 cos G — ing D
sin S. sin P = cos D. sin (A — а)
sin S. sin P'— cos à. sin (A — a)
g'. sin G’ = cos (A — a); g'. cos @ = (ng à
cos S= —g. sin (G +) cos D= —g'. sin (G'+ D) cos à.
Puis on a:
ing (и —Р') = — cos S. ing (p —Р)
ing (u?—7P') = — cos S. ing (p’—P)
cos T = sin S. cos (u —F") |
sin T cos (p—P) = — cos S. cos (и — P")
sin T sin (p—P) = + sin (u—FP")
et enfin
О. Sin S
— —_ ne,
sin (T -+- s) AD I E
A est la distance linéaire entre la particule et le noyau;
p la distance Terre-noyau et c l'angle de A avec le
rayon vecteur prolongé.
4. La vitesse linéaire sur l'orbite est
oü la quantité t =0 pour la parabole; elle est positive
pour lellipse et négative pour l'hyperbole. L'unité de
temps est 58.13244 jours.
Pour calculer l'angle В du rayon,vecteur avec la tan-
gente dans l'ellipse, on trouve l'angle « de la tangente
avec l'axe dé xx
ibm
a’. y
ou z — v. cos (180° — v) — ae
tng a = —
y =r. sin (180° — v)
e 1 (1 — e?)
A l'aide de a donnée on truuve b, et à l'aide de r
et v on calcule x, y et x; xeto donnent В.
Il arrive quelquefois de mener la tangente à l'orbite
parabolique par le point de la queue. Soient les co-
ordonnées de ce point z' et y' et les coordonnées du
point de tangence х et y. Alors
y—y yigg, y — bao
n || eee
et (si l'angle v est obtus):
q'—q-rr. cos (180°—v)+-A. cos (180°—v—o¢)
y'=r. sin (180°—v) +A. sin mm
el puis r'—(r—)--y*, 008% =4 i
5. Le point qui se présente situé sur le bord de la
queue ne se trouve pas, généralement parlant, dans le
plan de l'orbite. Dans ce cas la réduction de l'angle
p—p° au plan de lorbite est affectuée d'une erreur plus |
ou moins grande, et on sait que Pape (A. N. Ne 1173)
a donné les formules suivantes pour calculer les valeurs
corrigées (approximativement) 9’ et A’:
on a sin $ = sin S. sin (p—P),
Puis |
sin — sin m. sec. t, sin c — ing m.dng. t (1)
: ; ing | ü
sin m = sin (T--s) — (2)
sin S
on obtient la valeur approchée de m en posant pre-.
miérement c — 0 dans la formule (2); alors les formules
(1) donneront les valeurs approchées de c et de n, et
puis aprés on aura les valeurs plus exactes de m, n et
c, et enfin
DR M
|
р. sin s
n (T--s-a- с).
A —
Il faut avoir pourtant la valeur de Z. Si les sections de la
queue normales à son axe étaient des cercles, la valeur de J
- — 11 —
serait la demi-largeur (angulaire) de la queue ргёз du point
observé. Comme cela n'a pas lieu, on peut prendre pour 1
le rayon (angulaire) du conoide (isodynamique) du bord de
la queue, dont on va calculer la largeur à l'aide des
valeurs adoptées de g et G pour le cas en question.
On comprend que pour le bord postérieur i application
des formules écrites. ci-dessus, pour la plupart est impos-
sible. Elles deviennent inapplicables pour les bords, quand
la queue consiste en conoides isochroniques (synchro-
niques).
NOTE See
1. Les phénomènes observés principalement par Ché-
seaux, dans la queue de la comète de 1744 ont montré
la vraie signification des formations synchrones (isochro-
nes) dans leur développement complet. La forme, la di-
rection et la structure de ces conoïdes se trouvent tout
à fait conformes à la théorie, et, ce qui est très important,
le calcul a montré clairement leur origine dans les émis-
sions correspondantes du noyau.
Dans la queue de la comète Donati, on a aperçu aussi
quelques bandes inclinées vers l'axe général de la queue,
et on sait que le Prof. Norton a donné l’explication de
ce phénomène (Amer. Journal; 1860, N° 85, pg. 81):
«They accordingly find their natural explanation in the
quantity of nebulous matter given off simultaneously
from the nucleus».—«each had the position of a line *)
*) D'aprés ses formules approximatives les synchrones coincident
avec des lignes presque droites passant prés du noyau.
cx MD.
connecting particles which started from the region of the
nucleus at a certain previous date, and at the same
instant of time». | |
Bond a vu ces bandes mieux que les autres observa-
leurs, et on sait d'aprés lui que leur position et leur di-
reclion étaient trés incertaines, et par conséquent il füt
impossible de démontrer d'une maniére tant soit peu per-
suasive leur coincidence avec les synchrones et leur cor-
réspondance avec les émissions du noyau. Ainsi l'explication
de Norton ne s'élevait pas au dessus d'une supposition
plus ou moins plausible. |
C'est en s'appuyant sur l'accord du calcul fait à l'aide
des formules exactes, avec les phénoménes préseníés par
la remarquable comóte de 1744 qu'on a obtenu le droit
d’etendre hardiment l'analogie sur la comète de Donati et
sur les autres comètes, ou les phénomènes homogènes ont
été faibles, peu prononcés et difficiles à observer.
2. Quelques uns prétendent que les cométes contien-
nent les combinaisons de l'hydrogéne et du carbone et
que, d'aprés les données spectroscopiques, elles ne peuvent
pas contenir des éléments purs. Au lieu de répondre à
cette remarque, je citerai les lignes suivantes de M.
Berthelot (Comptes Rendus; 11 juillet 1881, pgg. 26— 27):
«Suivant le savant astronome anglais (W. Huggins), les
cométes émettent une lumiére propre qui, d'aprés l'ana-
lyse spectrale, accuse la présence du carbone, de l'hydro-
gene -et de l'azote: ces éléments sont indiqués par les
spectres qui caractérisent l'acétyléne et l'acide cyanhy-
drique. Ces résultats ше. paraissent rendre vraisemblable
l'origine électrique de la Jumiére propre des cométes.. . .
Sans vouloir discuter s'il existe quelque action mécani-
que ou chimique, capable de maintenir à l'état d'incan-
descence continue des masses aussi peu considérables
ius NER se
que celles qui constituent le noyau des cométes et les
nébulosités qui les environnent, il semble que l'état de
combinaison du carbone, de l'hydrogéne et de l'azote,
accusé par l'analyse specirale, et spécialement la pré-
sence de l'acide cyanhydrique fourniraient un argument
considérable en faveur de l'hypothése d'une origine élec-
trique de cette lumière. En effet, j'ai montré que l'acé-
iyléne se produit d'une manière immediate et nécessaire,
toutes les fois que ses éléments, carbone et hydrogéne,
se trouvent en présence sous l'influence de l'arc électri-
que. Si l'on ajoute de l’azote à l'acétyléne, sous l'influence
des étincelles ou sous celle de l'arc électrique, j'ai re-
connu qu'il se forme aussitót de l'acide cyanhydrique,
dont la formation électrique constitue peut-être le ca-
ractére chimique de l'azote le plus net et le plus prompt
à manifester».
«Les spectres de l'acétyléne et de Г Anm cyanhydrique
‘sont done caractéristiques de l'illumination électrique d'un
gaz contenant du carbone, de l'hydrogéne et de l'azote,
libres ou combinés. Si le spectre de l'acétyléne apparait
également dans la combustion des gaz hydrocarbonés,
celui de l'acide cyanhydrique, au contraire, ne résulte pas
de la présence de l'azote libre dans les gaz enflammés.
Il n'est guère possible, d'ailleurs, de concevoir une com-
bustion continue dans les matiéres cométaires; tandis
qu'une illumination électrique est plus facile à com-
prendre».
Il est trés instructif de lire aussi les remarques récentes
de M. Berthelot concernant les conventions et les hy-
pothéses atomiques sur le nombre des molecules ou sur
leurs poids et leurs volumes (C. R. 21 avr. 1884, pgg.
952—956).
RR AA ie
3. Pour la théorie physique des cométes est intéres-
sant le résultat obtenu par M. Prazmowski (C. R. 1 aoüt
1881, pg. 263), à l'aide des études polariscopiques: «On
est amené à admettre la constitution gazeuse des cométes,
entrevue par l'étude du speciroscope; mais, de plus, on
doit supposer que celte matiére gazeuse est disposée re-
guliérement autour du noyau».
«En effet, l'hypothése d'un essaim de matiéres solides
ou liquides pulvérulentes, ou méme gazeuses, disposées
sans aucune loi, conduit à une réflection diffuse et tu-
multueuse, et par conséquent à ‘une absence de polari-
sation. C'est ce qui a lieu pour les nuages de notre
atmosphere».
«En résumé, il nous parait que les cométes sont formées
d'une partie condencée, qui est le noyau, entourée d'une
atmosphére gazeuse incandescente, qui réflechit en méme
temps la lumière solaire, et, enfin, d'un essaim de ma-
tiéres désagrégées, n'obéissant plus à l'attraction comé-
taire et cheminant de conservé sous la seule attraction
universelle».
4. La présence des hydrocarbures et méme des métaux
non seulement dans les tétes mais aussi dans les queues
des cométes est maintenant mise hors de doute par les
observations spectroscopiques. Je me contenterai des ci-
tacions suivantes. |
Tacchini (C. R. 1 aoüt 1881, pg. 364). . . «j'ai con-
tinué l'examen spectroscopique le long de la queue de la
cométe (b 1881). J’ai pu voir les trois bandes du carbone
jusqu'au tiers de la longueur à partir du noyau....
Dans la cométe c les bandes du carbone étaient visibles
dans la nébulosité et dans la queue».
Cruls (C. R. 6 novembre 1882): «Sur le spectre continu
se détachait admirablement un groupe de raies brillan-
— 15 —
les: celles du sodium et du carbone (la grande comète
1882).... Le spectre de la queue reproduisait l'aspect
de celui du noyau, les raies étaient seulement beaucoup
plus faibles, quoique bien visibles, tant celles du sodium
que du carbone», |
Copeland et Lohse (Copernicus; № 24, рос. 236—243):
«Judging from the totality of the appearance presented
by these fowr large comets (1881 et 1882), we are
strongly inclined to think, that the difference of spectra
of nucleus, coma and tail is only one of intensity, ho
wever that may be brought about»... |
«On June 6 the whole Comet Wells was seen brilli-
antly in the light of sodium in an open slit, the tail as
well as the head, and in the spectrum of the great co-
met of 1882 all ihe brighter lines extended through the
whole length of the slit, being, however, fuller of light
in the nucleus, thus indicating their presence in the nuc-
leus as well as in the commencement of the tail»...
«But not merely an odd one, nay, all the six brighter
lines observed in the green and yellow (la grande co-
méte de 1882) correspond to the most prominent [гоп
lines in that part of the spectrum and even the two
broad bands, noticed there, fall into a rote of nume-
rous Iron lines».—
Il me parail que par rapport aux scutis spec-
troscopiques on peut encore ajouter la remarque, que
les bandes de l'hydrogéne pur, plus faibles que celles de
ses combinaisons avec le carbone, doivent se placer sur
les bandes obscures correspondantes du spectre continu
(solaire) et par cela il sera toujours impossible de les
discerner, sauf quelques circonstances exclusives.—
5. M. Meyer, dans sa recherche intéressante sur la ré-
fraction des rayons lumineux dans l'intérieur d'une co-
MO NM
méte (A. Nachr. NeNe 2471, 2477), a trouvé que cette
réfraction est sensible prés du noyau de la comète 1881
b, et il vient à la conclusion que: «Die Substanz aus
welcher der Kopf des Cometen 1881 Ш (ou 6) bestand,
hatsich optisch wie ein Gas verhalten und seine brechende:
Kraft war in einem Abstande von 10200 Kilometern vom
Kerne gleich 0.0000093».
Pour l'oléogéne cette force réfringente correspond a
0.007 de, la pression atmosphérique ou à 5 millimet-
res de la hauteur du mercure. |
Pour la cométe de Halley (1835) M. Meyer a trouvé
que cette action réfringente est inappréciable.
De notre point de vue les résultats obtenus pour ces
deux cométes ne sont nullement en contradiction. En
effet, ia queue principale de la comète de 1881 6 était
du II type (voir nos Annales) et consistait en hydrocar-
bures, tandis que la queue de la cométe Halley est du
I type qui correspond à l'hydrogéne. Or, ce gaz étant
“beaucoup moins dense que les hydrocarbures, il en ré-
sulte qu'il ne doit pas produire une réfraction sensible.—
i Th. Bredichin.
1884, 15 novembre.
4
NEUE BEITRAGE ZUR KENNTNISS DER CRUSTACEEN-FAUNA
DES BAIKALSEES, -
Von
Dr. B. Dybowski.
Mit 3 Tafel-Abbildungen.
Seit ich die Resultate meiner zoologischen Arbeiten am
Daikalsee veróffentlicht habe *), fand ich, dank der liberalen
Unterstützung seitens der sibirischen Abtheilung der geo-
graphischen Gesellschaft in Irkutsk, wieder Gelegenheit,
die Fauna dieses hóchst interessanten Sees auf's neue
zu untersuchen, und zwar in einem bedeutend weiteren
Umfange, als es bis dahin der Fall gewesen. Ich habe
jetzt nämlich nicht allein viel grössere , und weit von
einander gelegene Partien des Sees einem genauen Stu-
*) Vergleiche hierüber: Beiträge zur näheren Kenntniss der in dem
Baikalsee vorkommenden Gammariden (Russische entomologische
Zeitschrift 1874). Die Fische des Baikalwassersystemes (Zeitschrift
der sibirischen Abtheilung der geographischen Gesellschaft (1876)
und andere kleinere Abhandlungen in der leztgenanten Zeitschrift
enthalten.
№ 3. 1884. 2
os pet...
dium unterworfen, sondern ich zog mehrere der Zuflüsse
so wie den Ausflussstrom des Sees (die untere Angara)
in den Kreis meiner Untersuchung. Diese recenten fauni-
stischen Forschungen des Baikalwassergebietes bereicher-
len uns mit einer Fülle von neuen und interessanten For-
men, welche gewiss Gelegenheit bieten werden, eine brei-
lere Basis zum Vergleich unserer Fauna mit anderen ihr
verwandten zu bekommen, so wie neue Anhalispunkte für
die Hypothese ihrer Abstammung und Entwickelung zu
gewinnen. Betrachten wir nur vorlaufig die Ergebnisse un-
serer Untersuchungen im Allgemeinen, so zeigt sich, dass
die Crustaceen im Baikalsee die Hauptrolle spielen und
numerisch alle übrigen hier vorkommenden Repraesen-
tanten des Thierreichs zusammengenommen bei weitem
übertreffen. Das Uebergewicht der krebsartigen Thiere
unter anderen der Baikalfauna wird schon aus der ein-
fachen Zusammenstellung der bis jetzt hier aufgefundenen
Arten ersichtlich, so haben wir über 200 Arten Crustaceen
gesammelt, neben 40 Arten Mollusken, 20 Arten Wür-
mer, 4 Arten Schwämme (nebst einigen Varietäten), 22
Arten Fische und einer Art Säugethiere, also doppelt mal
so viel Crustaceenspecies als Arten aller übrigen Thierklas-
sen zusammengenommen.
Aber unter den Crustaceen sind nicht alle Ordnungen,
dieim Daikalsee vorkommen, gleich üppig entwickelt, im
Gegentheile, wir finden nur eine einzige unter ihnen,
welche sich einer besonderen Mannigfaltigkeit der Ar-
ten erfreut; die übrigen Ordnungen stehen in Hinsicht. auf
die Zahl der Arten, der ersten bei weitem nach. Die be-
vorzugte Ordnung, die im Baikalsee die bestmöglichen
Bedingungen zur Entwickelung' eines . unerschöpflichen
Reichthumes von Formen gefunden hat, ist die der Am-
phipoden, sie steht grell gegenüber den übrigen, so den
d: ode c
Copepoden *), Isopoden, Ostracoden und Branchispoden,
welche alle hier eine sehr untergeordnete Stellung einneh-
men und nur durch wenige und dabei winzige Arten
repraesentirt sind.
Es soll die Aufgabe dieses Beitrages sein zu Zeigen,
wie. sich die jede der erwühnten Ordnungen der Cru-
staceen im Baikalsee, nach den für sie günstigen oder
ungünstigen Verhaltnissen, entwickelt hat.
Ich fange mit den Isopoden an, also mit demjenigen
Crustaceentypus, welcher in den süssen Gewässern über
haupt eine schwache Entwickelung erlangt und speciell
im Baikalsee sich kaum nur den allerbescheidensten
Platz zu erkämpfen gewusst hat.
Die Isopoden des Baikalwassersystemes.
Die Zahl der Arten dieser Ordnung, welche von uns
bis jetzt in den Baikalgewässern aufgefunden worden ist,
beläuft sich nur auf zwei; beide Arten sind klein, trei-
ben ein verstecktes Leben und sind wahrscheinlich auch
deswegen von den früheren Forschern unbemerkt und
unerwähnt geblieben. Die eine Art bewohnt den littora-
len Theil des Sees, sie ist ziemlich häufig, aber nur auf
die Strecke angewiesen, wo der Grund mit felsigen Blöc-
ken bedeckt ist, sie steigt hier bis zu einer Tiefe von
etwa 12 Meter hinunter und lebt dem grellen Lichte ent-
zogen auf der dem Boden zugekehrten Fläche der Steine,
*) Die Copepoden nehmen die zweite Stelle in der Crustaceen-
faüna des Baikalsees ein und zwar in Hinsicht auf die Individuen-
zahl der hier vorkommenden Arten; so wimmeln z. B. die Uferpar-
tien des Sees den ganzen Frühling hindurch von Millionen dieser
kleinen Thierchen, welche der massenhaften Fischbrut zur Nahrung
dienen. : 9%
L4
Ea -—
oder untergesunkener Baumstämme. Ihre Bewegungen
sind sehr träge, langsam, beinahe kriechend, grell kon-
trastirend mit den munteren, schnellen Bewegungen der
Gammariden. Diese Art scheint ausschliesslich auf den
See angewiesen zu sein, wir haben sie niemals in den
Flüssen gefunden, auch fehlt sie überall dort im See, wo
der Grund mit Lehm, Sand oder Schlamm bedeckt ist,
Sie hat somit einen verhältnissmässig beschränkten Ver-
breitungsbezirk, welcher sowohl durch die Tiefe, als auch
durch die Beschaffenheit des Bodens eingeengt wird.
Die zweite Art kommt nur in dem unteren Angara-
flusse vor. In diesem reissenden Strome haben wir sie
in ähnlichen Verhältnissen lebend angelroffen, wie die
Baikalsche Art. Beide Arten schliessen sich, wie gesagt,
gegenseitig aus, wenigstens ist uns bis jetzt nie gelun-
gen, sie nebeneinander zu finden, trotz dem, dass zu
diesem Zwecke grosse Strecke des Sees und des Flusses
untersucht worden sind, wir müssen daher die eine Art
als Seeform, die andere als Flussform betrachten, und
ihre Unterschiede, wenngleich als artliche, doch allein
durch die Verschiedenheit der Lebensbedingungen er- —
zeugte auffassen. Beide Arten gehören zu der Gattung
Asellus Geoff.
Gattung Asellus Geoff.
Diagnose. Der Körper länglich, depress. Der Schwanz-
theil (Pleon) ziemlich gross zu einem Schilde verwachsen.
Die Fühler ungleich lang, die oberen bedeutend kürzer
als die unteren. Die Augen klein, seitlich am Kopfe, ge-
wöhnlich von schwarzer Farbe, selten weisslich, in letzte-
. rem Fall sehr schwer zu erkennen. Die Mandibel unsym-
metrisch: auf der rechten fehlt der Nebenfortsatz; der
Mandibulartaster dreigliedrig. Die vorderen Малев
\
o) a
ohne Taster, die henteren mit einem eingliedrigen Taster.
Die Maaillarbeme mit einem fünfgliedrigen Taster, ihr
Stamm mit zwei, oder drei Lappen versehen: der innere
untere Lappen (der innere bei den Amphipoden) entwe-
der unausgebildet und mit dem inneren oberen (dem
äusseren bei den Amphipoden) verschmolzen (Asellus aqua-
ticus und Asellus Angarensis) oder als deuilicher Lappen
entwickelt (As. baicalensis), dabei mit einfachen Borsten
versehen; der aussere Lappen der Maxillarbeine (bei
den Amphipoden nicht vorhanden) immer nach Aussen
umgeklappt. Das erste Beinpaar subcheliform, ihr dritt-
letztes Glied (Carpus) klein, schwach entwickelt, mit dem
vorletzten Gliede (Propodos) enger verbunden, als die
übrigen unter einander. Die sechs folgendem Beinpaare
als Gangbeine entwickelt und alle nach einem Typus ge-
baut, am Ende des Propodalgliedes dieser Beine, und
zwar auf seiner oberen Fläche ein eigenthümlicher,
kurzer, dreieckiger Fortsatz angebracht. Das erste Paar
der Schwanzbeine (Pleopodos) kurz, die nächstfolgende
Paare nicht deckend, diese Function übernimmt das
zweite Pleopodenpaar bei den Weibchen, das dritte bei
den Männchen, bei welchen letzteren ein Pleopodenpaar
mehr vorhanden ist und zum Genitalapparate gehört.
Das letzte Paar der Schwanzbeine gablig gespalten, von
verschiedener Länge. Alle zu dieser Gattung gehörigen
Thiere leben im süssen Wasser.
Uebersicht der Arten.
I. Die letzten gablig gespaltenen Schwanzbeine länger,
oder so lang, als der Schwanzschild.
A. Das Krallenglied der ersten Gnathopoden mit 8 bis
11 Stacheln versehen. Das Krallenglied aller Pereiopoden
mit 4—5 Stacheln.
eus po. c
1. Asellus aquaticus Auct. ")
В. Das Krallenglied der ersten Gnathopoden mit zwei |
Stacheln versehen.
Das Krallenglied aller Pereiopoden mit einem oder
zwei Stacheln.
2. Asellus Sieboldii. Rougem.
‘Il. Die letzten gablig gespaltenen Schwanzbeine RAR:
zer, als der Schwanzschild.
A. Diese letzten Schwanzbeine sehr kurz, nur mit der
kurzen Gabel über den Rand des Schwanzschildes hinaus
ragend. Das Krallenglied der ersten Gnathopoden bei
Männchen nur mit 3 Stacheln versehen. Das Propodal-
glied aller Pereiopoden kürzer als das Carpalglied.
9. Asellus angarensis nov. spec.
B. Die letzten Schwanzbeine ziemlich lang, mit dem
Ende ihres Basalgliedes weit über den Rand des Schwanz-
schildes hinausragend. Das Krallenglied der ersten Gnatho-
poden bei Mànnchen mit 4 Stacheln versehen. Das
Propodalglied aller Pereiopoden lànger als das Carpalglied.
*) Unter diesem Namen sind meiner Ansicht nach mehrere For-
men beschrieben worden. Um sie von einander unterscheiden zu
kónnen, mache ich auf folgende diagnostische Merkmale aufmerk-
sam: 1) Die Form der Hand, 2) Die Zahl der Stachel an dem Kral-
lengliede der Beine. 3) Die relative Lànge des Carpalgliedes der
Pereiopoden, 4) Die Form der Augen, 5) Die Art der Behaarung des
Körpers und der Extremitäten. so wie die Granulation des Ober-
kórpers. |
Cu ONE
4. Asellus baicalensis nov. spec.
Asellus angarensis nov. spec.
Diagnose. Die unteren Fühler etwa */, der Kórper-
länge gleich. Der Schwanztheil nach hinten beinahe gleich-
mässig abgerundet, sein freier Rand mit einem dichten
Besatz von kurzen Borsten versehen. Die Entfernung der
Insertionsstelle der letzten Schwanzbeine von einander
grôsser als die Lange dieser Beine. Die gabligen Schwanz-
beine sehr klein, nur mit ihrer kurzen Gabel über den
Rand des Pleons hinausragend. Das Krallenglied der er-
sten Gnathopoden immer kürzer als die Hand (Propodos),
bei den Männchen mit drei Stacheln versehen. Das Pro-
podalglied aller Pereiopoden kürzer als das Carpalglied.
Der Kopf weisslich, stets heller als der übrige Körper
gefarbt.
Zahl der Glieder in der Geissel der oberen Fühler—4 bis 5.
ит » » » der unteren Fuhler=14 bis 15.
Ô =
Bence dew morpers.. 200... ИИ. 6.37 : 5,12 Mm.
7 müaervoberem Fühler... 2x 0,80 0,64 »
> » Stiele der oberen Fühler... 0,49 0,41 >
> > unteren Fühler.......... 2,10 1,90.»
> > Stiele der unteren Fühler. 0,96 9,88 >
> » ersten Gnathopoden....... 1,60 1,44 >
>» > zweiten Gnathopoden...... 20245 15525
> > letzten Pereiopoden....... 2488" 592»
> >» ‘letzten Pleopoden........- 0,64 0,41 »
ee AN ее: 208 1,52 »
Breite d. Körpers am7 Pereionsegmente, 2,24 2,08 >
Mere О... 205594512»
— 94 —.
Beschreibung.
Der Когрег dieser kleinen Wasserassel, welche kaum
ein Viertel unserer grössten Exemplare der europäischen
Art erreicht, ist depress, länglich, oben schwach gewölbt
und deutlich nach vorn verschmälert; die grösste Breite
des Körpers ist etwa 2'/, bis 3 mal in der Körperlänge
enthalten, und übertrifft die Breite des ersten Pereion-
segmentes um. $5.
Das Kopfsegment ist verlältor is lang und м
und zwar um '/, länger als das ihm zunächst liegende
Körpersegment. Von oben betrachtet erscheint der Kopf
wenig kantig, er ist im Gegentheil ziemlich abgerundet,
mit sehr schwach vorstehenden Ecken *). Der Stirnrand
ist beinahe gerade, oder in der Mitte schwach eingebo-
gen, nie aber in eine mediane Spitze oder abgerundete
mediane Ecke verlängert. Die Augen sind klein, mehr
oder weniger rundlich, selten oval, sie liegen ganz nahe
vom Seitenrande, etwas nüher vom Vorderrande ais von
dem Hinterrande entfernt, ihr Langendurchmesser misst
ungefähr ‘/ der Kopflänge. Die Rumpf- oder Pereionseg-
mente nehmen allmälig von vorn nach hinten an Breite
zu, dagegen aber an Lange ab, die drei vordersten sind
schwach nach vorn gebogen, die drei hintersten nach
hinten gekrümmt, das vierte in mitten dieser beiden
Gruppen gelegene Segment bleibt beinahe gerade ohne eine
enischiedene Tendenz der Biegung auf die eine oder die
andere Seite zu zeigen. Die Verbindung der Segmente
unter einander geschieht nur in ihrem mittleren Theile,
*) Eine im Hintertheile des Seitenrandes spitz nach vorn und
Aussen vortretende Ecke, wie sie bei As. aquaticus entwickelt ist,
kommt bei den baikalischen Arten nicht vor.
von wo aus sie sich seitlich in flache, am Aussenrande
abgestutzie, durch tiefe Ausschnitte von einander ge-
trennte Fortsatze verlängern. Diese Fortsätze erscheinen
bei flach ausgebreitetem Körper, als breite rippenförmige
Verlängerungen des mittleren Theiles der Segmente, sie
tragen am Aussenrande und theilweise am Hinterrande
kurze, einfache, ziemlich dicke, spitz zulaufende Borsten.
Die Epimeren. Am Ende aller sieben Fortsätze sieht
man, wenn man den Körper von oben betrachtet, kurze
Nebenfortsätze auftreten, welche unter den scharf ge-
zeichneten Contouren des Aussenrandes sich deutlich
markiren, dies sind die Coxaltheile der Beine, welche bei
Asellus aquaticus, wenn man das Thier von oben betrach-
tet, nur an den drei letzten Pereionsegmente deutlich
zu erkennen sind. Diese Goxalstücke oder Epimeren sind.
fast unbeweglich mit den Segmenten verwachsen und las-
sen sich nur schwer mit den Beinen vom Körper lossreis-
sen, ihre Aussenränder sind mit kurzen Dorsten besetzt.
Die relative Lage der Epimeren zum Aussenrande der
Segmente, sowie auch ihre Gestalt ist nicht an allen Seg-
menten gleich, so nehmen die Epimeren am ersten und
zweiten Segmente die vordere Hälfte des Aussenrandes ein,
am dritten sind sie gegen die Mitte des Randes gerückt
und an den drei letzten stehen sie auf dem hinteren
Theile derselben. Was ihre Gestalt anbelangt, so sind
die (sechs ersten) breitbasig und am freien Rande mehr
oder weniger abgerundet, die siebente dagegen ist ziem-
lich lang und am Ende zugespitzt oder im Allgemeinen
der Gestalt der 7-ten Epimere bei .Asellus aquaticus
ähnlich.
Die Schwanzsegmente oder die Segmente des Pleon
sind zu einem blattförmigen Schilde verwachsen, dieser
Schild zeichnet sich durch eine ziemlich gleichmässige Ab-
ie GMs
rundung seines hinteren Theiles aus, was ihn vom Schilde
des Asellus aquaticus und As. baicalensis deutlich unter-
scheidet. Von dem verschmalerten kurzen vorderen Theile,
welcher den Pleon mit dem Rumpfe verbindet, breitet
sich der Schwanzschild stark seitlich aus, und erreicht
die grösste Breite schon in dem ersten Drittel seiner
hänge; von hier aus beschreibt seine Contourlinie einen
convexen Bogen, der in dem hinteren Theile durch zwei
tiefe Ausschnitte, aus welchen die kurzen gabligen Uro-
poden hervortreten, unterbrochen wird. Obgleich alle Seg-
mente des Pleon zu einem Schilde verwachsen sind, so
bemerkt man doch in dem vorderen verschmälerten
Theile desselben, drei parallele querverlaufende Linien,
welche als Ausdruck der vorderen rudimentären Schwanz-
segmente aufgefasst werden müssen. Die Lange des Pleon
erreicht ungefahr die Lange der vier letzten Segmente
des Pereion oder ein Drittel der ganzen Kórperlünge,
seine Breite kommt der grössten Breite des Körpers
gleich; der ganze freie Rand des Schwanzschildes ist mit
kurzen Borsten besetzt, deren Zahl etwa 150 beträgt
und um mehr als das Doppelte die Zahl der Borsten
übertrifft, welche auf dem Rande des Schildes bei As.
baicalensis angebracht sind.
Die Fühler der Angaraschen Art zeichnen sich durch _
ihre Kürze aus, besonders, wenn man sie mit den Fühlern
der Europäischen Formen vergleicht: die unteren Fühler
erreichen hier nur ungefähr ein Drittel der Körperlänge,
während sie bei den Europäischen Wasserasseln oft die
Länge des Körpers übertreffen. Die oberen Fühler erschei-
nen besonders kurz und verkümmert, denn sie erreichen
kaum den dritten Theil der unteren, und nach vorn
ausgestreckt, berühren sie etwa nur das Ende des vierten
Stielgliedes der letzteren.
mm Oe ce
Die oberen Fithler inseriren sich am Vorderrande des
Kopfsegments ganz nahe bei einander, ihr erstes Stiel-
glied ist ziemlich lang und mässig dick, die Lange be-
trägt ungefähr den dritten Theil der ganzen Fühlerlänge.
Die Form des Gliedes ist mehr oder weniger eifürmig,
das obere Ende desselben ist abgerundet, dabei die
Verbidungsstelle mit dem zweiten Stielgliede nicht an
seinem Ende gelegen, sondern am Aussenraude, was eine
winkelige Knickung des Fühlers bewirkt. Das zweite Stiel-
glied ist fast zweimal so lang wie das dritte, beide sind
eylindrisch und erreichen zusammengenommen die Länge
des Basalgliedes. Die Geissel ist vier bis fünfgliedrig, die
Glieder sind kurz cylindrisch, das zweite längste ist um
7, länger als das erste, das Endglied ist sehr klein bei-
nahe rudimentir. An den Geisselgliedern kann man ein-
fache Borsten und «Geruchspapillen» oder «Leidygsche
Cylinder» unterscheiden, diese letzteren stehen am Ende
der zwei bis drei letzten Glieder, zu je einer, unter dem
Schutze von einer oder zweier einfachen Dorsten.
Die unteren Eühler sind dreimal länger als die obe-
ren, ikr Stiel ist ziemlich stark entwickelt, erreicht aber
nicht die Länge der Geissel; die drei ersten Glieder der
Stiele sind kurz unregelmässig napfförmig gestaltet, alle
drei sind fast gleich lang und zusammengenommen so
lang als das vierte Stielglied, welches um '/, kürzer ist
als das Endglied, die beiden letztgenannten Glieder sind
eylindrisch. Die Geissel ist etwas länger als der Stiel;
die 14 bis 17 Glieder, aus welchen die Geissel zusammen-
geselzt ist, verschmälern sich allmälig gegen das Ende,
sie sind alle mit Borsten versehen, welche keine regel-
mässige, alternirende Anordnung haben, sondern die
Endränder der Glieder zu je zwei bis vier besetzen; von
— 28 —
sogenannten «Gehörhärchen» habe ich an meinen Spiri-
lusexemplaren nichts erkannt.
Die Mundtheile. Die Oberlippe ist stark vortretend,
sie endet mit einem gleichmässig abgerundeten, breiten,
freien Rande, welcher mit einem dichten Borstenbesatze
versehen ist, die Borsten sind einfach, und diejenigen
unter ihnen, welche dem, Aussenrande näher liegen, sind
dünner und länger als die in der Mitte stehenden. (Fig. 6.)
Die Mandibeln sind kräftig gebaut, jede von ihnen
besteht aus einem starken kahnfürmigeneStamme (Fig. 7,a),
der nach vorn in zwei Aeste endet (Fig. 7 k und z); von
diesen nenne ich den hinteren, oberen oder inneren Ast
Kawast (tig. 7, k); den vorderen, unteren oder áusseren
Ast Zahnast (fig. 7. z); an der Basis des Zahnastes
ist. ferner der dreigliedrige Mandibulartaster eingelenkt.
Gies d ba): |
Bei den Asellus-Arten lässt sich die Homologie der
beiden Mandibularästen mit den Maxillarlappen recht
deutlich erkennen, ja es können sogar die einzelnen sie
zusammensetzenden Gebilde auf die homologen der oben
genannten Lappen zurückgeführt werden, und dadurch
ist auch eine verständliche Deutung jedes derselben
ermöglicht.
Um eine solche Deutung leichter fassen zu "up
werfen wir einen Dlick auf Fig. 8 u. 9 unserer Tafeln;
hier sind die beiden Maxillen dargestellt worden und zwar
auf der Fig. 8 die vordere Maxille, Fig, 9 die hintere
Maxille; an der vorderen Maxille sind nur zwei Lappen
entwickelt, der kleinere à ist der sogenannte innere Lap-
pen der Maxille, der grössere a, der äussere Lappen der-
selben; an der hinteren Maxille sind dagegen drei Lap-
pen entwickelt, von welchen $ den sogenannten énneren
ae Nae:
Lappen darstellt, a den duseren und t den Taster der
hinteren Maxille.
An jedem Mundorgane bilden der dussere und der
innere Lappen die Hauptbestandtheile, sie fehlen auch
nie, und aus ihrer mehr oder weniger innigen Verwach-
sung unter einander, sowie aus der Verwachsung der
Lappen beider Seiten mit einander, entsteht eine ganze
Masse von Combinationen, welche die Gestalt der Mund-
organe bei den Crustaceen so mannigfaltig erscheinen
lassen. cds
Zu den beiden genannten Hauptbestandtheilen eines
Mundorganes, kommen ófters noch andere Theile hinzu,
die den Bau derselben noch mehr compliciren, von die-
sen sind für die Asellusarten nur der Taster und der
accessorische äussere untere Lappen der Maxillarbeine zu
nennen (fig. 11 aund 12 a). Bei der Betrachtung jedes ein-
zelnen Lappens eines Mundorganes allein für sich, sind
an ihm folgende Theile zu unterscheiden. 1. Der Lap-
pen selbst, welcher in den meisten Fällen ein flach aus-
gebreitetes Blatt, seltener einen conischen oder cylin-
drischen Fortsatz darstellt. 2 Die Borsten, diese besetzen
entweder den Rand des Lappens, oder sind reihenweise auf
der Fläche desselben geordnet. Die Borsten gehen oft so
tiefe Veränderungen ein, dass sie nicht leicht als solche
erkannt werden können, sie sind auch deshalb bald als
Fortsätze des Mundorganes (z. B. an der Mandibel), bald
als Zahnplatten desselben gedeutet worden, (z. B. die Zahn-
platte des Kauhöckers der Mandibel).
Fassen wir nun nach dem Gesagten die Mandibel des
Asellus ins Auge, und versuchen die einzelnen Theile
derselben auf die Lappen der Maxillen zurückzuführen,
so ergiebt sich, dass der Kauast den inneren Lappen
darstellt, der Zahnast den "äusseren Lappen. Sobald nun
— D LE
diese Hauplbestandtheile erkannt worden sind, bietet
die Deutung der übrigen Theile keine Schwierigkeit. So
sehen wir denn, dass der Zahnfortsatz (Fig. 7. z f) eine
ungestaltete Borste ist, der Nebenfortsatz (Fig. 7. z n)
ebenfalls eine umgestaltete Borste, hinter welchen die so-
genannte Borstenreihe (Fig. 7 b), welche aus weniger
umgestalteten Borsten besteht, sich befindet.— Alle diese
Borsten, so der <Zahnfortsatz» der «Nebenfortsatz>, und
die «Borstenreihe», sind als homologe Theile der Rand-
borsten des Maxillarlappens zu betrachten.
Bei den Asellus-Arten hat es keine Schwierigkeit zu er-
kennen, dass an dem Kawaste die Reihe der Zahnplat-
ten den Randborsten des Maxillarlappens entspricht.
Nach diesen kurzen Vorbemerkungen, welche dén allge-
meinen Dauplan der Mandibel angeben, werde ich in der
zunachstfolgenden Beschreibung jedes von den erwahn-
ten Gebilden der Mandibel naher zu charakterisiren und
zu erläuiern versuchen.
Der Zahnast oder der àussere Lappen der Mandibel
ist starker entwickelt als der Kauast, er stellt einen kur-
zen von oben und unten zusammengedrückten Lappen
dar, an welchem der vordere freie Rand mit Borsten
besetzt ist. (Fig 7 und 10 z f, zn und b). Die Borsten
stehen bei Asellus nur in einer Reihe, während sie bei
vielen Amphipoden eine doppelireihige Anordnung be-
sitzen. Einige von diesen den Rand des Zahnastes be-
setzenden Borsten sind im Verhàltniss zu den übrigen
stärker entwickelt und an Gestalt ihnen mehr oder weni- .
ger unählich.
Die erste Borste ist dick, breitbasig, sie nimmt beinahe |
den vierten Theil des ganzen Randes ein, sie ist unbe-
weglich mit dem Lappen verbunden, doch deutet die
Anwesenheit einer zarten Querlinie, auf die hier stattge-
fundene Verwachsung der Gelenkflichen. Die Borste
endet mit vier starken Zähnen, welche zum Zerreissen
oder Schneiden der Nahrung dienen, sie wird gewühn-
lich von den Autoren «Zahfortsatz» processus dentalis
genannt, und für gleichwerthig mit allen zum Zerreissen
der Nahrung dienenden Gebilden der Mandibel gehalten,
dieses ist jedoch in sofern unrichtig, als der Zahnfortsatz
nicht bei allen Crustaceen eine umgestaltete Borste ist,
sondern in vielen Fallen den Rand des Lappens selbst
darstellt.
Bei den Asellus- und Gammarus-Arten ist der Zahn-
fortsatz immer aus einer Umbildung der ersten Borsie
entstanden, welche als solche ohne grosse Schwierigkeit
erkannt werden kann. (Fig. 7 und 10, z f). Neben der
ersten Borste, die zum Zahnfortsatz wurde, steht auf der
linken Mandibel eine zweite ihr an Gestalt ähnliche, eben-
falls mit vier Zähnen versehene Borste. Diese zweite
‚ Borsie (Fig. 7 und 10, zn), welche mit dem Lappen ge-
lenkig verbunden ist, ist etwas kürzer und dünner als die
erste (Fig. 10 und 7 z n) und wird gewóhnlich «Neben-
fortsatz» der Mandibel genannt. Auf der rechten Mandi-
bel ist die zweite Borste bei Asellus nie zu einem
Nebenfortsatze entwickelt, sondern hat die Gestalt der
nächstfolgenden Borsten, was gewóhnlich bei der Beschrei-
bung der rechten Mandibel durch den Ausdruck «der
Nebenfortsatz fehlt» angegeben wird. ") Ausser diesen
*) Bei den Amphipoden ist der Nebenfortsatz auf der rechten Man-
dibel anders als auf der linken gebildet. Die Ungleichheit besteht
in folgendem: Der Nebenfortsatz der rechten Seite ist aus einer
Verwachsung von zweien Borstenpaaren entstanden, wobei die bei-
den Borsten der oberem Reihe einen starken, nach oben gegabelten,
mit vielen Zàhnen oder Zacken auf der oberen Fläche versehe-
nen Nebenfortsatz bilden, dagegen die beiden Borsten der unteren
ey eee
zwei dicken Borsten auf dem Zahnaste der linken Mandi-
bel und einer einzigen auf dem Zahnaste der rechten,
steht noch eine Reihe von 7 bis 9 oder sogar 10 Bor-
sten auf dem freien Rande jedes Zahnastes (Fig. 7 und
10 b), letztere Borsten sind bedeutend dünner als die
ersteren und nehmen gegen den Kauast, etwas an Dicke
ab, sie bilden die sogenannte «Borstenreihe der Man-
dibel. Jede von diesen Dorsten stellt einen starken, abge-
rundeten, etwas gebogenen Schaft dar, welcher in seiner
oberen Hälfte und zwar auf der Flüche, die nach oben
gekehrt ist, mit einer Reihe von mässig starken, steifen
faserartigen Fortsätzen besetzt ist (Fig. 10 b), die Fa-
sern sind nicht sehr zahlreich und nicht regelmässig
angeordnet, sie geben den Dorsten ein struppiges, ruthen-
artiges Ansehen, was sie von den zierlichen Fiederbor-
sten deutlich unterscheidet, ich nenne die so gestalteten
Borsten Faserborsten. Sie sind auf der rechten Mandibel
mit gréberen und kürzeren Fasern versehen als auf der
linken, und dieses Verhältniss findet nicht allein bei den
Aselliden-statt, sondern ist noch deutlicher bei den Am-
ghipoden. Die Borstenreihe endet am vorderen Rande des
Lahnastes und last den oberen Rand, welcher bis zur
Basis des Kauaste reicht, unbesetzt.
‚Reihe zu einem ganzen Bündel zarter Borsten umgeformt sind, und
die Basis der hinteren Flàche des Nebenfortsatzes bedecken. Auf
der linken Seite aber ist der Nebenfortsatz aus der Verwachsung
eines einzigen Paares von Borsten entstanden; hier ist die Borste
der oberen Reihe zu einem starken Fortsatze entwickelt, während die
Borste der unteren Reihe in ein Bündel von Fasern aufgelöst ist,
und auf der hinteren-Fläche der Basis der ersteren zu stehen
kommt. Eine speciellere Schilderung dieses Verhältnisses behalte
ich mir vor, hier will ich nur bemerken, dass ein Verständniss dieser
Umstaltungen für die Systematik von grosser Wichtigkeit ist.
OU
Der Каиая (Fig. 7 К) ist nicht flachgedrückt wie der
Zahnast, sondern cylindrisch, er ist ziemlich lang, erhebt
sich zapfenartig, hoch über die Fläche des Stammes der
Mandibel, und ist unter einem spitzen Winkel zur breiten
Fläche des Zahnastes geneigt. Trotz dem, dass der Kauast
durchaus anders gestaltet ist als der Zahnast und das
flache Blatt eines Mundlappens, können wir doch an dem
kauast dieselben Theile erkennen, welche den inneren
Lappen der Maxille charakterisiren, d. h. den Lappen
selbst und die seinen oberen Rand besetzenden Borsten.
Was den Lappen anbelangt, so ist derselbe, wie gesagt,
cylindrisch und endet mit einer schief abgestutzten Fläche,
diese Fläche stellt die sogenannte Kaufläche dar. Was
nun die Borsten betrifft, so sind diese sehr eigenthümlich
geformt und sind sogar bei oberflächlicher Betrachtung
schwer als solche zu erkennen. Sie legen sich nämlich
dicht an die Kaufläche und sind dabei voliständig an
derselben angewachsen, so dass sie durch diese Anord-
nung eine Reihe von Zahnplatten darstellen, deren Zahl
hier etwa 12—15 beträgt; die freie nach oben gekehrte
Fläche jeder Borste oder Zahnplatte ist mit Zähnchen
versehen, welche als verkürzte oder abgenuzte Fasern
der Borsten (Faserborsten) aufzufassen sind. Die dicht
an einander gelagerten Borsten, mit ihren als Zähnchen
oder vorstehenden Kerbe gestalteten Fasern, stellen ein
Reibapparat dar, welcher zum Zerkleinern der Nahrung
sehr gut geeignet isl. Jede Borste oder Zahnplatte endet
am unteren Rande der Kaufläche mit einem frei empor-
ragenden Zahne, wodurch der ganze genannte Rand mi.
einer Reihe von Zähnen besetzt erscheint; diese Zahne
nenne ich Randzähne des Kauastes. Ausser den Dorsten,
welche die Zahnplatten bilden, treten noch andere auf
dem Kaufortsatze auf, diese besetzen den unteren Rand
Л 3. 1884. 3
NOT MM
der Kauflache so wie auch theilweise die beiden Aussen-
rander derselben und kommen an der Basis der Rand-
zähne zu stehen. Es sind diese Borsten dünne, einfache,
röhrchenförmige Fasern, die sich über die Reibplatte er-
heben und keinen Antheil an der Zerkleinerung der Nah-
rung nehmen; sie sind als homologe Gebilde der unteren
Borstenreihe des Zahnastes zu betrachten, welche aber
bei den Asellus-Arten nicht zur Entwickelung kommt.
Diese zarten Borsten des Kauastes müssen hier desto
scharfer ins Auge gefasst werden, als sie die einzigen
Gefühlsborsten der Mandibel repraesentiren.
Diese eben geschilderten Verhaltnisse an dem Kauaste
der Mandibel, welche hier so einfach auftreten, lassen
uns eine Einsicht in den weit mehr verwickelten und
complicirten Bau des Kaufortsatzes bei anderen Isopoden
und Amphipoden gewinnen; wir kónnen, nachdem der
Grundgedanke der Entwickelung erkannt worden ist,
überall den Kauast als umgebildeten inneren Lappen deu-
ten und die Zahnplatte so wie andere borstenartige
Gebilde als umgestaltete Borsten desselben auffassen.
Der Mandibulartaster ist dreigliedrig und um '/, kür-
zer als die Mandibel, sein basales Glied ist ziemlich lang,
schwach nach oben verbreitert und hier mit ein Paar
einfachen Borsten versehen. Das zweite Glied des Tas-
ters ist etwas länger als das basale; an seinem schwach
convexen inneren Rande und zwar in der oberen Halfte
desselben sind 5 bis 6 dicke, mit zarten Kammzähnchen
versehene Dorsten angebracht. Das Endglied ist um '/, kur-
zer und um die Halfte schmáler als das zweite Glied, da-
bei schwach sichelfórmig gebogen und am Ende abge-
stumpft, in der oberen Halfte seines Innenrandes stehen
Di ее
10 dicke, mit zarlen Kammzähnchen versehene Borsten *),
von welchen die zwei ànssersten beinahe doppelt so lang
sind als die übrigen (Fig. 15 und 7) *).
Die Unterlippe besteht aus zwei symetrischen Hälften,
‚ welche ander Basis verwachsen sind, jede Hälfte ist aus
der Verwachsung des inueren und äusseren Lappens
entstanden. Von oben betrachtet hat die Unterlippe die
Gestalt eines Kartenherzens (Fig. 5), wobei die Spitze
desselben nach hinten gerichtet ist, und der Herzeinschnitt
nach vorn; die tiefe Spalte, welche die beiden Halften
der herzfórmigen Unterlippe scheidet, ist mit zarten ein-
fachen Borsten besetzt; diese Borsten sind nach unten
geneigt und begrenzen von unten-den Eingang in die
Mundspalte, sie füllen den ganzen Raum des Herzein-
schnities aus. Auf dem unteren Theile der Vorderfläche,
oder der oberen Fläche der Unterlippe, seitlich von der
Verwachsungslinie, erhebt sich ein kleines Läppchen,
weiches mit der ganzen Länge seines inneren Randes
angewachsen ist. Dieses Läppchen ist der rudimentäre
innere Lappen der Unterlippe und pflegt in der Regel
bei den Isopoden und Amphipoden in der Entwickelung
weit hint er dem äusseren Lappen zurückzustehen, so
erreicht er z. B. in unserem Falle kaum '/, der ganzen
Länge der Unterlippe und weniger als ‘/, ihrer Breite
(Fig. 5. a). |
Die vorderen Maxillen (Fig. 8) sind im ganzen
*) Diese Borsten sind für den Taster charakteristisch, ihre zarten
Zähnchen stehen in kammartigen Reihen zu beiden Seiten der
oberen Hälfte des spitz zulaufenden Schaftes; ich nenne solche
Borsten gefiederte Kammborsten zum Unterschiede von den einfachen
Kammborsten, welche gewöhnlich den Rand der Maxillarlappen
besetzen.
3*
eee
schwach entwickelt, sie haben keinen Taster und bestehen
jede aus zwei dünnen und ziemlich schlanken Lappen,
der innere Lappen ist kleiner und schmaler als der äus-
sere, er ist in der Mitte etwas verbreitert und gegen
seine beiden Enden verschmalert, der freie obere Rand
ist abgestuizt, etwas abgerundet und trägt fünf dicke, ge-
gen die Spitzen stark verdunnte haarige Borsten *). Der
äussere Lappen ist lanzettfürmig mit schief nach innen
abgesetztem oberen Rande; auf diesem Bande stehen zwei
Reihen stachelartiger Borsten, deren Zahl ähnlich wie
bei den Amphipoden elf betragt, sie nehmen von aussen
nach innen allmahlig an Länge ab; die vier äussersten
unter ihnen tragen selten Nebenzähne, meistens sind sie
glatt und stumpf, die 6 folgenden haben zarte Neben-
zähnchen und sind zugespitzt, die letzte innerste (die elfte)
ist spitz und entweder glatt, oder mit zarten Kerben
versehen.
Die hinteren Maxillen (Fig. 9) sind dreiblattrig, so.
wie bei den Ganmariden die vorderen Maxillen, ihre
Gestalt ist aber ganz verschieden, sowohl von den vor-
deren wie auch von den hinteren Maxillen der Amphi-
poden. Versuchen wir die einzelnen Blatter dieser Maxil-
len auf das allgemeine Schema der Mundextremitaten
zurückzuführen, so stellt das innere Blatt den äusseren
Lappen dar (Fig. 9 i), das mittlere Blatt den äusseren.
*) Solche Borsten sind den Fiederborsten am meisten ähnlich
und waren bis jetzt von demselben nicht unterschieden worden,
obgleich sie sehr leicht zu charakterisiren sind; ihr Unterschied
von den Fiederborsten besteht darin, dass die zarten haarfórmigen
Fasern nicht symetrisch an beiden gegenüberliegenden Rändern
der Borsten angebracht sind, sondern von der ganzen Fläche des
Schaftes entspringen. Ich proponire für so gestiltete Borste den
Namen haarige Borsten.
Lappen (Fig. 9 a) und das dussere den Taster (Fig.
9 t). Der iunere Lappen (Fig. 9 i) ist an der Basis ziem-
lich breit, verschmälert sich allmáhlig nach oben und
hat im ganzen eine lanzeltfórmige Gestalt. Ungefähr in
der Mitte seiner Hóhe auf der inneren, dem Munde zu-
gekehrten Fläche tragt das Blatt eine schiefe Reihe von
Borsten, welche etwa bis zum zweiten Drittel der Breite
des Lappens reicht. Die Reihe hesteht aus 14 bis 20
einfachen Dorsten, die ziemlich lang sind und an ihrer
Basis eine bulbusartige Anschwellung besitzen. Von die-
ser Reihe ab, befinden sich an dem inneren Rande bis
zur Spitze des Lappens etwa 15 Dorsten in zwei Reihen
geordnet, die innere Reihe besteht aus geraden stache-
ligen, oder einfacherigen Kammborsten, deren Kamm-
zahne dünn und nadelfürmig sind, die àussere Reihe
dagegen wird aus schwach S-förmig gebogenen Stachel-
borsten gebildet, deren Spitzen eine Gabelzacke tragen.
Die beiden folgenden Blätter der hinteren Maxille, в. В.
der dussere Lappen und sein Taster, sind beide sehr
ähnlich gestaltet, beide sind gleich lang und gleich breit,
sie stellen kurze und ziemlich breite Blatter dar, deren
Oberer Rand schief abgestutzt ist; auf diesem Rande
stehen stachelige Kammborsten in einer Reihe geordnet,
die Zahl derselben ist an beiden Blättern ungleich,
sie beträgt auf dem äusseren Lappen 9, auf dem Taster
13. Die Borsten der beiden Blälter nehmen von aussen
nach innen allmählig an Linge ab, nur machen die drei
äussersten Borsten der Taster eine Ausnahme davon,
indem sie gewöhnlich kürzer sind als die ihnen zunächst-
stehenden. Alle Borsten sind schwach gegen den Innen-
rand des Lappens gekrümmt und tragen auf ihren con-
caven Flüchen zierliche, dichtstehende, feine Zahnchen
oder Kerbe.
D
Die Maxillarbeine (Fig. 11) sind im Verhältniss zu den
beiden Maxillen stark gebaut zu nennen, sie sind etwas
anders gebildet als die der folgenden Art, ahneln aber
sehr den Maxillarbeinen des Asellus aquaticus...
Betrachtet man die Maxillarbeine von der Fiäche wie
sie auf der Fig. 11 dargestellt sind, so sieht man bei der
Angaraschen Art zwei Lappen aus einem gemeinschaft-
lichen Stamme entspringen. Die Deutung dieser Lappen
aber wird dadurch erleichtert, dass wir den Dau der
Maxillarbeine der Baikalschen Art zu Ваше ziehen
(Fig. 12). Hier sehen wir aus einem gemeinschaftlichen
Stamme drei Lappen entspringen, den äusseren (Fig. 12 a),
den inneren unteren (Fig. 12 in) und den inneren obe-
ren (Fig. 12 i o). Mit den Maxillarbeinen der Angara-
schen Art verglichen, sehen wir, dass der zweite Lappen
bei dieser letzteren Art fehlt. Vergleichen wir ferner die
drei Lappen der Baikalschen Art mit dem allgemeinen
Schema einer Mundextremität der Amphipoden, so ent-
spricht der innere untere Lappen dem inneren Lappen
eines solchen Schemas, der innere obere dem äusseren
Lappen, der äussere Lappen dagegen findet keinen
entsprechenden Theil indem Mundorgane der Amphipoden
und muss als ein überzähliger angesehen werden.
Dieser äussere Lappen ist charakteristisch für die
Isopoden und zeichnet sie angesichts ihren nächsten Ver-
wandten besonders aus. Es nimmt der äussere Lappen
keinen Antheil an der Function der Nahrungseinnahme
und istnur als Deckblatt der anderen Theile zu betrach-
ten, er liegt auch demgemäss ganz an der Seite des Stam-
mes der Maxillarbeine und indem er sich hohlhandför-
mig an die gewölbte Fläche der drüberliegenden Mund-
theilen anschmiegt, behält er die Gestalt eines schwach
gebogenen Blaltes bei, breilet man dieses Blatt aus,
so hat es eine unregelmässig dreieckige Form (Fig 11 u.
12 a). Die Vereinigung des Blattes mit dem Stamme ist
durch eine gelenkige Verbindung zu Stande gebracht, die
äussere obere Ecke des Blattes ist mit wenigen kurzen
einfachen Borsten besetzt, deren Zahl etwa 7 beträgt,
sonst ist der ganze freie Rand haarlos. Der innere un-
tere Lappen fehlt, wie gesagt, beider Angaraschen Art,
und der Stamm des Maxillarbeines erscheint an der Stelle,
wo ein solcher Lappen bei der Baikalschen Art entwi-
ckelt ist, rechtwinklig zugeschnitten, ähnlich wie bei As.
aquaticus.
Der innere obere Lappen (oder der äussere Lappen der
Amphipoden) ist ganz anders als bei den Gammariden
gestaltet. Wahrend er dort ühnlich wie der äussere Lap-
pen der Maxillen meist flach ausgebreitet ist, so ist er hier
winkelig gecknikt, oder winkelig gefaltet, und zwar in der
Weise, dass die beiden Theile desselben unter einem
rechten Winkel zu einander zu stehen kommen.
Die Kante, welche aus dieser Faltung entsteht, tritt mit
der der anderen Seite in der Medianlinie der Mundrinne
zusammen, und von ihr aus breitet sich der äussere Theil
des Lappens horizontal nach aussen, der innere Theil
steigt senkrecht in die Mundrinne hinein und legt sich an
den inneren Theil des Lappens der anderen Seite flach
an. Am Rande desjenigen Lappenabschnittes, welcher
in die Mundrinne hineingesenkt ist, stehen elf lange und
dieke Borsten, welche auf ihrer ganzen Oberfläche dünne
Haare tragen (haarige Borsten) *) (Fig. 11). Am oberen
Rande des horizontal ausgebreiteten Theiles des Lappens
befinden sich 9 dicke, ziemlich lange, gebogene, nach
*) Diese haarigen Borsten sind eigenthümlich gebaut, sie unter-
scheiden sieh von den gewöhnlichen dadurch, dass die Haare nur
in dem unteren Theile des Schaftes auftreten, während der obere
Theil desselben haarlos glatt und stachelartig geformt erscheint.
DUO || И
innen allmahlig an Lange abnehmende, mit einem Stachel
endende haarige Borsten. Ausser dieser Randreihe kom-
men noch auf der Flache des Lappens zwei oder drei kurze
Querreihen von Borsten vor, welche zu je 3 bis 4, sel-
ten 6, am Ende der inneren Flache des Lappens stehen.
Die Kante, welche die Knickung des Lappens andeutet,
ist verdickt, hornig und macht den Eindruck als würde
hier eine Verwachsung zweier Blatter vor sich gegangen
sein, sie reicht nicht bis zur Spitze des Lappens, verlauft
aber geradlinig bis zur Basis desselben und trägt 3—5
kurze, dicke hakenförmig gebogene Borsten, welche an
ihrer schief abgestutzten Spitze mit zwei, drei oder vier
kleinen stumpfen Zähnen versehen sind, die ihrerseits
in 2 Reihen geordnet stehen (Fig. 11 und 12).
Der Taster der Mazxillarbeine ist fünfgliedrig *), er
reicht mit seinen drei letzten Gliedern über das freie
Ende des oberen inneren Lappens hinaus, das Basalglied
ist kurz und breit, ja kürzer als die übrigen und trägt
nur ein Paar kurze Borsten an seiner oberen äusseren
Ecke. Das zweite Glied ist bauchig aufgetrieben, dabei
länger und breiter als alle übrigen, ihm folgt das dritte
Glied, an Gestalt dem zweiten ähnlich, aber kürzer und
schmäler, worauf dann die beiden letzten bedeutend schmä-
leren Glieder kommen; das erste von diesen ist so lang
wie das zweite Tasterglied und um die Hälfte linger, als
das Endglied, welches stumpf abgerundet endet. Am In-
nenrande der vier letzten Tasterglieder stehen einfache
*) Weil die Kralle bei den Asellus-Arten an allen Extremitäten
zweigliedrig ist, so wird der Eindstachel des Tasters, welcher hier
die Krallenspitze repraesentirt, nicht als besonderes Glied gerech-
net, wollte man aber dem Endstachel des Tasters als ein Glied
betrachten, so müsste der Taster seehsgliedrig genannt werden.
Е
Borsten in eine mehr oder weniger regelmässige Doppel-
reihe geordnet. Die Zahl der Borsten ist nicht constant,
so finde ich am bauchigen Rande des zweiten Gliedes
10 bis 12 Borsten, am Rande des dritten 6 bis 8, am
Rande des vierten 4 bis 6 und ebensoviel am Rande des
Endgliedes, ausserdem trägt dieses letztere eine lange und
mässig dicke Endborsie, welche an der Spitze schwach
hakenförmig gebogen ist und als Endspitze der Kralle
angesehen werden muss. Am Aussenrande der Glieder,
und zwar gegen das Ende derselben, stehen meistens 2
kurze einfache Borsten.
. Das Geschmacksorgan ist bei den Asellus-Arten, wie
bei den Amphipoden, nicht auf ein einziges Paar der
Mundwerkzeuge beschränkt, sondern ist längs der Mund-
rinne mehr oder weniger constant auf alle den Mund
besetzenden Fresswerkzeuge vertheilt.
Betrachten wir der Reihe nach die einzelnen Mund-
stücke, so finden wir auf jedem von demselben borsten-
arlige Gebilde, welche als Geschmackvermittelnde ange-
sehen werden müssen, zu solchen rechne ich die dün-
men borsten der Oberlippe, die dünnen haarförmigen
Borsten auf dem Kauaste der Mandibel, die dünnen
Dorsten der Unterlippe, die haarigen Borsten der vorde-
ren Maxillen, die Borsten aus der schiefen Вейе der
hinteren Maxillen, die haarigen Borsten des oberen inne-
ren Lappens der Maxillarbeine.
Allen diesen Borsten ist gegenüber den übrigen Bor-
sten der Mundwerkzeuge als gemeinschaftlichen Charak-
ter, die Zartheit der Cuticula eigen; was einerseits ihre
Permeabilität bedingt und sie als gefühlsvermittelnde
Organe anzusehen erlaubt, andererseits sie zu mecha-
nischen Zwecken bei der Nutrition untauglich macht.
Der genannte Charakter der Borsten, ihre Zahrtheit und
ial Di
ihre Stellung in der Nahe der Mundrinne muss uns vor-
làufig genügen, die Borsten als (seschmackorgane aufzu-
fassen, wenigstens so lange nicht andere unumstössliche
Beweise für die Function der einzelnen Borsten in der
specifischen Gestaltung ihrer Nervenendigungen gefunden
werden *). Die Stellung, welche die Geschmacksborsten
auf den Lappen der Mundtheile einnehmen, sind entweder
der vordere oder innere Rand des Lappens oder die
innere Fläche desselben. Was endlich die Gestalt der
Geschmacksborsten selbst anbelangt, so kann man bei
Asellus-Arten zwei Typen unterscheiden, es sind die Bor-
sten entweder dünne, cylindrische, einfache Röhrchen,
oder es sind haarige Borsten, d. h. kurze dicke stammige
Borsten, deren ganze Oberfläche oder nur die Basis der-
selben mit zarten cylindrischen Häärchen oder Fäserchen
besetzt ist. Den ersten Typus finden wir auf der Ober-
lippe, auf den Mandibeln der Unterlippe und den hin-
teren Maxillen, den zweiten nur auf den vorderen Maxil-
len und den Kieferbeinen. |
Die Extremitäten des Pereions. Das erste Paar ist zu
einem Greiforgane ausgebildet, die 6 übrigen Paare zu
Gangbeinen, welche letztere die Function des Ortwechsels
ausüben.
Das erste Paar endet mit einer Hand, die zum Grei-
fen eingerichtet ist (Fig. 14, 15 und 16), sie ist bedeu-
tend kleiner als bei Asellus aquaticus (Fig. 17 u. 18),
*) Es ist im Voraus nicht zu bestimmen, in wie weit genauere
Untersuchungen einen specifischen Unterschied in den Endigungen
der Nervenfasern in den einzelnen Borsten der Mundwerkzeuge nach-
weisen werden, bis dahin müssen aber die Form und die Zartheit
der Borsten selbst oder ihrer Nebenzweige, die nothwendigen Cha-
raktere für die Eintheilung abgeben.
— 43 —
obgleich im ganzen nach demselben Typus gebaut. Das
Charakteristische für die Hand der Asellus Arten ist die
Kürze des Carpalgliedes, welches kaum ‘/, bis ‘/, des
Propodalgliedes erreicht, ferner die innige Verbindung
dieser beiden Glieder untereinander und schliesslich die
zum Einschlagen gegen das Propodalglied eingerichtete,
zweigliedrige, mit Zähnen oder Stacheln versehene Kral-
len. Charakteristisch für die Gangbeine der Hand gegen-
über, ist die Länge ihrer Carpalglieder, welche die Länge
der Propodalglieder erreichen, ferner die mehr oder we-
niger cylindrische Gestalt dieser letzteren, die fast un-
beweglichen Krallen und der an der Basis der Krallen-
glieder angebrachte dreieckige Fortsatz (Fig. 22, 23, 24
und 25).
Das erste Glied oder das Epimeralglied des ersten
Beinpaares ist kurz, klein, am freien Rande abgerundet
und hier mit wenigen kurzen Borsten besetzt, seine Ver-
bindung mit dem Körpersegmente ist fast unbeweglich.
Das zweite Glied desselben Beines (Basos) und das dritte
(Ischium) sind länglich und haben keine vorstehenden
Ecken an ihren Rändern, das zweite Glied ist beinahe
so lang wie die Hand und etwa um "/, länger als das
dritte Glied, beide tragen vereinzelt-stehende zarte Bor-
slen, die unregelmässig hier und da ihre Ránder beset-
zen. Das vierte Glied (Meros) und das fünfte (Carpus)
sind kurz, dreieckig oder mehr oder weniger herzfórmig
gestaltet, jedes von ihnen hat eine stárker vortretende
Ecke, und zwar ist an dem vierten Gliede die Vorder-
ecke vortretend, an dem fünften die Hinterecke "). Diese
*) Bei der Streckung der Beine nach Aussen oder beim Zurück-
ziehen derselben unter den Leib des Thieres, bildet immer den
Dorsalrand der Hand den Vorderrand, der Volarrand den Hinter-
oy) m
genannten Ecken sind gewöhnlich mit 3 bis 4 starken
stachelartigen Borsten besetzt, ausserdem findet man auf
der hinteren abgerundeten Ecke des vierten Gliedes
einige schwächere einfache Borsten stehen. Das sechste
Glied, die Hand (Propodos od. Propodalglied) ist länglich,
schwach aufgetrieben, ohne eine vortretende Ecke auf
dem Volarrande zu haben, deshalb wird auch ;die Pal-
marrinne nicht deutlich abgegrenzt. Die Breite der Hand
erreicht bei den Mannchen nur die Halfte der Lange. Von
den die Hand besetzenden Borsten sind folgende zu nennen:
auf dem vorderen gewólbten Rande stehen meistens drei
Paar in gleicher Entfernung von einander, auf dem Hin-
terrande, an der Grenze der Palmarrinne, welche wie
gesagt nicht deutlich abgesetzt ist, stehen bei den Mann-
chen zwei breitbasige, beweglich eingelenkte, eigenthum-
lich gestaltete Stacheln, welche mit einer dünnen beinahe
haarfórmig zulaufenden Spitze versehen sind, bei dem
Weibchen ist gewöhnlich nur ein einziger solcher Stachel
vorhanden, selten sind wie bei den Männchen zwei ent-
wickelt. Parallel mit der Palmarrinne, auf der gewólbten
oder Dorsalflache der Hand steht eine ganze Reihe von
einfachen Borsten, etwa 7 bis 10 an der Zahl, ausser-
dem ist die Palmarrinne selbst, bei beiden Geschlechtern
mit einer Reihe zarter, kurzer, wimperartiger Dorsten aus-
gerüstet, die nur bei starker Vergrösserung deutlich her-
vortreten.
Die Hand ist bei dem Weibchen (Fig. 16) im Allge-
meinen ähnlich gestaltet wie bei den Mannchen, nur ist sie
kleiner und der Voiarrand schwächer gewölbt. Die Kralle
rand, deshalb glaube ich die, diesen Ràndern entsprechende Ecken
weit natürlicher als Vorder und Hinterecke zu bezeichnen, anstatt
sie, wie es gewóhnlich geschieht, obere und untere Ecken zu nennen.
Sp ee
(Dactylos) ist bei beiden Geschlechtern zweigliedrig, sie
ist um '/, bis '/, kürzer als die Hand. Das Basalglied
trägt am convexen Rande 3—5 dünne einfache Borsten,
am concaven Rande bei den Männchen drei Stachein, bei
den Weibchen nur zwei. Das Endglied der Kralle ist
schwach gebogen, vollkommen glalt, ohne Nebenborsten.
Die folgenden 6 Paar Beine sind alle sehr ähnlich ge-
bildet, die wenigen Kennzeichen, durch welche sie sich
unter einander unterscheiden, beruhen hauptsächlich auf
den mehr oder weniger zahlreichen Borsten, welche die
Ränder der einzelnen Glieder besetzen, in der relativen
Länge und Breite der Glieder und in der verschiedenen
Stellung der Coxalglieder zum Endrande der Segmente.
Was aber die Gangbeine der Asellus Arten von den
Beinen anderer Jsopoden auszeichnet, ist ein kurzer
Fortsatz, welcher auf der äusseren Fläche des Propodal-
eliedes, am Endrande desselben neben der Basis des
K:allengliedes angebracht ist; dieser Fortsatz stellt ein
kurzes dreieckiges Glied dar und ist gelenkig mit dem
Propodalgliede verbunden, er dient wahrscheinlich dazu
dem Krallengliede mehr Festigkeit beim Vorwartsschrei-
ten zu geben.
Beim Vergleiche der Beine der Angaraschen Art, die
im schnellfliessendem Wasser lebt, also beständig gegen
den reissenden Strom zu kampfen hat, mit den im ste-
henden Gewässern lebenden Arten (Asellus aquaticus
und baicalensis) ist hervorzuheben, dass ihre Beine ver-
hältnissmässig kürzer und stärker gebaut sind, die ein-
zelnen Glieder gedrungener und das Propodalglied immer
kürzer ist als das carpale.
Was nun die einzelnen Glieder der Gangbeine anbe-
langt, so möge darüber folgendes erwähnt werden.
"iur us
Die Coxalglieder oder die Epimeren des zweiten Gna-
thopodenpaares und der beiden ersten Pereiopoden, sind
breiter als die der drei letzten Paare und stehen beinahe
in der Mitte des Aussenrandes des Segmentes, wahrend
die Epimeren der drei letzten Pereiopoden am hinteren
Ende des àusseren Randes der Segmente gelegen sind;
besonders schmal und zugespitzt ist das Coxalglied der
ietzien Gangbeine (Fig. 3 a bis g).
Das zweite Beinglied (Basos) (Fig. 22 und 24 b) ist
in allen Gangbeinen länger als das drilte, es hat eine
unregelmässige längliche Gestalt, fängt stets verschmälert
an, inlumescirt in der Mitte, um wieder verschmalert
zu enden. Der vordere und hintere Rand des Gliedes
sind mit Borsten versehen, diese sind an den drei letzten
Pereiopoden länger als an den übrigen.
Das dritte Glied (lschium) an Gestalt dem zweiten
ähnlich, ist etwas kürzer und schmäler als jenes; beide
Glieder können gegen einander gebogen werden. Drei
Borsten, welche die Ränder des dritten Gliedes besetzen,
sind steif und kurz (Fig. 22 und 24 i).
Das vierte Glied (Meros) ist gegen das Ende erweitert
und hal eine mehr oder weniger ausgesprochene drei-
eckige oder sogar eine Herzgestalt, seine vordere obere
Ecke ist zugespitzt und mit einer Gruppe von 3 bis 5
stachelartigen Borsten besetzt, der vordere und hintere
Rand des Gliedes tragen nur wenige, zerstreute dünne
Borsten. (Fig. 22 und 24 m).
Das fünfte Glied (Garpus) zeichnet sich von dem Car-
palgliede des ersten Beinpaares durch seine starke Ent-
wickelung aus, indem es fast die doppelte Länge des
vierten Gliedes erreicht und das Propodalglied an Länge
übertrifft. Die Gestalt des Gliedes ist länglich viereckig,
die vordere Endecke tritt am meisten vor und ist mit
drei Stacheln bewaffnet, der etwas gewölbte vordere
Rand trägt 3 bis 4 Dorsten, der hintere Rand 6 bis 8.
(Fig. 22 und 24 c).
Das sechste Glied (Propodos) ist schmal und lang, bei-
nahe zweimal so lang wie breit, es ist stets kürzer als
das Carpalglied, sein vorderer sehr schwach gewölbter
Rand tragt 4 bis 6 Borsten, sein hinterer noch weniger
gewülbter, 3 bis 4 kurze stachelige Borsten und eben-
so viele dünne haarfórmige. Am Endrande des Gliedes, auf
der oberen Fläche desselben steht ein dreieckiger, die
Basis des Krallengliedes bedeckender Fortsatz, welcher
die Form eines kurzen, meistens gleichschenkligen Drei-
ecks hat und mit dem Rande des Propodalgliedes, ver-
miitelst eines wenig beweglichen Gelenkes verbunden ist
(Fig. 22 und 24 p).
Das siebente Glied, die Kralle (Dactylos), ist zwei-
sliedrig, das basale Glied ist dick und immer länger als
das Terminale, es trägt auf der Endhalfte seines vorde-
ren Randes mehrere dünne Borsten und am Ende seines
hinteren Randes zwei kurze Stacheln ^") sowohl bei
Männchen, als auch bei Weibchen. Das Endglied isi
stachelformig und schwach gebogen, steis ohne Dorsten
oder Nebenstacheln (Fig. 22 und 24 d).
Alle Gangbeine sind, wie schon oben gezeigt wurde,
kurz, die längsten hintersten Beine betragen etwa */, der
Körperlänge, sie sind fast um '/, länger als das erste
*) Die beiden Stacheln sind gewóhnlich von gleicher Lange, es
kommt aber bisweilen vor, dass der vordere Stachel starker ent-
wickelt istuid sogar die Länge des Endgliedes der Kralle erreicht,
in solchen Fallen hat es den Auschein, als sei die Kralle doppelt.
Diese hypertrophische Entwickelung des vorderen Stachels kommt
aber nie an allen Beinen gleichzeitig vor, sondern tritt nur ver-
einzelt auf.
Lue
Gnathopodenpaar und nur um '/, länger als das zweite
Paar der genannten Beine.
Die Extremitäten des Pleons. Bei den Männchen ist
das erste Paar anders gestaltet als bei den Weibchen
(Fig. 26 und 27). Bei den ersteren sind die Deine zwei-
gliedrig; das basale Glied ist kürzer und schmäler als
das oblonge blattfórmige Endglied, es stellte ein unregel-
massig abgerundetes Blätichen dar (Fig. 26 b), welches
auf seinem inneren, fast gerade verlaufendem Rande vier
eigenthümlich geformte, schwach gebogene, kurze, schief
abgestuizte Stachel trägt, diese Stachel sind am Ende
mit vier kleinen, in doppelter Reihe geordnete stump fen
Zähnchen versehen.
Das Endglied des ersten Pleopoden ist zweimal so
lang wie das Basale und tragt auf seinem abgerundeten
Ende und seinem schwach convexen Aussenrande 14 bis
17 lange Fiederborsten (Fig. 26 c).
Bei den Weibchen sind diese Beine eingliedrig (Fig. 27),
sie stellen längliche Blättchen dar, deren abgerundeter
Endrand sowie das Enddrittel ihres Aussenrandes mit
13 bis 19 langen Fiederborsten besetzt ist (Fig. 27).
Das zweite Pleopodenpaar ist nur bei den Mannchen
entwickelt und hier zum äusseren Begattungsorgane um-
gestaltet. Jedes Bein besteht aus einem breiten blattfór-
migen Basaltheile (Fig. 28 b) und zwei verschieden ge-
stalteten Fortsátzen (Fig. 28 c und d). Der äussere c ist
von dem Dasaltheile durch eine schwache Linie geschie-
den, er besteht aus zwei Theilen cc’, welche beweglich
mit einander verbunden sind; von der Flàche betrachtet,
hat das Endglied c' dieses Fortsatzes einige Aehnlichkeit
mit einer kleinen Eichel, welche wie auf einer napffôr-
migen Unterlage, auf dem Theile c ruht. Der äussere
Rand beider Theile des Fortsatzes, ist mit wenigen etwa
c cc
4 bis 5 Fiederborsten besetzt. Der innere Fortsatz dd’
entspringt etwas unterhalb des äusseren, er ist einglie-
drig aber deutlich durch eine Einschpürung in zwei Theile
geschieden, der obere Theil d ist zweimal kleiner als
der untere d', er hat eine unregelmässige dreieckige Ge-
stalt und geht continuirlich in den retortenfórmigen End-
Шей (Fig. 28 d’) über, der schwach nach Aussen und
unten gesenkt, mit einer spitzen Róhre endet. In dem
retortenförmigen Theile sieht man einen länglichen bla-
senartigen Hohlraum, der durch die Endróhre nach Aus-
sen mündet.
Die drei folgenden Pleopodenpaare sind bei beiden
Geschlechtern ühniich gebaut und dienen als Athmungs-
organe. Jedes Bein besteht aus zwei Blattern, von welchen
das äussere immer grösser ist als das innere und an dem
vordersten Paare so stark entwickelt ist, dass es die
folgenden Beine derselben Seite vollständig deckt, somit
zum Schutzblatte des Kiemenapparates verwendet wird.
Der äussere stark convexe Rand dieses Blattes ist mit
langen Fiederborsten besetzt, deren Zahl etwa 40 be-
tragt (Fig. 29 a). Der innere Rand ist beinahe gerade
und trägt keine Borsten. Vom Aussenrande des äusseren:
Blattes und zwar von seinem oberen Drittel läuft schief
zum unteren Theile des Innenrandes eine Linie, welche
das Blatt in zwei ungleiche Theile scheidet, wobei der
obere ?/, des unteren beträgt, diese Linie deutet auf eine
bewegliche Verbindung beider Theile mit einander.
Das innere Blatt des ersten Kiemenbeines zum Kiemen-
sückchen umgebildet ist verhältnissmässig klein (Fig.
29 i). Das zweite Kiemenbein hat ein dusseres schwach
entwickeltes Blatt (Fig. 30 a), dessen äusserer Rand
nur mit 3 bis 5 kurzen einfachen Borsten besetzt ist,
die Scheidung des Blattes in zwei Theile wird durch
X 3. 1884. 4
— 50 —
еше zart angedeulele horizontale Linie angegeben, welche
quer über das Blatt im unteren Theile desselben hin-
reicht. Das innere Blatt des zweiten Kiemenbeines sowie
die beiden Blatter des dritten Kiemenbeines (Fig. 91 а
und i) sind ähnlich gestaltet, sie stellen längliche,
flache Säckchen dar, welche durch eine in ihrer oberen
Halfte quer verlaufende zarte Linie in zwei ungleiche
Theile geschieden wird, sie tragen keine Borsten. Das
letzte Pleopodenpaar ist sehr klein; die Beine ragen nur
wenig über den Rand des Pleons hinaus (Fig. 1). Jedes
Bein besteht aus einem Basaltheile (Fig. 32 und 33 b)
und zwei neben einander gelagerten Ændgliedern (Fig.
32 und 33 c und d). Das basale Glied ist fast so lang
wie die Hmndglieder und erreicht kaum '/, der Lange
des Pleons. Die Endglieder sind lanzettfórmig, das äus-
sere ist elwas kürzer als das innere, beide tragen 3 bis
5 Endborsten und ein Paar stachelartige Randborsten.
Die Beine der Weibchen (Fig. 33) sind etwas kürzer als
die der Männchen. Die Färbung ist wie bei allen Asellus
Arten eine schmutzig graubräunliche. Die Vertheilung des
Pigmentes über den Körper ist aber für die beiden asi-
atischen Arten sehr eigenthümlich und charakterisirt im
Speciellen jede Art so trefflich, dass man nach der Fär-
bung allein sie unterscheiden kann. So zeichnet sich die
in Rede stehende Art durch den pigmentlosen Kopf aus,
was bei der dunklen Färbung der übrigen Körperseg-
mente sehr auffällig ist. Das erste Rumpfsegment und der
ganze Schwanztheil sind immer am intensivsten gefärbt,
die übrigen sind bald dunkler. bald heller tingirt. Das
Pigment ist nicht gleichmässig über die ganzen Segmente
vertheilt, sondern bildet auf denselben symmetrische im
ganzen aber unregelmässig contourirte Zeichnungen, welche
in Fällen starker Färbung den hellen Grund nur als kleine
Piinktchen erscheinen lassen. Die Extremitäten sind schmu (=
zig weisslich. Die Augen schwarz.
Zweite Art. Asellus baicalensis nov. spec.
Diagnose. Die unteren Fühler erreichen fast ?/, der
Körperlänge. Der Schwanztheil hinten merklich zuge-
spitzt, sein freier Rand mit ziemlich langen, weit auseinan-
der stehenden Borsten besetzt. Die Entfernung der Inser-
tionsstelle der leizten Schwanzbeine von einander klei-
ner als die Länge dieser Beine, welche ?/, des Schwanz-
schildes erreichen, und mit dem Ende ihres Basalgliedes
weit über die Contourlinie des Pleons hinausgreifen. Das
Krallenglied der ersten Gnatopoden so lang oder länger
als die Hand, bei den Mannchen mit vier Stacheln verse-
hen. Das Propodalglied aller Pereiopoden länger als das
Carpalglied. Der Kopf dunkler als der übrige Körper ge-
farbt.
Zahl der Glieder in der Geissel der oberen Fühler—
5 bis 6.
Zahl der Glieder in der Geissel der unteren Fühler—
20 bis 22.
ö 2
bone des Körpers... sur "mme rh 4,92 . 3,04
», der oberen Fühler.;....5...... 712... 0.48
» » Stiele der oberen Fühler.. 0,48 . 0,32
"1" »-uneren Fuühler.. 24.22: 2,68 . 1,92
» » Stiele der unteren Fühler.. 1,04 . 0,76
» des ersten Gnathopodenpaares 1,56 . 0,64
» » zweiten Gnathopodenpaares 2,08 . 0,88
» » letzten Pereiopodenpaares . 2,56 . 1,04
» » letzten Pleopodenpaares... 0,82 . 0,51
A*
| Ô 2
lange’ der Pleons ..X- 299 BEEN c 1,28 . 0,88
Breite des Kórpers am 5 Pereionsseg-
Mena oce wisi ed s NEED De 1,60 . 1,12
breite des PIGoUSP 2... : EE 1,28 . 0,88
Die Baicalsche Art unterscheidet sich wesentlich von
der Angaraschen.
Die Unterschiede sind nicht allein auf einzelne Kór-
pertheile beschrankt, sondern beziehen sich in einer mehr
oder weniger ausgesprochenen Weise auf alle Theile des-
selben, die hauptsáchlichen führe ich hier vor. Der Kór-
per ist mehr depress, er erreicht seine grósste Breite schon
in der Gegend des fünften oder sechsten Pereionsegments,
von wo er sich nach hinten allmählig verschmilert. -
Der Kopf ist schwächer gewölbt, sein Hintertheil brei-
ler; seine Seitenrander sind mit 4 bis 6 langen und dic-
ken Borsten besetzt (welche bei der Angaraschen Art
dünn und unscheinbar sind). Die Augen sind grósser, der
Diameter derselben beträgt etwa '/, der Kopflänge.
Die Pereionsegmente unterscheiden sich durch die stàr-
kere Entwickelung der rippenfórmigen Fortsätze im Ver-
haltniss zum mittleren Theile des Kórpers, durch ihre
mehr flache seitliche Ausbreitung, durch eine ganz an-
ders geformte Abrundung der Ecken der Segmente, be-
sonders aber der drei hintersten, durch eine ganz ver-
schiedene Stellung der Epimeren zum Aussenrande der
Segmente und durch die starke Entwicklung der Rand-
borsten an den Segmenten selbst, sowie an den Epime-
ren. Diese eben genannte Unterschiede sind bildlich dar-
gestellt worden auf der Figur 4.
Der Schwanzschild ist schmäler als der Körper, seine
Gestalt ist eckiger als bei der Angaraschen Art, er ist
PU
weniger abgerundet und deutlich nach hinten verschmä-
lert; der zwischen den Insertionsstellen der beiden letz-
ten Schwanzbeine gelegene Theil ist mehr zugespitzt,
und die Borsten, welche seinen äusseren und hinteren
Rand besetzen, sind dicker, länger und nicht so dicht
geordnet, die Zahl der Borsten längst des ganzen Randes
beträgt etwa 70 (Fig. 2).
Die Fühler sind verhältnissmässig länger, besonders
die unteren, die Länge dieser letzteren beträgt ungefähr
?/, der MES die Zahl der CENA Isl grös-
ser, etwa 20 bis 2
Die sth len welche bekanntlich bei allen Crusta-
ceen am wenigsten dem Wechsel unterworfen sind, be-
weisen auch hier ihre Beständigkeit. Die wenigen Unter-
sehiede, welche sich hier bemerkbar machen, gehen mei-
stentheils nicht über die Grenze individueller Veränder-
lichkeit hinaus, sondern beziehen sich hauptsächlich auf
die verschiedene Anzahl der die Mundtheile besetzenden
Borsten, was ich auch hier im Kurzen anführen will; der
einzige wesentliche Unterschied betrifft das Auftreten
eines dritten Blatles an den Maxillarbeinen, worüber schon
oben das Nóthiges gesagt worden ist.
Die Borstenreihe auf dem Zahnaste der linken Mandi-
bel besteht aus 8 Borsten, der rechten aus 10 bis 11.
Die Kauflüche des Kauastes ist mit 18 bis 19 Zahn-
platten besetzt.
Der Mandibulartaster hat auf seinem zweiten Gliede
7 bis 8, auf seinem Endgliede 8 kurze und 2 längere
gefiederte Kammborsten.
Die schiefe Reihe der einfachen Borsten auf dem
inneren Lappen der hinteren Maxillen besteht aus 19
Borsten; die doppelte Randreihe desselben Lappens hat
6 einfächrige Kammborsten und 4 äussere Stachelborsten.
lage
Der äussere Lappen der hinteren Maxillen trägt auf sei-
nem Rande 8 einfächrige Kammborsten;- der To 11
solche Borsten.
Die Mazillarbeine haben 3 Blatter (Fig. 12), der in-
nere untere Lappen (Fig. 12 u) fehlt bei der Angara-
schen Art, er stellt ein lanzettfórmiges Blättchen dar, des-
sen unterer hand mit 8 einfachen Dorsten besetzt ist.
Der obere innere Lappen hat an dem in die Mundrinne
gesenkten Rande u haarige Borsten und an dem freien
Rande des horizontal ausgebreiteten Theiles 9 Borsten,
ferner auf dem verhornten Faltungsrande 2 bis 4 kurze
stachelige, am Ende gezähnte Borsten. |
Die Gnathopoden und Pereiopoden unterscheiden sich
einerseits durch ihre verhaltnissmassig gróssere Lange
und Schlankheit, andererseits durch die Gestalt und re-
Jative Länge ihrer drei letzten Glieder. Die Hand ist
schlanker als bei der Angaraschen Art, besonders fällt
in die Augen die Länge des Krallengliedes (Fig. 19, 20,
21) im Vergleiche zur Länge des Propodalgliedes, sowie
ferner die 4 langen Stachel, mit welchen das Basaglied der
Kralle bei den Männchen ausgerüstet ist (Fig. 19, 20).
Die Pereiopoden sind überhaupt schlanker als bei der
Angaraschen Art; das Charakteristische aber an diesen
Beinen ist die Länge des Propodalgliedes, welches im-
mer länger ist als das Carpalglied, in dieser Beziehung
nähern sich die Beine der Baikalschen Art mehr dem
Beintypus des Asellus aquaticus als dem des As. anga-
rensis, ferner ist als charakteristisch hervorzuheben, dass
bei der letztgenannten Art das Krallenglied der Beine mit
drei Stacheln bewaffnet ist, während es bei As. bazcalensis
nur zwei Stacheln trägt. Die Pleopoden gleichen im Allge-
meinen den der Angaraschen Art, der wesentlichste Un-
terschied an den Kiemenbeinen besteht darin, dass die
Zahl der Fiederborsten am Rande des äusseren Blattes
des ersten Paares uur 24 bis 27 heträgt. Das letzte Paar
der Pleopoden ist länger und bedeutend schlanker (Fig.
31), der Unterschied in der Lange der beiden Endblät-
ter ist bedeutend grósser als bei der vorigen Art.
Die Färbung des Körpers ist dunkier als bei der An-
garaschen Art, besonders intensiv aber ist das Kopf-
segment gefärbt, welches gewöhnlich dunkler tingirt er-
scheint als der übrige Körper.
Erklärung der Abbildungen, welche mit Hilfe der Camera
lucida gezeichnet worden sind. |
Fig. 1. Asellus angarensis (Schematische Darstellung des ganzen
Körpers).
Fig. 2. Asellus baicalensis (Schematische Darstellung des ganzen
Körpers).
Fig. 3. Die Enden der Segmente des Asellus angarensis mit den
entsprechenden Epimeren dargestellt; a erstes Segment, b zweites
Segment und so weiter.
Fig. 4. Die Enden der Segmente des As. baicalensis mit den ent-
sprechenden Epimeren (die Buchstaven wie in der Figur 3).
Fig. 5. Die Unterlippe; « der ihnere Lappen der Unterlippe.
Fig. 6. Die Oberlippe des As. angarensis.
Fig. 7. Die linke Mandibel des As. angarensis, a der Stamm der
Mandibel; z der Zahnast; k der Kauast; zf der Zahnfortsatz; zn der
Nebenfortsatz; d die Borsten der Borstenreihe; ¢ der Taster.
Fig. 8. Die vordere Maxille des As. angarensis; a der äussere
Lappen; $ der innere Lappen.
Fid. 9. Die hintere Maxille des As. angarensis; a der àussere Lap-
pen; © der innere Lappen;: der Taster.
Fig. 10. Das Endstück des Zahnastes der linken Seite bei As. an-
garensis, zf der Zahnfortsatz; zn der Nebenfortsatz; b Borsten aus
der Borstenreihe.
Fig. 11. Die Maxillarbeine des As. ang.; a der äussere Lappen;
o der innere obere Lappen; ¢ der Taster.
Fig. 12. Die Maxillarbeine des As. barcalensis,ader äussere Lap-
реп; и der innere untere Lappen; o der innere obere Lappen; ¢ der
Taster.
Fig. 13. Der Mandibulartaster des As. angarensis.
Fig. 14. Das erste Gnathopod des As. ang.; b das zweite Beinglied
(Basos); g das dritte Glied (Ischium); m das 4 Glied (Meros); с das
C Dm
5 Glied, die Hand (Carpus); p das 6 Glied (Propodos); d das 7 Glied
die Kralle 'Dactylos).
Fig. 15. Die Hand des $ des As. angarensis.
Fig. 16. Die Hand des ? des As. angarensis.
Fig. 17. Die Haud des 5 des As. aquaticus aus Dorpat.
Fig. 18. Die Hand des 5 des As. aquaticus aus Warschau.
Fig. 19. Das Gnathopod des 3 des As. baicelensis (Die Buchstaben
wie in der Figur 14).
Fig. 20. Die Hand des 5 des As. baicalensis.
Fig. 21. Die Hand des ? des As. baicalensis.
Fig. 22. Das zweite Gnathopod des As. angarensıs.
Fig. 23. Das zweite Gnathopod des As. baicalensis.
Fig. 24. Das letzte Pereiopod des As. angarensis.
Fig. 25. Das letzte Pereiopod des As. baicalensis.
Fig. 26. Das erste Pleopod des 5 des As. angarensis; b das basale
Glied; c das Endglied.
Fig. 27. Das erste Pleopod des 2 des As. angarensis.
Fig. 28. Das zweite Pleopod des 5 des As. angarensis, b der
Stamm.; e der äussere Fortsatz und zwar c das Basalglied des àus-
seren Fortsatzes; c das Endglied desselben; dd der innere
Fortsatz.
Fig. 29. Das dritte Pleopod, oder das erste Kiemenbein des 3
des As. ungarensis; a das áussere Blatt; das innere Blatt.
Fig. 30. Das vierte Pleopod, oder das zweite Kiemenbein des
As. angarensis; a das äussere Blatt; i das innere Blatt.
Fig. 31. Das fünfte Pleopod, oder das dritte Kiemenbein des
As. angarensis; a das äussere Blatt; $ das innere Blatt.
Fig. 32. Das sechste Pleopod des 5 des As. angarensis.
Fig. 33. Dasselbe Bein des ? des As. angarensis.
Fig. 34. Dasselbe Bein des 5 des As. ba?calensis.
SUR LA GRANDE COMETE DE 181.
(Avec une planche).
Par
Th. Bredichin, А. В. А. S.
La queue de cette cométe peut étre regardée comme
le représentant complet du I type: les substances des
autres types ne se développaient en elle que dans une
quantité insensible et ne pouvaient pas produire des
perturbations dans la forme de la queue principale; la
substance du I type y était par contre tellement abon-
dante, que son conoide füt trés long (0.6) et présentait
la figure normale de la queue, qui a l'intérieur creux
et les parois assez denses pour rendre bien visible non
seulement le bord antérieur, mais aussi le bord posté-
rieur.
J'ai déjà dit plusieurs fois que la constante provisoire
de la force du I type 1 — и = 12, calculée à l'aide de
ia formule approximative de Bessel, doit étre augmentée
de quelques unités, comme le montrent les formules exac-
tes du mouvement hyperbolique.
Le dessin de la cométe de 1811, fait le 11 octobre
sur la carte de Bode (Mon. Corr. XXIV, pg. 422), donne
trés suffisamment la position des bords de la queue prés
de son bout, de maniére que la position et la figure de
celle queue est plus favorable que les queues de toutes
les autres cométes pour la détermination de la force et
de la vitesse initiale du I type.
Le dessin se rapporte à 13^ 49" 57° tm. de Seeberg,
c’est à dire à 14° 0” 42° t.m. de Berlin, donc M — oct.
11.583819 t.m. Berl.
Le bord antérieur du conoide passe premiérement par
’étoile 5279 В. A. C et puis au milieu des étoiles 5348
(+ Draconis) et 5307 B.A.C; le bord postérieur passe trés
prés de l'étoile 5097 B.A.C (: Draconis), et d’après la
carte on trouve que pour lui à l'ascension droite de
l'étoile on doit ajouter 29'. Nous allons calculer les re-
ductions au plan de l'orbite pour ce point d de la queue
et pour l'étoile 5097, et nous verrons que ces deux
points se trouvent très prés l'un de l'autre. |
Pour le temps de l'observation M les coordonnées du
noyau sont:
ee men 2". 0 — +147 9T 317
el les coordonnées du soleil:
a= 196°°S 21”; q——— 6° 59° 29"
Les éléments de l'orbite d'aprés Gauss:
T = 1811, sept. 12, 5^ 46" 34° = Sept. 12.240671
t.m. de Berlin.
COME RE lgq — 0.015530
140 231 40 lg m — 9.936833
ts WE Mouv. rétrogr.
— 60 —
Avec c = 23° 27' 49” on trouve:
Aum 52':92 244 D = + 1° 30° 12"
La Terre a passé par le plan de l'orbite le 13 aout.
Les éléments nous donnent pour le temps М:
у = 36° 10° 50", lg r = 0.059563, 1g o = 0.0826 20.
Les positions des étoiles de comparaison et du point
d pour 1811,8:
a 6’
5279 15^ 47” 545,6 -- 56° 23’ 13”
5348 15 58 21,4 (^ 09 24020
5307 $5. a2: 15 59 27129
5097 15 20 45,5 59 37 44
d 15»..(22- Ао + 59 37 44
Pour le bord antérieur il faut calculer les points:
5219 (a) et la moyenne arithmétique de 5348 et 5307
(b); pour le bord postérieur on a 5097 (c) et le point d.
Les calculs qui vont suivre pour la plupart sont faits
sous mon contrôle par l'étudiant P. Sternberg.
Pour les reductions au plan de l'orbite on a d'abord:
G 9713070 ео
P 353 9,6 1 (gets
pi 35.9450: Ш
a b C d
go 30° 160 9535127 75:01. Soave
s 10 45,0 13 38,9 12 18,0 12 90.3
о 4 31,6 8 49 21 37,0 920 0B
vA 9.57853 9.72999 9.72099 9.79095
t 037772 0.53161 0.48899 0.19072
5? 0.02990 -0.07539 0.19346 0.18691
=
Ces points а, b, c, d sont portés sur la planche dont
l'échelle est 1 — 300 millimétres.
Notons en passant que les données précédentes donnent
pour l'axe du conoide &=0.51117, n — 0.13115 o=—14°
27'.7, d'ou on a d'après la formule de Besset 1—u—10.7.
Tracons maintenant quelques isodynames à l'aide des
points correspondants à différentes époques d'émission
M, (voir les formules dans mon Mémoire: calcul des
éphémérides des queues. Annales, X, 1; Astron. Nachr. etc.)
А) 1—u—12 ; lg K—8.7562777
1 2 E MOS
M, Sept. 36,0 Sept. 30,0 Sept. 24,0
lgr, 0,045551 0.0328970 0.0233450
steed? 37177177 .-22°50 21", 3310 90.567
ю Е 0,0683917 0.0701194 0.0714479
Past os je 13° 43... 1 £0 10"
al 49 5:81.41 24 31 58 20.
t 7.386394 12.988756 18.499804
IgA 8.663628 9.274430 9.626702
1,41 24 9.61.31 14 41 38
9
t — 0.086072 0.185713 0.409507
n 0.001356 — 0.029796 0.107386
В) 1—u—16 ; № K—8.8236271
И 5 6
Sept. 30.0 Sept. 24.0 Sept. 20.0
lgr, 0.0328970 0.0233 450 0.0189730
v, 22050 21" +15°20’ 56" +10° 11° E
lg E 0.05249 43 0.0534988 0.0539776
324 449540 0192,88 500035 55
Y om. 9d 98 197 5123304497 58 42
t 12.7408198 — 18.2870477 22. 043900
— 62 —
О |
V 13 5 58 lie 507 18 CNE
В — 0.1443415 0.2258440 0.2827350
le — 9.897850 — 9.7384846 9.9011837
9... 19.47.23, in Ads 8627 ACER
£ 0.246668 0.529113 0.752740
n 0.049372 0.141191 0.960361
En portant les points 1,2...5 sur la planche (petites
croix et numéros), on voit que l'isodyname de 1—p.—416
passe exactement par le milieu de la figure de la queue.
D'aprés les mésures d'Olbers, le 14 sept., le rayon li-
néaire de la nébulosité vers le soleil est «—0.00137,
d’où on a pour 1—u—12, g—0.168 et pour 1—u—16
—0.183. Ces mesures d'Olbers faites à l'aide d'étoiles
(Mon. Corr. XXV, pg. 6) donnent pour le rayon angu-
laire vers le soleil 413" et pour le rayon perpendicu-
Jaire à l'axe et passant par le noyau 698”; le rapport du
premier nombre au second est 0,59, tandis que pour la
parabole il doit étre 0.50. Ainsi le contour de la téte
était à peu prés parabolique.
Introduisons maintenant dans le calcul, en adoptant
1 —и==16, la vitesse g, en la posant successivement
égale à 0.3, 0,2 et 0.183; pour l'angle G essayons 40°
et 60°.
C) 1—и—16; M,—Sept 24.0; lg K—8.8236271.
7 8 9 10
Gert ui — 40° — 0° rm
g 0.300 0.200 0.200 0.183
lg E 0.0084084 0.0632585 0.0668289 0.0423370
VW 9143-400 9 20 07.06 SONO
Dat T9 A7. 30 10 "46 30 58 arm
BEN AC a
d dr & 9 | 10
t 17.1519314 17.6953243 17.8951487 17.9485730
А, bly Wah 61 4.0.50: 61,94 59..61) 14. 41
V (ASG LS 4351448 41.34 > 14259 13
08 0.2220692 0.2193648 0.2238049 0.2171332
lg ^ 9.718769 9.711816 9.791995 9.790612
| Does 93 28 40 .8 10 l6 20 23,28
0.519222 0.509084 0.525235 0.199615
0.005286 0.084457 0.075541 0.183116
+6
= NN
Les points 7—10 sont aussi portés sur la planche (pe-
tites croix et numéros). |
Enfin pour l'axe du If type, 1—u—1, on obtient fa-
cilement: |
M, 9 6 1
Sept. 30.0 9°45 0.01621 0.00258
10.0 25 50.8 0.11836 0.05734
Août 1.0 56 53.4 0.31587 0.48437
d’où on a la courbe désignée sur la planche par le nu-
méro II, qui n'a pourtant rien de commun avec la queue
observée.
En examinant la planche on s'apercoit aisément que la
vitesse g—0.2 avec l'angle G—60° représente parfaite-
ment les bords de la queue, et cette g est en accord
avec g déduite du rayon de la tête à l'aide de la Гог.
mule approximative.
On parvient ainsi à la conclusion que la queue ne
contenait qu'une espèce de matière, car avec une seule
force et une seule vitesse en construit l’axe et les bords
de la queue et le contour de la tête. En général, la
figure de cette queue du I type, sa structure et sa lar-
geur peuvent pleinement justifier mon opinion et ma con-
Shee
viction tirées de l'étude comparée, que les queues min-
ces de ce type ne sont que les bords antérieurs des co-
noides larges et creux. Le bord postérieur de la queue
du I type a été vu aussi dans la cométe Donati, mais
il y était excessivement faible.
La vitesse g—0.2 est équivalente à la vitesse de 5900 —
métres par seconde.
Les particules observées le 11 octobre prés du bout
de la queue ont quitté le noyau le 24 septembre, et il
est facile de calculer qu’elles ont parcouru dans 17.58
jours un espace égal à 0.7285, d’où leur vitesse moyen-
ne est 9.59 lieues géographiques par seconde.
Il est intéressant d’ajouter que cette comète, d’après
Olbers, Schróter et Herschel avait un noyau dense et
peut étre méme solide (M. C. XXVIII, pg. 458), dont le
diametre embrassait 107 lieues géographiques.
Outre l'observation importante de la queue que nous
avons discutée, on trouve chez Brandes (Unterhaltungen
für Freunde der Physik und Astronomie, 2 Heft, pgg.
115—117) les positions de l'axe de la queue lirées d'au-
tres observations et représentées par les cordonnées o
et A. Nous les reproduisons ici en y ajoutant & et n
(Ру du 9 décembre est chez nous réduite à l'époque du
11 octobre, en étant augmentée de 0.0154):
? à : 7
Sept. 10 3° 53° 0.0613 0.0612 0002
| 7 51 . 0.2107 0.2087 0028
10 40 0.4327 0.4252 0.0801
» 18 8. 1 01014 01002 "0024
Oct. T1 7 55 0.0290. 0.0287 0.0020
10 26 0.2899 0.2851 0.0595
13 25 05176 0.5035 ° 04201
— $5 —
A
че
if
9 : n
Nov. 16 6 12 0.0919 0.0914 0.0099
8, 44 0.2194 0.2168 0.0339
MUR NA 0. 91911. 01120900148
10 33 0.2154 0.2118 0.0394
Déc. 6 2.218 0.1585 0.1581 0.0119
» 9 22.86 0.1449 0.1446 0.0099
6 26 0.3147 0.3127 0.0507
Le point du 11 oct. le plus éloigné du noyau se trouve
un peu plus prés de l'axe de Е que le point correspon-
dant calculé par nous. En prenant la moyenne arithmé-
tique de ces deux posilions on trouvera pour l'axe de
la queue la force 1—u=17, et alors tous les points de
Brandes se disposeront tous prés de cet axe à gauche
et à droite de lui.
Ainsi il parait que le nombre 1—u=17 peut être re-
gardé comme la valeur définitive (à quelques dixiémes
prés) de la force du Г type. Pour les formules exactes
celle valeur conviendra aussi mieux à toutes les autres
queues du Г type que j'ai examinées *).
*) M. H. C. Wilson (observatoire de Cincinnati), dans sa lettre du
16 déc. 1884,—concernant la comète Pons-Brooks, dont la queue du
I type pour lui était deux fois plus longue (0.2) que pour M. Schia-
parelli (0.1),—m'écrit entre autres: „From a series of observations
made with the 2.5 inch finder of the equatorial I obtain the same
value which you get for i—u, namely 1—u=2.4. From another se-
ries made with a small opera glass. in which I observed a much
longer tail, reaching even the length of 20°, I obtain an entirely
different value viz. 1—u>12.0, or—about 16.0“.
№ 3. 1884. 5
65 —
Jusqu'au passage au périhélie l'émission de la matiére
vers le soleil était trés uniforme, de sorte que l'enve-
loppe extérieure (parabolischer Reif) de la téte était tout
à fait détachée du novau et de son atmosphere par un
large espace obscur (voir entre autres le dessin d'Olbers;
M. C. XXIV, pg. 6). Plus tard, aprés le périhélie, dii
Olbers: «Die Wände des Dunstkegels wurden immer dic-
ker, und so die Helligkeit des parabolischen Reifens we-
niger von dem innern Raume verschieden.. Auch war
der äussere Rand des Beifens schon von der letzten
Hälfte des Septembers an weit weniger scharf abgeschnii-
ten, sondern mit leichtem Dunst umgeben, der sich im
November... in einzelnen Streifen von 25’ his 30’ Lange
parabolisch von der Sonne abwärts krümmte».
W. Herschei décrit (M. C. XXVIIJ) le plénomene plus
en détail: «Bei dieser allmahligen Auflósung der Licht-
hülle hatten sich mehrere sonderbare Erscheinungen darge-
boten. Den 4. November zeigte sie sich im 10 füssigen Te-
lescope auf der nach der Sonne gekehrten Seite doppelt,
und theilte sich auf jeder Seite des Cometen-Kopfes in
drei Árme, wovon die àussern sehr kurz und schwach
beleuchtet erschienen. Jedoch waren diese Phaenomene
manchen kleinen Veränderungen unterworfen, und den
14. Dec. war nur noch auf der vordern Seite ein einzi-
ger schwach beleuchteter Arm vorhanden... Den 15. Oci.,
den 5. und 10. November erschien der oben erwähnie
Zweig am längsten; den 3. und 9. November waren sie
auf beiden Seiten sich gleich. Den 13. hatte der hintere
Arm 4° 6' Länge, der vordere dagegen nur 3° 31’; den
14. wurden sie sich wieder gleich, und waren ungefáhr
3° 31 lang... Den 2. Dec. erschienen sie ebenfalls bei-
nahe gleich, und ungefähr 3° 12' lang. Sie hatten nun-
a d =
mehr ihren Glanz verlohren, und zeigten sich in derselben
Farbe, wie die verwaschene Lichtmasse überhaupt».
Il est évident que l'émission jadis uniforme se divisa
en quelques effluves particuliers ayant chacun sa vitesse
iniliale quelque peu différente de 0.2, et de cette ma-
nière se sont produits plusieurs coneïdes, l'un dans l'in-
téricur de l'autre. On voit ces eonoides dans les des-
sins de Harding (M. C. XXVII). La partie antérieure des
parois du conoide extérieur a été vue entre autres par
Olbers sous la forme de la queue secondaire: «Seit ges-
tern (M. C. XXIV, pg. 416), den 11 oct., sehe ich nun
auch deutlich den zweiten Schweif dieses Cometen: viel
blasser, viel gerader und kürzer als der andere». Auch
bei unserm Cometen (M. C. XXV, pg. 13) habe ich vom
9 october an schwache, doch deutliche Spuren eines
zweiten Schweifes bemerkt».
Dans sa partie postérieure ce conoide était pour Ol-
bers plus court que pour Herschel et se manifestait a
lui par un «winklichten Kinbucht, die die rechte (nach-
folgende) Seite des Cometen-Schweifes hatte».—-Sur le
dessin du 11 octobre discuté par nous la division des
parois du conoide général n'est pas indiquée.
Il est intéressant de lire chez Herschel (M. C. XXVIII)
que: «Der Kopf des Cometen (diamétre prés de 4’: noyau
et son atmosphère) war beständig grünlich oder bläulich-
grin; l'enveloppe extérieure lumineuse (dont le rayon
vers le soleil avait à peu prés 9’.5) «hatte sehr bestimmte
gelbliche Farbe». Enfin la couleur du noyau était «blass-
róthlich».
peat) kN
Nous avons maintenant pour le I type Ηu=17 ; pour
le type II 1—»v entre 2,4 et 0.8, et pour le Ш en mo-
yenne 0.3.
Si le premier type correspond en effet à l’hydrogène,
* e Ê 1 ne o y' x г
alors à l'aide de la proportion C= (oll à est
1—u sr
le poids moléculaire et r le rayon de la molecule), en
posant pour l'hvdrogéne sr — 1, nous obtiendrons pour
c'r des substances du И et du Ш types:
17: 2.47 : 17: 08—91 ; 17:03—57.
| est intéressant de confronter ces nombres avec les
rapports des poids moléculaires des quelques substances
au poids de l'hydrogéne:
DID. 8 CH,
15
C 12 Na 23
CH, 13 C,N, 26
Nr cent HCy — 21
CH, 14 Fe 56
M. Piazzi Smyth,dans sa Note sur l'hydrogéne libre
dans les cométes (Nature, Vol. 31, N* 797) justifie par-
faitement, à Рае de ses expériences brillantes, l'invi-
sibilité du spectre de l'hydrogéne quand celui-ci se dé-
veloppe dans la comète en petite quantité. Dans toutes
les cométes récentes, observées au spectroscope, la queue
du I type était en effet à peine visible à côté de la
queue claire du II type. Seulement dans la cométe de
1881 IV la queue du Г type, quoique asser faible, était
CT
cependant plus claire que celle du II type, et toujours
sans les raies perceptibles de l'hydrogène. Est-ce que
la substance du I type est aussi une combinaison de
l'hydrogéne et du carbone tellement plus légère que les
autres hydrocarbures?—L/'avenir va nous en informer.
1885. 9 février.
0 ДОБЫВАНИ M ПОЛИМЕРАЗАШИ БРОМАЦЕТИЛЕНА.
A. Сабантъева. :
Har» извфетно, WbKOTOPbIA хлоро- и бромонроизвод-
ныя этилена превращаются при дЪйстви свЪта въ TBEP-
дыя аморфныя вещества того же состава. Эта CIOCOS-
ность полимеризоваться свойственна только TÉMB изъ
нихЪ, которыя имфютъ BIIOAHb несимметрическое стро-
еше, какъ-то: хлорэтиленъ CH,CHCI, —оромэтиленъ
CH,CHBr, несимметрическя двузамщенныя соединеня:
CH,CCl,, CH,CBr,, CH,CBrCl, но не существуетъ для
трибромэтилена ^), такъ какъ crpoenie ero: CHBrCBr,
He вполнф симметрично, другими словами въ немъ не
весь бромъ находитси при одномъ yraepogs.
На основанш этихъ Фактовъ весьма BEPOATHO, что и
MARI бромацетиленъ, какъ имфюний несимметрическое
*) Ha это обстоятельство я обращаю BHHMAHIE потому, что во
многихъ даже новфйшихъ руководствахъ со словъ Леннокса (Ann.
d. Chem. и Pharm. 122,...) приводится, что трибромэтиленъ прямо
превращается въ твердое полимерное вещество. Невфрность на-
блюденй Леннокса, давпо уже доказано мною. (Ann. d. Chem. Pharm.
178,42.) и Демолемъ (Ber. 11,513).
Dcum n
crpoenie и еще Ooabe непредЪльный, будеть тоже по-
лимеризоваться подъ виянемъ свфта. Есть нЪкоторыя
данныя, которыя указываютъ на то, что при этомъ дол-
женъ образоваться симметрический трибромбензолъ. Такъ,
мною найдено, что при нагрфванш въ запаянныхъ труб-
кахъ 20 150" двубромистаго ацетилена съ сухимъ
уксуснокислымъ камемъ получается углистая масса,
содержащая до 10°/, теоретическаго количества симме-
трическаго трибромбензола, что можетъ быть объяснено
только ThMb, что при этой реакции образуется брома-
цетиленъ,. который и уплотняется въ трибромбензолъ *).
Для того, чтобы рфшить прямымъ опытомъ вопросъ
0 полимеризации бромацетилена, имфюший немаловажное
теоретическое значеше, мною и предпринята была эта
работа.
Хотя бромацетиленъ образуется при многихъ реакц-
AXb, но до сихъ поръ непзвЪстно способа добываня
его въ чистомь состоянш, онъ получается всегда въ
смЪси съ ацетиленомъ. Въ такомъ видЪ получалъ ero
Ребуль, изслЪдовавиий, хотя только въ общихъ чертахъ
его свойства. Nb обыкновеннымъ способамъ добывания
этого вещества изъ нессимметрическаго дибромэтилена,
CH,CBr,, изъ трибромэтана, C,H,Br, и изъ несимметри-
ческаго тетрабромэтана, CH,BrCBr,, дЪйствемъ спирто-
Baro фдкаго кали, я долженъ еще прибавить, что при
нагрфванш спиртоваго раствора трибромэтилена съ цин-
комъ выдфляется смЪсь ацетилена съ бромацетиленомъ
почти въ такихъ же относительныхъ количествахъ, Bb
*) Bulletin de la Societé Impériale des Naturalistes de Moscou.
1883. T. LVIII, 282.
NE (D MA
которыхъ они получаются по способу Ребуля B3anmao-
AbücTbiews трибромэтана и спиртоваго Фдкаго кали *).
Исходлнымъ матерталомъ мною взять былъ двуброми-
стый ацетиленъ mH изучено было дЪйстве на него спир-
товыхъ растворовъ Фдкихъ щелочей. Ифлымъ рядомъ
ONBITOBb удалось установить VCIOBIA напвытгоднфйшаго
полученя бромацетилена. Изъ нихъ я опишу здЪсь толь-
ко два крайнихъ случая, именно Th VCIOBIA, при кото-
рыхъ вовсе не образуется бромацетилена п Th, когда
онъ получается въ чистомъ COCTOAHIN.
1) Къ раствору 65 граммовъ Фдкаго кали въ 180
куб. сант. 96°/ алкоголя медленно, въ течени D — 7
часовъ приливалось по каплямъ 75 граммовъ двубро-
мистаго ацетилена. Реакшя велась при постепенномъ
нагрфванш, Tak» чтобы выдфлялся медленный, равно-
мфрный токъ газа. Въ кони нагрфваше доведено было
Ao кипфвя спирта. Выдфляюнийся Ta3b состоялъ изъ
зцетилена, He дымялъ, не имфлъ противнаго запала ORM-
сляющагося бромацетилена и при поглощения ero бро-
MOMb полученьъ былъ четырехбромистый ацетиленъ.
Если содержимое колбы, въ которую приливался дву-
бромистый ацетиленъ, разбавить водою, TO выдЪзляется
около 34 граммовъ тяжелой нерастворамой Bb BON
жидкости, которая была перегнана въ парахъ воды,
высушена и 3aTbMb нЪ$сколько разъ Фракцонирована.
Она содержала небольния количества неразложившагося
*) Tak» въ продуктЪ, полученномъ при npouyc&aHlü смЪси 9THX'b
тазовъ въ бромъ, оказалось 93,65°/, брома (среднее изъ трехъ опре-
Abazeniii) — C,HBr, содержитъ 94,11°/,, а C.H.Br, — 92,48°/, брома.
Это показываетъ, что CMbCH COCTOUTS изъ равныхъ по Bey
количествь оэцетилена и бромацетилена или приблизительно
AC,H,+C,HBr. См. Reboul, Comptes rendus 54,:30y: 50,126, а тавже
Sabanejeff. n. Dworkowitsch, Annalen. d. Chem. и Pharm. 216,291.
двубромистаго ацетилена и кром$ TOTO вещество, киия-
шее 170° — 172° (весь термометръ въ парахъ) при дав-
лени 747 миллиметровъ. Это тяжелая, безце$тная жид-
кость Cb слабымъ шуятнымъ запахомъ; при стоянш она
желтфетъ, upioópbraers острый, Фдюй запахъ m Abü-
слвуетъ весьма раздражающимъ образомъ на слизистую
оболочку глазъ.
Элементарный анализъ далъ сл5дуюние результаты:
1) 0,9736 гр. вещества по сожжени дали 0,9142 гр.
H,O и 0,7410 rp. C0,.
2) Ma» 0,3288 rp. вещества получено 0,5362 rp.
AgBr.
Вычислено для C.H,Br,0. Найдено. Бычислено для C,H,Br.0.
% 9.
I чо: оо 20: 761» C, 4788 20,69
Вене 0009.64 19.94 == Нил: 8500413486
Br, 159,52 69,56 — 69,37 Br, 159,52 68,95
0 1596 6,96 — — () 15,96 6,90
229,36 100,00 231,36 100,00
Onperbienie плотности пара произведено было по
снособу В. Мейера въ парахъ анилина и въ aTMOCoepb
азота, такъ какъ предварительный опытъ показалъ, что
Bb BOBAYXb происходитъ измфненше вещества.
BÉCR вещества........ TORT 0,0326 rp.
Объемъ вытЪсненнаго газа при 17" 3,55 куб. сант.
Упругость водян. пара при 17°.. 14,4 миллим.
x»
t
Высота барометра, привед. къ 0° 745,9 »
Отсюда плотность пара:
По отношеню По отношеию
къ воздуху. Kb водороду.
а. 7,83 113,09
Вычислено по ФормулЪ C,H, Br.0 7,94 114,08
Вычислено no eopwya$ C,H,Br,0 8,01 115,68
ee: ee
Эти числа показываютъ, что полученное вещество
имфетъ составъ C,H,Br,0. Оно нерастворимо въ Bogs,
соединяется съ бромомъ, причемъ образуются Oeaupbr-
ные кристаллы, растворимые въ эфирЪ, но весьма ско-
po разлагаюниеся съ BbIAbICHIEMB бромистаго водорода
и образованемъ весьма летучаго вещества. При кипя-
ченш съ очень концентрированнымъ спартовымъ pac-
творомъ Ъдкаго кали происходитъ обильное образоване
бромистаго кашя и выдЪлене летучаго’ Здкаго веще-
ства. Cb цинковою пылью даже безъ прибавленя спир-
Ta происходитъ бурная реакшя съ выдфлешемъ того же
Ъдко пахнущаго вещества H образовашемъ смолистыхъ
продуктовъ. |
Вещество G,H,Br,0 образуется только при избыткЪ
Ъдкаго кали, достаточной его концентращи и слабомъ
uarpbsanig. Если брать, напримфръ, на одну частицу
двубромистаго ацетилена не три, а двЪ частицы Ъдкаго
кали, раствореннаго въ TOMB же колйчеств$ алкоголя,
то выходы вчетверо меньше.
Такимъ образомъ дЪйств!е bakaro кали, при выше-
упомянутыхъ условляхъ, можетъ быть выражено сл$ду-
ющимъ ypaBHeHieM?:
2C, H, Br, + 2R0H + C,H,.OH = C,H, + 2RBra-2H, 0 +-
C, HBr, 0C, H,.
O6pasosauiew» этого OpoMa@upa объясняется давно
замфченное мною явлеше, что если прибавлять двубро-
мистый ацетиленъ къ недостаточно нагр$тому раствору
Ъдкаго кали, то часто выдфляется He самовоспламеня-
lomjiics, но только слабо дымящиЙ и чрезвычайно kii
газъ, даже если потомъ значительно усилить нагрЪ-
panie.
"ro же касается crpoemis полученнаго бромэфира, TO
изъ JByXb возможных Формуль CHBr CBr OC,H,
и Cbr, CH OC,H,, первую изъ нихъ необходимо считать
601be вфроятною, такъ какъ трудно предположить пе-
ремфшеше брома въ частиц$ въ присутствш избытка
Kpbikaro раствора Фдкаго кали.
2) Перейду теперь къ описаню способа полученя
бромацетилена. Онъ сходенъ съ способомъ Семенова”)
для полученя бромэтилена изъ двубромистаго этилена,
CB тою только разницею, что вмфсто Здкаго кали слЪ-
Ayer» употреблять bAkiii натръ.
На 60 граммовъ двубромистаго ацетилена берется 19
граммовъ bykaro натра, 20 куб. сант. воды и 70 куб.
сант. абсолютнаго алкоголя. Въ сосудъ снабженный во-
ронкою Cb краномъ и соединенный съ обратнымъ XO-
лодильникомъ помфщаютъ охлажденный растворъ Здкаго
натра и двубромистый ацетиленъ, зач$мъ, по BbiTbCHe-
HID воздуха азотомъ прибавляютъ но каплямъ спирта и
_иостененно нагрфваютъ, въ концф до начала кипфния.
Реакщю ведутъ такъ, чтобы выдЪФлялся медленный токъ
газа, который при надлежащемъ соблюденш условий He
содержитъ или почти не содержитъ ацетилена, потому
что Hocib поглощен!я ero бромомъ и oGeanpbuubaHis BbI-
дфлена была жидкость немедленно и вполн$ застываю-
Wat въ кристаллы пентабромэтана, плавящиеся при 51°.
aa получешя бромацетилена въ жидкомъ COCTOAHIN,
выдЪлявнийся газъ промывался водою, высушивался хло-
ристымъ кальшемъ, затфмъ поступалъ въ ABB трубки
вида Ü съ стеклянными кранами (трубки Гоффмана
для жидкаго Фосфористаго водорода), охлажденныя CHB-
Zeitschr. f. Chem. 1864,1...
ww fb
— ib —
TOM Cb поваренною содью. l1logo6Hoe охлаждеше co-
вершенно достаточно, потому что все сжижается въ пер-
вой трубкЪ. Само собою разумфется, что при получения
бромацетилена, BCA‘ACTBIC ero воспламеняемости долж-
ны быть соблюдаемы изв$стныя предосторожностя.
Воздухъ изъ аппарата долженъ быть тщательно вы-
тЪсненъ азотомъ. Не слЪдуетъ употреблять каучуковыхъ
смычекъ, потому что ONS чрезвычайно легко разъфдают-
ся. Послфдняя охлаждаемая трубка должна быть CO-
единена съ большимъ сосудомъ, наполненнымъ азотомъ
или углекислымъ газомъ. Нужно также избфгать пря-
маго солнечнаго BETA, который иногда производить
взрывы, въ особенности при разборк$ апиарата.
Замфчу здЪсь кстати, что водный и особенно спир-
товый растворъ бромацетилена на поверхности Флуорес-
nupyerb въ TeMHOTS, конечно, вслфдств!е медленнаго
окисленя.
Изъ 60 граммъ двубромистаго ацетилена получается
15—16 граммъ безивфтной очень подвижной жидкости.
Она была выставлена въ март Mbcans на дворЪ и че-
резъ нЪсколько часовъ пожелтфла ий замЪтно помутн$ла.
Мало по малу при crosuis выдфляется твердое желтое
вещество nBbTa порошка куркумы и по прошестве Mb-
сяца жидкости осталось уже очень мало. Въ течения
трехъ лЪтнихъ м$сяцевъ трубки эти сохранялись въ тем-
HOMB шкафу I только въ август$ были вскрыты и из-
слъдовано nx содержимое. Трубки разламывалясь подъ
водою, насыщенною угольною кислотою, такъ какъ при
вскрыт безъ этихъ предосторожностей иногда проис-
ходитъ воспламенене, всаЪдств!е небольшаго содержашя
еше неизм$нившагося бромацетилена, вынимались куски
тяжелаго хрупкаго вешества, обтирались пропускной бу-
магой, растирались въ порошокъ и высушивались въ
эксикатор$ съ CBPHOW кислотою.
Содержаше брома въ полученномъ продуктф было
74,20 upon. (Изъ 0,1856 грамм. вещества получено.
0,323 rp. AgBr a no ФормулБ C,HBr вычисляется
76,19 проц. брома. На воздухЪ вешество измфняется,
хотя по вемногу, HO происходитъ разложене Cb выдф-
ленемъ бромистаго водорода. Черезъ три недфли ана-
лизъ показалъ, что содержане брома уменьшилось на
2 процента. (02052 грам. вещества дали 0,3484 грам.
AgBr, что соотвфтствуетъь 72,19 проц. брома).
При marpbsauiw go 100° происходитъ замфтное потех-
нфне и постепенная убавка въ Bbc. При выщелачива-
HIM Bb экстракшонномъ аппаратЪ послЪфдовательно эФп-
ромъ и сБрнистымъ углеродомъ въ эфир$ растворилось
12 проц., въ сфрнистомъ углерод$ 18,5 проц., осталось
нераствореннымъ 69,5 процента. Часть растворившаяся
въ 3enpb содержала кристаллы, которые могли быть.
очищены перегонкою въ парахъ воды и кристаллизан-
ей изъ слабаго алкоголя. Полученныя HÉXKHPIA иглы
плавились при 120°, давали возгонъ сходный по виду.
съ бензойной кислотой и имфли BCb свойства симме-
трическио трибромбензола, что доказывается и анали-
30MD.
1) 0,4756 грам. вещества по commenin дали: 0, 3996
грам. CO, и 0,0495 rp. H,0.
2) Изъ 0,2150 гр. вещества получено 0,3832 гр.
Agbr.
Вычислево: Hairreno:
1. 2.
peg 22,86 29,99 т
pm pg 1,16 "n
Br, 240 16, i9 — 75,81
Часть нерастворимая въ эФир® и сфрнистомъ угле-.
poab содержала 70,63 upon. брома. (Изъ 0,1973 грам.
вещества получено 0,3275 гр. AgDr) но co временемъ
количество брома еще уменьшается. При нагр$ванш она
легко разлагается и обугливается съ обильнымъ BbIAB-
ленмемъ бромистаго водорода.
Часть растворимая въ сфрнистомъ углеродЪ содер-
ala меныпе брома именно 65,79 проц. (Изъ 0,1982 rp.
вещества получено 0,3065 rp. AgBr). Замфчательно, что
количество симметрическаго трибромбензола, получен-
Haro при прямой полимеризации бромацетилена подъ Bii-
янемъ CBÉTA, почти одинаково съ TEMB, которое полу-
чается при нагр$фваии двубромистаго ацетилена съ су-
химъ уксуснокислымъ калемъ въ запаянвыхъ трубкахъ.
Въ первомъ случа$ я получалъ его orb 5—8 проц., а
во второмъ не Ooxbe 10 upon. теоретическаго количе-
ства.
Такимъ образомъ жидю! бромацетиленъ, также какъ
несимметрическя бромопроизводныя этилена, полимери-
зпруется подъ вмянемъ CBbTa, причемъ получаются
главнымъ образомъ подобныя же многоуплотненные
продукты, неплавящиеся безъ разложеня, нераствори-
мые пли очень мало растворимые въ обыкновенныхъ
растворителяхъ и легко изм$няющиеся при нагр$вани,
но кромф того всегда образуется небольшое количество
(до 10 проц.) симметрическаго трибромбензола.
SUR LES TETES DES COMETES.
(Avec deux figures).
Par
Th. Bredichin, Ass. R. A. S.
Quand la maliére caudale sort du noyau avec une vi-
lesse g constante pour tous les angles G, alors le con-
lour extérieur de la téte sera une parabole. Pour le
contour parabolique dans l'espace entre le sommet et
l'axe de x, il faut que les limites de l'angle G soient
au moins == 45°; pour plus de simplicité nous n'aurons
en vue que cet espace. Quand l'angle limite de l'émis-
sion n'aiteint pas 45°—le diamètre de la tête sur l'axe
de 4 sera plus petit que le diamélre correspondant pa-
rabolique. |
Le contour à peu pres parabolique se voyail dans la
celébre cométe de 1811, ott l'émission vers le soleil était
en méme temps trés uniforme pour tous les angles G.
Dans la cométe Donati, au contraire, la parabole était
sensiblement rétrécie.
Un tel rétrécissement peut étre expliqué, par exemple,
— 80 —
par le décroissement de la vitesse initiale 'g avec l'aug-
mentalion de l'angle G.
Admettons, que la variation de g est exprimée par la
formule
g =а. 60656
ou « est une constante.
Les équations connues:
33 mus
Я =. COS Ge. Wwe
aeg . Se
où PE à
donnent le contour de la tête avec une certaine appro-
ximation.
Dans le cas deg = «.cos а, on a
tT=H:g.8inG el
2 А”
2 t — e DIS! Wea orm AM
derum omo
Pour £ = 0 on obtient
fy — p ‚sn? G .cos?G. et la valeur
maximum de 4, correspond évidemment à 30°, quand
ay?
Mo e 9 OD re zi.
le rayon de la nébulosité vers le soleil étant
INN
— 81 —
On voit que dans ce cas le contour de la téte est
très rétréci. |
Dans le cas de g constante pour tous les angles on a:
UD
N
C
S
SS
Sq
2
c
ee
=
=
ud
ra
IX
=
.S$in9 G=2%: sind G.
Le maximum de z, aura lieu pour l'angle G — 45°,
el pour ce cas
2E elu, ist
Si le contour n'est pas parabolique même dans le cas
de la constance de g, alors il faut admettre que la
limite de G est moindre que 45°, et d’après le rapport
7:2: on peut trouver cet angle limite. Ainsi pour la
valeur de
l'angle limite G (g étant constante) est égal à 20* 16'.—
Quelquefois le contour de la tele ne diffère pas sen-
siblement de la parabole (p. ex. comèle 1811) et cela
nous montre qu'il serait plus probable d’admettre la con-
slance de g pour tous les angles, el de supposer que
les limites de G ne sont pas constantes pour toutes les
cometes. Il est possible, enfin, que 9 décroit avec l'aug-
mentation de G beaucoup moins rapidement que d'ap-
res la loi g— «.cos G . —
Dans les contours de quelques cométes on a observé
un enfoncement à !a place du sommel parabolique de la
№ 3. 1884. 6
ee
tele, de manière que le contour Boe un peu la
forme de la lettre omega.
On sait que la matiére qui se déverse dans la dire-
ction du rayon vecteur, doit passer toujours dans la раг-
tie antérieure de la téte, et ce n'est qu'à partir d'un
certain angle + G, (dépendant de v et q) que la matière
se déverse dans la partie postérieure de la tele.
Or, il est aisé de voir que si par hasard la matière
ne s'écoule point dans la direction de ce G, (et des G
voisins), le contour extérieur aura un enfoncemeni cor-
respondant a cette direction.
Pour l'approximation qu'ont les équations |., l'angle
G, est égal à 0°, c'est-à-dire la pointe de l'enfoncement
deii se trouver sur le rayon vecteur, ou sur l'axe de 5.—
En effet, en éliminant т des équations 1. оп obtient
l'équation 3., et cette équalion est celle de la courbe de
toutes les particules sorties du noyau dans les différents
momenis sous un méme angle G.—
Admettons que la matiére ne se déverse pas dans la
direction de €, mais qu'elle s'écoule en faisceau, dont
les angles limites sont @ et С”. On sait que la courbe
du contour extérieur pour les émissions sous tous les
angles G est
2 2
= p sidus Rn
2R 34
Les équations 3. et 5. nous donnent pour la particule
émise sous l'angle @ et se trouvant sur le contour pa-
rabolique de la téte:
g’
is 1 8 . ding G'
et pour la coordonnée corréspondante Е on aura
8 A g°
1: UR IR.
A l'aide des valeurs @ et G" ces équations donnent
deux points sur le contour idéal parabolique; les autres
points du contour réel seront calcuiés, d'aprés l'équa-
tion 3., pour les angles С” et G", à l'aide de quelques
sis adoptées de у.
Admettons qu'il y a deux faisseaux, Wa pour les an-
gles G^ — 10* et G" = 20°, et l'autre pour С” = 40° et
G" = 50°. S'il y a un faisceau symétrique au premier,
situé de l'autre côté du rayon vecteur, on aura pour lui
naturellement = — 10° et G" = — 20°. Adoptons
enfin que pour la comète en question on a g — 0. 05,
1—u—72.0 et r — 0.5.
Les coordonnées pour la construction graphique des
faisceaux et des contours seront:
Pour le contour parabolique dans le cas des émissions
uniformes pour tous les angles: |
С D
Eq. 5. 0.000157 0.000000
117 151
0.000000 0.000313
Pour le premier faisceau:
G Е 1
Eq. 3. 10° 0.000000 0.000000
10 73 | 1h
10 122 30
10 148 45
Eq. 6., 7. 10 152 55
15 145 84
20 136 114
Eq. £ ‘20 0.000000 0.000200
6*
Pour le second faisceau:.
G 4 ñ
Eq. 6., 7. 40° -+0.000047 0.000262
50 —0.000065 0.000372
Pour les sommets de ces paraboles et leurs inlersec-
tions avec l'axe de 7:
40 — 0.000091 0.000154
0.000000 - 308
50 0.000039 135
0.000000 0.000970
La construction est représentée par la fig. 1., où l'é-
chelle est 0.000100 — 10 millim.
Фиг. 1.
Les lignes pointillées ad et eg sont les parties du con-
tour parabolique correspondant aux émissions sous tous
les angles G: Oab et Oef correspondent aux angles 10*
et 20° à droite et a gauche du rayon vecteur; Ocd—
correspond au faisceau 40°—50°.
Pour completer la figure,il faut avoir en vue 1) que
les faisceaux ne se trouvent pas toujours dans le plan
de l'orbite, 2) que la matiére, aprés avoir monté vers
les limites ab et ef descend en bas en remplissant ainsi
l'espace de la téte, et 3) que la perspective a toujours
— 85 —
une influence is ou moins grande sur | nage du phé-
noméne.
Il est intéressant de comparer ce UNS нии
avec le dessin de quelque comète, p. ex. avec le cro-
quis de la grande cométe de 1861, fait par O. Struve
(Beobachtungen des grossen Kometen von 1861. Mémoi-
res de l'Acad. de S. Pet, УП série, T. ХИ, Ne 5. Fig.
3, 5 Juli), que nous réproduisons i ici (fig. 2) diane ma-
niére schématique:
La ligne pointillée désigne la partie visible du contour
extérieur vers le soleil; les gros traits—les masses prin-
cipales des émissions, et les autres lignes—les formations
les plus claires de la téte. Les formes analogues, trés in-
léressantes et encore plus caractéristiques sont présen
tées aussi par les cométes suivantes: la comète de 1862,
IT (Secchi. Bolletino del Coll. Romano, Vol. I, pg. 149
el Planche); la cométe de 1881, Ш, juin 25 (Vogel. Pu-
SA Nae
blicationen des Obs. zu Potsdam, № 8. Planche.—Kon-
koly. Beobachtungen in О Gyalla, B. IV); Па: comète
Pons-Brooks (Wilson. Sidereal Messenger, Ne 95, pgg.
139, 141—143.—Rayet. Bulletin Astronomique, 1884),
elc... | | | |
П n'est pas difficile de se présenter les formes qui
sont produites par un nombre plus grand des faisceaux
(p. ex. 5 ou 6) et par les jets des différents types, dont
chacun a sa propre vitesse initiale. |
Note.— La constante de la force du I type est exprimée jusqu'à
présent provisoirement, vu le manque d'observations, par le nombre
12; et j'ai déjà répété plusieurs fois que les unités entières de ce
nombre s'obtiennent moyennant l'observation avec moins de préci-
sion que les dixiémes de la constante du II type. Une révision ap-
proximative parait indiquer que le nombre provisoire 12 devrait
étre augmenté de quelques unités.
On ne peut pas se háter de le faire, quoique ce changement soit
plus favorable à l'hypothése sur la constitution chimique des queues:
pour la constante augmentée du I type, les forces les plus intenses
(celles du bord antérieur) du II type peuvent être plus facilement
mises en accord avee les poids atomiques des hydrocarbures, dont
la présence est directement indiquée par le spectroscope. Les for-
ces plus faibles de ce type pourraient étre rapportées aux poids
plus grands (p. ex. l’azote, les métaux légers etc...) ce qui a pour
soi une probabilité assez considérable. |
La fixation définitive de la constante du I type doit étre basée
sur des observations plus exactes, qui seront obtenues dans l'a-
venir.
1885, 17 janvier.
СПИСОКЪ PACTEHIN
ИЗЪ СЪВЕРНОЙ ЧАСТИ РЯЗАНСКОЙ ГУБЕРНИИ.
Buxmops Mniuaeez.
Перечисленныя въ cnuuckb pacremis собраны мной въ
кратковременную пофздку къ озерамъ Рязанской губер-
ни, по порученю Императорскаго Общества Любите-
лей Естествознан!я, Amrponoxoriu m Этнографи въ 1868
году. Собранный матер!алъ былъ тогда же обработанъ
и результаты доложены Обществу съ характеристикой
MÉCTHOÏ растительности и замфтками о наиболфе за-
служивающихъь BHUMAHIA находкахъ, но полный спи-
сокъ He былъ напечатанъ въ виду намфреня пополнить
его въ посл5детви и съ накопленшемъ матерала CAb-
лать попытку обработки Рязанской Флоры. Въ виду же
предпринятаго В. Я. Цингеромъ обширнаго труда, изда-
Hid Флоры средней Росеш, врядъ-ли представится на-
добность въ особенной разработк$ MBCTHBIXD Флоръ—
по губервямъ, поэтому списокъ и помфщается Bb TOMB
BHA, какъ былъ составленъ, чтобы служить дополне-
немъ къ им5ющимся матераламъ.
Пофздка сдфлана была отъ Коломны до Рязани Окой и
or» Рязани къ сЪверу по почтовому тракту п по озерамъ,
BE.
съ остановками въ wbcTaxb, упомлнаемыхъ въ спискЪ. Для
избъжания повторенШ и для удобства отыскания на кар-
Tb указанныхъ MbcTb пужно замфтить, что окрестно-
сти селъ и деревень no Orb: ДЪдново, Городецъ, Лю-
бичи, БЪлоомутово, Перевицкая, Сельцы, Константино-
во, Пощупово и hopoctoso, посфщены по порядку
28-го Мая— 3-го Шоня, по дорог$ же or» Рязани къ
озерамъ: Аграфенино, Солодча, Ласкова, Кельцы, Rpu-
вая, 03. Великое, Кобыленка, Ершово, Спасъ-Влепеки,
Владычия, n 03. Мартыново, Лесина, Чарсолъ, bias,
Тимохино, Ушмаръ, Посерда, 03. Gn 03. Черное и
Тюрмежь—5 no 13 lions.
На берегахъ Оки замфчены Tb же особенности Фло-
ры, которыя указаны были Кауфманомъ для УМосков-
ской губернш, и найдены тамъ большею частю Th же
растеня съ HEMHOTIMN добавленями. Что касается до
озерной MbCTHOCTH, такъ-называемой Мещерской сторо-
вы, TO она имфетъ довольно рЪзко наступающий сЪвер-
ный характеръ съ однообразной растительностью Ha
большихъ пространствахъ. Преобладаютъ пески и 60-
лота, большею част торфяныя. Главная bib озеръ
представляетъ не боле какъ разливы pbku [pri (и на
MbCTb nx» часто называютъ рЪкою) съ бЪдною обы-
кновенной рЪчной растительностью в такою же бере-
говою. БЪфдны и небольшия уединенныя озера, какъ
£0. Великое и др., образовавиияся въ торфФяной mounb,
съ красной водой и постоянно изм$няющимися OTD вы-
мыван!я берегами, на которыхъ торчать лишь корна и
свфшиваются обыкновенныя наземныя и торФяниковыя
травы. Сплошные сосновые AbCa съ можжевельникомъ
H тощимь подл5скомъ по пескамъ р$дко смфняются
смфшанными JbCKaMUü изъ очень немногихъ ин самыхъ
простыхъ древесныхъ породъ. Дубу почтя совсфмъ HÉTS,
— 89 —-
за TO ивнякъ всюду въ изобилит. Въ лЪсахъ, растущихъ
на торфяной nousb подлфсокъ почти исключительно CO-
CTOATb изъ сплошныхъ массъ багульника, андромеды и
гонобобеля. ТорФяникп, wbcrawu жидке п непроходи-
мые, состоятъ главнымь образомъ пзъ обыкновен-
ныхъ видовъ мховъ Polytrichum, Sphagnum m Hypnum,
чемъ каждая отдЪльная топь занята однимъ какимъ-ни-
будь видомъ. По кочкамъ ихъ разсфяны кое-гдЪ наши
обыкновенныя болотныя растения, чаще же всего ан-
дромеда m багульникъ.
Гербар!й находится bb распоряжении Общества Лю-
бителей Естествознания, Антропология | u 1 Iruorpa@in 2
Московскомъ Ynusepcnrer$.
—— __ -
_ Списокъ растенй изъ сфверной части Рязанской
губернии.
1. Thalictrum minns L.— ДФдново.
2. — angustifolium Jacq. v. stenophyllum W.et @г.—ДЪдново.
3. M v. heterophyllum W. et @г.—ДЪднвово.
4. — flavum Г.—ДЪдново, Лесива.
. — simplex L.—Daaxuuna.
6. Pulsatilla patens МШ.—Сельцы.
7. Myosurus minimus Г..—Городецз.
8. Ranunculus Flammula Г..—Чарсолъ, Тимохина.
9. ^ v. radicans Wk.—Cr. Влепеки, Владычзня.
10. — acris L.— ДЪдново, Перевицкая.
11. — polyanthemos L.—]banoso, Перевицкая.
12. — repens l.—/l$xnono.
13. — sceleratus L.—Uapcoms.
14. Ficaria ranunculoides Roth.— ДЪдново.
15. Caltha palustris Г..—ДЪдново, Владычня.
16. Actaea spicata Г..—Константиново, Пощупово.
17. Nymphaea alba L.—Os. Великое цв., Посерда цв.
18. Nuphar luteum Sm.—J] banoso.
19. Chelidonium majus Г.—ДЪдново, Перевипкая.
20. Nasturtium amphibium В. Br. v. riparium 'Tausch.—/Ll5XH0Bo.
и v. variifolium DC.—J/l5x80580, Любичи, Владычня.
22. — palustre ОС.—Д$дново, Бфлоомутово, Оз. Сватое.
23. Barbarea vulgaris В. Br. v. arcuata Koch.—] bi H0BO0.
24, — stricta Andrz.—Kopocroso.
25. Torritis glabra L.—Iepesausas, Тюрмежъ.
26. Cardamine amara Г..—Д$дново.
PAAR OA v. hirta W. et От.—Перевицкая.
28. Sisymbrium Sophia 1..—Любичи.
29. — Thalianum Gaud.—LD'opozems.
30. Erysimum cheiranthoides L.—Toporenr, Чарсолъ.
91. Farsetia incana R. Вг.—ДЪдново, Ушмаръ.
en
— 91
32. Thlaspi arvense L.—Topozent.
33. Lepidium ruderale Т,.—Перевипкал.
34. Capsella Bursa pastoris Mönch. v. éntegrifolia Se Ro
во, Городецъ.
35. Raphanus Raphanistrum Т,.—Ушмаръ.
_36. Bunias orientalis Г..—ДЪдново.
37. Drosera longifolia L. v. vulgaris Maly.--Uapcoım.
38. Viola palustris L.—Cu. Клепеки.
39. — mirabilis L.— Пощупово.
40. — canina Г..—Городецъ, БЪлоомутово.
41. — colina Везз.—Городецъ.
42. — tricolor Г. v. vulgaris Косп.—Перевицкая.
43. a v. arvensis Магг.—Гороцепъ.
44. Polygala comosa Schk.—lIlepesunkas, Чарсолъ.
45. Dianthus deltoides L.—Uapcoss.
46. Gypsophila muralis L.—Ymmapt.
47. Silene inflata Зт.—(Сельцы, БЪлая.
48. — nutans L.—Cexbun, Кельцы. O3. Святое.
49. Lychnis Viscaria Г.—Перевицкая, Пощупово.
50. — pratensis Эрг.—Перевицкая, Оз. Святое.
51. — Flos cuculi Г.—Городецъ.
52. Sagina procumbens L.—Cn. Клепеки, Чарсоле.
53. Arenaria longifolia M. a Вгеь.—ЁВельпы.
54. — serpyllifolia L. e. glutinosa Koch.—Deperunkas, Cu. Вле-
THEN.
55. Moehringia trinervia Clairv.—Ilomynoso, Cr. Влепеки.
56. Stellaria nemorum L.—Ilepesnukaa.
57. — Holostea Г..—Городецъ.
58. — glauca With.—Cn. Кленеки, Владычпя.
59. — graminea Г..—Сельцы, Ушмаръ, Os. Святое.
60. — longifolia Mühlb.—Topoureur.
61. Cerastium triviale Link.—Cn. Клепеки, Чарсолъ.
62. Spergula arvensis L. v. sativa Вбп.—Ушмаръ.
63. , v. vulgaris Koch.—Ymmapr.
64. Spergularia rubra Регз.—Горолецъ, Сп. Клепеки, Yırmapr.
65. Herniaria glabra L. v. scabrivscula Гед.— Бфлоомутово, Сп.
Клепеки.
66. Scleranthus annuus L. v. arenarius Rupr.—Toporenr, Ушмаръ.
67. Tilia parvifolia Ehrh.—/[5xHoBo.
68. Hypericum perforatum Г.-—Перевицкая, Оз. Святое.
69. — quadrangulum Г. Ушмаръ.
70. Geranium sanguineum L.—Ceurnu.
71. — sylvatienm Г..— Перевицкая, Сельцы.
12,
. Erodium cicutarium L'Her.—/I5a20so, Сп. Kaenesu.
. Evonymus verrucosus Scop.—l'opoxems, Koneranrumono.
. Rhamnus Frangula Г..—Городецт.
. Genista germanica L.— Сельцы.
. — tinctoria Г.—Сельцы.
. Cytisus ratisbonensis Schaef.—Cersust, Кельцы.
. Medicago falcata Г.—Кельцы. —
. Trifolium pratense L.—]banono, Yapcoır.
. — medium Г.—Тюрмежъ.
. — montanum L.—J[m6ómam, Ceasust.
. — repens L.—Ilepesunkas, O3. Святое.
. — elegans Savi—J/banovo, Чарсолъ.
. — spadiceum 1.—Чарсолъ, Посерла.
. Lotus corniculatus L. v. ciliatus Led —Б%лоомутово, Пере-
i BILL.
Geranium prateuse Г.—Константивово
BHIL Ea.
. Astragalus Hypoglottis Г.—БЪлоомутово.
. — arenarius Г.—Кельцы.
. Vicia sepium Г..—Городець, Дфдново.
. — Cracca L.—Uapcort.
» V. leptophglla Емез.—Вривая.
. Láthyrus pratensis Г.—Городецъ.
. Orobus vernus 1.—Городецъ.
. Prunus Padus Г.—ЛДЪдноро, Константиново.
. Spiraea Filipendula 1..—Перевицкая.
. Geum urbanum L.—lIlepesunkaa.
. Sanguisorba offcinalis Г..—Городепъ.
. Alchemilla vulgaris Г. —Перевицкая, Оз. Черное.
. Poteniilla anserina L.—PB$:300MyToBo. |
. — norvegica L. v. ruthenica—Ymmuapt.
101.
102,
103.
104.
105.
106.
107.
108.
109.
110.
111.
112.
113.
— argentea Г.— Перевицкая, Ушмаръ.
» v. incanescens Ор17.—Сельцы, Os. Святое.
P. thuringiaca Bernh—Topoxenr. .
Tormentilla erecta Г..—Городецъ.
Comarum palustre Г.—Сельцы, .J[aekosa.
Fragaria vesca L.—Epmosa.
— elatior. Ehrh.—/I'5bxsoso, Перевицкая.
Rubus Idaeus L.—hpusaa.
— fruticosus L.—Uapcorr, Оз. Святое.
— caesius L.—JI:6uau, KoneragTHHOBO.
— saxatilis L—Toporenr, Cebu.
Rosa cinnamomea L.—Toporenr, Сельцы.
Sorbus Aucuparia 1..—Городент..
114.
Ti.
116.
117.
118.
17
120.
121.
122.
123.
124.
125,
126.
127.
128.
129.
130.
131.
132.
133.
134.
135.
196.
197.
138.
139.
140.
141
144.
145.
146.
147.
148.
149.
150.
151.
152.
158.
154.
155.
156.
— 93 -—
Epilobium palustre Г..—Чафреоль.
Myriophyllum sp.—Os3. Б$лое.
Sedum acre Г..—Перевицкая.
Chrysosplenium alternifolium nn
Ribes nigrum L.—/I51non0o.
Aegopodium Podagraria Г.—Городецъ.
Carum Carvi L.—/L5xnono.
Sium latifolium Г. Любичи.
Anthriscus Sylvestris Hoffm. eeu:
Viburnnm Opulus L.—Topoxeus, Перевицкая.
Lonicera Xylosteum L.—Topozeir.
Linnaea borealis L.—Toporeur
Galium sylvaticum Г.—Городецъ.
— Mollugo L.—Topozems, Сельцы.
— verum Г.—Городецъ.
— rubioides Г.—Б$лоомутово.
— palustre Г..—Перевицкая, Cm. Клепеки, Оз. Святое.
— glabrum Мау.—Любичи.
— uliginosum Г.—Перевипкая, Оз. Великое, Yapcort.
Valeriana officinalis Г.—Перевипкня.
Trichera arvensis Schrad.—bt1aa.
Petasites spurius Rchb.—/I'bxgoso.
Erigeron acris Un mote Cn. Клепеки, Оз. Святое.
Filago arvensis L.—Ileperunkas, Ушмаръ.
Gnaphalium dioicum Г.--Перевицкая, Ушмаръ, 05. Святое.
— uliginosum Г.—Чарсолъ.
Artemisia procera Willd.—KopocroBo.
. Achillea Millefolium L.—Ilepesnuukas, Yapco.rs.
142.
143.
Anthemis tinctoria 1.—Перевицкая.
Chrysanthemum Leucanthemum L.—Yurmaps, Тюрмежь.
— inodorum L.—btaoomytoso, Ушмаръ.
Cirsium palustre Scop.— Городецъ.
— arvense Scop.—.lio6nuu, Коростово.
-— helenioides All. Сельцы.
Jurinea Pollichii ОС.—Кельцы.
Carlina vulgaris Г.—Тюрмежъ.
Centaurea Cyanus 1.—Городецт.
Leontodon autumnalis L. v. pratensis Koch. -sy niagis.
— hastilis Koch.— Пощуповс.
Tragopogon orientalis L. v. revolutus Bisch. —Сельшы.
Scorsonera humilis L.— Сельцы.
Crepis tectorum Г.—ДЪдново, Аграфепино, Yumaps.
Hieracium Pilosella Г.—Перевицкая, Ушмарт.
UN.
7. Hieracium auriculaeforme Fr. Cm. Блепеки, Ушмаръ.
. — praealtum КосЪ.—'Тимохина, Оз. Святое, Тюрмежъ.
. — Nestleri УШ.—Перевинкая, Чарсолъ.
. — pratense Tausch.—Ilomysogo.
. Campanula glomerata 1.—Любичи, Сельцы.
2. — rotundifolia Г.—Вельцы.
3. — patula Г.—Перевицкая, Владычня, Оз. Святое.
. Vaccinium Vitis idaea Г.—Сельцы, Тюрмежъ.
. — Myrtillus Г.—Сельцы, Чарсолъ.
. — uliginosum Г.—Сельцы, Кельцы, Тюрмежъ.
7. Oxycoccos palustris Регз.—Сельцы, Ласкова, Чарсолъ.
. Andromeda calyculata Г.—Сельцы, Оз. Великое, Владычня.
. — polifolia L.—JIaekosa, Сп. Влепеки, Чарсолъ. |
. Calluna vulgaris Salisb.—Cerbnrr.
. Ledum palustre Г..—Сельцы.
. Pirola rotundifolia Г.—Городецъ.
. — secunda Г —Городецъ.
. Cynanchum Vincetoxicum В. Вг.—Кельцы.
. Gentiana Amarella L.—Ilepesunxas, Посерда.
. Menyanthes trifoliata Г.—ДФдново, Владычня.
. Primula officinalis Jacq.
. Androsace elongata Г..—Перевицкая.
. — septentrionalis Г —Перевицкая.
. Hottonia palustris L —Сп. Клепеки.
. Lysimachia vulgaris 1.—Лесина, Ушмаръ.
. — thyrsiflora L. Сельцы, Владычня.-
. Trientalis europaea Г..—Городецъ.
. Polemonium coeruleum Г.—Сельцы. Вривая.
. Symphytum officinale L.—Bt100nyTogo, Сельцы.
. Pulmonaria azurea Bess. Сельцы.
. Myosotis palustris With.—Ilepepum&as, Владычня, уши
. — caespitosa Schultz.—Uapcort.
. — intermedia Глок.—Перевицкая.
. — stricta Link.—Toporerr, Перевицкая.
. — sparsiflora Мк.—Перевицкая. fH :
2. Echinospermum Lappula Lehm.—/I 518050, Перевицкая. .
. Cynoglossum officinale.L.—llepesumkas. :
. Hyoscyamus niger Г..—Перевиикая.
. Solanum Dulcamara L.—Cu. Кленеки, Чарсолъ.
. Scrophularia nodosa L'—Crn. Клепеки, Оз. Святое.
. Linaria vulgaris МИ. —Сельцы, Б$лая.
. Veronica longifolia L. $. glabra Koch.--IlomyuoBo
. — Incana L —Сельцы.
——
——
zx. Ae ci.
. Veronica Anagallis L.—Yapcoat.
Beccabunga Г..—Перевицкая.
officinalis Г.—Ушмаръ, Oa. Святое,
Chamaedrys Г..—ДЪдново, Оз. Святое.
scutellata Г.—Владычня, Ушмаръ.
serpyllifolia L.—loporens, Перевицкая, Сп. Клепеки.
verna lel Сп. Влепеки,
. Euphrasia officinalis L.—Yumaps.
. Rhinanthus Crista galli L. v. majon —Константиново, Tanto
v. minor.—Y map.
. Pedicularis eomosa Т,.—Перевицкая.
palustris 1..—Константяново, Сп. Клепеки.
2. Melampyrum nemorosum Г.—Перевицкая.
. — pratense L.—O3. Святое, Тюрмежъ.
. Calamintha Acinos Clairv.—Tapmexr.
. Glechoma hederacea Г..—ДЪдново.
. Dracocephalum thymiflorum L.— Ilepesumkas, Cezsust. |
Ruyschiana Г..—Сельцы.
. Prunella vulgaris L.—KoncramrugoBo, Чарсолъ.
. Scutellaria galericulata Г.—Сп. Клепеки, Ушмаръ.
. Galeopsis versicolor Curt.—Y mwaps.
. Galeobdolon luteum Ниа@$.—Городецъ.. :
. Lamium maculatum 1.—Перевицкая.
Ajuga reptans Г.—Городецъ.
genevensis 1..—Городецъ, Ilepesauraa,
. Plantago media L.—/Ib5xsoso, Ушмаръ.
lanceolata 1..—Перевицкая.
. Chenopodium album. L.—Yinmaps.
. Polygonum Convolvulus. Г--Ушмаръ.
. P. amphibium Г. $. terrestre Шеегз.—ДЪдново.
v. natans Moench.—Twpmexs.
. Rumex Acetosa L.—Topogent, Перевицвая.
. — Acetosella Г..—Городецъ, Перевицкая, Os. Сватое.
crispus Г.—ДЪдново.
confertus Willd.—/I 514050, Пощупово.
. — conglomeratus Миагг.—Пощупово.
. Thesium ebracteatum Наупе.—Сельцы.
. Asarum europaeum L.—lopojent.
. Aristolochia Clematitis Г.—Сельцы, Пощупово.
. Euphorbia virgata W. et К.—Сельцы.
palustris L.— ДЪдново.
. Mercurialis perennis Г.—Константиново.
. Quercus pedunculata Ehrh.— 1515050, Mapcox».
248,
244,
245.
246.
247.
248.
249.
250.
251.
252.
253.
254.
255.
256.
257.
258.
259.
260.
261.
262.
263.
264.
265.
266.
267.
268.
.269.
210.
271.
212.
219.
214.
215.
216.
pur MN
Salix Lapponum L.—Cn. Влепеки, Владычня, Оз. Святое.
— repens Г. (S. angustifolia. Wulf.).—Ceabun, Владычвя, Чар-
солъ, Оз. Святое.
— myrtilloides 1..—Сельцы, Ласкова.
— depressa L. (S. livida \Уа1.).—Константиново.
— aurita Г.—Городепъ, Сельцы, Сп. Клепеки, Чарсоль, O3.
Святое.
— Саргеа Г.—Конетантиново.
— cinerea L.— ДЪдново, Константиново, Кривая, Лесина.
— stipularis Вш.—ДЪдново.
— pruinosa Wendl. (S. acutifolia Willd.).—Arpadenuno.
— amygdalina Г. (S. triandra L).— ItıHo0go, Любичи.
— alba 1..— ДЪдново. |
— pentandra L.— ДЪдново.
Humulus Lupulus Г.—Перевицкая.
Ulmus effusa \19.—Перевицкая.
Betula pubescens Ehrh.—Cea»smu, Оз. Великое.
— humilis Schrank.—Crn. ВКлепеки, Владычня.
Alnus glutinosa Gaertn.—O3. Великое.
Callitriche palustris L. v. stellata, dubia Rupr. Cn. Клепеки,
Ушмаръ. à
Ceratophyllum demersnm L.—03. Bbioe.
Orchis incarnata L.—lIlepensunkas, bbras.
— maculata Г.—Перевицкая, Ушмарт.
Platanthera bifolia Rich.—Ymumapt.
— chlorantha Cust.—IIomynoso.
Listera ovata В. Вг.—Константиново, Пощупово.
Neottia Nidus avis Rich.—Tlomynoso.
Epipactis latifolia All].—TIonrynosno.
Iris Pseudacorus L.—/15z8080, Кельцы.
Juncus communis E. Меу.—Городецъ, Сельцы.
— filiformis L.—OCn. Клепеки, Чарсолъ, Оз. Святое.
— lamprocarpus Ehrh.— Ушмаръ.
— compressus Jacq.—Uapcozr, Посерда.
Luzula pilosa Willd.—Topozeut.
Г. multiflora Lej—Ceasun, Cm. Клепеки, Оз. Святое.
Convallaria majalis Г. —Горохепъ.
. Polygonatum officinale АП.—Перевицкая, Сельцы.
. Majanthemum bifolium ГС.—Городець.
. Allium angulosum L.— Любичи.
280.
281.
282.
283.
284.
285.
286.
287.
288.
289.
290.
291.
292.
293.
294.
295.
296.
297.
298.
299.
300.
301.
302.
308.
304.
305.
306.
307.
308.
309.
310.
311.
912.
313.
314.
315.
316.
Sd.
318.
319.
320
SEDE oT CPU
Veratrum album Г. v. Lobelianum Koch.—Toporexs.
Alisma Plantago L.—Buanpruna.
4 v. lanceolatum Мах.—Любичи.
Sagittaria sagittaefolia Г.—ЛЪдново.
Triglochin palustre [..—Перевицкая, Yurmaps.
Scheuchzeria palustris L.—.lackopo.
Hydraenaris Morsus ranae L.—/I'51noea.
Stratiotes aloides Г..—ДЪхново.
Scirpus palustris Г.—ЛЪдново, Любичи, Владычня.
— lacustris Г.—ДЪдново, O3. Мартыново.
— sylvaticus L.—'banoso, Ушмаръ.
— radicans Schk.—03. Черное.
Eriophorum angustifolium L.—Toporeng, Сельцы, Владичня.
— vaginatum L.
— gracile Косв.--Владычня.
Carex ehordorrhiza.-— Cebu.
— vulpina L.—.Ioóirur.
— muricata Г. — Пощупово.
— teretiuscula 9004.—Ушмаръ.
— Schreberi Зейгапк.—ДЪдново, Перевицкая, Arpadqenmno.
— stellulata Good.—Y uwap^.
— leporina Г.— Перевицкая, Ушмаръ, O3. Святое.
— elongata Г.—Перевинкая, Cn. Влепеки.
— canescens L.—l'oporeur, Сельцы, Владычня.
— loliacea Г..—Городецъ.
— caespitosa L. (C. Drejeri Lang. C. vulgaris v. Dreyer
Kaufm.)— Ушмаръ.
— vulgaris Fr.—,I'5xgoso, Городецъ, Владычня.
— acuta L.— ЛБяново, Посерда.
— ]imosa L.—Yinmapt.
— tomentosa L:—Ce.rbirbr.
— pilosa Scop.—Uomynoso,
— pallescens Т..—Городецъ.
— ampullacea @боо4.—Городецъ.
— vesicaria Т..—ЛЪдново, Городецъ, Сл. Влепеки.
— filiformis Г.—Сельцы.
— paludosa боо4.—Перевицкая,
— hirta L.—jibanoso, Перевнцкая, Сельцы.
Nardus stricta L.—Cır. Клепеки.
Festuca ovina L.—Arpaibenano, Ушмаръ.
— rubra L.—Cn. Влецеки.
ó v. villosa Koch.—O». Beaukoe. |
*
mH.
~~
MA
CO
Oo
MS
ei
— 908 —
321. Bromus inermis Leyss.—/I'5xuoBo, Любичн.
322. Poa annua Г.—Городецъ, Ушмарт.
о
323. — trivialis Г.—Перевицкая.
324. — pratensis Г.—Городець, Перевицкая, Cu. ВКлепеки.
325. — v. angustifolia Sm.—Ilepesnukan.
326. — compressa L.—Tuwoxuna, Ушмаръ.
327. — nemoralis Г..—Городецъ, Константиново.
328. — fertilis Ноз.—Владычня.
329. Glyceria fluitans В. Вг.—Перевицкая, Ушмауръ.
330. Donax borealis Trin.—.lecuna.
331. Melica nutans L.—Toporenr.
932. Koeleria cristata Регз.—Кельцы.
333. Anthoxanthum odoratum Г.—Городецъ.
394. Avena pubescens 1..—Перевицкая.
395. Aira caespitosa l..— Tuwoxunma.
396. Phragmites communis Тгт.—Посерда. -
397. Calamagrostis lanceolata Roth.—DBzzagmpuna, Лесина.
998. Agrostis stolonifera L.—Yinmapp.
399. — canina L.—Cn. Haenexu.
340. Milium effusum Г.—Перевицкая.
341. Beckmannia eruciformis Host.—.lecitua.
342. Phalaris arundinacea 1..—Владычна.
343. Alopecurus pratensis L. e. obscurus Гей.—ДЪхново-
944. — geniculatus Г.—Городецъ, Перевицкая.
945. Sparganium natans Г.—Владычня.
346. Potamoreton natans 1..—ДЪдново.
947. — perfoliatus L.—Cn. Клепеки.
948. — pusillus L.—Cr. Вленеки.
349. Calla palustris Г.— Оп. Влепеки.
850. Lemna minor Г.—ДЪдново.
351. L. trisulca L.—Os. Черное.
352. Pinus sylvestris Г.— Городецъ, Ершова (торфян.).
353. Juniperus communis Г.—Тородецъ, Солодча.
304. Polypodium Dryopteris L.—Toporent.
355. Polystichum Thelypteris Во.—Константиново.
356. — Filix mas Roth.—Ilepesuukas, Константиново.
357.
358.
359.
360.
361.
362.
3638.
i99 222
Polystichum cristatum Roth —Городецъ, Mapcous.
— spinulosum DC.—Yopogens, Константиново
Cystopteris fragilis Bernh.—Ilomynopo.
1,208;
Великое.
Asplenium Filix femina Вегив.—Константиново, Cn Клепекл.
Pteris aquilina Г.—Городецъ, Перевипкая.
Equisetum sylvaticum Г.—Городецъ.
— limosum Т..—ДЪдново, Владычня.
Ths
NOTES SUR L'HISTOIRE GÉOLOGIQUE DES OISEAUX.
Communication faite le 20 Décembre, 1884,
par
A. Patlow.
Dans les derniers mois de l'année 1884, la littérature
paléontologique s'est enrichie d'une description mono-
graphique trés détaillée de Archaeopteryx.
On sait que cet oiseau jurassique joue un role im-
portant dans l'histoire de la doctrine de l'évolution. La
description nouvellement éditée dun exemplaire le
mieux conservé a complété considérablement nos con-
naissances sur cette forme trés-intéressante et, en méme
temps, sur l'histoire géologique des oiseaux.
Avant de passer à l'objet de ma communication, je
me permettrai de dire quelques mots sur les moyens, les
méthodes et les principes dont se servent les paléonto-
logues, quand ils cherchent à rétablir l'histoire géologique
de l'un ou de l'autre groupe du monde animal, d'aprés
quelques débris dispersés dans les couches terrestres.
On peut dire avec certitude que dans le dernier temps
l'idée de la modification des étres, l'idée de parenté, se
— 101 —
manifeste dans tous les ouvrages, comme le fil conducteur
le plus inportant. La tentative de rechercher les liens
génériques entre les groupes isolés du monde animal do-
mine dans ces ouvrages. Il est évident que les formes
intermédiaires entre les groupes isolés doivent exciter
maintenant le plus vif intérêt des naturalistes. On
conçoit l'attention qu'excita Г Archaeopter ya—forme inter-
médiaire entre les groupes aussi isolés que le sont
les oiseaux et les reptiles. L'autre principe régnant dans
les travaux paléontologiques—la corrélation des orga-
nes—est une idée qui date de loin et qui était déjà
appréciée par Geoffroy Saint-Hilaire et par Cuvier;
d'aprés ce principe, l'organisme ne peut exister que quand
une harmonie compléte régne dans toutes ses parties.
Tous les organes, et méme leurs différentes parties, doi-
vent fonctionner dans une corrélation resserrée entre eux
mêmes et le monde extérieur. L'importance de cette cor-
rélation, qu'on apercoit méme entre les parties peu impor-
tantes en apparence, a été prouvée par feu le pr. Ko-
valevsky dans ses recherches sur le carpe et le tarse
des ongulés. Ses magnifiques ouvrages serviront toujours
de modéle à une recherche paléontologique guidée par les
deux principes que je viens de rappeler.
Les recherches du pr. Kovalevsky avaient jeté une
vive lumiére sur les circonstances trés importantes qui
accompagnent lhistoire du développement géologique du
eroupe qu'il a étudié. Mr. Kovalevsky a démontré que
la réduction du nombre des doigts—direction principale
prise par les ongulés dans lévolution—était atteinte de
différentes maniéres par les membres de ce groupe. Се
probléme étant mécanique, peut étre résolu avec des ré-
sultats plus ou moins satisfaisants. La nature ne s'est pas
/
— Tp
toujours servi des mémes moyens et par conséquent leel
ne devait pas arriver aux mémes résultats.
Comme exemple, je rappellerai les membres de deux
fossiles du groupe des suidés: en comparant les pieds
de devant du pécaris (cochon vivant de l'Amérique) avee
ceux d'un suidé gigantesque Entelodon, nous aperce-
vons que les membres de ces deux animaux se sont ré-
duits par l'avortement des doigts latéraux. Tous les deux
sont devenus pratiquement didactyles. Entelodon résout
ce probléme assez primitivement: ses doigis latéraux se
rétrécissent, mais les os du carpe ne changent pas de
place; les carpiens gardent la méme disposition que ceux
des animaux tetradactyles, qui s’appuyaient également
sur tous les quatre doigls. Les pécaris ont changé ce
mécanisme et s’arrangèrent à concentrer tout le poids de
la jambe sur les deux doigts. Г’ Entelodon est déjà éteint;
les pécaris continuent leur développement progressif. Les
membres du premier type sont caractéristiques pour les
ongulés éteints; les membres du second appartiennent aux
formes dominantes parmi les ongulés actuels. =
Pour prouver l'importance du principe de la corréla-
lion des organes, nous pouvons ciler comme exemple
les oiseaux actuels du groupe Carinatae. On зай que
la possession des organes du vol ne suffit pas pour la
prospérité du voilier, par rapport à lui méme et au mi-
lien ou il vit. Nous connaissons les traits qui caracté-
risent la corrélation des différents organes de l'oiseau,
corrélation qui rend possible l'existence de l'animal dans
son milieu naturel: le sternum trés développé portant la
caréne, qui donne la place à l'insertion des muscles pec-
toraux; certain arrangement du systéme musculaire, des
.métarpiens soudés et des doigts rendant possible le mou-
vement indépendant du bout de l'aile—partie trés impor-
— 105 —
tante, car sa mobilité rend l’oiseau maitre de ses mou-
vements dans l'air. En méme temps l'oiseau posséde: une
queue courte, mais douée de mouvements prompts et
foris; des os pneumalisés; des sacs aériens qui rendent
le corps de l'oiseau plus léger; la situation basse du
cenire de gravité, qui donne au corps la- consistance,
est en relation avec le développement des muscles pec-
toraux. Toutes ces particularités de l’organisation de
l'oiseau nous prouvent l'importance de la corrélation res-
serrée entre les organes de l'animal et le monde exté-
rieur; elles nous démonirent l'harmonie parfaite qui pré-
sidait au développement des organes, en perfectionnant
ce type spécial des vértébrés-voiliers, qui avaient adapté
au vol les productions épidermiques de leur peau. Sans
doute ce type de l'organisation doit étre le résultat de
l'évolution lente et graduelle d'une longue série de formes.
Après avoir atteint un certain stade de son développe-
ment, un certain succès pratique dans le perfectionne-
ment du mécanisme de son organisation, le groupe par-
vient à la multiplication et la diversité des formes, dans
les limites permises par l’organisation du type, au per-
fectionnement duquel le groupe est redevable de son
développement.
Dans les dernières ramifications de cette souche, les
traits principaux de l’organisation se modifiaient différem-
ment sous linflunce des caractères biologiques, et nous
les voyons à présent dans les différentes phases de leur
développement et de leur différentiation. Plusieurs de ces
ramilles n’ont pas suivi la direction du développement de
leur groupe, mais elles se sont détournées et se sont
transformées en groupes aussi spéciaux que les pin-
gouins--formes qui s'étant éloignés de leurs confrères
volants, sont devenus les citoyens d'un autre milieu—ha-
— 104 —
bitanls des eaux. Plusieurs de ces branches ne pouvaient
pas conlinuer leur perfectionnement: la direction prise
les a amenés à une organisation imparfaite, qui ne pou-
vait pas garantir leur existence dans leur milieu naturel,
c’esi pourquoi ces ramilles ont disparu les unes aprés les
autres; l'homme lui méme a pris part à l'extirpation de
quelques unes. |
Il serait trés intéressant de poursuivre pas-a-pas l'his-
toire géologique des oiseaux; étudier les prédécesseurs de
la branche qui domine à présent, suivre les rameaux la-
téraux qui ont disparu avant notre temps, mais qui pou-
vaient étre autrefois trés répandus. Malheureusement nous
n'avons qu'un tres petit nombre de restes d'oiseaux des
périodes prétertiaires, oit on doit supposer le développe-
ment de ce type spéciai. Nous pouvons énumérer tous
les fossiles qui peuvent avoir un intérét plus ou moins
grand: le terrain crétacé nous a fourni des restes d'un
petit groupe d'oiseaux, nommés Odontornites. Ce nom
seul indique le caractère principal de ces animaux. Le
savant américain pr. March, qui les a étudiés à fond,
les divise en deux groupes: Odontormae, qui montrent
la parenté avec les oiseaux voiliers (Carinatae), et Odon-
tolcae, qui rappellent nos oiseaux coureurs (Ratitae).
Ces faits nous prouvent que ces deux groupes étaient
déjà séparés dans la période créiacée. |
Nous n’avons que deux formes extrémement interes-
santes de la période jurassique; l'une a été trouvée par
le pr. March, en Amérique, et ‘décrite sous le nom
de Laopteryx; mais malheureusement l’occiput seul a
été trouvé; néanmoins le savant professeur, aprés avoir
étudié ces débris, n'hésita pas à ranger le fossile dans
le groupe Ratitac. Quelle était l'organisation de ce
coureur jurassique? Le dit fossile ne résout pas la
— 195 —
question. Il nous reste encore un fossile, trouvé dans
les célèbres pierres lithographiques de Solenhofen, c’est
l'Archaeopteryx, connu par deux exemplaires qui nous
démontrent assez complètement l'organisation de l'ani-
mal. Avant la découverte de ces débris, nos connaissan-
ces sur les anciens représentants de cette classe n'étaient
que trés imparfaites. Malgré toute la diversité des formes de
la classe des oiseaux, ce groupe se présentait comme
l'un des plus isolés. Tout ce qu’on connaissait sur ses
ancêtres n’était que quelques empreintes des pattes
iridactyles dans le sable du Trias, de lAmérique du
nord, empreintes semblables à celles que laissent les
oiseaux sur le sol humide et limoneux. Ces empreintes
ne permettaient que de faire quelques conjectures plus
ou moins vagues sur l'ancienneté de cette classe. On con-
coit le vif intérêt qu'excita la découverte de restes
indubitables de l'oiseau jurassique, de l'oiseau couvert de
plumes: comme le sont les oiseaux actuels; en outre ce
fossile avait des caractéres bien étranges pour les
oiseaux. Je me permets de citer ici la lettre adressée
par le savant géologue allemand Oppel, à son ami pr.
Marcou, lettre qui annonçait cette précieuse trouvaille: *)
Mon cher ami,
Jai à vous raconter une découverte paléontologique
singuliére que j'ai faite dans ces derniers temps. Je viens
de passer plusieurs jours daus les environs de Solenho-
fen, et là, j'ai vu dans une collection, pétrifié dans la
pierre lithographique, un animal qui tient Je milieu entre
les oiseaux et les reptiles. Il porte, une queue comme un
*) Marcou. Explication d'une seconde édition de la carte géolo-
gique de la terre 1878. page 52.
— 106 —
Rhamphorhynchus, a à peu prés 20 vertébres ayant une
forme allongée. Un bassin très petit, comme le possé-
dent les Pterodactyles. L'animal porte des plumes à la
queue el aux bras. La téte manque à l'échantillon. Les
pieds sont comme chez un oiseau, avec un simple mé-
tatarse et trois doigls à longs ongles. C'était un animal
d'à peu prés un pied et demi de longueur. Depuis
mon retour j'en ai fait un dessin (ci-joint dans la lettre)
et une description que j'ai donnée à M. André Wagner,
lequel s'en est servi el en a donné une notice dans une
réunion de l'Académie à Munich, en déclarant que, malgré
les plumes, l'animal était une reptile (Gryphosaurus).
Pour moi, mon opinion là-dessus est que cet animal est
un oiseau; cependant j'ai prié M. Wagner de ne pro-
noncer ni mon nom, ni mon opinion.
Votre trés dévoué
Albert Oppel.
Nous voyons que méme la première étude sur l’Ar-
chaeopteryx provoca la diversité des opinions sur sa na-
ture. Quelque temps aprés M. le prof. Owen, aprés l'étude
approfondie de cet animal, le placa définitivement dans
la classe des oiseaux. Cependant la diversité des opi-
nions ne manqua pas à reparaitre: en 1877 fut trouvé
le second exemplaire de 7’ Archaeopteryx. C'est le savant
pr. Vogl qui a décrit le premier ce fossile; ses recherches
préliminaires l'ont porté à admettre cette forme comme
intermédiaire entre les oiseaux et les sauriens. Tous ces
faits démontrent toute la singularité de cet animal, à
queue longue et faible, couverte des plumes, à membres
de devant lui servant d'ailes et de pattes, à machoires
— 107 —
armées de dents, organes vraiment étranges pour les
oiseaux actuels. |
L'opinion du Pr. Vogt ne manqua pas d'exciter bien
des répliques dela part de Seeley, de March et d'autres;
mais tous ces articles étaient encore plus courts que
l'étude du pr. Vogt; tous les paléontologistes aitendaient
avec impalience une monographie détaillée, accompagnée
de dessins exacts. Cette monographie vient de paraitre,
en voici les résultats principaux.
Le pr. Damés prend Г Archaeoptevyz pour un vrai oiseau;
son opinion est celle de tous les observateurs précédants, à
l'exception de Vogt et de Wagner. Damés voit méme dans
Forganisation de ?’Archaeopteryx plusieurs traits corres-
pondant à l'état embryonnaire des oiseaux vivants du
groupe Carinatae; ces traits de ressemblance le forcé-
rent de deduire la conséquence que ce fossile présente
une stade de développement de ia souche, qui s'est
accomplie par les oiseaux voiliers actuels. Pour vérifier
ses idées l'auteur cite plusieurs recherches sur l'embryo-
logie des oiseaux. Le pr. Damés compare la queue de
l'Archaeopteryx à celle de l'embryon d'oiseau, au moment
ou il ne s'est pas encore développé l'urostyl solide por-
tant un éventail de rectrices. Quoiqu'il résulte de cette
comparaison que la queue del’ Archaeopteryx, par sa lon-
gueur et le nombre de vertébres, présente un type ultra-
embryonnaire, tyne qui n'a pas de pareil chez les
oiseaux, méme dans leur première phase de développe-
ment, néanmoins la queue de U Archaeopteryx а plus
d'analogie avec la queue embryonnaire des oiseaux
qu'avec celle d'un oiseau développé; ce fait est éclairé
de plusieurs recherches sur l'embryologie. En comparant
les résultats de ces recherches avec ceux qui sont dé-
duits des études détaillées sur la queue de l’Archacopteryx,
— 108 —
l’auteur se croit autorisé a dire que celte forme fossile
nous prouve le fait que les ancétres des oiseaux furent
des animaux à longue queue.
Il est vrai que ce fossile à queue ultraembryonnaire
posséde les membres de derriére, qui (à l'exception du
peroné) ne différent pas beaucoup des membres de la plu-
part des oiseaux actuels; mais l'organisation des membres.
de devant donne un nouvel appui à l'opinion du professeur.
De méme que celle des oiseaux, la main de Jl Archaeo-
pteryx posséde trois doigts, mais les métacarpiens du se-
cond et du troisiéme ne sont pas soudés: les doigts res-
tent libres; le second est le plus long, comme il l’est chez
les oiseaux. En considérant l'organisation dela main, on
est porté à admettre son état embryonnaire, c'est ce
que Damés apprécie dans son ouvrage.
En parlant de l'organisation du thorax de Jl Archaeo-
pteryx, qui différe tant de celui des oiseaux actuels,
l'auteur reconnait lui méme cette diversité. En effet, Гог-
ganisation du thorax offre quelques difficultés pour cette
comparaison, surtout quand les restes sont mal conservés.
les côtes exirémement minces sans processus uncinati:
sans sternocostalia, l'existence des cótes abdominales (fait
étrange pour les oiseaux),—toutes ces particularités sont
citées par le pr. Damés comme les caractéres importants
qui distinguent / Archaeopteryx des oiseaux actuels; mais le
savantprofesseur trouve la possibilité de vaincreicet obstacle;
il remarque que si méme le thorax d'oiseau ne se retrouve
pas chez ce fossille—thorax extrémement. solide grace à
la ceinture thoracique et son articulation avec les cótes
au moyen des larges sternocostalia—mais les éléments,
d’où le thorax tire son origine existaient déja: il y
avait un sternum peu développé (quoique invisible sur
les deux exemplaires. connus); il y avait des cótes dont
— 199 —
les extrémités en se soudant pouvaient augmenter
le sternum, qui prendrait place entre les bouts des
côtes abdominales, en les transformant en sternocastalia.
L'auteur conçoit que ce n’est que la marche hypothé-
lique du développement du thorax d'oiseau et que cette
supposition n'a pas d'appui dans les recherches sur
l'embryologie. En outre l'auteur rappelle le fait que dans
le groupe des reptiles nous ne rencontrons pas de formes
qui aient un thorax d'une pareille organisation. La pré-
sence de la furcule, dont l'exemplaire du musée de Berlin
ne laisse voir qu'une partie peu importante, la présence
du sternum à caréne (supposition du professeur) et des
rémiges—tous ces caractères suffisent au savant profes-
seur pour ranger / Archaeopteryx dans le groupe Carinatae
el le regarder comme voilier, quoique voilier maladroit,
à thorax peu développé, à faibles muscles pectoraux.
Ayant admis 1’ Archaeopteryx comme le plus ancien repré- -
sentant du groupe Carinatae, le prof. Damés remarque que
le développement de ce groupe allait parallèlement avec
le développement du groupe Ratitae, depuis le commen-
cement de la période jurassique, et qu'il faut chercher
les racines de l'un et del'autre groupe dans les différents
animaux.
Ainsi les recherches de M-r Damés l'ont porté au
systéme naturel suivant *).
^)
)
*) Damés. Ueber Archaecpteryx 1884. p. 7
G
a
— 110 —
Classe Aves.
Körper mit Federn bedeckt, und zwar zuerst mit Em-
brvonal- oder Pinseldunen.
Unterclasse: Ratitae.
Beim ausgewachsenen Thier
nur Dunenfedern vorhanden.
Sternum ohne Kiel. Vorderex-
tremitàt verkürzt oder rudimen-
tär. Ohne Flugvermógen. Zähne.
in einer Rinne.
1) Ungenügend gekannte Ord-
nung.
Laopteryx—Jura.
2) Odontolcae Marsh.
Unterkieferàste getrennt. Flü-
gel rudimentär (nur aus dem
Humerus bestehend) Wirbel
mit sattelfürmigen Gelenkflä-
chen. Kein Pygostyl.
Hesperornis.— Kreide.
3) Postcretaceische Ratiten.
Ausgewachsen zahnlos. Un- |
terkieferäste in mittlerer Sym-
physe verwachsen. Wirbel mit
sattelfórmigen Gelenkflächen:
Flügel rudimentär, aber noch
aus Oberarm, Unterarm und
rudimentärer Hand bestehend.
Ratiten der Tertiärzeit, des
Diluviums und der Jetztzeit.
Unterclasse: Carinatae.
Beim ausgewachsenen ‘Thier
Dunen- und Conturfedern vor-
handen. Sternum mit Kiel. Vor-
derextremiiàt wohl entwickelt.
Mit Flugvermögen. Zähne in
Alveolen.
1) Saururae Haeckel.
Wirbel biconcav. Metacarpa-
lia unverwachsen. Phalangen-
zahl voll. Schwanzlang, am Ende
nicht zum Pygostyl umgebildet.
Archaeopteryx.—Jura.
2) Odontotormae Marsh.
Unterkieferüste getrennt.
Wirbel biconcav. Metacarpa-
lia verwachsen, Phalangenzahl
Schwanz kurz, am Ende zum
Pygostyl verwachsen.
Ichthyornis.—Kreide.
3) Posteretaceische Carinaten.
Ausgewachsen meist zahnlos*).
Unterkieferäste in mittlerer
Symphyse verwachsen. Wirbel
mit sattelfórmigen Gelenkflä-
chen. Flügel wohl entwickelt.
Metacarpalia verwachsen, Pha-
langenzahl reducirt. Schwanz
kurz, am Ende zum Pygostyl
verwachsen.
Carinaten der Tertiärzeit, des
Diluviums und der Jetztwelt.
*) Bei Argillorms longipennis sind Zahnalveolen beobachtet.
— iti —
L'auteur achève ses recherches par ies mots sui-
vanis: *) «Schliesslich sei noch einmal hervorgeho-
ben, dass die beiden, jetzt schon bis zur Juraforma-
tion zurückverfolgbaren Stämme der Ratiten und Cari-
naten, in ihren beobachteten Anfangen sehr scharf von
einander geschieden sind, und man in Folge dessen die
Zeit, wo der gemeinsame Stammvater beider exislirt hat,
in geologisch noch bedeutend altere Perioden zurückver-
legen muss. Mógen einzelne der Fussspuren, die man seit
lange namentlich aus der Trias von Connecticut kenut,
in der That von Vógeln herrühren oder nicht, jedenfalls
muss man das geologische Alter der Vögel als ebenso
bedeutend ansehen, wie das der Dinosaurier, und man
kann schon aus diesem Grunde die letzteren nicht als
die Stammeltern der ersieren ansprechen, will man dem
bisher Beobachteten und den aus dem Beobachteten zu
ziehenden Schlussfolgerungen Rechnung tragen».
Tels sont les résultats de l'ouvrage du pr. Dames;
ouvrage extrémemeat exacte et détaillé, contenant le ré-
sumé critique dela littérature de l'objet. Les recherches
de ce savant professeur nous donnent des explications
suffisantes sur l'organisation de ce fossile énigmatique; il
serait difficile d'ajouter encore quelque chose à ce que
M-r Damés a dit dans ses recherches, surtout quand on
n'a pas la possibilité d'étudier ce fossile d'aprés les res-
tes mémes. Mais l'importance de quelques questions ré-
veillées par ces recherches m'engage à présenter quel-
ques considérations, qui n'ont pas trouvé place dans le
—
*) Damés I. e. p. 79.
— Me
livre du Pr. Damés, mais qui pourraient mériter quelque
attention. Je ne discuterai pas maintenant les questions
touchées par M-r Damés, sur l'origine des oiseaux et
sur les relations de ce groupe au Dinosauriens: cela nous
aurait mené trop loin. Je n’ai qu'à remarquer que le
fait de l'existence contemporaine des oiseaux et des Di-
nosauriens ne peut pas étre regardé comme l'opposition
directe (comme le croit le Pr. Damés) avec les vues sur
les liens génétiques de ces groupes; de méme que personne
ne nie à présent que les amphibiens peuvent tirer leur
origine des poissons Dipnoi, qui existent jusqu'à présent,
tandis que les amphibiens (leurs descendants supposés)
existaient déjà dans la période triasique. L'existence con-
temporaine des marsupiaux et des placentaires n'exclue
pas non plus la possibilité de l'origine de ce dernier
eroupe des marsupiaux.
Laissons ces questions, jusqu'à ce que nous ayons plus
de données qui puissent éclairer tous ces faits intéressants,
et revenons al Archaeopteryx. Sans doute, c’est au pr.
Damés que nous sommes redevables de nouvelles connais-
sances sur ce fossile, cependant, il me semble possible
de donner une autre explication de quelques traits de
l'organisation de l'animal. Notre attention est avant tout
atlirée vers l'organisation du thorax et de la ceinture
thoracique—parties trés caractéristiques pour les oiseaux.
Hn étudiant ces parties, la premiére chose qui nous frap-
pe, c’est la construction peu solide du thorax: l'articu-
lation des vertèbres est très faible, (ce qu'on voit d’après
la flexibilité de la colonne vertébrale), les apophyses
articulaires des vertèbres sont peu développées, les cötes
si fines, que Vogt les compare à de fines aiguilles de
chirurgien. La place qui reste pour le sternum montre
— 113 —
"le faible développement de ceiui-ci. Les membres de de-
vant de V Archaeopteryx ont queiques particularités étran-
“ères aux voiliers: l'extrémité proximale de l'humerus
n'a pas de léte épaisse, pointde trou pneumatique sous la
crête pectorale, la créte. pectorale (servant chez les oi-
seaux vivants à l'insertion des grands muscles pectoraux)
elle-méme est absente; le faible développement des surfaces
et des tubercules al’extrémité proximale du radius et du
cubitus, ainsi qu'à l'extrémité distale de l'humerus, prouvent
que les muscles servant à mettre en mouvement le bout de
l'aile — partie la plus importante de l'organe du vol—sont
peu développés. L'organisalion des oiseaux leur permet de
faire des mouvements vigoureux, des changements prompts
dans la situation relative de la surface qui traverse les
métacarpiens; quant a Jl Archaeopteryx, nous pouvons
atfrmer, sans hésiter, que la fonction des muscles qui
mettaient en mouvement la main, munie de trois doigts
trés minces, était tout-à-fait autre; il est douteux que
cette partie de l'ile ait pu par elle méme contribuer
au vol. Les doigts longs et libres, armés d'ongles cro-
chus et tranchants, montrent qu’outre le vol, ce membre
avait encore d'aulres fonctions; le róle ce ce membre
était trop compliqué pour que cet organe puisse pro-
gresser dans son adaptation au vol; il s'en suit que nous
n'avons pasle droit de regarder ce membre comme une
des phases de développement de la main dans la voie
qu'elle a suivie dans sa transformation en aile des voi-
liers. Le mécanisme méme du monvement des doigts,
en tant que nous le connaissons d’après les recherches
du pr. Damès, ne nous permet pas de regarder cette main
comme un des stades de modification de l'aile. Nous sa-
vons que le métacarpien du doigt radial des oiseaux est
we 3. 1884. 8
= ie.
libre et porte un aileron, et que les métacarpiens de deux
autres sont soudés et fonctionnent comme un seul os,
représentant une surface large adaptée à l'insertion des
muscles ef des ligaments des rémiges, les doigts mêmes
ne présentent pratiquement qu'une phalange: rien de pa-
reil dans la main de l’Archaeopteryx: au contraire, tous
ses doigts sont libres, en outre nous apprenons, d’après
les recherches de Damés, que le second doigt fonction-
nait avec le premier, tandis que le troisième était
isolé; juste le contraire de ce qu’on s'attendait à voir
dans le prototype de la main d'un oiseau. Le pr. Dames
n'hésite pas à comparer la main de / Archaeopteryx a Vaile
embryonaire d'un oiseau, et cite ce fait comme exemple
dela corrélation entre le ны embryonnaire de
l'animal et sa c he
Outre les faits (une rangée de carpiens et trois doigts)
favorables aux opinions du professeur, il y en a en-
core d'autres qui ne le sont pas, mais qui méritent d'être
cités, notamment: 1) Une corrélation des doigts, qui ne
peut pas être considérée comme un type embryon-
naire, mais comme le résultat d’un certain développe-
ment, d'une certaine différentiation, atteinte par d'autres
voies. 2) La présence du 4-е doigt à l'extrémité em-
bryonnaire d'un oiseau, doigt qui sous un autre rapport
distingue cet extrémité embryonnaire du membre trida-
ciyle de 7’ Archaeopteryx, déjà réduit comme il l'est. chez
nos oiseaux développés. Quoique cette derniére circon-
stance ait été connue du professeur; (il en parle méme
plus d'une fois), il attribue cependant, sans hésiter, à
l'extrémité de /'Archaeopteryz le type embryonnaire du
membre d'un oiseau. |
.li me semble que ces faits peu importants au premier
abord, et la présence de la queue ultra-embryonnaire de
m My
Г. Archaeopteryx méritent notre plus vif intérêt; c'est tout-au
plus si l’embryogénie des autres groupes spécialisés
des vertèbrés nous offre des faits opposés: les embryons
des ongulés vivants présentent, non seulement la réduc-
tion des extrémités plus faible que leurs ancêtres, mais
ils ont ordinairement la plus part des caractères des in-
dividus acluels; ce sont donc des fossiles et non les
embryons qui indiquent la marche possible du dévelop-
pemènt d'une branche entière.
En considérant les extrémités postérieures de I Archaeo-
pteryx, être ancien, pour ainsi dire embryonnaire, nous
avons tout le droit de nous attendre à rencontrer une
extrémité correspondante au membre embryonnaire d'un
oïseau. Tout au contraire, nous voyons un membre déjà
réduit, qui au premier aspect différe trés peu de celui
de la plupart des oiseaux vivants: les métatarsiens, et les
doigts ne possèdent pas du tout les caractères embrvon-
naires; la soudure des tarsiens et des métatarsiens est
plus solide que chez l'oiseau crétacé Enaliornis Bazetti
Seeley, oiseau, qui apparait plus tard sur les pages de
l'histoire géologique (Damés |. с. page 61). Par le nombre
et la disposition des doigts, 7 Archaeopteryx ne diffère
nullement de nos oiseaux tetradactyles. On ne peut
pas en dire autant de sa jambe: les deux extrémités
du peroné sont également développées, cet os prend
part (à ce qu'il paraît), à la réunion avec le tarse;
nous ne voyons pas de pareil rapport entre le tibia et
le peroné de nos oiseaux vivants; ce fait nous démontre
que 7 Archaeopteryx n'avait pas le tibia-tarsus — cet os si
caractéristique pour tous les oiseaux. Le peroné des
oiseaux est rudimentaire, il s’est modifié de la même
maniére que les métatarsiens latéraux de l'extrémité
réduite des ongulés: cet os est devenu inutile, car
8*
LE ae eee
l'extrémité inférieure de tibia, aprés s'étre élargie et
tournée en dehors, a pris la fonclion du peroné. Le peroné
le l'Archaeopteryx ne montre pas ce raccourssissement:
au contraire il est plus long que le tibia. Ce fait (peu
important au premier aspect), mis par le pr. Dames au
nombre des caractéres du type embryonnaire du squelette
de l’ Archaeopteryx, mérite, semble-t-il, plus d'attention.
Cette particularité nous fait supposer que le méca-
nisme de l'articulalion du tarse de Jl Archaeopteryx se
développait d'une autre manière que chez les oiseaux
vivants. Il faut espérer qu'une étude plus détaillée de
cette articulation dans différents groupes de Dinosau-
viens nous donnera des renseignements sur les moyens
dont se servait l'extrémité des repliles, en se transfor-
mant en celle des oiseaux et des différents groupes des
Dinosauriens. Nous ne connaissons pas encore les restes
des oiseaux qui par la construction de leurs membres
de derrière pourraient nous expliquer la marche de ce
procédé. Il est probable que ce procédé a eu lieu dans
les premiers ages géologiques de l'existence de cette
classe. Maintenant, quand nous étudions le dernier ré-
sultat d'un pareil développement — membre déjà accompli
d'un oiseau—et le comparons à celui des reptiles, nous
pouvons nous figurer la marche probable du développe-
ment de cet organe; nous pouvons supposer le procédé
suivant: l'extrémité inférieure du tibia s'élargissait, en se
tournant en dehors autour de son axe longiludinal, et
s'emparail de tous les os de la première rangée du tarse;
cela fait, les résultats suivants ne manquérent pas à
s'effectuer: 1) Le peroné, déplacé de son contact avec
le tarse, devint rudimentaire. 2) Tous les tarsiens de la
premiere rangée, en s’articulant avec le tibia seul, com-
mencérent à fonctionner comme un seul os et se sont enfin
m dubi ces
soudés. (Nous apercevous encore ce stade chez l'embrvon
des oiseaux.) La marche suivante nous parait évidente:
nous voyons larticulation s’établir entre la première
et la seconde rangée des tarsiens, qui en méme temps
s'approchent du libia d'un cóté et des metatarsiens
de l'autre, enfin se soudent completement. Parallèlement
s’effectuait le raccoursissement du premier doigt et la
soudure de trois (chez Carinatae) métatarsiens. Ce der-
nier procédé ne s'est pas encore accompli chez tous
les oiseaux vivants: nous savons que les métatarsiens
des pingouins laissent voir les limites entre ces trois os,
méme quelquefois des espaces vides entre eux. En sup-
posant qu'une pareille marche de développement de cet
organe s'effectuait dansles temps géologiques, nous pou-
vons nous expliquer les particularités de l'organisation
et du développement embryologique de l'extrémité des
oiseaux.
En considérant la jambe de / Archaeopteryx, nous y
vovons les particularités étrangères aux oiseaux el nous
rappelant les Dinosauriens; d'un autre côté nous obser-
vons les métatarsiens soudés et les phalanges réduites
au type tetradactyle des oiseaux. A peine pourrait-on,
sans aucune hésitation, reconnaitre dans un pareil
membre le type embryonnaire de l'extrémité de l'oiseau.
En se basant sur ces considérations, à peine-pourrait-on
admettre les conséquences du professeur Damès que
voici: «Alle diejenigen Eigenschaften, welche die Archaeo-
pteryx auf den ersten Blick so seltsam und isolirt
erscheinen lassen, finden ihre natürliche Erklärung,
wenn man die individuelle Entwickelung des Vogels zum
Vergleich heranzieht und dabei im Auge behalt, dass
Archaeopteryx auf einer Stufe der Entwickelung der Vo-
gelclasse steht, auf welcher dieselbe die Vorderextremi-
— 118 —
tät noch nicht ausschliesslich zum ‚Fluge verwerthete
und dass in Folge dessen eine Reihe von Skeletverände-
rungen,. namenllich der Vorderextremitat und des Brust-
korbes, noch nicht: vor sich gegangen war oder noch
nicht die letzte Vollendung erreicht hatte, welche die
Anpassung an die Ausübung des Flugvermógens der
Vorderextremilat allein erheischte.
So stellt Avchaeopteryx mit ihren geologischen Nach-
folgern ein schönes Beispiel fur die Richtigkeit des bio-
genetischen Grundgesetzes. dar, nach welchem das Indi-
viduum heute dieselben Etappen der Entwickelung zu-
rücklegt, wie sein Stamm im Laufe der geologischen Pe-
rioden *).
Il faut admettre avec le professeur que la faculté du vol
de l’Archaeopteryx a du être trés imparfaite; son thorax et
sa ceinture thoracique fortifient cet opinion. Il est pro-
bable qu'il ne volait pas du tout, c'est à dire qu'il ne
pouvait pas s'élever dans les airs et franchir de grandes
espaces à l'aide des ailes; mais cependant on ne peut
pas affirmer que celte aile n'est. qu'une des phases. du dé-
veloppement de l'aile véritable des oiseaux vivants, et
que l'organisation de l'animal fait voir en lui le germe
du futur perfectionnement de l'organisme. Malgré les
recherches. approfondies, faites par le pr. Damés sur
l'organisation de ce fossile, cette forme nous parait étrange
et incompréhensible; nous doutons encore pour plusieurs
raisons que nous puissons lui donner la place. que lui
assigne Damés dans le système des oiseaux, la place
d'un ancétre des Carinates vivants. Si cette opinion sur
Г Archaeopteryx ne nous salisfait pas, quelle autre explica-
`*) Damés. Ueber Archaeopteryx. Palaeont. Abhandl. Zweiter Band
3 Heft. 1884. p. 62.
— 119 —
tion pourrons nous en donner? Ce que nous savons do son
organisation est insuffisant pour nous donner une réponse
satisfaisante. Mais il nous reste encore un bon moyen,
qui peut, il nous semble, éclaircir ce phenoméne, encore
obscur jusqu'à présent, faute de faits paleontologiques.
il ne serait pas superflu de voir s’il n'y a pas dans
d'autres groupes d'animaux, groupes bien étudiés, des
phénomènes plus ou moins analogues. N'y a-t-il pas
parmiles représentants d'autres groupes des formes qui
alent des traits particuliers, qui les distingueraient de leurs
parents? Si de pareilles formes existent, il faut examiner
comment la science a expliqué leur apparition; il faut
essayer d'utiliser les moyens dont se servait la science,
quand elle faisait ses recherches sur les groupes qui
nous ont donné des matériaux sürs. Les lois du dé-
veloppement des animaux, et surtout des animaux du
méme type vertébré, doivent étre les mémes.
Nous savons que, de tous les représentants du type
verlebré, les mammiféres sont le mieux étudiés; il est
vrai que les représentants préterliaires de cette classe
ne sont pas plus connus que ies oiseaux anciens, mais
nos connaissances sur les mammifères tertiaires sont si
complètes que nous pouvons en déduire des conséquences
tres intéressantes, qui pourrons nous instruire sur la
marche de l'évolution de ce groupe, et ces conséqnences
ne seront pas théoriques, mais fondées sur des fails cer-
tains. En considérant les mammifères fossiles, en étudiant
l'histoire géologique d'un groupe quelconque, qui soit
riche en représentants dansla faune actuelle. (les ongulés
p. ex.) nous observons que le plus grand perfectionne-
ment dans les derniéres époques géologiques alteint les
groupes les plus spécialisés, groupes, qui aprés élre par-
venus à un type déterminé de Vorganisation, adaple
— 12) —
à certaines conditions biologiques, ont réduit ce type en
l'amenant à une certaine organisation terminale.
Parmi les mammiféres nous pouvons citer: les rumi-
nants parmi les paridigités, et les chevaux parmi les im-
paridigités; les uns comme les autres montrent le dé-
veloppement de la surface trilurante des dents d'un côté
et d'un autre la réduction du mécanisme des membres,
poussée au maximum. Les félidés présentent un autre
exemple parmi les carnivores, groupe quia complètement
developpé la flexibilité des doigls et réduit la dentition.
Fn étudiant les ancétres de ces groupes, nous voyons
parmi eux les types peu spécialisés, portant les caracté-
res ambigus et nejonant pas de grand róle dans la faune
de leur temps; au contraire, nous connaisons les autres
formes voisines, surpassant méme les premières, dans le
développement d'un type spécial poursuivi par le groupe.
Pour le perfectionnement de ce type, il n'y a qu'une voie
la plus süre, mais elle n'etait pas suivie par ces dernié-
res formes, qui avaient pressé, pour ainsi dire, leur dé-
veloppement, en choisissant une autre direction; c'est
pourquoi leur régne n'a pas duré longlemps: elles dis-
paraissaient peu à peu, dounant place à leurs confréres,
qui suivaient d'une maniere lente la route de leur dé-
veloppement.
Le groupe des ongulés nous présente une „masse
d'exemples d'une pareille. marche d'évolution; nous
voyons les ruminants remplacer les Anoplotheridae, formes
qui s'étaient très 1ôt, mais inadaptivement réduites; les
cochons remplacer les Entelodons gigantesques, qui dans
le miocène encore, alteignirent le plus haut degré de la
réduction des membres, réduction que le groupe rem-
plaçant n'a pas atteint jusqu'à présent; les Paleotheridae
ponner place aux ancêtres polydactyles des chevaux ete.
ee
L'un et l'autre groupe remplissant, avec ou sans succes,
leur probléme biologique, sont si prochesl'un de l'autre
par les traits principaux de l'organisation, que nous avons
tout le droit de les regarder comme deux branches de
la méme souche ancienne, avec des caracléres encore moins
délerminés.
Une pareille marche de l'évolution nous parait évidente
pour quelques groupes des mammiféres, qui sont le plus
étudiés.
Passons maintenant aux oiseaux. Les oiseaux voiliers
(Carinatae), présentent aussi un groupe terminal extré-
mement spécialisé, groupe qui a simplifié le squelette de
son aile et de ses pieds et qui est parvenu à un type
spécial de l'organisation du thorax et de la queue.
Pour avoir une idée de la marcbe de l'évolution du
lype des oiseaux, nous devons (en nous basant sur les
documents embryologiques et paléontelogiques et sur
l'analogie avec d'autres groupes), arriver à la pensée que
ce type tire son origine d'un ancétre plus ou moins
éloigné, qui n'avait pas encore les traits caractéristiques
de la classe des oiseaux.
A peine pourrions nous croire que cette évolution ne
se faisait que d'une seule manière: il est probable qu’ii y
avait des branches latérales, qui avaient pris une autre
direction moins süre, avaient continué leur développe-
ment jusqu'à un certain stade de spécialisation, avaient
méme surpassé d'autres formes (qui poursuivaient le
méme but, mais d'une autre maniére), et néanmoins dis-
parurent, parce que la voie choisie ne pouvait pas les
amener au perfectionnement d'une organisalion solide,
adaptée à certaines conditions. Ne serait—il pas plus juste
de considérer 7’ Archaeopteryx comme le membre d'une:
des branches qui avaient pris une autre direction el
— 122 —
s'élaient écartées de leur rameau paternel qui a abouti
aux oiseaux actuels. Sans doute cet écartement a eu
lieu à une époque bien éloignée, quand les ancétres des
oiseaux présentaient justement des stades, qui peuvent étre
comparés à ceux que nous observons maintenant dans les
recherches sur l'embryologie des carinates. Nous serons
obligés alors de conclure que le rameau de J’ Archae-
oplerix a pris dans son évolution une autre voi, que
celle qui amena au perfectionnement du type spécial des
oiseaux vivants; qu'il a eu peu de chance dans cette
direction et a disparu enfin comme les ongulés anciens,
qui ont réduit inadaptivement leurs membres; p. ex. les
Anoplotheridae, les Palaeotheridae l'Entelodon etc. Il est
probable que cette branche latérale des oiseaux atteignit.
le plus haut degré de son développement dans la période
jurassique et, par le nombre des individus, jouait un róle
assez impertant dans la fauue locale d'alors, fait dont
nous sommes redevables à deux trouvailles pus con-
servées.
Considérant Г. Archaeopteryx comme membre dela branche
disparue du groupe des oiseaux, nous devons, sans
doute, renoncer à la pensée que nous connaissons les
ancêtres precretaces des Carinates; les connaissances
que nous possédons maintenant sur l'organisation de.
Г Archaeopteryx ne nous permettent pas de reconnaitre en
lui l'ancétre jurassique de la souche des Carinates. Il est
vrai que l'embryologie pourrait servir de guide sur
au paléontologiste, qui dispose de peu de documents sur
l'histoire géologique de cette classe; mais cette science ne
nous indique pas jusqu'à présent un stade qui se laisse
aisément comparer au prélendu ancétre jurassique des
oiseaux.
"o gag =
En me basant sur toutes les considérations précédentes,
je me permets de considérer en attendant l'embranche-
ment des Saurornites, comme une des trois grandes sub-
divisions de la classe des oiseaux: I Saurornites, II Ra-
titae, Ш Carinatae, placant, comme le fait M. Damés,
les Odontolcae parmi les Ratites et les Odontovmae parmi
les Carinates.
LISTE DES ALGUES OBSERVEES DANS LE GOUVERNEMENT
DE MOSCOU.
"Dar
A. Artari.
Dans cette liste des Algues, je n'offre pas au lecteur
l'énumeration complete des représentants de ce groupe qui
se rencontrent dans le gouvernement de Moscou; je me
bornerai à citer les espéces que j'ai observées et dé-
terminées dans le courant de l'année passée et de cette
année-ci.
Je me fais un devoir d'exprimer ma profonde recon-
naissance à M. le Professeur Goroschankine pour les indi-
cations qu'il a eu l'extréme obligeance de me donner
plus d'une fois.
Explications des abréviations.
Rabh. Fl. Alg.—Rabenhorst: Flora Europaea Algarum
aquae dulcis et submarinae. 1864—- 68.
Rabh. Krypt. Fl. v. Sachs.—Rabenhorst: Kryptozamen—
Flora von Sachsen etc. Leipzig. 1863.
Kirchn. Alg.—Kirchner: Algen. Zweiter Band, erste
Halite «Kryptogamen—Flora von Schlesien» hrsggb v. Prof.
F. Kohn. Breslau. 1878.
Reinsch, Algfl. v. Fr.—P. Reinsch: Die Algenflora des
mittleren Theiles v von Franken. Nurenberg. 1867.
Kutz. Tab. Phyc.—hutzing: Tabulae phyeologicae.
Nordhausen 1869.
Gorosch. Genes.—Goroschankine. Genesis chez les Pal-
mellacées. Moscou. 1874.
Naeg. Galt. einz. Alg.—Naegeli: Gattungen einzelli-
ger Algen. Zurich, 1849.
Ehrb. Inf.=khrenberg, Die Infusionsthierchen. Leipz.
1838.
DBy Conj.—De-Bary: Untersuchungen über die Fam.
der Conjugaten. 1858.
P. Pt. Sp.=P. Petit: Spirogyra des environs de Pa-
ris. 1880. |
1u.—1 micromillimétre=0,001 millimètre.
— 126 —
Ordre: Confervoideae ^")
a) Oosporeae.
Famille: Coleochaetaceae.
Famille: Oedogoniaceae.
Famille: Sphaeropleaceae.
b) Synzoosporeae et Asexuales.
Famille: Confervaceae.
1 groupe: Cladophorinae.
2 groupe: Ulotrichinae.
Ordre: Siphoneae,
Famille: Vaucheriaceae.
Famille: Botrydiaceae.
Ordre: Protococcoideae,
Famille: Volvocaceae.
Famille. Protococcaceae.
Famille: Palmellaceae.
- Ordre: Zygosporeae,
Famille: Conjugatae.
1 groupe: Zygnemeae.
2 groupe: Desmidieae.
*) En fait de Classification, je me guide sur l'ouvrage de М. Kirch-
wer. Algen von Schlesien.
mé gay oc
Ordre: Confervoideae.
a) Oosporeae.
Famille: Coleochaetaceae.
Genre: Coleochaete Brép.
1. Coleochaete scutata Bréb. (Rabh. Fl. Alg. 390; Bréb.
Aun. des sc. nat. 1844).
localité. Dans les environs de Moscou (Bogorodsky, Rostokino)
sur les plantes aquatiques (Nuphar luteum, Lemna trisulca).
2. Coleochaete pulvinata A. Br. (Rabh. Fl. Alg. 389;
Kirchn. Alg. 49; Ktz. Tab. phyc. IV, 20).
Localité. Dans les mémes endroits,
9. Coleochaete soluta Pringsh. (Rabh. Fl. Aig. 33$;
Kirchn. Alg. 50; Pringsh. Jahrb. fur wiss. Bot. Bd. И,
1856).
Localité. Dans les mémes endroits.
Famille: Oedogoniaceae.
Genre: Oedogonium Lk.
4. Oedogonium undulatum Kg. (Rabb. Fl. Alg. 351;
hirchn. Alg. 54).
Diamètre des filaments végétatifs 15 —17u *).
Oogones 51—54u de largeur.
Localité. Etang de Pétrowsky-Rasoumowsky, prés de l’Acade-
mie d’Agriculture.
*) Les dimensions sont indiquées d’après mss observations.
— 128 —
Famille: Sphaeropleaceae.
Genre: Sphaeroplea. Ag.
5. Sphaeroplea annulina Ag. Seule espèce. (Rabh. Fl.
Alg. 318; Kirchn. Alg. 64; Cohn. Ann. des sc. nat. V. 1856).
Diamètre des filaments 36—64 u.
Localité. Sokolniki, dans les fossés de la forêt (Avril): Jardin
botanique de l'Université, fossé; prés de Rostokino, dans les fossés
et les marais (Avril, Mai).
Genre: Cylindrocapsa Reinsch.
6. Cylindrocapsa involuta Reinseh. (Kirchn. Alg. 65;
Reinsch, Algfl. v. Ег. 66—67).
Diamètre des filaments 27—30u.
Localité. Près de Bogorodsky, fossé de la forêt (Août).
b) Synzoosporeae et Asexuales.
Famille: Corfervaceae.
Genre: Draparnaldia Ag.
1. Draparnaldia glomerata Ag. (Rabh. Fl. Alg. 381;
Kirchn. Alg. 67; Kutz. Tab. phycol. Ш, 3). —
Diamétre des filaments 45—GOu.
Localité. Près de Bogorodsky, fossé de la forêt.
Genre: Chaetophora Schrank.
8. Chaetophora endiviaefolia Ag. (Rabh. Fl. Alg. 385;
Kirchn. Alg. 69; Ktz. Tab. phycol. Ш, 5).
Diamétre des filaments: a) axe 101%; rameaux 7— U.
Genre: Ulothrix Kg.
J. Ulethrix parietina Kg. .Rabh. Fl. Alg. 367 et 368;
Kirchn. Alg. 78; Ktz. Tab. phycol. II, 31).
Diamètre des filaments 18—15p.
Localité. Sokolniki, sur les troncs d'arbres.
Genre: Conferva Lk.
10. Conferva vulgaris (Rabh.) (Kirchn. Alg. 79) [Micro-
spora vulgaris Rabh., Fl. Alg. 321].
ang
Diamètre des filaments 10—12p. .
Localité. Prés de Bogorodsky, dans les fossés de la forét.
Ordre: Siphoneae,
Famille: Vaucheriaceae.
Genre: Vaucheria DC.
11. Vaucheria geminata DC. (Rabh, Fl. Alg. 263; Kirchn.
Alg 84; Walz, Jahrb. f. wiss. Bot. V. Bd. p. 147).
Localité. Près du village Zwiaguino, dans un ruisseau (Août).
12. Vaucheria sessilis DC. (Rabh. Fl. Alg: 267; Kirchn.
Alg. 82, Walz. Jahrb. f. wiss. Bot. V, 145—146; Ktz.
Tab. phyc. Vi, 21). |
Genre: Botrydium Wallr.
13. Botrydium granulatum Grev. Seule espéce. (Kirchn.
Alg. 83; Reinsch, Algíl. v: Fr. 219; Rostafinski et Wo-
ronin. Ueber Botr. gran. Bot. Zeit. 1877, p. 649).
Localité. Prés de Grandes—Mytistchi; prés de Bogorodsky, sur
la terre humide (Juillet, Août).
Ordre: Protococcoideae.
Famille: Volvocaceae.
Genre: Volvox Ehrb.
14. Volvox Globator Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 97; Kirchn.
Alg. 86—87; Gorosch. Genes 28—32; Cohn, Entwickelungs-
gesch. der Gatt. Volvox, Beitr. z. Biol. der Pflanz., I, 1875 ;
Ehrb. Inf. T. МВ.
Colonies de 300 à 1.400». de diametre.
Cellules végét. Eu.
Oospores 56 — 70u. *)
Localité. Environs de Moscou, dans les eaux stagnantes.
*) D’aprés Goroschankine.
№ 3. 1884. 9
— 130 —
15. Volvox minor Stein. (Rabh. Fi. Alg. 97; Kirchn.
Alg. 87; Stein, der Organismus d. Infusionsthiere, T. XVII,
f. 5—12).
Local. Prés de Bogorodsky, dans une flaque (Belajew).
Genre: Eudorina Ehrb.
16. Eudorina elegans Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 98; Kirchn.
Alg. 88; Gorosh. Genes. 15—95; Ehrb. Inf. T. Ш, VI).
Colonies 50—140». de diam. en long.
Cellules 10— 251.
Oospores 22— 26p. *).
Local. Trés répandu. Dans les flaques remplies d'eau de pluie et
colorées en vert; dans les eaux stagnantes entre les algues filamen-
teuses.
Genre: Pandorina Bory.
17. Pandorina Morum Bory (Rabh. Fl. Alg. 99; Kirchn.
Alg. 89; Gorosh, Genes. 25—26). 3
Colonies 20—120p. de diam.
Cellules | 6 — 12y.
Zygospores 16 — 920p. **)
Local. Trés répandu. Dans les eaux stagnantes.
18. Synura Volvox Ehrb. a Alg. 98; Ehrb. Inf.
TOME VID.
Local. Dans les eaux stagnantes ; des environs de Moscou.
| Genre: Gonium Muller. _
19. Gonium pectorale Muller. (Rabh. Е. Alg. 99;
Kirchn. Alg. 90. Gorosh. Genes. 26—27; Ehrb. Inf. III, T).
Colonies 60—80 u. de largeur.
Cellules végét. 8—14 p. ***
Local. Assez répandu. Dans les eaux stagnantes.
*) D'aprés Goroschankine.
**) D'aprés Goroschankine.
x) D’après Goroschankine.
= Asst
! Genre: Chlamidococcus A. Br.
20. Chlamidococeus pluvialis A. Br. (Kirchn. Alg. 93;
Rabh. Fl. Alg. 93). |
Cellules végét. 21—54 y. de larg.
Kystes 40—63 p. de diam.
Local. Environs de Moscou, dans les flaques remplies d'eaux de
pluie. |
Genre: Chlamidomonas Ehrb.
21. Chlamidomonas Pulvisculus Ehrb. (Kirchn. Alg. 92:
Rabh. Fl. Alg. 94; Ehrb. Infth. T. ПЬ X).
Local. Trés répandu. Dans les eaux stagnantes.
22. Chlamidomonas Braunii Gorosch. (Gorosch. Genes.
о.
Cellules végét. 12—20p.
Macrogamétes. | 20—22p.
Microgamétes 6—10p.,
Zygospores 18—21y. |
Local. Prés de Vladykino, dans les flaques colorées en vert.
Famille: Protococcaceae.
A. Coenobiae.
Genre: Hydrodictyon Roth.
23. Hydrodictyon utriculatum Roth. Seule espéce. (Rabh.
Fl. Alg. 66; Kirchn. Alg. 94; Kutzing, Tabulae phyc. V. 53).
Localité. Dans un étang prés du bord de l'Oka (district de Ser-
poukhow).
Genre: Pediastrum Meyer.
24. Pediastrum Boryanum Menegh. (Rabh. Fl. Alg. 74;
Kirchn. Alg. 95; Naeg. Einz. Alg. 95; Reinsch. Algfl. v.
Fr. 96).
Localité. Étang prés de l'Académie d'Agriculture (Petrowsky-
Rasoumowsky), entre les algues filamenteuses
*) Cette espéce a été décrite dans l'ouvrage de M. Goroschankine
sous le nom de Chlam. Pulvisculus Ehrb. ae
— 132 —
25. Pediastrum pertusum Kg. (Rabh. FL Alg. 15; Kirchn.
Alg. 95; Reinsch, Algíl. v. Fr. 92—94).
Localité. Dans le méme endroit.
26. Pediastrum Rotula Ehrb. Rabh. Fl. Ale. 79; Kirchn.
Alg. 96). |
Localité. Bogorodsky, dans un ruisseau, entre les algues fila-
menteuses.
Genre: Coelastrum Nàg.
27. Coelastrum microporum Nag. (Kirchn. Alg. 97; Rabh.
Fl. Alg. 80).
Diamétre des calles 12- -14и.
Localité. Étang prés de l'Académie d'Agriculture tons 1
Rasoumowsky).
Genre: Sorastrum Kg.
28. Sorastrum spinulosum Kg. (Kirchn. Alg. 97; Rabh.
Fl. Alg. 81; Reinsch, Algfl. v. Frank. 86; Naeg. Gatt.
einz. Alg. 91).
Colonie 36—39u. de diamètre.
Cellule 15—15p. de largeur.
Loealité. Prés de Bogorodsky, dans le fossé de la forét, entre
les algues filamenteuses.
29. Sorastrum bidentatam (?) Reinsch (Reinsch. Algfl. v.
Fr. 86; Rabh. Fl. Alg. 81).
Localité. Étang prés de l’Académie d’Agriculture (Pétrowsky-
Rasoumowsky).
Genre: Scenedesmus Meyen.
30. Scenedesmus acutus Meyen (Rabb. Fl. Alg. 64;
Kirchn. Alg. 98).
Cellules 4—5p. de largeur.
Localité . Répandu.
31. Scenedesmus obtusus Meyen. (Kirchn. Alg. 98; Rabh
Fl. Alg. 63; Naeg. Gatt. einz. Alg. T. V, f. 1).
Cellules 4—6p, de larg.
Localité. Répandu.
— 133 —
32. Scenedesmns caudatus Corda. (Kirchn. Alg. 98).
Cellules 6—9p. de largeur.
Local. Répandu. |
33. Scenedesmus dimorphus Kg, (Kirchn. Alg. 98; Rabh.
Fl. Alg. 64).
Cellules 4—4,5p. de larg.
Local. Répandu.
B. Pseudocoenobiae.
Genre: Sciadium A. Br.
34. Sciadium Arbuscula A. Br. (Rabh. Krypt. Fl. v.
Sachs. 138; Kirchn. Alg. 99). |
Cellules 4—5p. de larg.
Localité. Prés de Bogorodsky, fosse de la forét, sur les algues
filamenteuses. |
C. Eremobiae.
Genre: Characium A. Br.
35. Charaeium obtusum A. Br. (Rabh. Fl. Alg. 83;
Kirchn. Alg. 83). | 7
Cellules 12—15y. de largeur.
Local. Dans les environs de Moscou, sur les algues filamenteuses.
36. Characium pyriforme A. Br. (Hydrianum pyriforme
Rabh.) [Kirchn. Alg. 101].
Cellules 8—10z. de larg.
Local. Bogorodsky, fossé de la forêt, sur les algues filamenteuses-
37. Characium longipes Rabb. (Kirchn. Alg. 102; Rabh.
Fi. Alg. 85).
Cellules 9,2u. de larg.
27,6. de long.
Local. Dans le même endroit.
— 134 —
Genre: Protococcus Ag.
38. Protococcus viridis Ag. (Kirchn. Alg. 103).
Diamétre des celllues 3—12y.
Loeal. Assez répandu. Sur les pierres, troncs d'arbres; sur la terre
humide.
Genre: Polyedrium Nig.
39. Polyedrium trigonum Näg. (Rabh. Е. А]. 61;
Kirchn. Alg. 104; Reinsch., Algfl. v. Fr. 75, Nag. Gatt.
einz. Alg. 84). :
Diamètre des cellules 19—18p.
Local. Étang prés de l’Acad. d'Agriculture, Petr.-Rasoumowsky.
Famille: Palmellaceae.
Genre: Dictyosphaerium Nag.
40. Dictyosphaerium Ehrenbergianum Nag. (Kirchn. ate
106; Rabh. Fl. Alg. 47; Nag. Einz. Alg. 73).
Cellules 4—7p. de largeur.
Local. Bogorodsky, dans un ruisseau.
Genre: Palmella Lyngb.
41. Palmella uvaeformis Kg. (Kirchn, Ale. 110; Rabh.
Krypt. Fl. v. Sachs. 129).
Cellules 5—7p. de diamètre.
Localité. Assez répandu. Dans les eaux stagnantes.
Genre: Gloeocystis Nag.
49. Gloeocystis ampla Rabh. (Rabh. Fl. Alg. 29; Kirchn
Alg. 112). ;
Cellules 10—12p.
Localité. Étang de l'Académie d’Agriculture, Petrowsky-Rasou-
mowsky.
Genre: Rhaphidium Kg.
43. Rhaphidium polymorphum Fres. (Kirchn. Alg. 113;
Rabh. Fl. Alg. 44).
Cellules 15—20 fois plus longues que larges; largeur des cellu-
les 2—3u.
Localité. Assez répandu.
See
Genre: Pleurococcus Menegh.
44. Pleuroccocus vulgaris Menegh. | (Kirchn. Alg. 114;
Rabh. Fl. Alg. 24).
Cellules 3—6p. de largeur.
Localité. Répandu. Sur les pierres, troncs des arbres etc.
Genre: Eremosphaera D. By.
45. Eremosphaera viridis D. By. Seule espéce (Rabh.
Fl. Alg. 23; Kirchn. Alg. 115; De Bary, Untersuch. ub.
die Fam. der Conjugat. p. p. 55—6).
Diamétre des cellules 119—141u.
Localité. Bogorodsky, fossé de la forét, entre les Desmidieae.
Ordre: Zygosporeae,
Famille: Conjugatae.
l groupe: Zygnemeae.
1 sous-groupe: Zygneminae.
Genre: Spirogyra Link. |
46. Spirogyra quinina Kg. (Rabh. Fl. Alg. p. 240;
Kirchn. Alg. 118). |
Diamètre des filaments végétatifs 27—30z.
Local. Prés de Bogorodsky, dams les fossés et les mares.
47. Spirogyra orbicularis Kg. (Kirchn. Alg. 118; Rabh.
Eum 213 P. Pi. $p.: ps 9 Kize, Tab. phyc. V,
pl. XXVII).
Diam. des fll. végét. 84—120y.
Local. Près de Zwiaguino, dans un fossé (Août).
18. Spirogyra setiformis Kg. (Rabh. Fl. Alg. 246; kirchn.
Alg. 119; P. Pt. Sp. 29; Ktzg. Tab. phyc. V. pl. XXVIII).
Diam. des filam. vég. 102— 112p.
49. Spirogyra crassa Kg. (Rabh. Fl. Alg. 246; Kirchn.
Alg. 119; P. Pt. Sp. 32; Kizg. Tab. phyc. V, pl. XVIII).
Local. Dans un étang prés du bord de ГОКа (District de Ser-
poukhow).
— 136 —
50. Spirogyra tenuissima Kg. (Rabh. Fl Ао. 233;
Kirchn. Alg. 119; P. Pt. Sp. 6; Ktzg, Tab. phye. V,
pl. XXXIID. o
Diam. des fil. vég. 10,5—12p.
Local. Assez répandu.
51. Spirogyra Weberi Kg: (Rabh. Fl. Alg. 233; Kirchn.
А. 1120. P..Pt; Sp. 9; Kiz Dabophye Map:
Diam. des fil. vég. 16—28p.
Local. Assez répandu. |
52. Spirogyra Grewilleana Kg, (P. Pt. Sp. 10); (Kirchn.
Alg. 120) [Sp. Weberi, var. Grewilleana].
Diam. des filam. végét. 24—90y.
Cellules 4 à 10 fois plus longues que larges.
Cellules fructifères (fortement renflées) 36—40p. de larg.
Zygospores 30—86. de diam. en larg.
Local. Prés de Bogorodsky, dans un ruisseau.
53. Spirogyra varians Kg. (Rabh. Fl. Alg. 239; Kirchn,
Ale. 121; P:.Pt. Sp. 19; Tab. phye: №, ph XXXIV):
Diam. dos fil. vég. 33—39z.
Local. Prés de Bogorodsky, fossés et mares.
54. Spirogyra dubia Kg. (Rahh. Fl. Alg. 243; Kirchn.
Als. 122; Tab. phyc: V, pag. 8).
Diam. des filam. végét. 49—48y.
Local. Dans le méme endroit.
35. Spirogyra communis Kg. (Rabh. Fl. Alg. 237; Kirchn.
Alg. 122; P. Pt. Sp, 16; Ktz. Tab. phyc. V, pl, XIX).
Diam. des fil. végét. 18— 244.
Diam. des zygosp. | 18—22y.
Local. Dans le méme endroit.
56. Spirogyra longata Kg. (Rabh. Fi. Alg. 238; P. Pt.
Sp. 20; Kirchn. Alg. 123; Kzg. Tab. phyc. V, pl. XX).
— 157 —
Diam. des fil. veg. 27—80v.
Diam. des zygosp. 21—27p.
Local. Assez répandu.
57. Spirogyra nitida Lk. (Rabh. Fl. Alg. 245; Kirchn
Alg. 123; P. Pt. Sp. 28; Ktz. Tab. phye, V, pl. XXVII).
Diam. des fil. vég. 54—63y.
Diam. des zygosp. 52—60u.
Local. Prés de Rostokino, dans un ruisseau.
58. Spirogyra fluviatilis Hilse (Rabh. Fl. Alg. 243; Kirchn.
Alg. 124; P. Pt. Sp: 27).
Diam. des fil. vég. 39y.
Local. Prés du bord de l'Oka, dans un étang. (District de Ser
poukhow).
Genre: Sirogonium Kg.
59. Sirogonium stieticum Kg. (Kirchn. Alg. p. 125;
Rabh. Fl. Alg. 256; P. Pt. Sp. p. 34; Ktz. Tab. phyc. V,
pl. 4).
Diam. des fil. végét. 40—48u.
Local. Prés de Bogorodsky, dans une fossé.
Genre: Zygnema Kg.
60. Zygnema cruciatum Ag. (Rabh. Fl. Alg. 251; Kirchn.
Alg. 126; Tab. phyc. V. pl. 17).
Diam. des fll. vég. 40—45p.
Local. Près de Bogorodsky, dans les fossés et les mares.
2 sous-groupe: Mesocarpinae.
Genre: Mesocarpus Hass.
61. Mesocarpus sealaris Hass. (Kirchn. Alg. 128; Rabh.
ВЕ Ton. Diyc. Y, Di. à,
Diam. des fil. vég. 25—30u.
cz IB —
2 groupe: Desmidieae.
Genre: Hyalotheca Ehrb.
62. Hyalotheca dissiliens Bréb. (Kirchn. Alg. 131; Rabh;
Fl. Alg. 152).
Diam. des fil. vég. 27—30u.
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés de la forét.
Genre: Desmidium Ag.
63. Desmidium cylindricum Grév. (—Didymoprium Gre-
villei Kg). (Kirchn. Alg. 132). |
Diam. des filam. 60—63u.
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés de la forét.
64. Desmidium Sehwartzii Ag. (Kirchn. А]. 132 Rabh.
Fl. Alg. 154; de Dy. Conj. p. 76).
Cellules 39—42u. de largeur.
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés etles ruisseaux.
| Genre: Penium Bréb.
65. Penium interraptum Bréb. (Kirchn. Alg. 135; De By.
Conj. Pl. V, f. 1—4).
Cellules 36u. de larg.
Local. Prés de Bogorodsky, gus les fossés de la forét, entre
les algues filamanteuses. ian
66. Penium closterioides Ralís (Kirehn. Alg. de
Cellules 39—42y. de larg.
Local. Dans le méme endroit. |
67. Penium Navicula Bréb. (Kirchn. Alg. 135).
Cellules 15u. de larg. |
Local. Dans le méme endroit.
Genre: Spirotaenia Bréb. |
68. Spirotaenia condensata Breb. (Kirchn. Alg. 136;
Rabh. Fl. Alg. 146; De By. Conj. Pl. V, f. 12).
Cellules 21—24u. de larg. |
Local. Dans le méme endroit.
— 139 —
Genre: Closterium Nitzsch.
69. Closterium gracile Bréb. (Kirchn. Alg. 137).
Cellules 6u. de larg.
Local. Dans le méme endroit.
10. Closterium striolatum Ehrb, Var. elongatum Rabh.
(Kirchn. Fl. Alg. 139; Rabh. Fl. Alg. 126).
Cellules 30,36p. de glar.
Local. Dans le méme endroit.
11. Closterium Cornu Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 137; Kirchn.
Alg. 140; Ehrb. Inf. PL VI, V). -
Cellules 6—7u. de larg.
Local. Dans le même endroit.
12. Closterium Dianae Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 133; Kirchn.
Alg. 140; Ehrb. Inf. Pl. V, XVID.
Cellules 18u. de larg.
Local. Dans le méme endroit.
73. Closterium Venus Kg. (Rabh. Fl. Alg. 134; Kirchn.
Alg. 140).
Cellules Qu. de largeur.
Local. Dans le méme endroit.
74. Closterium parvulum Nag. (Rabh. Fl. Alg. 134;
Kirchn. Alg. 141; Naeg. Einz. Alg. p. 106. T. VI. С.
Fr; De Ву. Conj. T. V, f. 14—23).
12u. de largeur.
Local Etang près de l'Académie d’Agriculture à Pétrowsky-
Rasoumowsky; entre les algues filamenteuses.
15. Closterium Ehrenbergii Menegh. (Rabh. Fl. ce 131:
Kirchn. Aly. 141).
78u. de larg.
Local. Prés de Bogorodsky, dans un ruisseau.
16. Closterium moniliferum Ehrb. (Rabh. FI. Alg. 131:
— 140 —
Kirchn. Alg. 141; Naeg. einz. Alg. p. 106; T. VI, C.;
Ehrb. Inf. T. V, f. 16). |
a) Genuinum Kirchn. 48—51u. de larg.
b) angulatum Rabh.
Local. Prés de Zwiagino, dans un ruisseau; prés de Bogorodsky.
77. Closterium rostratum Ehrb. (Kirchn. Alg. 141; Rabh.
Bl. Ale, 135: Ehrb. Inf. VE ВЫХ,
24u. de larg.
Local. Prés de Zwiagino, dans un ruisseau.
18. Closterium Kutzingii Bréb. (Kirchn. Alg. MA.
18u. de larg.
Local. Dans le méme endroit.
Genre: Calocylindrus DBy. ©
19. Calocylindrus connatus Bréb. (Cosmarium connatum
Bréb.) [Kirchn. Alg. 143].
48u. de larg.
90u. de long. |
Local. Prés de Bogorodsky, fossé de la forét, entre les algues
filamenteuses. (Une fois).
Genre: Pleurotaenium Nag.
80. Pleurotaenium Trabecula Nag. (Naeg. einz. Alg.
р. 104. T. VI. A; Rahh. Fl. Alg. 141; Kirchn. Alg. 145).
27 — 3du. de larg.
270 — 400p. de long. .
Local. Assez répandu.
81. Pleurolacnium nodulosum DBy. (P. crenulatum me
[Kirchn. Alg. 144].
60u. de largeur.
Local. Près de Bogorodsky; fossé de la forêt.
82. Pleurotaenium coronatum Rabh. (Rabh. Fl. Alg. 143;
Kirchn. Alg. 144).
— 141 —-
40u. de larg.
_ 400u. de long.
Local. Dans le méme endroit: |
Genre: Cosmarium Corda.
83. Cosmarium tumidum Lindell. (Kirchn. Alg. 147).
30u. de larg.
| 99H. de long. |
84. Cosmarium punctulatum Bréb. (Kirchn. Alg. 148;
Rabh. Fl. Alg. 157).
30u. de larg.; 34u. de long.
85. Cosmarinm Meneghini Dréb. (Rabh. Fl. Alg. 163;
Kirchn. Alg. 148; Naeg Eninz. Alg. T. VII A).
Local. Assez répandu.
86. Cosmarium margaritiferum Menegh. (Rabh. Fl. Alg.
157; Kirchn. Alg. 150; Ehrb. Inf. T. 12. f. VII [Euastrum
marg. |).
Var. genuinum Kirchner.
42—48u. de larg.
Local. Étang de Pétrowsky-Rasoumowsky.
87. Cosmarium Botrytis Menegh. (Rabh. Fl. Alg. 155;
Kirchn. Alg. 151).
40— 45u. de larg.
51—57u. de long.
Local. Assez répandu.
88. Cosmarium biretum Bréb. (Rabh. Fl. Alg. 171;
Kirchn. Alg. 154).
62u. de larg.
66u. de long.
Local. Étang de Pétrowsky-Rasoumowsky. (Une fois).
e.
Genre: Xanthidium Ehrb.
89. Xanthidium aculeatum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 222;
Kirchn. Alg. 155; Ehrb. Inf. T. X, f. 23).
64u. de largeur.
Local. Près de Bogorodsky, dans un ruisseau.
90. Xanthidium fasciculatum Ehrb. (Rabh. FI. Alg. 293;
Kirchn. Alg. 155; Ehrb. Inf. T. X. fig, 24).
54u. de larg.
Local. Dans le méme endroit. .
Genre: Arthrodesmus Ehrb.
91. Arthrodesmus convergens Ebrb. (Rabh. Fl. Alg. 227;
kirchn. Alg. 156; Ehrb. Inf. T. X, f. 18).
42. de larg. |
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés.
Genre: Euastrum Ehrb.
92. Euastrum oblongum Ralfs (Rabh. Fl. Alg. 181;
Klrchn. Alg. 157; Ehrb. Inf. T. XII, f. 4). т
78 — 84u. de largeur.
144 — 160u. de longeur.
Decl Prés de Romachkowo; prec de Bogorodsky; dans lesfossés -
et les mares.
93. Euastrum ansatum Ralfs. (E Ralfsii PNIS Fl. Alg,
iu [Kirchn. Alg. 158].
42u. de larg., 87u. de long.
Local. Prés de Bogorodsky, fossés de la forét.
94. Euastrum elegans Kg. (Rabh. Fl. Alg. 185; Kirchn.
Alg. 159; Euastr bidentatum Naeg. Einzel. Аш. T. VII
Dior «d.
27—36u. de larg. 54—57u. de longueur.
Local. Assez répandu.
. 95. Euastram binale Ralfs (Rabb. Fl. Alg. 186; Kirchn.
Aig. 159).
— 143 —
15,18u. de larg.; 18,21u. de longueur.
Local. Bogorodsky, dans les fossés. |
96. Euastrum verrucosum Ehrb. (Rabh. Fl Alg. 179;
Kirchn. Alg. 160; Ehrb. Inf. T. XID. —
63,694. de larg.; 78,81u. de long.
Local. Prés de Bogorodsky, dans un ruisseau.
| Genre: Micrasterias Ag.
97. Micrasterias rotata Ralfs (Kirchn. Alg. 162; Rabh.
Fl. Alg. 191; (M. furcata Ag.); Ehrb. Inf. T. ХИ, f. 1.
Euastrum Rota.). |
| | 276,279,281p. de long.
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés de la forét.
98. Micrasterias denticulata Bréb. (Киево. Alg. 162;
Rabh. Fl. Alg, 192. (M. furcata, v. denticulata).
| | 249,251». de longueur. |
Local. Dans le méme endroit. Mun
Genre: Staurastrum Meyen.
99. Staurastrum muticum Bréb. (Rabh. Fl. Alg. 200;
Kirchn. Alg. 163).
21—90p. de largeur.
100. Staurastrum orbiculare Ralfs. (Rabh. Fl Alg. 200;
Kirchn. Alg. 164; Ehrb. Inf. T. X, f. 9).
36—45. de largeur.
Local. Prés de Bogorodsky, dans un ruisseau.
101. Staurastrum punctulatum Bréb. (Rabh. Fl. Alg. 208;
Kirchn. Alg. 164).
28,5u. de largeur.
Local. Dans le méme eudroit.
102. Staurastrum dilatatum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 207;
Kirchn. Alg. 165; Ehrb. Inf. T. X, f. 13).
21 —27y. de largenr.
— 144 —
103. Staurastrum echinatum Bréb. (Rabh. Fl. Alg. 213;
Kirchn. Alg. 166). |
| 94— 396p. de larg.
Local. Prés de Bogorodsky, fossé; Petr.-Pasoum., étang. prés de
l'Acad. d'Agric.
104. Staurastrum spongiosum Bréb. (Rabh. FI. Alg. 217;
Phycastrum Griffithianum Naeg. Einz. Alg. T. VIII, C.;
Kirchn. Alg. 166).
| 49—52p. de larg.
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés.
105. Staurastrum tetracerum Rabh. (Kirchn. Alg. 168).
24,264. de largeur. -
Local. Étang de Petrowsky-Rasoumowsky.
106. Staurastrum dejectum Bréb. (Rabh. Fl. Alg. 203
Kirchn. Alg. 168; De By., Conj. Tab. VI, f. 25—32).
28—30p. de largeur.
Local. Prés de Bogorodsky, dans les fossés,
Moscou, le 13 Novembre 1884.
EIN BEITRAG ZUR KENNTNISS DER IM BAIKAL-SEE
LEBENDEN ANCYLUS-ARTEN
von
Dr. W. Dybowski in Niankow.
———— —
Hiezu Taf. IV.
Die von mir bearbeitete Monographie der Baikal-
Schnecken *) veranlasste die beiden Forscher des Baikal-
Sees, den Dr. B. Dybowski und V. Godlewski zu
neuen Untersuchungen am genannten See. Die Aufgaben,
welche unsere Forscher in Bezug auf die Gasteropoden-
Fauna dieses Mal sich gestellt hatten, waren folgende:
1) Die Ergründung der von den einzelnen Schnecken-
Arten bewohnten Tiefen, und
2) Die Prüfung der Selbstständigkeit jener Arten.
Diesen wiederholten Forschungen am Baikal-See haben
wir sowohl eine móglichst genaue Angabe über die Tie-
—
\
*) Cfr. W. Dybowski, die Gasteropoden-Fauna des Baikal-Sees
(Mém. de l’Acad. de Sc. de St.-Pétersb. VII Ser. Tm. XXII. Ne 8. 1875).
А 3. 1884. 10
=
fen, in welchen die einzelnen Schnecken-Arten sich be-
finden, als auch eine neue, sehr reiche Collection der
Baikal-Mollusken, zu verdanken. Die Resultate ihrer
Untersuchungen haben die beiden Forscher mir, zur wis-
senschaftlichen Bearbeitung, güligst überlassen.
Eine tabellarische Uebersicht der Wohntiefen aller bis
jetzt bekannten Baikal-Schnecken habe ich veröffentlicht;
mit der Bearbeitung der Mollusken bin ich eben be-
schäftigt. |
Um mir diese Bearbeitung zu erleichtern, will ich die
einzelnen Gattungen gesendert iu Betracht ziehen, und habe
eben die Untersuchung der Ancylus-Arten abgeschlossen,
deren Resultate die vorliegende Mittheilung zum Ge-
senstand hat. In meiner Monographie der Baikal-Schnec-
ken (1. c. p. 61.) habe ich nur zwei Ancylus-Arten
angeführt und zwar: Anc. sibiricus Gerstfeld und Anc.
Troschelii Dybowski; in der neuen Collection habe ich
noch eine dritte Art entdeckt, welche ich zu Ehren
meines hochverehrten Freundes und Fachgenossen, Herrn
Dr. Karl v. Renard, Prasid. d. Kais. naturfor. Gesell. in
Moscou, Ancylus Renardi nennen will. :
Abgesehen davon, dass ich die beiden ersteren Arten
schon vorher (l. c,) abgebildet und beschrieben habe,
vill. ich hier jedoch alie drei Arten beisammen in Betracht
ziehen, um dadurch die Kenntniss über die beiden ersteren
Species, zu erweitern nnd zu vervollständigen.
Bevor ich aber zur speciellen Beschreibung schreite,
will ich hier zwei besondere synoptische Uebersichten
aller Arten vorausschicken. Die eine. Synopsis habe ich
nach der Form und Gestalt der Gehäuse, die andere
*) Cft. W. Dybowki, Przyczynck do fauny s'limaków bajkalchich.
(Wiadomosei z nauk przyrodzonych. Warszawa Tm. I. 1880 v.
| cun
dagegen nach der Form und Gestalt der Zahnplatten
zusammengestellt, um dadurch zu zeigen, dass die nach
ihren Schalen nahe zu einander stehenden Arten durch
die Beschaffenheit ihrer Zahnplatten auseinander weichen
und umgekehrt.
Synoptische Uebersicht der Ancylus- Arten.
I. Nach der Form und Gestalt der Gehäuse.
A) Das Gehäuse ist spitz kegelfórmig.
a) Der Wirbel ist stark nach links umgebogen.
1) Ancylus sibiricus (vid. Taf. IV. Fig. 3, a. b.).
b) Der Wirbel ist nach hinten umgebogen.
2) Ancylus Troschelu (vid. Taf, IV. Fig. 1. a. b.) *).
В) Das Gehäuse ist stumpf kegelfórmig.
a) Der Wirbel ist abgerundet und steht in der Mitte
des Gehäuses.
3) Ancylus Renardii (vid. Taf. IV. ЕН. 2. a. b.).
|. Nach der Form und Gestalt der. Zahnplatten.
A) Die Zahnplatten sind länglich schmal und be-
trächtlich an Zahl (75 Glieder zu je 65 Zahnplatten);
der Buckel ist länglich, der Seiten-und Nebenzahn sind
lateralwarts gestellt. Die Krone ist lang und schmal.
a) Der Seiten-und Nebenzahn sind stumpf und abge-
rundet.
*) Man sollte erwarten, dass diese beiden nach ihren Schalen nahe
zu einander stehenden Arten (A. sibiricus und A. Troschelii), eben-
_ falls ähnlich beschaffene Zahnplatten besitzen; man ist aber überrascht
. gerade das Gegentheil zu finden (vid. sinopiis II).
10*
=> EB.
1) Anc. Troschelà (vid. Taf. IV. Fig. 5).
b) Der Seiten-und Nebenzahn sind spitz.
2) Anc. Renardii (vid. Taf. IV. Fig. 4) *)
В) Die Zahnplatten sind breit und mächtig, und gerin-
ger an der Zahl (60 Glieder zu je 32 Zahnplatten). Der
Buckel ist quergerichtel, dick und plump; der Seiten-
und Nebenzahn sind medialwarts gestellt. Die Krone ist
sehr breit und gross.
3) Anc. sibiricus (vid. Taf. IV. Fig. 6).
Nachdem wir alle drei Arten nach ihren Haupt-
Merkmalen kennen gelernt haben, gehen wir nun zu
specieller Beschreibung dieser Arten über.
I) Ancylus sibiricus Gerstfeld.
Taf. IV. Fig. 3 a. b., Fig. 6 und Fig. 7.
1859. Ancylas sibiricus Gerstfeld: Ueber Land - und
Siisswasser-Mollusken Sibiriens und des Amurge-
bietes (Mém. des Sav. étrang. Tm. IX p. 326)
Separ. Abdr. p. 23. Taf. 1. Fig. 30 a. c.
1875. | — — Dybowski: Die Gasteropoden-Fauna
d. Baikal-Sees (Mém. de l'Acad. des Se. de
St.-Pétersb. VII. Sér. Tm. XXII, Ne 8) p. 61.
Taf. IV. Fig. 38—40, Taf. УП. Fig. 11—14.
1880. — — Idem. Przyezynch do fauny slima-
Ком bajkalskich (Wiadomosei z nouk przyrodzo—
pych. Warszawa Zeszyt Г). Taf. I, № 10.
*) Ieh muss bemerken, dass die Unterscheidung der Zahnplatten von
Anc. Troschelii und Rensrdii einer sehr grosse Uebung erfordert,
dagegen erkennt man die Zahnplatten von A. sibiricus schon auf den
ersten Blick. Fast ebenso verhált es sich mit den Geháusen von Anm.
Troschelii und sibiricus (nicht Renardii) während man die Schale von
A. Renardii sofort erkennt.
eM».
Das Gehause ist spitzkegelfórmig mit breiter, ovaler Ba-
sis. Der Wirbel ist spitz, zusammengedrückt und stark nach
links umgebogen. Die vordere und die rechte Seite des
Geháuses sind convex, die linke dagegen abgeflacht und
fast ganz steil unter dem Wirbel abfallend, woher das
ganze Gehäuse etwas unsymmetrisch gestalltet erscheint.
Die Mündung ist eif6rmig, vorn breiter ais hinten; der
Mundsaum ist scharf. Die Schale des Gehäuses ist dünn
und durchscheinend; die Epidermis ist ziemlich dick,
derb und entweder ganz weiss oder etwas ins Gelbe
oder Graugelbe spielend. Die Oberfläche des Gehäuses
ist fein quergestreift, wobei die Querstreifen von Strecke
zu Strecke mit dickeren Anwuchsstreifen abwechseln.
Die innere Fläche ist glänzend. Die Dimensionen des
Geháuses sind folgende: Die Hóhe 5, die Linge 8, die
Breite 7 Mm. Die jungen, unausgebildeten Exemplare sind
ähnlich gestaltet, erscheinen aber viel niedriger und
flacher, als die alten.
Das Thier hat die Gestalt des (rehiiuses und ist im
contrahirten Zustarde vom Mantelrande gänzlich bedeckt.
Die Oberfläche des Mantels ist schwarz und mit einer
schmalen, weissen Umsäumung am Mantelrande; das Thier
selbst ist mehr oder weniger dunkelgrau gefärbt wobei
der Fuss etwas heller, oder ganz weiss erscheint. -
Die fleischige Mundmasse ist beinahe kuglig und nur
nach vorne etwas verlängert; am vorderen Ende der
Mundmasse befindet sich еше schlitzfórmige Mundóffnung,
welche rundum mit einem einfachen Kiefer umgeben ist;
auf der unteren Fläche der Mundmasse und etwa in de-
ren Mitte entspringt die Radulascheide, welche als ein
langer und schmaler Fortsatz in horizontaler Richtung
nach hinten hervorragt. Die Länge der Mundmasse .be-
— 150 —
trägt 1,8—2, die Dicke (Höhe) 1,6—1,8 Mm. Die Ra-
dula-Scheide ist 1, 1—1,3 Mm. lang und 0,3 Mm. dick.
Die Zahnplatten. Bevor ich zur Beschreibung der
Lahnplatten schreite, ist es nothwendig auf die Nomen-
klatur derselben einen Blick zu werien.
Die Nomenklatur der Zahnplatten der Lungenschnec-
ken ist bisher ganz unberüchsichtigt geblieben; um aber
die Beschreibung der genannten Organe zu ermóglichen,
ist die Beschreibung der einzelnen Theile derselben.
unentbehrlich. Ich erlaube mir daher eine folgende No-
menklatur zu proponiren *).
I) Synopsis.
Basis "
(Fig. 6. К. v) | Basale Zähne N.
Zahnplatten
(vid. Fig. 6) Buckel Nebenzahn fMedialer
Krone (Fig. 6. K. a) | (Fig.6. B.a) J Fig. 6. B. a.)
ocu. m) \ Lateraler
' | Zahn. | Seitenzahn en 5. B. a)
] die: 6: K: b) Vie. ba Pie oies
Beschreibung.
Jede Zahnplatte der Pulmonaten stellt eine längliche,
chitinisirte und derbe Lamelle dar, welche der Quere nach
zusammengelegt oder zurückgeschlagen ist. Es entstehen
dadurch zwei zusammenhängende und aufeinander liegende
Lamellen: die untere mag die Basis, die obere die Krone
heissen. (clr. die Synopsis) **) Dass diese beiden Theile
*) Ohne jedoch auf die Autorität irgend welche Ansprüche zu ma-
chen; es wird mich im Gegentheil sehr erfreuen, wenn meine Termini
technici eine bessere Nomenclatur veranlassen.
**) Um diese Bezeichnung zu rechtfertigen vergleiche man die Zahn-
platten von Helix, Lymnaea, Planorbis, Succinea und Amphipeplea-
Arten.
sehr manigfallig gestaltet sein können und dass der eine
Theil das Uebergewicht über den anderen nehmen kann,
lieet auf der Hand.
Die Basis, welche unmittelbar auf der Cuticula der
Radula liegt und in dieselbe hineingewachsen ist, er-
scheint slets viel einfacher als die Krone. Sie stellt eine
einfache Lamelle dar, welche auf ihrem freien, hinteren
Ende mitunter ausgezackt ist (Fig. 6 e.) oder auf ihrer
Oberfläche kleine, spitzige Auswüchse trägt. Diese Aus-
wüchse, deren Zahl und Gestalt verschieden sein kann,
heissen Basalzähne (z. В. hei den äusseren Seitenplatten
von Limnaea- und Planorbis-Arten) *).
Die Krone ist stets sehr mannigfaltig gestaltet und
1455 zwei Theile unterscheiden; 1) Der vordere un-
mittelbar in die Basis übergehende Theil ist verdickt und
erscheint. gleichsam wie eine Erhóhung oder Anschwellung,
ich nenne diesen Theil: der Buckel (Vig. 6. K. a).
Unmiltelbar von dem Buckel entspringt der Zahn
(Cfr. Fig. 6. К. b.). Der Zahn ist entweder einfach oder
er ist mit einem kleinen Zahn versehen; dieser kleine Zahn
(vid. Fig. 5. b.) heisst der Seitenzahn. Neben dem Zahn
steht mitunter, unmiltelbar an dem Buckel, ein zweiter
stets bedeutend kleinerer Zahn; das ist der Nebenzahn
(vid. Fig. 6. B. a. u. Fig. 5. B. a.), welcher bald late-
ralwarts (vid. Fig. 5. B. a), bald medialwarts (vid. Fig.
6 B. a) stehen kann.
*) Soviel ich weiss, existiren bis jetzt keine entsprechenden Ab-
bildungen der Zahnplatten unserer Binnen-Schnecken. Ich besitze eine
grosse Collection dieser Abbildungen, welche ich nàchstens zu ver-
óffentlichen die Absicht habe. Alle diese Abbildungen sind mit Hilfe
der Camera lucida von mir gezeichnet worden.
— iio.
Nach dieser theoretischen Betrachtung der Zahnplatten
der Lungenathmenden Schnecken gehen wir jetzt zur
Beschreibung der Zahnplatten von Ancylus sibiricus über.
Die. Forme! ist: 1—1—5—10 (60) a).
Die Mittelplatte (Fig. 6 A.) ist Jänglich, mit einem
zweitheiligen Zahn; der Buckel fehlt oder ist nur undeut-
lich begrenzt. Die Platte ist weiss und durchsichtig.
Die inpere Seitenplatte hat eine nach unten (hinten)
sich verschmälernde und am Hinterrande ausgezackte
Basis. (Fig. 6. К. с.); der Zahn ist kraftig und abgerun-
det (vid. Fig. 6. B. b.); der Nebenzahn ist medialwaris
gestellt und ebenfalls abgerundet (|. c. a.). Diese Platte,
wie auch die nachfolgenden 5 Zwischenplatten sind bei
durehfallendem Licht bernstein-gelb, bei auffallendem
dagegen dunkelbraun gefarbt.
Die Zwischenplalien (5 an der Zahl) haben eine nach
hinten sich verschmälernde und ausgezackte Basis (Fig.
6. С 1—5.). Die Krone ist grésser als die Basis. Der
Buckel ist sehr gross, plump und quergerichtet. Der Zabn
ist sehr gross und ausgebuchtet. Der Nebenzahn fehlt.
Betrachtet man die Zwischenplatten in ihrer Gesammtheit,
so bemerkt man, dass sie von der ersten bis zur dritten
an Grösse zunehmen und dann bis zur 5-ten abnehmen.
Die äusseren Seitenplatten (8—11 an der Zahl) be-
sitzen keine Kronen (vid. Fig. 6. D. 1—10) und stellen
nur die Basis dar, welche als einfache, an beiden Enden
ausgezackte Plättchen erscheinen. Sie nehmen lateralwarts
allmählig an Grösse ab und sind weiss und durchsichtig.
Die zwei ersteren Platten (vid. Fig. 6. D. 1 u. 2.) zeigen
*) Die eingeklammerten Ziffern bedeuten die Gliederzahl auf der
ganzen Radula. |
ganz undeullich und unregelmässig contourirte Figuren,
welche gleichsam unausgebildete Kronen darstellen, die
übrigen Zahnplatten dagegen sind viereckige Plattchen,
welche in der Mitte dunkler erscheinen, als an allen vier
Seiten (vid. Fig. 6. D 3—10).
Betrachtet man die ganze Radula unter dein Mikros-
kop (Hartnak Object. N. 4), so erscheint dieselbe als ein
2.5 Mm. langes und 0,5 Mm. breites Band, welches
in der Mediallinie und lateralwärts durchsichtig und weiss
ist, in dem miltleren Abschnitt dagegen gelblich gefarbt .
erscheint, was von der verschiedenen Farbung der Zahn-
platten abhángt. Das hintere Ende der Radula ist eben-
falls weiss und durchsichtig, weil alle hier befindlichen
Zahnplatten erst in der Bildung begriffen sind und kaum
contourirt erscheinen.
Die einzelnen Glieder bestehen aus zwei gleichen,symme-
trischen, schräg verlaufenden Zahnplatten-Reihen, welche
in der Mediallinie der Radula unter einem spitzen Win-
kel an einander stossen *). Genau in dem erwähnten
Winkel und also in der Mediallinie der Radula steht die
Mittelplatte; die allen übrigen Platten füllen. die beiden
Hälften des Gliedes (cfr. Fig. 6.) aus.—1n dem mittleren
Abschnitt der Radula liegen die einzelnen Glieder so
dicht neben einander, dass die Platten aneinanderstos-
sen; in dem äusseren dagegen weichen sie auseinander und
lassen. einen breiten freien Raum zwischen sich. (Fig. 6.
7. In jedem freien Raume bemerkt man einen dicken
Streifen, welcher die einzelnen Glieder von einander
trennt (Fig. 6. S.) In Bezug auf die Zahnplatten bietet die
*) Vid. Dybowski, die Gasteropoden-Fauna des Baikal-Sees. dc.
Tab. VII. Fig. 14. |
— i54 —
Radula in verschiedenen Abschnilten ein besonderes Aus-
sehen dar. In den allerersten Gliedern der Radula be-
merkt man ófters die Zahnkronen vüllig abgenutzt, so dass
die Basis allein übrig bleiben; etwas weiter fehlen die
Zähne, indem sie bald bis auf die Buckeln, bald aber
nur zum Theil abgenutzt werden, je weiter man nach
hinten (gegen das hintere Ende der Radula) schreitet,
desto vollstándiger erscheinen die Platten *). Die normal
ausgebildeten Platten findet man erst inerhalb des zwei-
ten Viertels der Radula. Am hinteren Ende der Radula
kommen die unausgebildeten Zahnplatten vor (vid.* oben).
Der Kiefer von An. sibiricus ist einfach, aber so gross,
dass er die Mundóffnung rundum begrenzt. Die Struktur
des Kiefers ist ganz eigenthümlich und steht in einer ge-
wissen Beziehung zu dem, die Mundhóhle auskleidenden
Epithel, was nàmlich folgendermassen sich verhält:
Die Mundhóhle ist von einem 0,016 Mm. dicken Epi-
thel ausgekleidet, welches aus grossen, 0,010 Mm. breiten
(dicken) Cylinderzellen besteht. Die Zellen scheiden im
vorderen Abschnitt der Mundhóhle eine 0,006 Mm. dicke
Cuticula aus. An der unmittelbar binter der Mundöff-
nung befindlichen Region besteht die Cuticula aus meh-
reren Reihen von zarten, weissen und durchsichtigen
Schüppchen, welche bei Ansicht von oben dachziegelför-
mig einander bedecken. (Vid. Fig 8). Neben diesen
Schüppchen entsteht eine einzige Reihe von dicht, pali-
sadenartig angeordneten und aufs innigste mit einander.
verwachsenen Fasern oder Stäbchen, welche die Mund-
*) Diese Erscheinung lässt sich bei allen Pulmonaten ohne Aus-
nahme wahrnehmen, so dass die für eine Species charakteristischen
Zahnplatten erst in dem mittleren Abschnitt der Radula zu suchen
sind.
u...
öffnung kranzartig umgeben. Jedes einzelne Stäbchen
entspricht einer Zelle (vid. Fig. 7) des unmittelbar da-
runter befindlichen Epithels, dessen Product sie auch
sind. Diese Stäbchenkrone stellt hier eben den sog. Kiefer
dar. ). |
Die Kieferstäbchen sind 0,04—0,05 Mm. iange und
0,010—0,014 Mm. dicke, chitinisirte, slrukturlose und
zarte Fasern, welche vierkantig-prismatische Gestalt ha-
ben; die Farbe derselben ist bei durchfallendem Licht
gelb, bei auffallendem dagegen braun. Die Contactflächen
der Stäbchen sind mit Querfurchen versehen, welche an
der Grenzlinie der benachbarten Stäbchen zickzackfórmig
erscheinen. (Vid. Fig. 7. b.).
Die Kieferstäbchen haben eine schräge von unten nach
oben aufsteigende Richtung und sind auf ihrem freien
Ende schräg abgestutzt. Es entsteht dadurch eine Art
Säge, welche leistenarlig in die Mundhöhle hervortritt.
Bei geschlossenem Munde kreuzen sich die Stäbchen
der beiden Gegenhalften des Kiefers schräg mit einan-
der, indem die linke Kieferhälfte sich unter die rechte legt.
Maassangaben, in Mm.
innere äusseren
Mittel- Seiten- Zwischen- Seitenplatten.
platte. platte. platten.
Lange. 0,040 0,036. 0,024—0,040 0,026—0,014
Breite. 0,010. 0,024 0,026— 0,032 0,020— 0,012
Fundorte: 1) Der Baikal-See, in einer Tiefe von 6—
30 Mt.
2) Der Fluss Angarà. Ueberall sehr haufig.
*) Das, im allgemeinen, als Kiefer bezeichnete Organ sehe ich als
ein Analogon der Radula an, was ich in einer, eben im Druck befind-
lichen Arbeit, in Wort und Bild, auseinander gesetzt habe.
— 155 —
IV) Ancylus Troschelii m.
Taf. IV. Fig..1 und Fig. 3.
1875. Ancylus Troschelii Dybowski: Die Gasteropoden-
Fauna des Baikal-Sees (Mém. de l'Acad. des Sc. de
St.-Pétersb. VIT Ser. fm. XXII № 8) p. 64.
Taf. JV. Fig. 35—37. Taf. VII Fig. 12. a—d u.
Dye. 45;
1880. — — Idem. Przyezynch do fauny slimakow
baikalskich (Wiadomosei z nauk przyrodzonych
Warszawa Leszyt I) Taf. I. Ne 14 *).
Das Geháuse ist von dem der vorhergehenden Art
nur wenig verschieden; der Hauptunterschied besteht da-
rin, dass der Wirbel nach hinten umgebogen ist; die
ganze vordere Seite des Gehäuses ist convex, die hin-
tere dagegen fast steil abfallend; seitlich ist das Ge-
hause schwach zusammengedrückt, woher die Oefnung nach
hinten schmäler ist, als vorne. Im übrigen stimmt das Ge-
häuse mit dem der vorhergehenden Art überein. —
Die Zahnplatten sind vóllig verschieden von denen der
vorhergehenden Art und lassen sich schon auf den ersten
blick erkennen (vid. Fig. 5).
Die Formel: 1—1—417—9 (70).
Die Mittelplatte ist länglich mit zweispitzigem Zahne
und einem undeutlich markirten Buckel.
Die innere Seitenplatte hat einen abgerundeten Zahn
und einen ähnlich gestalteten, aber bedeutend kleineren
lateralwárts gestellten Nebenzahn (Fig. 5. B. a.) Der
Buckel ist langlich und demjenigen der benachbarten
Platten ähnlich. |
*) In der Taf. II (l. c.) ist, wegen des Druckfehlers, die Colonne
von Ancylus Troschelii mit der von Anc. sibiricus umzutauschen.
re
Die Zwischenplatten (17 an der Zahl) sind lang und
schmal. Die Krone ist sehr lang und deckt mitunter
die Basis vollkommen zu. Der Buckel ist langgestrecki
(Fig. 5. C 1—17). Der Zahn ist ausgebuchtet, wobei der
lateralwärts gestellte Seitenzahn abgerundet erscheint.
Der Nebenzahn fehlt. Die Mittelplatten nehinen bis zu
der sechsten allmálig an Grésse zu und weiter, bis zu
der letzten, ab. Die Farbe dieser Platten ist gelb oder
braun, ebenso wie bei der vorhergehenden Art. Die
äusseren Seitenplatten (9 an der Zahl) sind iamellen-
artig (Fig. 5. D 18—96) mit ausgezacklen Rändern und
stellen nur die Basis vor; die Krone fehlt. Sie sind weiss-
lich, durchsichtig und in der Mitte schwächer licht-
brechend als an den Rändern. Die Grösse der Platten
ist verschieden, indem sie lateralwarts allmalig kleiner
werden, so dass die letzte kaum bemerkbar wird.
Der Kiefer ist ebenso beschaffen wie bei der vorher-
gehenden Art.
Maassangaben, in Mm.
Mittel- innere Zwischen- áusseren
platte. Seiten- platten. Seitenplatten.
platte.
Länge. 0,030 0,032 0,034—0,024 0,024—0,008
Breite. 0,010 0,010 0,012—0,010 0,010—0,002
Fundort: Der Baikal-See, in einer Tiefe von 10—
30. Mt.
Ш). Ancylus Вепатай m.
Taf. IV. Fig. 2. u. Fig. 4.
1880. Ancylus sp. Dybowski: przyezynek do fauny sli-
makow baikalskich (Wiadomosci z nauk przyro-
dzonych. Jeszyt. №) Tabl. I № 13.
Be
Das Gebäuse ist von dem der beiden vorhergehenden
Arten gänzlich verschieden; die Gestalt desselben ist stumpf
kegelförmig d. h. patelloid; der Wirbel ist stumpf, ab-
gerundet und steht genau in der Mitte des Gehäuses; an
der Stelle des Wirbels bemerkt man eine kleine grüb-
chenartige Vertiefung. Im Übrigen stimmt das Gehäuse
mit dem der beiden vorhergehenden Arten a: Fig. 2)
überein.
Die Zahnplatten sind denen von Anc. Troschelii ähn-
lich.
Die Formel: 1—1—21—7. (65—70).
Der Hauptunterschied besteht darin, dass der Neben-
zahn (vid. Fig. 4. B.) und der Seitenzahn vue Fig. 4.
C. 2—21) zugespitzt sind.
Es versteht sich von selbst, dass es oft verschiedene
Uehergánge zwischen zugespitzten und abgerundeten Zahn-
formen giebt; in solchem Falle erkennt man die Radula
vom An. Renardii an den Seitenplatten, (vid. Fig. 4. D.
21— 29), welche hier etwas kürzer aber breiter sind.—
Im Uebrigen stimmen die Zahnplatten mit denen der vor-
hergehenden Arten überein.
Maassangaben.
Mittel- innere Zwischen- aussere
platte. Seiten- ^ platten. ee
platte. |
Länge. 0,022 0,024 0,026—0,020 0,018—0,006
Breite. 0,008 — 0,006 0,008—0,006 0,010—0,002
Fundort: Baikal-See, in einer Tiefe von 19—39 Mt.
(sehr selten).
Schliesslich muss ich noch erwahnen, dass nach einer
brieflichen Mittheilung des Herrn J. Clessin, in dem Bai-
kal-See noch eine vierte Ancylus-Art vorkommen soll.
Diese Mittheilung Jautet:
— 159 —
«Es giebt noch eine vierte Ancylus-Art im selben See
(Baical-See), bei welcher der Wirbel so sehr nach links
gerichtet ist, dass dessen Spitze die Grundfläche sehr
stark überschreitet, und auch die Verticalansicht giebt
eine ganz andere Form. Ich halte diese Art, deren zwei
Exemplare in der Sammlung des Herrn Dohrn in Stettin
sich befinden, von den obigen (3 meine Arten) für ver-
schieden, weil ein junges Exemplar schon vóllig wie das
grössere, das ich sah, gestaltet ist». (Ochsenfurt, bei
Würzburg d. 10 X. 1880).
In meiner Samlung der Baikal’schen Mollusken habe
ich vergeblich diese Art nachgesucht und kenne sie da-
her aus eigener Anschauung nicht.
Niankow d. 15 Nov. 1884.
Erklárung der Abbildungen.
Fig. 1. Die Sehale des Aneylus sibiricus Gerstfe!d. *). Die Fig.
1—3 verdanke ich der liebenswürdigen Gefälligkeit des Herrn Dr.
J. Clessin, Redacteur d. Malacolog. Blatter (in Ochsenfurt bei Würz-
burg), welcher dieselben, nach den von mir zugesandten Exempla-
ren, anzufertigen die Güte gehabt hat.
a) Die Seitenansicht. b) Die obere Ansicht.
Fig. 2) Die Schale des Ancylus Renardii n. sp. Die e uiu
wie vorher.
Fig. 3). Die Schale des Ancylus Troschelii m. Die Bezeichnung
wie vorher.
Fig. 4. Die Zahnplatten von Ancylus Renardil n. Sp. +)
A). Die Mittelplatte. B) Die innere Seitenplatte. C) Die Zwi-
schenplatten (2—21). D) Die àusseren Seitenplatten (22—29).
Fig. 5) Die Zahnplatten vom Ancylus Troschelii m. (Ein halbes
Glied) a) Der Nebenzahn. b.b) Die Seitenzähne.
g. 6) Die Zahnplatten von Anc. sibiricus Gerstfeld. B) Die
innere Seitenplatte. 3) Der medialwürts gestellte abgerun-
dete Nebenzahn. b) Der abgerundete Zahn.
K) Die letzte Zwischenplatte. a) Der Buckel. b) Der Zakn.
c) Die Basis. d) Die Verlängerung der Basis.
R) Der Rand der Radula.
S) Der Streif, welcher die Glieder von einander trennt.
Z) Der zwischen den &usseren Seitenplatten befindliche freie:
Raum.
Fig. 7) Ein Stück des Kicfers. (Schematisch). a) Die Epithelzellen.
b) Die chitinisirten Stabchen.
Fig. 8). Die dachziegelförmig einander deckenden Schüppchen des.
Kiefers. (Schematisch).
Е
=.
*) Die Reihen der Zahnplatten in dieser wie auch in den nach-
folgenden Figuren, stellen je ein vollstandiges, halbes Glied in situ
dar; alle diese Figuren sind mit Hiilte des Hartnak’schen Zeichen-
prismas (bei d. Object. № 8) dargestellt worden. Die Bezeichnung
ist überall die gleiche.
НОВЫЕ ВИДЫ РОДА JALLA HAHN.
B. E. Яковлева.
Въ европейской Фаунф извфстенъ только одинъ видъ
этого poga—J. dumosa Lin.; правда, у Фибера, въ ero
Die Europäischen Hemiptera описано три вида этого рода,
но его J. nigriventris есть не болЪе какъ разновидность
обыкновенной J. dumosa, что же касается до J. Herricki
К. TO Форма эта отнесена мною къ роду Barbiger Jak,
представители котораго распространены Ha КавказЪ, въ
СЪверной Персш и Сирии.
Пересматривая, въ послЪднее время, коллекцию покой-
Haro npoe. Эверсмана, составляющую нын$ собствен-
ность Русскаго Энтомологическаго Общества, я встр$-
THIb въ ней два непзв$стныхъ вида p. Jalla, изъ кото-
рыхъ одинъ происходитъ изъ Зонгарш, а другой изъ
Франц.
Не смотря на то, что Франщя изслфдована въ гемип-
терологическомъ oTHomenim очень подробно, въ русской
коллекщи оказывается видъ, происхождеше котораго изъ
Францш несомнфнно, ибо на этпкетк$ рукою Эверсмана
обозначено— Hiéres. Желательно было бы, чтобы Фран-
uy3ckie энтомологи обслФдовали внимательнЪе указанное
№ 3. 1884. ие.
ULLA mE
MÉCTOHAXOKAeHIe и подтвердили бы Фактъ существованя
тамъ новаго вида, остающагося до сихъ поръ Heormu-
саннымъ.
1, Jalla anthracina n. sp.
Ф Kôrper breit, ganz schwarz, oben matt, sehr grob
punctirt, Kopf klein, etwas lànger als breit, grob punctirt-
gerunzelt; Seitenränder fein ausgeschweift. Fuhler schwarz,
sehr kurz graubehaart; Wurzelglied vier bis fünl mal
kürzer als Glied 2, welches auf ein Drittel lànger als 3
und fast gleichlang mit 4; Endglied kaum kürzer als Glied 4.
Halsschild doppelt langer als Kopf und 1'/, mal breiter
als lang; sein Seitenrand breit, dick, fast gerade, etwas
aufgeworfen, sehr grob punctirt und quergerunzelt; in der -
Mitte der Seitenränder eine grosse Vertiefung. Schild grob
punctirt, Grundwinkel glatt. Halbdecken und Connexivum
fein. punctirt. Brust mit zerstreulen, tiefen Puncten, Hin-
terleib sehr fein gestrichelt. Beine schwarz, die Behaarung
der Schienbeine und Füsse, eben so wie die Klauen rost-
braun, Körper unten glänzend, stellenweise mit schwa-
chem Metallschimmer. L. 15, lat. 9 m. m.
Frankreich (Hieres).
2 Туловище большое, очень широкое, все чернаго цвЪ-
та, также какъ и конечности, кром$ когтей, которые
рыжаго цвфта. Голова небольшая, развитая HÉCKOXPKO
60166 въ длину, ч6мъ въ ширину, грубо морщинисто-
пунктированная; боковые края ея имфютъ неглубокую,
пологую выемку. Усики черные, покрытые очень корот -
ками сфроватыми волосиками; основной суставъ ихъ
очень короткШ, въ 4—5 разъ короче втораго, который
на '/, длиннфе третьяго и почти равенъ четвертому; по-
— 163 —
слфдн суставъ едва короче предпослЪдняго. Хоботокъ
массивный, достигающий до второй пары ногъ. Простые
глаза больше. Переднеспинка вдвое длиннфе головы (по
средней линш) m Oorbe чЁмъ въ полтора раза шире своей
длины, боковые края ея почти прямые, приподнятые
кверху, no срединЪ они глубоко вдавлены и передъ
этимъ вдавлешемъ образуютъ продолговатое возвышене,
идущее вдоль боковаго края до шейнаго угла; самые
боковые края утолщенные, покрытые въ передней части
сильными поперечными морщинками, a въ задней—гру-
бымъ пунктиромъ, какъ и вся переднеспинка, особенно
въ задней половин$. Плечевые углы шарокоокругленные.
Щитокъ грубо пунктированный, въ основныхъ углахъ
съ гладкими выпуклостями, однообразнаго чернаго HBbTA.
Надкрылья n широкй брюшной ободокъ выдаюпийся изъ
подъ нихъ—мелкопунктированы. Грудь снизу покрыта
р$фдкими, глубокими точками, брюшко же весьма нфж-
HbIMb пунктиромъ въ видЪ штриховъ. Ноги чернаго цвЪта,
густыя щетки волосъ покрывающихъ концы голеней съ
внутренней стороны и лапки снизу буроватаго 1BETa,
Туловище сверху матовое, снизу—болфе блестящее, Mb-
стами съ слабымъ металлическимъ отливомъ на частяхъ
груди. Дл. 15, шит. 9 м. м.
Франщя (Колл. Эверсмана).
2, J. subcalcarata n. sp.
& Körper oval; Unterseite, Fühler und Schnabel schwarz.
Kopf etwas lünger als breit, ziemlich grob und dicht punc-
tirt-gerunzelt, schwarz, vorn gelb gerandet, mit rostgel-
bem Fleck im Nacken; Stirnschwiele platt, quergerunzelt.
Fühler schwarz, kurz abstehend graulichbehaart; Wurzel-
11*
— 164 —
glied fünfmal kürzer als Glied 2, welches auf ein Drittel
lànger als 3, etwas lànger als 4 und fast gleichlang mit
5. Halsschild 1*'/, mal länger als Kopf und viel breiter als
lang, Seitenrand in der Mitte fein ausgeschnitten und oben
mit Vertiefung, dicht und ziemlich grob punctirt, schwarz;
Kielfórmige Seitenränder, durchlaufende Mittelrippe und
zerstreute kleine Fleckchen am Hintertheile—gelblich.
Schild sehr dicht punctirt-gerunzelt, ohne kallosen Knoten
im Grundwinkel, schwarz, am Ende bräunlich. Halbdecken
braunlich, sehr dicht schwarz punctirt; Seitenrander der
Halbdecken und Connexivum sehr fein gelb gerandet.
Deine pechschwarz, Aussenrand der Schienbeine gelblich,
Klauen rostbraun; Hinterschnekel innen mit stumpfem Zahn.
15:185 lator «m. am
Songaria (Evm).
< Туловище продолговатоовальное, снизу чернаго
HBbTA, также какъ усики и хоботокъ. Голова нЪеколько
Gombe развитая въ длину чфмъ въ ширину; боковые края
ея почти прямые, съ небольшой выемкой передъ глазами;
вся чернаго цвфта, лишь yakie края ея впереди, также
какъ и наружный край скуловыхъ пластинокъ— желто-
ватые; на затылк$ ярко рыжее пятно; поверхность ея
густо и довольно сильно пунктирована, причемъ точки
пунктира соединяются поперечными морщинками; плос-
КИ m довольно широюй носовой валикъ покрытъ одними
поперечными морщинками. Усики довольно длинные, по-
крытые стоячими сфроватыми волосками, первый суставъ
ихъ въ пять разъ короче втораго, который Ha ‘/, длин-
нфе третьяго и Ha '/, длиннЪе четвертаго; HOCAbAHIE два
сустава почти одинаковой длины. Хоботокъ массивный,
достигающий второй пары ногъ. Простые глаза неболь-
mie. Переднеспинка въ полтора раза длиннфе головы п
= HGS ee
значительно шире своей длины; боковые края es по cpe-
динф съ noloroii выемкой и ограничены очень узкимъ
кантикомъ желтаго цвфта; около средины боковыхъ
краевъ переднеспинка плоско вдавлена H образуетъ, впе-
реди этихъ вдавленй, продолговатыя возвышеня, про-
стираюцияся до шейнаго угла, который образуетъ не-
большой зубчикъ. Переднеспинка чернаго нвЪта, только
Bb задней ея половинЪ замфтны разсфянные бугорки жел-
TOBaTaro цвЪта m наружный бортикъ боковыхъ краевъ—
желтый; вдоль ея проходитъ очень тонкое возвышенное
ребро, которое впереди чернаго цвЪта, а назади желто-
ватое; пунктиръ ея густой и довольно сильный, (точки
пунктира гораздо мельче ubw» у J. dumosa, mo расно-
ложены гораздо гуще). Щитокъ весьма густо пункти-
рованъ и поперечно-морщинистъ, безъ всякаго CAAA
гладкихъ возвышенй въ основныхъ углахъ, чернаго
цвфта, съ буроватыми пятнами на Kounb. Основной BTE
надкрыльевъ `блфднобуроватый, но они такъ густо по-
крыты чернымъ поверхностнымъ пунктиромъ, что кажут-
CA темными; наружные края ихъ п совершенно чернаго
брюшка окаймлены очень узкой оторочкой желтаго OBb-
та. Ноги смолисто-черныя, лишь наружный край голе-
ней желтоватый; голени съ внутренней стороны, 0со-
бенно передъ концомъ, густо покрыты очень длинными
рыжеватосфрыми волосками, когти рыжие. Бедра задней
пары HOrb, съ внутренней стороны, вооружены тупымъ
зубцомъ; тупой же бугорокъ замфчается п среди третьяго
брюшнаго кольца снизу. Дл. 13, шир. 7 ww.
Sourapia (Эверсмамъ,).
— 166 —
Для всфхъ трехъ видовъ между собой можетъ служить
слфдующая табличка:
1. Kórper ganz schwarz, nur die Klauen rostbraun.
Halsschild doppelt länger als Kopf, sehr grob punctirt.
Seitenrand des Halsschildes breit, grob quergerunzelt.
Hinterschenkel unbewehrt.
| J. anthracina п. sp.
1. Kórper schwarz, gelb eezeichnet. Halsschild nur 1*/,
mal länger als Kopl, Seitenrand glatt... . . + TE
2. Hinterschenkel unbewehrt. Schildgrundwinkel mit
grossen kallosen Knoten, Seitenrand des Halsschildes breit,
GIVE EPOR If wea ME chi CE CDS J. dumosa. Lin.
2. Hinterschenkel mit einem stumpfen Zahn bewehrt.
Schildgrundwinkel ohne kallosen Knoten. Seitenrand des
Halsschildes sehr schmal; kielförmig. J. subcalcarata n. sp.
C. Петербургь
20 Anpbas 1884.
REISE
NACH CHANSKAJA STAFKA UND ZUM GROSSEN BOGDOBERG.
BESCHREIBUNG
der Mylabris melanura—Larve; Verhinderung der Wasserscheu
durch Cetonia aurata; das Vorkommen verschiedener Insekten
und Schmetterlingsvarietäten.
Von
Alex. Becker.
Am 1 luny 1882 fuhr ich auf einem Dampfer. nach
Wiadimirofka und von hier weiler am nächsten Morgen
mit Postpferden 4 Stationen und kam am Abend in dem
Dorfe Chanskaja Stafka an. Bis zu diesem Dorf führt von
Wladimirofka eine seit einigen Jahren errichlete 106
Werst lange Telegraphenleitung. Der Postweg nimmt we-
gen der im Frahjahr überschwemmten Wiesen oft einen
bedeutenden Umweg. Hinter der letzten Station vor Chan-
skaja Stafka ist viel Salzboden und endlich bis zu die-
sem Dorf eine weite Strecke tiefer Sand, bewachsen von
vielen Elymus sabulosus - Pflanzen, durch deren Wurzeln
der Sand, wo die Pflanzen dicht beisammen standen,
— 168 —
festgehalten und an ihren Seiten vom Winde fortgeblasen,
auch aufgehauft wurde, wodurch viele schroff abfallende,
oft 1 Faden hohe und breite Hügel gebildet wurden, die
in grossem Raum der Landschaft ein auffallendes Ge-
prage geben. Das Dorf ist umgeben von ansehnlichen, zum
Theil unbewachsenen Sandhügeln, zum Theil mit Populus
alba, Salix Ledebouriana Trautv., S. viminalis L. bewach-
sen. - Populus alba zeigt sich nur als Strauch, jedenfalls
Triebe der Wurzeln abgehauener Baume. Haufig wachst
dazwischen Artemisia inodora var. Steveniana, deren
dickes Holz in der Nähe der Wurzeln das eigentliche
Brennholz des Dorfes ist, welches in den Hófen massen-
haft aufgestapelt wird. Sehr wenige andere Pflanzen kom-
men dort vor, gróstentheils Xanthium Strumarium, X.
spinosum, Kochia hyssopifolia, Malva borealis, Calligonum
Pallasia, Phragmitis communis, Agriophyllum arenarium;
Orobanche und Chondrilla waren noch unentwickelt. Was-
ser ist nahe der Oberfläche, aber oft salzig. Das Dorf
ist bewohnt von handeltreibenden. Russen und Kirgisen,
welche Buden besitzen, hat einige Strassen, eine Apotheke,
eine Kirche und russische Verwaltung. Der kirgisische
Chan, Dschingis-Chan, befand sich in. St.-Petersburg. In
Entfernung von ungefähr 4 Werst vom Dorf, auf der
Hóhe des wieder beginnenden harten Steppenbodens steht
eine Moschee, zu der ich einmal durch die. vielen Sand-
hügel ging, zwischen welchen ich viele graue, thónerne,
mit tatarischer Schrift beschriebene Scherben fand. Aus
den Sandhügeln grub ich häufig den ansehnlichen Kafer
Scarites bucida Pall., welchen ich früher auch aus den
Sandhügeln der Jnsel Tschelegän ausgrub. Obgleich diese
Insel im Kaspischen See weit entfernt von Chanskaja
Stafka ist, so ist doch eine auffallende Ähnlichkeit beider
‚Plätze durch ihre Sandhiigel uud diesen Käfer. Von an-
— 169 —
deren Käfern fand ich nur sehr wenige Arten, nur Sap-
rinus osiris, S. biguttatus, Cleonus foveicollis, Cicindela
littoralis, C. hybrida var. Sahlbergi, Blaps convexicollis,
BI. parvicollis, Labidostomis spec. Auch von anderen
Jnsekten war sehr wenig da; es ist aber anzunehmen,
dass zu anderer Jahreszeit und bei grösserer Entwicke-
lung der Salzkráuter auch reichlichere und interessante
Insekten vorkommen. Ich hielt mich nur 2 Tage im Dorf
auf und fuhr den 5. Тору Morgens zurück in Gesellschaft
eines Russen, der aus Poltawa war und bedeutende Ein-
käufe an rohen Häuten gemacht halte, und eines Kirgi-
sen, der bei mir in einem anderen Postwagen sass. Hin-
ter der ersten Station von dem Wege links sahen wir in
Gestalt einer langen Mauer den kleinen Bogdo, nach Aus-
sage des Fuhrmannes ungefähr 20 Werst entfernt; auf
und neben dem Wege liefen und flogen viele Syrrhaptes
paradoxus. Bei weiterer Fahrt von einer anderen Station
verirrten sich unsere Fuhrleute auf falschen Wegen. Fin
Kirgise bemerkte den Irrthum, kam uns seitwärts auf
grüner Wiese entgegengeritlen und brachte uns durch
seine Zurechtweisung auf. den richtigen Postweg. Wir
hatten aber durch die Irrfahrt so viele Zeit verloren,
dass wir erst in der Nacht nach Wladimirofka kamen.
Ein starker Regen mit Sturm hatte uns die Fahrt von
der letzten Station, wührend 3 Stuuden noch recht unan-
genehm gemacht. Sehr autfallend waren mir die gerade
‚blühenden beiden Grasarten Stipa Lessingiana uud St.
sareptana, welche sehr hüufig überall in besserem Boden
von Wladimirofka bis Chanskaja Stafka standen, von kei-
nem Botaniker aber bisher bemerkt wurden, da sie we-
gen der Ähnlichkeit mit Stipa pennata und St. capillata
für diese Pflanzen gehallen wurden. Stipa pennata scheint
— M
dort zu fehlen; nur am Bogdo-Berg fand ich sie, wo auch
die später blühende St. capillata vorkommt.
Einige Werst seitwarts von Wladimirofka liegt die vor
einigen Jahren erbaute Eisenbahn, welche zum Baskun-
tschack—Salzsee führt. Ich begab mich dahin und fuhr
mit dem Zug dicht an den Salzsee. Von hier musste ich
einen Fuhrmann miethen, der mich noch 7 Werst weiter
bis zur Wohnung des Aufsehers des Salzsees brachte.
Von hier ging ich in die Sehluchten des Slazseeufers und
auf den Bogdo-Berg und suchte nach mehreren Dingen,
die ich früher gefunden hatte, z. D. Gymnodactylus pipiens,
Eryx jaculus, Pimelia cephalotes, Anatolica subquadrata
Tausch. und andere Kafer, Schmetterlinge und Pflanzen.
Diese waren durch die angebahnte Kultur, durch einen
Posthof und Gärten am Berg, durch Kirgiser, die auf
dem Salzsee arbeiten und mit ihren Familien und Vieh
sich am Berge ansassig gemacht, fast simmtlich zu Grunde
gegangen. Alle kleineren auf dem Berge zerstreut liegen-
den Steine wurden zusammengelesen, in Haufen aufge-
setzt und mit vielen Ochsenfuhren. zur Eisenbahn beför-
dert. Nur unter diesen Steinen an der Spitze des Berges
befand -sich Gymnodactylus pipiens, und da jetzt die
Steine alle fortgenommen werden, findet natürlich diese
zarte geckoarlige Eidechse keinen Verbergungsort mehr. .
Dadurch leiden auch die sich verbergenden Kafer, andere
durch die Verminderung, Verstümmelung und Vernichtung
ihrer. Futterkräuter. Von mehreren interessanten Pflanzen,
wie Ferula nuda, Glycyrrhiza asperrima, Eversmannia he-
-dysaroides, deren Plätze ich ‘genau wusste, war schon
nichts mehr zu sehen. Natürlich wird der Botaniker und
Entomolog eine Reise zum Bogdo später nicht mehr an-
zuglich und Johnend finden. |
— 171 —
Die Mylabris melanura - Larve kam aus ihrem 1 Li-
nie langen, ‘/, Linie breiten, ovalen, blassgelben Ei
am ‘12 August. Bat an den Mundtheilen, an den Sei-
ten des Kopfes, des Rückens, des Leibes und der Beine
Silberglanz. Unterseite hellgelb mit Silberglanz. Augen
schwarz, rund. Oberseite der vorderen Hälfte des
Körpers und Beine dunkelgelb. Oberseite der hinteren
Hälfte des Körpers schwarz. Die Zwischenräume der 12
Bauchringe silberglänzend, mit Ausnahme der 2 vorder-
sten, welche gelb sind. Kopf dick, quadratisch, dicht an
den Thorax anschliessend. Die Enden der starken, krum-
men und spitzen Kinnbacken schwarz. Fühler glatt, an
der Spitze dunkel. Die 6 Beine nicht: auffallend lang.
Klauen lang und dünn. Bedeckt mit braungelben borstigen
Haaren, zahlreicher auf der hinteren Hälfte des Körpers.
Am Ende des Leibes 2 lange, schwarze, borstenähnliche
Haare. Die Länge der einen Tag alten Larve ist 2 Linien,
Breite ‘/, Linie. Sie läuft sehr schnell, säuft lange Wasser,
krümmt sich bei Berührung und stellt sich todt wie ihre
Mutter, verbleibt in diesem Zustand lange Zeit. Ist offen-
bar nicht diese von mir in diesem Bulletin 1880 Ne 1
beschriebene Mylabris-Larve. |
Im Bulletin 1864 Ne 2 erwähnte ich des Goldkäfers
Cetonia aurata, der zerstossen aut Brod einer wasserscheuen
Kuh eingegeben wurde und dieselbe kurirte. Seit der Zeit
sammelte ich immer einen Vorrath von diesem Kafer und
sab oft den Leuten davon, deren Hunde von tollen Hun-
den gebissen wurden, und immer hörte ich, dass die ge-
bissenen Hunde nach dem Gebrauche des. Mittels nicht
toll wurden. Im Sommer 1883 brachte der Mollah. des in
der Nahe von Sarepta liegenden Tatarendorfs seinen Sohn
zu mir, der, auf dem Pferde reitend, von einem tollen
Hunde vom Pferde heruntergerissen und in den Leib ge-
bissen wurde, und bat mich, ihm den Käfer zu geben, von
dem er gehórt hatte. Ich gab ihm 2 Kafer uud sagte, dass
er nur einen zerstossen auf Brod gestreut von. seinem
Sohne essen lassen móchte. Am nächsten Tage kam eine
Tatarenfrau zu mir und war sehr in Angst, da derselbe
Hund ihr tiefe Wunden in die linke Hand gebissen hatte.
Ich gab ihr 2 Káfer und sagte ihr ebenfalls, dass. sie
nur eineu einzunehmen brauche. Die Furcht aber hatte
sie veranlasst gleich beide Kafer zu essen, wie ihr Mann
mir spáter sagte. Derselbe Hund lief nach Sarepta und
biss hier mehrere Hunde bis er endlich erschlagen wurde.
Auch die Eigenthümer dieser gebissenen Hunde erbaten
sich von mir diesen Káfer. Nach 2 Monaten erkundigte
ich mich nach dem Befinden der gebissenen Leute, welche
sich noch ganz wohl befanden und mir für das Mittel
sehr dankten. Auch die gebissenen Hunde, die die Kafer
gefressen hatten, wurden nicht toll. Da nun schon 9 Mo-
nate vorüber sind, seitdem das Mittel von den Gebisse-
nen gebraucht wurde und sie sich alle wohl befinden, so
scheint der Káfer nicht nur die ausgebrochene Wasser-
scheu zu kuriren, sondern auch die Entwickelung der
Krankheit zu verhindern.
Von dem Monographen der europäischen Ameisen,
Herrn E. André in Graz erhielt ich folgende Namen der
bei Sarepta vorkommenden Ameisen: Aphoenogaster bar-
bara L. var. Aph. structor Latr., Camponotus latera-
lis Ol., C. marginatus Latr., C. pubescens Fab., Cremas-
— 173 —
togaster sordida Nyl., Formica rufibarbis Fab., F. praten-
sis de Geer, Formicoxenus nitidulus Nyl., Lasius abienus
Foerst, Leptothorax tuberum Е. var. unifasciatus Latr.,
Myrmica scabrinodis Nyl., M. lobicornis Nyl, M. rugi-
nodis Nyl., Myrmecocystus cursor Fonsc., Plagiolepis pyg-
maea Latr., Solenopsis fugax Latr., Teiramorium caespi-
tum L. Bei Derbent ist haufig Myrmecocystus viaticus
Fab. und in Achal-Teke bei Kisil-Arvat fand ich Myrme-
cocystus altisquamis André.
Von Hautflüglern sind den sareptaschen noch Systropha
curvicornis Scop. hinzuzufügen, welche in den Blüthen
von Convolvulus arvensis am 28. Juny hàufig vorkommt.
Die Wanze Irochrotus lanatus ist bei Sarepta am 26.
July ausgebildet.
Kafer bei Sarepta.
May 19, Grammoptera Kiesenwetteri auf Crambe aspera,
July 1, Cicindela desertorum auf den Wolgainseln.
» " Clythra Atraphaxidis auf Statice sareptana.
» 20, Die schwarzen Galeruca sapertana—Larven auf
Alhagi camelorum.
» 26, Mylabris melanura in Begattung.
» 30, Sitaris apicalis auf Eryngium campestre.
Aug. £, Myodites subdipterus auf Scabiosa ucranica.
» 9, Eumecops Kittary auf Salzboden.
» 10, Cryptorhyuchus Lapathi.
Sept. 5, Ыхиз Salsolae auf Kochia prostrata.
Zu der früheren Beschreibung dieses Kafers
(Bull. 1867 Ne 1), der für Lixus Ascanii var.
gehalten wurde, habe ich noch "hinzuzufügen,
dass die Punktreihe neben der Nath und die
vielen schwarzen Punkte auf der Unterseite
— 174 —
des Bauches des L. Ascanii bei L. Salsolae
fehlen. Er ist sehr schmal und nur von halber
Grösse des L. Ascanii.
Sept. 22, Larinus Serratulae und Pseudochina cypho-
noides in Serratula xeranthemoides—Samen
kópfen.
› 24, Bruchus tessellatus in Astragalus vulpinus—
Samen.
Aphodius scybalarius, Anthicus Steveni, Leichenum
pictam, Ochthenomus sinuatus, Saprinus biguttatus, 8.
Osiris.
Sehmetterlinge bei Sarepta.
May 12, Botys sartalis auf Allium tulipaefolium.
Juny 9, kam Pterogon Gorgon aus der Puppe.
» 15, Thais Polyxena-Raupen auf Aristolochia Cle-
matitis.
» 20, frass die Deilephila lineata—Raupe Linaria
odora. |
» 21, Apatura Clytie auf den Wolgainseln.
July 17, Epinephele Janira.
» 24, Harpyia interrupta, Phragmatoecia Castaneae.
» 26, Harpyia aeruginosa, Acidalia Beckeraria.
Aug. 5, Salyrus Arethusa, Mycteroplus puniceago.
1, Amphypira tetra, Hadena monoglypha.
» $8, Cucullia magnifica auf Alhagi camelorum.
9, Agrotis desertorum, Pterostoma palpina, Ma-
mestra Sodae, M. praedita. |
» 10, Ophiusa regularis, Agrotis C. nigrum, Agr.
Christophi, Acidalia marginepunctata, Ac. flac-
cidaria, kam Euclidia triquetra aus der Puppe.
› 11, Dypterygia dentriuscula, Episema trimacula
. var. tersina, Macaria alternaria.
Ang. 17, Simyra argentacea; ihre Raupe frisst Statice
sareplapa und St. latifolia.
» 20, kam Cucullia argentina aus der Puppe.
Sept. 8, Cucullia argyrea.
» 21, in dünuen Populus nigra—Zweigen gelbe Cos-
sus—Raupen.
» 24, kam Orgyia antiqua aus der Puppe. Ihre Raupe
frisst Salix-Blatter.
Cucullia Boryphora, C. Artemisiae—Abrotani, Zygaena
Sedi, Ocneria detrita, Luperina Zollikoferi, Episema glau-
cina, Agrotis Tritici, Scodonia conspersaria, Arctia Man-
nerheimi, Eugonia Alniaria, Dasypolia Templi.
Von Colias Edusa, Hyale, Erate erscheinen bei Sa-
repta oft Varieläten. Manche sind in Form, Farbe, Zeich-
nung so sehr abweichend, dass sie schon für besondere
Arten gehalten wurden. Bei vielen zieht sich die schwarze
Binde der Oberseite der Vorderflügel schwach gefärbt
bis zum Punkt des Flügels; bei wenigeren stark gefärbt,
und bei diesen sind auf der Unterseite der Vorder—und
Hinterflügel dunkle Zeichnungen. Ich besitze ein grosses
weibliches Thier, desseu Vorderfligel auf der Oberseite
schwarz sind, nur näher der Basis weiss; die Oberseite
der Hinterflügel ist weiss mit einem gelblichen Streifen in
der Mitte. Die Unterseite der Vorderflügel hat an der
Basis und in der Mitte weiss, um diesen Fleck schwarz
in Form der Fligelgestall, fast ein Dreieck bildend; nach
der Spitze der Flügel dunkelgelb, nach unten heil, der
Flügelrand roth. Die Unterseite des Hinterflügels ist dun-
kelgelb mit braun in der Mitte und brauner zackiger
Zeichnung unfern längs des Flügelrandes. Der grosse und
kleine silberglänzende Augenfleck steht im Braunen. Im
Sommer 1883 fing ich über ein Dutzend dieser Varie-
täten, die grösstentheils der C. Hyale anzugehören schei-
EN m
nen. Von C. Erate fing ich einige, dem Aussehen nach
weibliche, deren Oberseite der rechten Flügel mit ihrer
regelrechten schwarzen Binde gelb ist, die Oberseite der
linken Flügel dagegen ist weiss mit derselben schwarzen
Bindenzeichnung. Von Triphysa Phryne fing ich 2 Thiere,
deren linken Flügel schwarz und die rechten weiss sind.
Da bekanntlich der Mann dieser Art schwarz ist und das
Weib weiss, so sind die zweifarbigen vielleicht Zwitter.
Die zweifarbigen C. Erate kénnen weniger fur Zwitter
gehalten werden, weil von dieser Art die weibliche weisse
Varietät Pallida häufig vorkommt. |
Zwischen Wladimirofka und Chanskaja Stafka wachsende
Pflanzen.
Artemisia fragrans, Art. austriaca, Art. monogyna,
Art. procera, Achillea Gerberi, Ach. leptophylla, Are-
naria longifolia, Atriplex laciniata, Alyssum minimum,
Alhagi camelorum, Astragalus virgatus, Astr. contortup-
licatus, Bromus tectorum, Br. inermis, Br. squarrosus,
Beckmannia erucaeformis, Berteroa incana. Cachrys odon-
talgica, Carduus uncinatus, Convolvulus arvensis, Coch-
learia austriaca, Conium maculatum, Ceratocarpus arena-
rius, Carex nutans, C. stenophylla, Chorispora tenella,
Cannabis sativa, Chenopodium album, Capsella bursa
pastoris, Chondrilla juncea, Centaurea adressa, Echinos-
permum patulum, Ech. Lappula, Euphorbia Gerardiana,
Elymus sabulosus, Euclidium syriacum, Erigeron cana
densis, Ferula nuda, F. tatarica, Festuca ovina, Glycyrr-
hiza glandulifera, Glyceria festucaeformis, Galium Apa-
rine, Gvpsophila muralis, Herniaria odorata, Hierochloa'
borealis, Hyoscyamus niger, Halocnemum strobilaceum,
— 177 —
Malimus canus, Halimocnemis crassifolia, Isolepis Holos-
choenus, Juncus bufonius, I. Gerardi, lurinea Eversmanni,
Koeleria glauca, K. cristata, Kochia prostrata, Lepidium
ruderale, L. perfoliatum, Lithospermum arvense, Malva
borealis, Medicago falcata, Melilotus alba, Melandryum
pratense, Mulgedium tataricum, Nasturtium brachycarpum,
Onosma tinctorium, Phragmitis communis, Poa pratensis,
Polygonum Convolvulus, P. aviculare, P. strictum, Po-
tentilla bifurca, P. argentea, P. supina, Phlomis tuberosa,
Phelipaea lanuginosa, Rumex crispus, Ranunculus oxys-
permus, Sisymbrium pannonicum. S. Sophia, 5. toxophyl-
lum, Stipa Lessingiana, St. sareptana, Salsola Kali, Silene
viscosa, Serratula xeranthemoides, Salvia sylvestris, Sta-
tice incana, St. tomentella, Sterigma tomentosum, Triti-
cum desertorum, Tr. sibiricum, Tr. repens Tr. ramosum,
Tr. orientale, Tr. cristatum, Tr. prostratum, Tragopogon
heterospermus, Taraxacum officinale, Tulipa biflora, T.
tricolor, T. Gesneriana, Thlaspi arvense, Verbascum phoe-
niceum, Xanthium spinosum, X. Stramarium. |
Sarepta, 13 April 1884.
NOTE SUR LES PECTEN LUCIDUS GOLDF. E. BIFIDUS
MUNST.
Par
le Marg. Ant. De Gregorio.
Dr. és sc. nat.
Palerme 24 Janv. 1885.
Ce soni deux espéces trés liées l'une à l'autre, ou pour
mieux dire, qui passent par des formes intermédiaires d'un
type à l'autre. Mr. Deshayes retient le nom de bifidus
pour toutes les deux et il rapporte à la méme espèce les
P. Hausmanni Goldf., multisulcatus Braun, asperulus
Münst.
Pecten bifidus Münst.
F-e. type de l'espéce (Goldfuss Petr. Germ. t. 97. f. 10—
Speyer Koenen Cassel Tert. t. 18, f. 2; t. 19, f. 1, 2,
3, 5, 6). |
F-e emblus De Greg. (Speyer Koenen Cassel Tert. t. 19,
f. 4; t. 18, f. 4. type de la forme).
F-e. espirus De Greg, (Idem t. 19, f. 8, 9) Cette forme
fait passage au P. optatus Desh.
zug
F-e. ergellus De Greg, (Deshayes An. s. vert. Bassin
Paris t. 79, f. 21—23).
F-e. sbirtus De Greg. (Speyer Koenen Cassel Tert. t. 28,
1) C'est une forme ou plutót une espéce différente de
celle de Münster, et qui a beaucoup d'analogie avec
la forme estopus De Greg. (du P. lucidus Goldf.).
Pecten lucidus Goldf. *.
F-e. type de l'espéce (Goldf. Petr. Germ. t. 97, f. 10—
Speyer Cassel Tert. t. 30, f. 2).
F-e, ectopus De Greg. (Speyer Koenen Cassel Tert. t. 30,
f. 1, 3) Cette forme rappelle le P. flabelliformis Brocc.,
qui du reste est différent.
F-e. erbus De Greg. (Idem t. 50, f. 4). Forme intermé-
diaire entre la précédente et la suivante et qui fait passa-
ge au P. bifidus Münst.
F-e. enchilus De Greg, (Idem t. 30, ft. 5),
F-e. entebus De Greg, (Idem t. 30, f. 6, 7).
*) Le P. lucidus Jeffreys est un Amussium (1878 Thompson
deapths of the sea p. 464, f. 78 etc.) et par conséquent il ne faut pas
changer son nom.
our
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x
e
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y
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ih y : a a En T Hw.
И eae
Sew PELA ue
rF SUA.
t dca у 4 NS
ЕЕ : LT Te
J
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NT
+
5
SEAHCES
de la
SOCIETE IMPERIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
SÉANCE DU 20 SEPTEMBRE 1884.
La Séance a été ouverte par Mr. le Secrétaire de la Société, le
Professeur Lindeman, par quelques paroles consacrées à la mé-
moire du défunt Président de la Société, Alexandre Grigorevitsch
Fischer de Waldheim, dont Ja mort arrivée le 13(25) Juillet est une
perte bien sensible, le défunt s'étant voué plus de 50 ans de sa vie
laborieuse au bien étre de la Société et à la science en général.
Mr. Fischer, élu Secrétaire de la Société en 1825 et Vice-Président
en 1853, enit les fonctions de Président depuis le commen-
cement de l'année 1872.
En suite de cette communication, la Société a élu par ballotage
Mr. le Docteur Charles Renard, Président et Mr. le Professeur Th.
A. Bredichin, Vice-Président.
Mr. W. N. Lwow présente un article sous le titre: Beitrage zur
Histologie des Haares, der Borste, des Stachels u. der Feder. Avec
4 planches.
Mr. B. E. Iakovlev a envoyé la description de plusieurs nouvelles
espéces du genre Jalla Hahn.
M 3. 1884. i
9
ur ——
Mr. le Professeur H. Trautschold a remis une notice sur les der-
niers travaux des géologues d'état de l'Amérique du Nord.
Mr. V. D. Meschaeff présente une liste des plantes de la partie
septentrionale du Gouvernement de Riasan.
Mr. le Docteur А. Weiss a fait remettre un article intitulé: Ce
que devient la bile dans le canal digestif.
Mr. le Professeur N. Sorokine envoie une courte description de
son voyage dans l'Asie Centrale (1878, 1879).
Mr. le Dr. Vencesl. Dybowski envoie une notice intitulé: Über
eine die Entstehung der Baikal-Sees betreffende Hypothese.
Mr. Bachmeteff remet ses Observations météorologiques faites à
Petrovsky-Razoumovsky pendant les mois de Juillet et d'Aoüt 1834.
Mr. le Professeur Th. Sloudsky présente un essai de solution
du probléme géodésique.
Mr. le Secrétaire, Professeur Lindeman, fait part à la Société que
Son Altesse Impériale, Monseigneur le Grand Duc Nicolas Michai-
lovitsch, a envoyé ses Mémoires sur les Lépidoptères, et oue
le Conseil de la Société propose de présenter à Son Altesse Impé-
riale les remerciments les plus respectueux,en le priant de vouloir
bien accepter le titre de membre honoraire. La Société se joint una-
nimement à la proposition du Conseil.
L'Université de Kiev annonce la fête prochaine de son Jubilé
cinquantenaire et prie la Société de vouloir bien prendre part à cette
solennité. La Société a envoyé une adresse de félicitations et prié
ses membres, MM. les Professeurs Théophilaktoff et Avenarius, de
vouloir bien représenter la Société à cette occasion à Kiev.
Le Comité organisateur du 7-eme Congrés des Naturalistes et Mé-
decins russes à Odessa envoie un exemplaire des conditions pour
le Concours de dene prix Marasly, de 500 roubles chacun.
Mr. le Dr. Lendenfeld de Sydney promet d’envoyer son ouvrage
sur les Coclenterata d’Australie et propose de faire parvenir & la
Société différents animanx marins et terrestres.
a Db ca
Mr. N. M. Sarandinaky, de Rostov sur le Don, envoie un exem-
plaire du Thrips cercalium qui a paru en grand nombre sur le seigle
des environs de Rostov, en priant de lui donner des renseignements
sur cet insecte nuisible.
Le méme envoie des exemplaires du Calandra granaria, qui fait
aussi des ravages aux environs de Rostov.
MM. A. 4. Belopolsky et A. P. Sokoloff remercient. la Société
pour leur élection comme membres.
Mr. le Baron, Professeur E. Nordenskiold, remercie pour l'envoi
des Mémoires et des bulletins de la Société, et fait don d'une
collection compléte des récits de toutes les expéditions polaires
suédoises et d'un facsimilé photographique d'un manuscrit de Marco
Polo, édité sous la rédaction de Mr. Nordenskiold.
Mr. le Professeur Alex. A. Fischer de Waldheim envoie à la So-
ciété en don plusieurs ouvrages de son pére, et entre autres un
volume lithographié des leçons de son père à l'Université de Moscou.
Le Département du Ministére des affaires étrangéres envoie, au
nom du gouvernement hollandais, le texte de l'ouvrage Werbeck,
appartenant à l’Atlas géologique de Sumatra, reçu il y a quel-
que temps.
Mr. le Dr. Horwat, Directeur de la station phylloxerique de Bouda-
Pest, envoie le compte-rendu officiel de cette station pour 1888 et
un travail sur les insectes nuisibles de la Hongrie.
La Société géographique italienne de Rome envoie le second et
dernier volume des comptes-rendus du 3-ème Congrès internationai
géographique.
Mr. le Professeur Briosi envoie quelques uns de ses ouvrages
publiés par la station agronomique de Rome, dont il est le Direc-
teur.
Mr. le Docteur Prestel d’Emden présente plusieurs fascicules mé-
téorologiques, publiés par lui à différentes époques.
Mr. le Dr. Guido Schenzl envoie ses observations magnéto-météo-
rologiques faites pendant l'été de 1884 à Bouda-Pest.
о
Mr. le Dr. Just de Carlsrouhe envoie une copie lithographiée du
compte-rendu offieiel concernant les spores qui s'attaquent aux vi-
gnobles de Baden.
Le Musée national de Rio Janeiro, la Société Iris de Dresde, l’Ob-
servatoire Royal de Bruxelles, l'Académie des sciences naturelles de
Philadelphie, l'Institut national de Genéve, la bibliothéque Royale de
Dresde,la Société Royale de Londres et la Société des Naturalistes
de Stuttgart prient de leur compléter la collection de nos publica-
tions dans leurs bibliothéques.
L'Observatoire astronomique de Dorpat, désirant avoir sa propre
bibliothéque spéciale, prie la Société de lui envoyer un exemplaire
de nos publications. |
Le Cercle littéraire et scientifique russe au Polytechnicum de Dresde
prie de lui envoyer les publieations de la Société.
Mr. le Dr. Е. Ragousa, rédacteur du journal Naturalista Siciliana,
ainsi que l'Université John Hopkins à Baltimore et la Société d'E-
tudes scientifiques d'Angers proposent l'échange de leurs publications.
En suite d'une circulaire de notre Société aux différentes insti-
tutions scientifiques, qui avait pour but de compléter les lacunes de
notre bibliothèque, nous ont envoyé tout ce dont ils ont pu disposer,
les Institutions suivantes:
L'Aeadémie nationale de Bordeaux, la Société Iris de Dresde, les
Sociétés des Naturalistes de Danzig et de Góttingue, l'Institut
national de Genéve, la Société physico-médicale de Wurzbourg,
l’Académie des sciences de Vienne et la Société Vaudoise.
La Société hongroise des Alpes annonce qu'elle a transporté le
lieu de ses séances de Kesmark à Letschay.
Mr. le Professeur J. G. Galle de Breslau remercie pour l'envoi
d'un télégramme à l'occasion de son Jubilé cinquantenaire.
MM. H. I. Wild. de Pétersbourg, Е. D. Félizine d'Ekaterinodar
et Francais Fasbender de Vienne remercient de leur nomination com-
me membres de la Société.
La Société a recu l'annonce de la mort de MM. Hochstetter a
Vienne, I. Simonin à Nancy et Wurtz à Paris.
uu NE ois
Le Secrétaire de la Société, Mr. le Professeur Lindeman, a pré-
senté le Bulletin № 1 de 1884 et les observations météorologiques
de la premiére moitié de 1884.
Des lettres de remerciments pour l'envoi des publications de la
Société ont été reçues de 53 Sociétés et savants. -
Mr. le Professeur Alex. Sabanéeff a fait une communication sur
les travaux les plus importants de Dumas et de Wurtz.
DONS.
Livres offerts.
. Johns Hopkins University, Baltimore. Studies from the Biolo-
gical Laboratory. Vol. 3, № 1. Baltimore 1884 in 8°. De la part
de l'Université John Hopkins à Baltimore.
. Revista trimensal de Instituto historico geographico e ethno-
graphico do Brazil. Tomo 46, parte 1 e 2. Rio de Janeiro 1883
in 8°. De la part de l’Institut historico-géographique et ethno-
graphique du Brésil a Rio de Janeiro.
. Bulletino di Paletnologia italiana. Anno 9 № 1—7—12 Anno 10.
№ 1—4. Reggio dell’Emilia 1883—84 in 8°. De la part de la
Redaction. (P. Strobel).
. Botanisches Centralblatt. Jahrgang 5. № 1. № 18, 19, 20, 21, 22,
23, 24, 25—39. Kassel 1884 in 8%. De la part de Mr. Oscar
Uhlworm a Cassel.
. Garten-Zeitung. Jahrgang 3. № 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24—39.
Berlin 1884 in 8°. De la part de Mr. le Dr. Wittmack a Berlin.
. Bulletin de l'Académie de médecine à Paris 1884. № 18, 19, 20,
21, 22, 23—37. Paris 1884 in 8°. De la part de l'Académie de
médecine de Paris.
. Feuille des jeunes Naturalistes. Année 14. № 163, 164, 165--167.
Paris 1884 in 8°. De la part de Mr. Adrien Dollfus à Paris.
. Atti della В. Academia dei Lincei. 1883—84. Serie 3. Tran-
sunti. Vol. 8, fasc. 10. Roma 1884 in 8°. De la part de VAca-
demie R. de Lincei a Rome.
10.
cesa
. Omuems Mockosckaro Публичнато и Румянцовскаго Музеевъ за
1879—82 г. Москва 1884 in 4°.
Нумизматический Кабинеть Моск. Публ. и Румянц, Музеевъ.
‚ Выпускь 1. Москва 1884 in 8°. Les № 9 et 10. De la part des
11.
14.
16.
Musées public et Roumanzoff de Moscou.
Журналь Министерства Hapoxgaro ПроевЪщения. 1884. АпрЪ$ль,
Май, Гюнь, Гюль, Asrycrs. С.-Петербургъ 1884 in 8°. De la part
de la Rédaction.
. Jannettaz, Ed. Mémoire sur les clivages des saches et sur leur
reproduction. Paris 1884 in 80. De la part de l'Auteur.
. Mittheilungen des Ornithologischen Vereines in Wien. Jahrg. 8.
Ne 4, 5. Wien 1884 in 4*. De la part de la Société ornithologique
de Vienne.
Протоколы Sactıania Имп. Кавказскаго Медицинекаго Обще-
ства. Годз 20. № 19, 20—24. Годъ 21. № 1. Тифлисъ 1884 in 8°.
De la part de la Société I. des médecins du Caucase à Tiflis.
. Johns Hopkins University Circulars. Vol. 3. Ne 29, 30. Baltimo-
re 1884 in 4°.
American Journal of Mathematics. Vol. 6. Ne 3. Baltimore
. 1884 in 4°. Les № 15, 16 de la part de l’Université Johns Hop-
17.
18.
19.
20.
21.
18, 19, 20, 21, 22—25, Chigaco 1884 in 8°. De la part de la Re-
kins à Baltimore.
The Canadian Entomologist. Vol. 16. № 2, 3, 4. London 1884
in 8°. De la part de Mr. Wm. Saunders de Londres.
Протоколы годичнато засфданая (793) Ими. Виленскаго Медн-
цинскаго Общества. 1883. № 10. 1884. № 1, 2—5. Вильно 1884
in 8°. Де la part de la Société I. des médecins de Vilna.
Omuems Кавказскато Общества Сельскаго Хозяйства. 1884. № 1.
4. Тифлисъ 1884 in 8°. De la part de la Société d'agriculture du
Caucase à Tiflis.
Hsencmia Восточно-Сибирекаго Отдфла Ими. Русскаго Геогра-
фическаго Общества. Tow» 14. № 3. Иркутскъ 1883 in 4°. De
la part de la Société géographique de la Sibérie a Irkutsk.
Journal of the American Medical Association. Vol. 3. Ne 16, 17,
daction.
22,
29.
24.
31.
34.
men.
Revue mensuelle d'Entomologie pure et appliquée. Vol. I. №5
St.-Pétersbourg 1884 in 8°. De la part de Mr. VI. Dokhtouroff
a St.-Pétersbourg.
Nature. 1884. № 757, 758, 759, 760, 761, 762, 763—776. London
1884 in 8°. De la part de la Rédaction.
Der Zoologische Garten. Jahrgang 25. № 4, 5—8. Frankfurt a.
M. 1884 in 8°. De la part de la Société Zoologique de Franc-
fort $. M.
‘ Mittheilungen der schweizerischen Entomologischen Gesellschaft.
Vol. 6. Heft 10. Vol. 7, Heft 1. Schaffhausen 1884 in 8°. De la
part de la Société entomologique suisse de Schaffhouse.
. Neues Jahrbuch für Mineralogie etc. Jahrgang 1884. Band 1.
Heft 3. Stuttgart 1884 in 8°. De la part de la Rédaction.
» Yuusepcumemcxin ИзвЪслля. 1884. № 3, 4, 5, 6. Kiess 1884 in 8°.
De la part de l'Université de Kieff.
. Zoologischer Anzeiger. 1884. № 166, 167, 168, 169, 170—176.
Leipzig 1884 in 8°. De la part de Mr. le Prof. Victor Carus a
Leipzig.
. The Geological Magazine. 1884. M. № 239—242. London 1884
in 80. De la part de Mr. Henry Woodward à Londres.
. Giornale ed Atti della Societa di Acclimazione ed agricoltura
in Sicilia. Vol. 24. № 1 e 2. Palermo 1884 in 8°. De la part de
la Société d'Acclimatation etc. de Palerme.
Bolletino mensuale dell'Observatorio centrale del Real Collegio
C. Alb. in Moncalieri. Ser. 2. Vol. 4. 1, 2. Torino 1884 in 4*.
De ia part de Mr. Fr. Denza de Turin.
. Chronique de la Société nationale d'Acclimatation de France.
10-ème année. 1884. № 9, 10, 11. Paris 1884 in 8°. De fa part
de la Société nationale d’Acclimatation de France à Paris.
33. Powell, 1. W. Second annual Report of the United States Geo-
logical Survey. 1880—81. Washington 1882 in gr. 8".
Dutton, Clar. E. Tertian history of the grand canon Strich,
With Attas. Washington 1882 in 4°.
40,
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. Bulletin of the United States Geological Survey. A 1. Was-
hington 1883 in 8°.
36. Hayden, F. V. Twelfth annual Report for the year 1878. Part 1.
9, and Maps and Panoramas. 1878. Les № 33—36. De la part
du Département géologique des Etats-Unis a Washington.
. Preudhomme de Borre, A. Analyse et Résumé d'un Mémoire
de Mr. le Dr. G. Horn. Paris 1882 in 8°. De la part de Auteur.
‚ Irmischia, Jahrgang 4. № 1—4. Sondershausen 1884 in 8°.
. Abhandlungen des Thüringischeu Botanischen Vereins Irmi-
schia. Heft 3 pag. 17—32. Sondershausen 1884 in 8°. Les № 38,
39 de la part de (a Societe Irmischia de Sondershausen.
Bockwerken ter Tafelgebracht der К. Natuurskundiga Vereini-
ging Jaas 1883. (luli—December). in 8’.
Braun, M. Beitrage zur Kenntniss der Fauna baltica. II. Die
Land-Süsswassermollusken der Ostseeprovinzen. Dorpat 1884
in 8°. De la part de l’ Auteur.
Русский Въстникъ. 1884. AULAE, Май, Шюнь, Шюль; ABrycrr.
Москва 1884 in 8°. De la part de Mr. Katkoff:
Bulletin de la Societé Académique franco-hispano-portugaise de
Toulouse. Tome 4. 1889. № 2, 3. Toulouse 1883 in 8°.
Statuts et Reglements de la Société académique fr.-hisp.-portu-
gaise de Toulouse. Toulouse 1883 in 8°. Les № 43, 44 de la
part de la Société Academique franco-hispano-portugaise de Tou-
louse.
Bulletins de la Société des sciences physiques naturelles et
climatologiques de l'Algérie. 1883. Alger 1883 in 8°. De la part
de la Société des sciences physiques de l'Algérie.
Annales de la Société des sciences naturelles de la Charente-
inférieure. 1882. № 19. La Rochelle 1883 in 8°. De la part de ia
Société des sciences naturelles a La Rochelle.
. Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série 2. Tome 6,
fasc. 15. Paris 1883 in 8°. De la part de la Société des sciences
de Nancy.
48.
49.
50,
51.
Or
bo
53.
54.
55.
56.
57.
58.
je ques
Mittheilungen der Anthropologischen Gesellschaft in Wien. Band
14. Heft 1. Wien 1884 in 4°. De la part de la Société anthropo-
logique de Vienne.
Mémoires de la Société des sciences physiques et naturelles de
Bordeaux. 2-e Série. Tome 5, Cahier 3. Bordeaux 1883 in 8°.
Rayet, M. Observations pluviométriques et thermométriques
faites dans le Département de la Gironde, de Juin 1882 à Mai
1883. Bordeaux 1888 in 8°. Les Лё 49, 50 de la part de la So-
ciete des sciences physiques et naturelles de Bordeaux.
Bulletin de la Société zoologique de France pour l'année 1883.
Parties 4—6. Paris 1883 in 8°. De la part de la Société zoolo-
gique de France a Paris.
. Mémoires de l’Académie des sciences, inscriptions et belles
lettres de Toulouse. 8-ё те Série. Tome 5. Semestre 1, 2. Tou-
louse 1883 in 8°. De la part de l’Académie des sciences, inscrip-
tions et belles lettres de Toulouse.
Bulletin de la Société géologique de France. 3-éme Série. To-
me 11, feuilles 32—39. Tome 12, feuilles 1—9—13. Paris 1888—
84 in 8°. De la part de la Société géologique de France à Paris.
Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux. Vol. 36. Bordeaux.
Vol. 36. Bordeaux. 1882 in 8°. De la part de la Société Lin-
néenne de Bordeaua.
Annales de la Société d’agriculture, histoire naturelle et arts
utiles de Lyon. Série 5. Tume 5. 1882. Lyon 1883 in 8°. De la
part de la Société d Agriculture de Lyon.
Proceedings of the Royal physical Society. Session 1882—88.
Edinburgh 1883 in 8°. De la part de la Société Royale de Phy-
sique à Edimbourg.
Der Naturforscher. 1884. № 14-19, 20, 21, 22, 28, 24. Berlin
1884 in 4°. De la part de Mr. le Dr. Sklarek.
Bericht (11-ter) des Museums für Völkerkunde in Leipzig.
1883. Leipzig 1884 in 8°. De la part du Musée pour la connais-
sanee des peuples a Leipzig.
.: 35. 1884. 2
59.
60.
61.
62.
63.
64.
65.
66.
67.
68.
69.
s AE) | (LES
Atti della R. Accademia delle scienze di Torino. Vol. 19, Disp.
2, 3. Torino 1884 in 8°. De la part de l'Académie В. des scien-
ces de Turin.
Записки Hoónopocciitekaro Общества Естествоиспытателей. Toms
8, вып. 1. Одесса 1882 in 8°. De la part de la Société des Ма-
turalistes d’Odessa.
Archiv für die Naturkunde Livl., Estl. u. Kurlands. 2-te Serie.
Biologische Naturkunde. Band 9, Lieferung 5. Dorpat 1884 in 8°.
Sitzungsberichte der Naturforscher-Gesellschaft bei der Univer-
sitàt Dorpat. Band 6, Heft 3. Dorpat 1884 in 8°. Les J 61, 62
de la part de la Société des Naturalistes de Dorpat.
Труды Имп. вольнаго Экономическато Общества. 1884. Томь 1,
вып. 4. Томь 2, вып. 1. Тюнь, Гюль, Августъ. С.-Петербургъ
1884 in 8°. De la part de la Société I. libre économique de St.
Pétersbourg.
Sauvage, H. E. Notice sur le genre Caturus. 1883 in 8*. De la
part de l’Auteur.
Bollettino della Società africana d'Italia. Anno 5, fasc. 2. Na-
poli. 1884 in gr. 8°. De la part de la Société africaine d'Italie à
Naples.
Joly, Charles. Note sur les importations et les exportations de
produits horticoles de 1881 à 1883. Paris 1884 in 8°. De la
part de V Auteur.
Bulletin mensuel de la Société nationale d'Acclimatation de
France, 1884. № 2, 3. Paris 1884 in 8°. Dela part de la Société
nationale d'Acclimatation de France a Paris.
Atti della Società Toscana di seienze naturali. Processi verbali,
Vol. 4. pages 53—70 et Indice Vol. 2. 3. Pisa 1884 in 8°.
meme ie
Memorie. Vol. 6, fasc. 1. Pisa 1884 in 8°. Les № 68, 69 de la
part de la Société Toscane des sciences naturelles de Pise.
‚ Zeitschrift für Naturwissenschaften. 4-te Folge. Band 3, Heft 1.
Halle a. 5. 1884 in 8°. De la part de la Société des Naturalistes
de Halle a. 5. ;
71.
72,
43.
74.
76.
80.
81.
и tas
Petermann’s, A. Mittheilungen. 1884. Ne 4. Ergänzungsheft. X
‚14, 76. 5, Gotha 1884 in 4*. De la part de Mr. Justus Perthes.
Sitzungsberichte der К. Preus. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin. I—XVII. Berlin 1884 in gr. 8°. Dela part de l'Académie
К. prussienne des sciences de Berlin.
Versiagen en Mededeelingen der К. Akademie von Weten-
schappen. Afdeeling Natuurkunde. Tweade recks. Deel. 18. Am-
sterdam 1883 in 8°.
— meee
— Letterkunde. Tweade reeks. Deel. 12. Amsterdam 1883 in 8°
. Jaarbock van de Kon. Akademie von Wetenschappen voor
1882. Amsterdam 1883 in 8°.
›. Processen-Verbaal van de gewone Vergaderingen der К. Aka-
demie van Wetenschappen. Afdeeling Natuurkunde van Mai
1882 tot April 1883. Amsterdam in 8°.
. Naam - en Zaakregister op de Verslagen en Mededeelingen der
K. Akademie van Wetenschappen. Afdeeling: Letterkunde 3
Serie. Tweede Reeks Deel 1—12. Amsterdam 1883 in 8°. Les
Л 73—77 de la part de l’Académie Royale des sciences d’Am-
sterdam.
Verhandlungen der K. K. Zoologisch-botanischen Gesellschaft
in Wien. Band 33. Wien. 1884 in 8°.
. Pelzeln, Aug. v. Brasilische Säugethiere. Wien 1883 in 8°. Les
№ 78, 79 de la part de la Société I. В. Zoologique-Botanique de
Vienne.
Amtlicher Bericht über die 56 Versammlung Deutscher Natur-
forscher und Aerzte zu Freiburg im Breisgau 1883. Freiburg
I. B. 1884 in 4°. De la part du Prof. Dr. Claus de Freibourg.
Abhandlungen der Königl. Gesellschaft der Wissenschaften zu
Gottingen. Band 30. Góttingen. 1883 in 4°.
. Nachrichten von der К. Gesellschaft der Wissenschaften zu
Gôttingen. Aus dem Jahre 1883. № 1—13. Góttingen 1883 in 8°.
Les № 81, 82 de la part de la Société В. des sciences à Góttingue.
83.
84.
88.
89.
95.
96.
BR,
Записки Xapskosckaro Отд$леня Ими. Pycckaro Техническаго
Общества. 1884. Годъ 3, вып. 1. Харьковъ 1884 in 8°. De la
part de la sectiou de la Société Imp. technique russe a Kharkoff.
Hsencmia Имп. Pyeckaro Географическаго Общества. Toms 20.
вып. 1. С.-Петерб. 1884 in 8°. De la part de la Société I. russe
de Géographie de St.-Pétersbourg. —
. Люсной Журналъ. 1884. Bun. 3, 4, 5, 6. С.-Петерб. 1884 in 8°,
De la part de la Société forestière de St.- Pétersbourg.
. Braun, m. Schwaznbildung bei einem Erwachsenen. 1881 in 8°.
‚ — — Ueber die Thätigkeit des Regenwurmes für die Frucht-
barkeit des Erdbodens. in 8*.
— — Ueber 2 neue in Dorpat beobachtete Brunnenplana-
rien in 8°.
— — Ueber rudimentaire Sehwanzbildung bei einem Er-
wachsenen. in 8°.
‚ — — Ueber die Entwickelung der Enten-oder Teichmu-
scheln.
.— — Ueber seine Fahrten im finnischen Meerbusen.
2, — — Untersuchungen zur Entwickelungs Geschichte des brei-
ten Bandwurms.
‚ — — Ueber den Stand der Schrenk’schen Molluskensam-
lung. in 8’.
.— — Embryologische Mittheilungen über Papageyen.
— -— Ueber die Ergebnisse der Untersuchung von 6 Hech-
ten. in 8°.
— -— Ueber die Entwickelung der Mäusefinnne. in 8°.
Les № 86—96 de la part du Professeur Brawn de Dorpat.
. Compendium of the tenth Census (lune 1, 1880) Part I II.
Washington 1883 in 8°. De la part du Départament de l’Inte-
rieur à Washington.
98.
DO:
100.
101.
102.
103.
104.
105.
106.
109.
Anales de la Sociedad espanola de historia natural. Tome 13,
Cuaderno 1. Madrid 1884 in 8°. De la part de la Société espa-
gnole Whistosre naturelle de Madrid.
Bullettino della Società entomologica italiana. Anno quindice-
simo. Tremestre 4. Firenze 1884 in 8°. De la part de la Société
entomologique italienne de Florence.
Anales de la Sociedad cientifica argentina. 1884. Entrega 3, 4.
Buenos-Aires 1884 in 8*. De la part de la Société scientifique
argentine de Buenos-Aires.
Boletin del Instituto geografico argentino. Tome 5, Cuaderno 4.
Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de l'Institut géographique
de Buenos Aires.
Gedder, Patrick. Ra - Statement of the cell Theory. Edinbourgh
1884. De la part de l'auteur.
Memorie della Reale Accademia delle scienze di Torino. Serie
seconda. Tomo 35. Torino 1884 in 4°.
Atti della R. Accademia della scienza di Torino. Vol. 19, disp.
1. Torino 1883 in 8*.
Il primo secolo della R. Aceademie delle scienze di Torino.
Notizie storiche e bibliografiche. 1788—1883. Torino 1883 in 4*.
Les № 108—110 de la part de l'Académie К. des sciences de
Turm.
Memoire del Reale Instituto lombardo di scienze e lettere.
Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. 15 fasc. 1. Ме
lano. 1883 in 4°.
. Atli della fondazione scientifica Cagnola della sua istituzione
in Poi. Vol. 7. Milano 1882 in 8°.
. Rendiconti. Reale Istituto lombardo di scienze e lettere. Ser.
2. Vol. 15. Milano 1882 in 8°. Les № 106—108 de la part de
l’Institut Royal Lombard des sciences et lettres a Milan.
Comptes rendus des séances et Mémoires de la Société de Bio-
logie. Année 1881. Paris 1882 in 8. De la part de la Société
de Biologie de Paris.
110.
111.
112.
113.
114.
115.
116.
117.
118.
119.
120.
121.
122.
cM.
Отчеть Имп. Русскаго Географическаго Общества за 1883 годъ.
C.-Ilerep6. 1884 in 8°. De la part de la Société I. géographique
russe de St.-Petersbourg.
Русское Садоводство. 1884. № 1—19— 22. Москва 1884 in 4°. De
la part de la Redaction (A. Гемилланъ).
Bulletin de la Société Khédiviale de Géographie. Série 2-de.
№ 5. Le Caire 1884 in 8°. De la part de la Société Khédiviale
de Géographie.
Latzina, Franc. La République Argentine relativement à l’émi-
gration européenne. Buenos-Aires 1883 in fol. De la part de
la Société argentine des sciences a Buenos-Aires.
Bulletin astronomique et météorologique de l'Observatoire Im-
périal de Rio de Janeiro. 1883. № 12. Rio de Janeiro 1883 in
fol. De la part de VObservatoire Imperial de Ric de Janeiro.
Записки Иуп. Общества Сельскаго Хозяйства Южной Poccim.
1884. № 3. Одесса 1884 in 8°. De la part dela Société I. d'agri-
culture dw Midi de la Russie à Odessa.
Bollettino della Societa geografica italiana. 1884. fasc. 5. Roma
1884 in 8°. De la part de la Societé géographique italienne de
Rome.
Труды 4-го Энтомологическаго Областнаго съфзда представите-
лей земетвьъ Южной Poccin съ 10-го по 21-е Февраля 1884
Одесса, 1884 in 4°. Dela part de l'administration locale d’Odessa. `
Mémoires de l’Institut national genevois. Tome 15. Genève
1883 in 4°. De la part de l’Institut national genevois a Geneve.
Braun, M. Ueber sogenannte Schneewürmer. Dorpat 1884 in 8°.
De la part de l’auteur.
Taczanovski, L. Liste des vertébrés de Pologne. 1877 in 8°. De
la, part de l'auteur.
Boletin de la Academia nacional de ciencias en Cordoba. Tomo
6. Entrega 1. Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de l'Académie
des sciences de Cordoba (Republ. argentine).
Annales de l'Observatoire de Moscou. Vol. 10 livr. 1. Moscou
1884 in 4*.
123.
124.
125.
126.
127.
128.
129.
190.
133.
134.
E Nm
Die Meteoriten-Kreisreihen als Erzeuger der Kometen, Son-
nenflecke etc. etc. in 8°. Les Ae 127, 128 de la part de l’Obser-
vatoire de Moscow.
2
Bollettino del Naturalista. Anno 4. Ne 5. Siena 1884 in 4*. De
la part de la Rédaction.
The Quarterly Journal of the Geological Society. Vol. XI, part.
№ 158. London 1884 in 8°. De la part de 1% Société géologique
de Londres.
Verhandlungen der Naturforschenden Gesellschaft in Basel.
Theil 7, Heft 2. Basel 1884 in 8°. |
Die Basler Mathematiker Daniel Bernoulli u. Leonhard Euler.
Basel 1884 in 8°. Les № 131, 132 de la part de la Société des
Naturalistes de Basle.
Notizblatt des Vereins fiir Erdkunde zu Darmstadt. 4-te Folge,
Heft 4. Darmstadt 1883 in 8°. De la part de la Société géogra-
phique de Darmstadt.
Bulletin de la Société belge de Microscopie. 10-ème Année.
Ne 8, 9. Bruxelles 1884 in 8%. De la part de la Société belge de
Microscopie à Bruxelles.
Jahresbereicht (68-tes) der Naturforschenden Gesellschaft in
Emden. 1882—83. Emden 1884 in 8°. De la part de la Société
des naturalistes d' Emden.
. Jahrbuch der K. K. geologischen Reichsanstalt in Wien. Jahr-
gang 1884. № 2. Wien 1884 in gr. 8°.
. Verhandlungen der К. К. Geologischen Reichsanstalt. 1884. №
4—8. Wien 1884 in от. 8. Les /ё 136, 137 de la part de P Institut
I. R. géologique de Vienne.
Mittheilungen der K. K. Geographischen Gesellschaft in Wien.
Band 26, № 10—12. Band 27, Ne 1, 2. Wien 1883—84 in 8°. De
la part de la Societé I. В. géographique de Vienne.
The Twelfth Annual Report of the Board of Directors of the
Zoological Society of Philadelphia. Philadelphia 1884 in 8°. De
la part de la Societé Zoologique de Philadelphie.
140.
141.
142.
146.
147.
dis
. Статистическая Таблицы родившихся и множественныхъ po-
довъ Bb Москв за Яеварь 1884. Москва 1884 in 4°. De la
part du Comité statistique de Moscou.
. Albrecht, Paul. Snr la fossette vermienne du crane des Mammi-
feres. Bruxelles 1884 in 8°. De la part de l’auteur.
. Journal de Micrographie. 1884. X» 5, 6. Paris 1884. De la part
du Dr. I. Pelletan de Paris.
. Sitzungsberichte der gelehrten estnischen Gesellschaft zu Dor-
pat. Dorpat 1884 in 8°. De la part de la Société savante eston-
mienne de Dorpat.
. Bollettino della Società Adriatica di Seienze naturali in Trieste.
Vol. 8. Trieste 1883—84 in 8°. De la part de la Société adria-
tique des sciences naturelles à Triest.
Report of the Entomological Society of Ontario for the year
1885. Toronto 1884 in 8°. De la part de la Societé entomologique
d'Ontario à Toronto.
Труды Геологическаго Комитета. Tow» 1. № 2. С.-Петербургъ
1884 in 4°.
Извъстия Геологическато Комитета. 1884 г. Tour 3-й № 3, 4, 5.
С.-Петерб. 1884 in 8°. Les Ae 141, 142 de la part du Comité geo-
logique de St.-Petersbourg.
. Протоколь Собранля Kiesckaro Общества Естествоиспытателей.
3 Марта 1884. Kies» 18841 in 8°. De la part de la Société des
naturalistes de Kieff.
. Thiemen, Felix. v. Die Pilze des Oelbaumes. in 8%. De la part
de l’ Auteur.
. Sitzungsberichte der Naturforschenden Gesellschaft zu Leipzig.
Jabrgang 10. Leipzig 1884 in 8°. De la part de la Société des
naturalistes de Leipzig.
Journal de l'Ecole polytechnique. Cahier 53. Paris 1883 in 4°.
De la part de l’Ecole polytechnique de Paris.
Шатиловь Г. H. Cooómenie o Тарпанахъ. Моеква 1884 in 4°.
De la part de l’auteur.
148.
149.
150
151.
152.
153.
154.
155.
156.
189.
Bulletin de la Société d'Etudes des sciences naturelles de Ni-
mes. 1884. Ne 3, 4. Nimes 1884 in 8°. De la part de la Société
d'études des sciences naturelles de Nimes. - MS
Bulletin de l'Académie I. des sciences de St.-Pétersbeurg. Tome
29, feuilles 15—25. St.-Pétersbourg 1884 in 4°. De la part de
Académie I. des sciences de St.-Pétersbeurg.
Joly, Charles. Note sur les Halles centrales 1881 in 8°. De Ja
part de l’auteur.
Remsen, Irec. American Chemical Journal. Vol. 6. X 1, 2. Bal-
timore 1884 in 8°. De la part de Mr. le Rédactewr.
Га Photographie appliquée aux sciences biologiques et le phy-
siographe universel du Dr. A. L. Donnadieu. Lyon 1884 in 8°.
De la part de Mr. I. B. Carpentier de Lyon.
Mittheclungen des Naturwissenschaftlichen Vereines für Steier-
mark. Jahrgang 1883. Gros. 1884 in 8°.
Haupt-Repertorium über simmtliche Vorträge etc. etc. der in
den Mittheilungen des Grazer Vereines publizirten Materien
von 1868—1883. Beilage zum Jahrgange 1883. Graz. 1884 in 8°.
Les № 153, 154 de la part de la Société d'histoire naturelle de
Graz.
Oversigt over det Kongelige Danske Videnskabernes Selskabs
Forhandlinge 1883. № 3. 1884. № 1. Kjobenhavn 1888—84 in 8°.
De la part de l'Académie Royale Danoise des sciences et des
lettres de Copenhague.
Philosophical Transactions of Royal Society of London. Vol
170, part 1, 2. Vol. 171, part 1. London 1879—80 in 4°.
. — — Proceedings of the Royal Society of London. № 197—
209. London 1879—80 in 8°.
. The Royal Society of London. 1-st December. 1879. London
1880 in 4°. Les № 156—158 de la part de la Société Royale de
Londres.
Сообщенёя и Протоколы засфдавя Marewarmueckaro Общества,
въ ХарьковЪ. 1884 года. I. Харьковъ 1884 in gr. 8°. De la part
de la Societé mathématique de Kharkow.
№ 3. 1884. 3
160.
161.
163.
164.
165.
166.
167.
168,
169.
170.
171.
NECI OMM
Records of the geological Survey of India. Vol. 17, part 2. 1884.
Calcutta 1884 in 8°. De la part de la Société géologique des
Indes à Calcoutte.
Accademia pontifica de nuovi Lincei anno 37 (1884) sessione
3. Febrar. 17. Roma 1884 in 8°. De la part de l’Académie pon-
tificale de Nuovi Lincei a Rome.
. Sitzungsberichte der Gesellschaft für Geschichte u. Atterthums-
kunde der Ostseeprovinzen Russlands aus den Jahren 1877—81.
Riga 1884 in 8°. De la part de la Société d'histoire et d'antiquités
des provinces baltiques à Riga.
Archiv des Vereins der Freunde der Naturgeschichte in Meck-
lenburg. 38-tes Jahr (1884). Abthl. 1. Güstrow 1884 in 8°. Dela
port de la Société des amis d'histoire naturelle de Mecklenbourg.
Russische Revue. Jahrgang 13. Heft 2. St.-Petersburg 1884 in 8.
De la part de Mr. Ch-s. Röttger.
Jahres-Berichte des Naturwissenschaftlichen Vereins in Elber-
feld. Heft 6. Elberfeld 1884 in 8. De la part de la Société
d'histoire naturelle d? Elbevfeld.
Almanach der K. Bayerischen Akademie der Wissenschaften für
das Jahr 1884. München 1884 in 8% De la part de l’Académie
R. des sciences de Munich.
Mueller, Ferd. v. (Baron). A descriptive Atlas of the Encalypts
of Australia. Ninth Decade. Melbourne 1883 in 4°. De la part
de Vauteur. |
Haewcmia Петровской ЗемледЪльческой и Леной Академли.
lox» 7-Й. Вып. 1-й. Москва 1884 in 8°. De la part de l'Acadé-
mie agricole de Pétrovsky.
Труды Импер. Моск. Общества Сельскаго Хозяйства. Вып. 14.
Москва 1884 in 8°. De la part de la Société I. d’agriculture de
Moscou.
Journal of the Royal Microscopical Society. 1884. June. London
1884 in 8°. De la part de la Société В. de Microscopie à Londres.
Astronomische, Magnetische u. Meteorologische Beobachtungen
an der K. K. Sternwarte zu Prag im Jahre 1883. Jahrgang 44.
Prag 1884 in 4*. De la part de l'Observatoire I. В. météoro-
_ logique de Prague.
1102,
173.
178.
119
180.
181.
182.
183.
184.
185.
186.
dde. un
Mémoires sur les Lepidoptéres. Rediges par N. M. Romanoff.
Tome 1. St.-Pétersbourg 1884 in 8°. De la part de S. Altesse
Impériale le Grand Duc Nicolai Michailovitsch.
Inmmonucu Главной Физической Odceppatopin 1882 г. Ч. 1 и 2.
Отчетъ за 1881 и 1882 rr. и Метеэрологичесвай Сборникъ. T. 8.
С.-Петерб. и 4°.
. Императорской Военной Медицинской Академли. Диссертащи
42 fasc. С.-Петербургъ 1884 in 8°.
. Извьстия и Ученыя Записки Вазанскаго Университета. Янв.—
Декабрь 1888 г. Казань in 8°.
. Записки Новтородскато Общества Пчеловодства. Апр$ль. 1884.
С.-Петербургъь in 8°.
. Giornali ed atti della societa di Acclimazione Ne 3 u 4. 1884,
Palermo. in 8°.
Bolletino della Societa Geografica Italiana. 1887. fasc. 6, 7, 8.
Firenze. in 8*.
Proceedings of the Academy of natural sciences of Philadel-
phia. 1884. Pert 1. in 8°.
Записки Харьковскато Университета. 1880. T. 12, 4. Харьковъ.
in 8°.
Деритскаго Университета. 42 fasc. Академическихь H3JaHil за,
1883—84 годъ.
Mittheilungen d. Ornithologischen Vereins in Wien. 1884. Iuni,
Iuti.im 4°.
Verhandlungen der Gesellschaft für Erdkunde. 1884. № 1—5.
Berlin 1884 in 8°.
Zeitschrift der Gesellschaft für Erdkunde. Band XIV Heft 1.
Berlin 1884 in 8°.
Sitzungsberichte d. k. Akademie der Wissenschaften in Wien.
1884. № 10—14 in 5°.
Bolletino del R. Comitato Geologico d'Italia 1884 X 3 u 4, 5,
6—8. Firenze in 8°.
187.
188.
189.
190.
191.
192.
193. |
194.
195.
196.
197.
198.
199!
200.
201.
202.
208.
204.
cH.
Berliner Entomologische Zeitschrift XVIII Band 1 Heft. Ber-
lin in 8°.
Schriften der Universitat zu Kiel aus d. Jahren 1882—88. An-
zahl 25.
Notizblatt d. Vereins für Erdkunde zu Darmstadt. IV Folge.
III Heft. Darmstadt 1882 in 8°.
Boletin del Instituto Geografico Argentino. Tom V. Cuaderno 6.
Buenos Aires. 1884 in 8°.
Landwirtschaftliche Jahrbiicher 1884. Heft 3. Berlin in 8°.
Bulletin de la Société de Nimes 1884. № 5—7. Nimes in 8°.
Memorie Spettroscopisti 1884. April. Palermo in 4°.
Academie Commerciale Catholique de Montreal 1875—76. Mon-
treal. 1876. De la part de L. A. Huguet-Latour.
Puissance du Canada. Le grand occident Canadien. Ottawa. 1882.
Tasse. Le Nord-Ouest. Ottawa. 1882.
Verhandlungen d. Siebenbürgischen Verei ns für Naturwissen-
schaften. Jahrg. 34. (1884). Hermannstadt in 8°.
Anales de la Sociedad cientifica Argentina. 1884. Tom XVII.
ent. 4 u 5, XVIII ent. 1. Buenos-Aires in 8°.
Boletin da Sociedade de geographia de Lisboa. X 6, 7—9. Lis-
boa in 8*.
Rogartani Lapok. Füzet 4—6. Budapest. 1854 in 8°.
Verbeck. Description topographique de Sumatra. Batavia 1888
in 8? gr.
Annales de la Société Belge de microscopie. T. 8. Bruxelles
1882 in 8°.
Bulletin du Musée royale d'histoire naturelle de Belgique. 1883.
Ne 4. Bruxelles in 8°.
Annales de la Société géologique de Belgique. T. 9. Liége.
1882 in 8°.
205.
206.
207.
208.
209.
210.
211.
212.
213.
214.
215.
216.
217.
218.
219.
220.
221.
Ger | dete
Abhandlungen, herausgegeben vom naturwissenschaftlichen Ve-
reine zu Bremen. Band VIII. Heft 2, Band IX. Heft 1. 1883—84.
Ait della В. Accademia delle scienze di Torino Vol XIX.
Disp. 4—7. Torino. 1883—84 in 8°.
Boletino della Osservatorio della regia Universita di Torino.
1884 in 4*.
Bulletin mensuel de la Société zoologique d’acclimatation №
4—9. Paris 1884 in 8°.
Bulletin des sciences de la Société Vaudoise des sciences natu-
relles. Lausanne in 8°. № 90. 1863. Août. 1864 Juil. 1864 Juil.
1866 Juin. 1874 Févr. 1876 Oct.
Garten Flora. April—Aug. Erlangen. 1884 in 8°.
Atti della Societa Toscana di scienze naturali. Vol. IV. 1884.
Pisa in 8*.
Bulletin de la Société Botanique de Belgique T. XV. 1876.
Bruxelles in 8°.
Comptes Rendus des séances et mémoires dela Société de Bio-
logie X 1—28. Paris. 1884 in 8°.
Mittheilungen der geographischer Gesellschaft in Wien. Band
XXVII. № 3—5 in 8°.
Bulletin de la Société d'Anthropologie. Mars à Mai. 1884. Pa-
ris m 6°.
Zeitschrift für die gesammten Naturwissenschaften. Mars—A p-
ril. 1884. Halle in 8*.
Nederlandsch Meteorologisch Jahrbookvor 1888. Utrecht in 4°.
Archives du Musée Teyler. 4 partie. Haarlem. 1883 in 8°.
Archives Neerlandaises des sciences exactes et naturelles. T.
XVIII Livr. 2—5. T. XIX. Livr. 1. 2. Haarlem. 1888—84 in 8°.
Archief Middelburg V. 3. 1881 in 8°.
Natuurkundig Tijdschrift voor Nederlandsch—Indie. Batavia.
1883 in 8°. Decl. XLII.
RR
. Atti del Instituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Disp. 1. 2.
4—10. Venezia in 8°.
. Daniels. Un cas de Leontiasis osseo. Haarlem. 1883.
. Записки Kaskasckaro Отдфла Имп, Рус. Teorp. Общества. Km.
XIII. 1884. Тифлисъ in 8°. | |
. Report on the progress of the botanic Gorden. Jear 1883. Ade-
laide.
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in 8% i
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. Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft XXXVI.
Band 1. Heft. Berlin 1884 in 80.
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Bruxelles. 1883. |
. Proccedings of the American Philosophical Society. № 118.
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. Cantoni Saggio di fisiologia vegetale. Milano. 1883.
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in 8°.
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1884.
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in 8*.
240.
241.
242.
243.
244.
245.
246.
247.
248.
249.
250.
251.
252.
253.
PW ant
— Untersuchungen über die mechanischen Ursachen d. Zell-
streckung. Leipzig 1877 in 8°.
1
— Sur la mort des cellules végétales.
— Ueber Wundholz, Regensburg 1876 in 8°.
— Langenwachsthum der Ober-und Unterseite sich krümmen-
der Ranken in 8°.
Jahreshefte des Vereins fiir vaterlandische Naturkunde in Wiir-
temberg. Jahrg. 40 (1884) in 8°.
Mittherlungen aus dem Jahrbuche d. К. Ungar. geologischen
Anstalt. Band VI. Heft 7—10. VII. Heft 1. Budapest in 8°.
Foldtani Közlöny XIII Köf 7—12. XIV. 1—3. Budapest 1884
in 8°.
Крылова. ЛЪеной вопросъ въ Poccin in 8°.
Abhandlungen der mathem.-physikalischen. Classe d. Köngl.
Bayerischen Akademie. 15 Band-München 1884 in 4*.
Memoirs of the geological Syrvey of India. Serie X. Vol. Ш.
Philadelphia in 4°.
Записки KieBckaro Общества, естествоиспытателей. T. УП, вып.
2. Ries» in 8°.
Bulletin mensuel de l'Observatoire meteorol. Upsal. Vol. XV.
1888 in 4°.
Извьстия Импер. Общества Любителей естествознан!я. Toms
ХГУ, вып. 1—3. M. in 4°.
Sitzungsberichte d. К. Akademie d. Wissensch. in Wien. № 17—
19 in 8*.
. Omuems Kaskasckaro Общества Сельскаго Хозяйства. № 2—5.
Тифлись. 1884 in 8°.
. The Journal of anthropological Institute of Great Britain and
Ireland in 8°. Vol. XIV. X 1.
. Revista do Sociedade de instruccao do Porto. Ne 10—12. Porto.
1883 in 8°.
1883. Firenze in 8°.
258. Blasius. Ueber die letzten Vorkommnisse des Riesen-Alks in 8°.
259. — Ueber neue und zweifelhafte Vógel yon Celebes. Braun-
..Sehweig. 1883 in 8. |. .
260. — Ueber Spermophilus rufescens Keys. u. Blas. in 8°.
261. — Zur Geschichte der Ueberreste von Alca impennis. Lin n.
1884 in 8°.
262. Bulletino della reale accademia di Palermo. № 1—3. 1884 in 4*.
263. Mittheilungen der naturforschenden Gesellschaft in Bern N
1004—72. 1073—82. 1884 in 8°.
264. Neues Lausitzisches Magazin. Heft 1. Görlitz. 1884 in 8° nee
265. Loios. Jahrbuch für Naturwissenschaft. Band V. 1884. Prag.
in Be. 0
266. Verhandlungen der Schweizerischen SUP Gesell
| schaft 1882—s3. Zürich. in 8°.
267. Verhandl. d. naturhistorischen Vereins der preussischen Rhein-
‚ lande und Westfalens. Heft 1. 2. 1888—84. Bonn. in 8°.
268. Jahresbericht d. physikal. Vereins zu Frankf. am Main. 1882—
„83 in 895 5
269. Journal of the royal microscopical Society. 1884. Part 4. Lon
^ don and Edinburgh. in 8°.
270. Записки Влевскато Общества Естествоиснытателей T. VII вып.
_2. 1884. Riess. in 8°.
271. Anzeiger der kaiserlichen Akademie der Wissenschaften. Wien. -
^. 1867: 1—3. 7—14. 1868: 1. 8. 1869: 2. 20. 23. 1870: 11. 29. 1871—
73. 1874. 1875. 1878: 23. 26. 1881. 1883: 2. 3 in 8°.
212. Beitrüge zur Anthropologie und Urgeschichte Bayerns. Heft 1.
219.
NN
. Bulletino della Societa entomologiea Italiana. Trim. 1 et 2.
München. 1884 in 8°.
Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard Col-
lege. 1883. Cambridge in 8°.
288.
289.
290.
. Giornale ed Atti Societa di acclimazione ed agricoltura in Si-
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. Bulletin de la Société Belge de microscopie. € X u Xl. Bru-
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. Tijdschr. voor entomologie Aft. 1. 2. Sgravenhage in 8°.
3. Schriften d. naturforschenden Gesellschaft in Danzig. VI Band.
Heft 1. 1884. Königsberg in 8°.
. Hsencmia liwuep. Рус. Географ. Общества. Bun. 2. C.-Ilerep-
бургъ. 1884 in 8*.
. Berg. Addenda ad hemiptera Argentina.
. Mémoires de l'Académie Imp. des sciences de St.-Pétersbourg.
T. XXXI. № 3—16. T. XXXII. № 1—3 in 4°.
2. Beitrdge zur Kenntniss d. Russich. Reiches. Band 6. 7. St.-Pe-
tersbourg in 8°.
. Braun. Physikal u. biolog. Untersuchungen.
. Ánnali della stazione chimico agraria sperimentale di Roma.
Fasc. 10, 1883. Roma in 8°.
. Dechen von. Geologische Briefe aus America. Bonn.
. 15 u 16 Bericht des Offenbacher Vereins für Naturkunde. Offen-
bach am Main. 1876 in 8°.
. Sitzungsberichte der naturwissenschaftlichen Gesellschaft Isis in
Dresden. 1868. № 1—3. 1869. № 1—3. 7—9. 1871. Jan.— Juni.
1872. Jan.—Mürz. 1873. Apr.—Decem. 1879. Jan.—Dec. 1880.
Jul.—Dec. in 8*.
Abhandl. v. d. Senckenb. naturforsch. Gesellschaft. Band XIII,
Heft 4.
Memoirs of the literary and philosophical Society of Manche-
ster. Vol. 7. 9. 1832 in 8°.
Proceedings of Manchester. Vol. 20—22. 1880—89 in 8°.
.k 3. 1884. +
Le, dioi au
291. Jahrbuch für Mineralogie. Geologie und Paläontologie 1884.
Heft 1. 2. Stuttgart in 8°. u re |
292. Report of the British Association. 1883. London in 8°.
293. Proceedings of the oval s of Queensland. Vol. L part 1.
1884 in 8°.
294, The Quarterly Journal of the geological Society. x 159. Lon-
don 1883 in 8°.
295. Annuaire Statistique de Buenos-Ayres. 2 année. 1882.
296. Record of the geolog. Survey of India, part 3.
297. Mittheilungen aus dem Vereine der Naturfreunde in Reichen-
berg. XV Jahrg. 1881 in 8’.
298. Mittheilungen aus dem Osterlande. Band 2. Altenbourg.
299. Plateau. Recherches expériment. des insectes. 1884.
300. — Recherches des invertébres. 1884.
SÉANCE PUBLIQUE DU 3 OCTOBRE 1884.
Le Sécretaire dela Société, Mr. le Professeur Lindeman, fait lec-
ture du compte rendu des travaux de la Société pour l'année aca-
démique 1883—84.
: Mr. le Vice Président Bredichin communique des observations sur
Vecelipse pru de la lune ane. a eu lieu le 22 Add = 1884.
Mr. J. Ign. Weinberg parle de init transmission. 7. travail du cou-
rant galvanique à distance. La lecture a été accompagnée de plu-
sieurs démonstrations avec des appareils mis à la disposition de
la Société par son membre correspondant Mr. Hamburger, le suc-
cesseur de Mr. Schwabe. \
ze UT a
SÉANCE DU 18 OCTOBRE 1884.
Le Secrétaire de la Société, Mr. le Professeur Lindeman, fait lec-
ture d'une lettre adressée au Président de la Société de la part de
Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand Duc Nicolai Michai-
Iovitsch qui remercie pour son élection de membre honoraire de la
Société. :
Mr. le Е Alex. Sabaneeff remet un travail sur a compo-
sition chimique de la boue d'un des volcans de la presqu'ile de
Tama.
Mr. E. Kislokovsky présente une notice sur l'analyse chimique de
2 specimens du sel glaubérien, provenant du Caucase.
Mr. le Secrétaire, Professeur Lindeman, communique que Mr. le
Professeur Goroschankine a annoncé au Conseil de la Société
que les herbiers de la Société qui se trouvent entre ses miains
sont examinés et mis en ordre et que le Conseil dans sa séance
du 12 Octobre a décidé, d'aprés le § 3 de son Réglement, de faire
.don à l'Université de tous ces herbiers en demandant à Mr. Goro-
schankine de prendre les mesures nécessaires pour indiquer pour
toujours que ces herbiers sont un don de la Société. Ces herbiers
consistent en 73 différentes collections. |
S. Exc. Mr. Bitschkoff envoie 12 paquets destinés à la Société, et
venus par la Commission internationale d'échange de la France et
de l'Amérique.
Le méme envoie sa carte photographiée.
Mr. Venceslav Iv. Dybovski demande si un travail de son frère
sur les Crustacées du lac Baical pourrait être publié sans falar’
dans notre Bulletin.
Le méme écrit qu'il est occupé d'un travail sur les éponges de la
mer d'Ochotsk, que son frére a rassemblées dans le temps et prie
delui envoyer les Bulletins qui contiennentle travail de Mr. Tcher-
niavsky sur les éponges de la mer Caspienne.
La Société pour Vhistoire et l'archéologie des provinces baltiques a
Riga celébrera le 6 (18) Décembre l'anniversaire de 50 ans d'exi-
stence et invite à y prendre part.
Mr. le Dr. E. Kugler de Pfronten en Bavarie envoie le 22-éme
Rapport de la Société silésienne pour l'échange botanique. Mr. Kug-
ler communique que 75—77000 parts (de plantes) sont à distribuer
cette année et prie MM. les Auteurs d'envoyer les diagnoses des
nouvelles espéces, en particulier de telles qui sont divulgées par la
Société.
un ur
Mr. le Dr. Guido Schenzel envoie ses observations magnéto-mé-
téorologiques faites à Boudapest pendant le mois de Septembre de
cette année. | ar
Mr. le Professeur Dr. ‘Alexandre Pagenstecher, Directeur du Mu-
‘sée d’histoire naturelle de Hambourg, envoie plusieurs de ses publi-
cations et en méme temps son Rapport imprime sur les travaux exé-
cutés et l’état du Musée d'histoire naturelle de Hambourg pour
1883 et propose l'échange des publications.
. Mr. Adolph Senoner de Vienne annonce la mort de feu notre mem-
bre, Leopold Fitzinger de Vienne, et engage à prendre part au Ju-
bilé de 50 ans du Professéur Meneghini, qu'on va célébrer au com-
mencement de Décémbre à Pise.
M-elle Virginie le Comte annonce le décès de son frère, feu notre
membre François Théophile Lecomte, mort le 6 Octobre dans sa
66-e année,
Mr. le Professeur Ad. Schuster de Krems prie de lui faire savoir
l'adresse de Mr. Hugo Christoff et d'autres Entomologues de E
Russie.
La Bibliothèque publique d' Alexandre à Samara. prie de lui accor-
der nos publications. bkn
La Societé Royale bohémienne des sciences à Prague va célébrer le
6 Décembre (24 Novembre) le centiéme anniversaire de sa fondation
et invite à prendre part à cette solennite..
Mr. L. Cruls annonce que, par. Décret en date du 9 Août, 8 Sa Ma-
jesté l'Empereur du Brésil a daigné le nommer Directeur de l'Ob-
servatoire Impérial de Rio de Janeiro.
La Société d’histoire oerte de Hannovre, la. Société des Natura-
listes de Danzig et la Société Linnéenne de Bordeaux ont envoyé cha-
cune plusieurs volumes ou livraisons de leurs publications, qui man-
quaient dans notre bibliothéque. D’autres Institutions ou Sociétés de
l'Allemagne et de la France ont annoncé l'envoi fait de leurs [ubli-
cations pour remplir les lacunes: de notre bibliothèque.
. Mr. le Professeur Baron Nordenskiold de Stockholm a envoyé le
don annoncé des Comptes-rendus de toutes les expéditions polaires
suédoises; le Conseil de la. Société . propose.en suite de cet envoi
d'élire Mr. Nordenskiold membre de la Société. |
u TE
La Cotisation pour 1885 a été payée par Mr. Th. A. Sloudsky.
Des remerciments pour l’envoi des publications de la Société de
la part de l'Université, de la Bibliothèque publique, de l’Institut
forestier, de l'Observatoire central, du Comité géologique de St.-Pé-
tersbourg, de l'Observatoire météorologique de Dorpat, des Jardins
botaniques de St.-Pétersbourg et de Varsovie. et de l'administration
des mines de la Finlande à Helsingfors, de MM. Alex. Fischer de
Waldheim de Varsovie, Ed. Bogd. Lindemann d’Elisabethgrad et
F. E. de Herder de St -Pétersbourg, de la part de la Société amé-
ricaine philosophique de Philadelphie, de la Société d'histoire na-
turelle, Lotos, de Prague, de la Société entomologique suisse, de la
Société d'histoire naturelle générale à Berne, de l'Institut Smith-
son de Washington, et de Mr. Adolph Senoner de Vienne.
Mr. le Professeur A. P. Sabanéeff fait une communication concer-
nant la polemérisation du Brome azetiléne.
. Mr. М. A. Mensbier expose les résultats de ses DD ES con-
cernant l'ostéologie des pinguins.
DONS
Livres offerts.
1. Pagenstecher, H. A. Trematodenlarven u. Trematoden. Heidel-
berg 1857 in 4°.
2. — — Ueber das Lufteinblasen zur Rettung scheintodter Neu-
geborner. Heidelberg 1856 in 8°.
3. — — Zur Anatomie von Echinorhyngus proteus. 1863 in 8°.
4. — — Ueber Aufstellung der Quallen in den Museen. in 8°.
5. — — Die Thierwelt Australiens. 1865 in 8’.
€. — — Mensch und Affe. in 8°.
7. — — Aus dem Agrikulturbericht der Vereinigten Staaten von
Nordamerika für 1871, 1872 u. 1873, 1872, 1874 in 8*.
$ — — Miszellen zur Thierwirthschaft in Nordamerika. 1873
in 8°.
— 40 —
. Pagenstecher, H. A. Zur Entwickelungsgeschichte der Trema-
toden. 1881 in 8°.
.— — Dr. Pagenstecher. Ein kA. Lebensbild. Heidklberg
1875 in 8°.
11. — — -Ueber die Hirsche. 1881 in 8°.
12. — — Naturhistorisches Museum zu Hamburg. Hamburg 1884
Tbe 100. | | ПНС
13. Fischer, I. G. Ueber einige afrikanische Reptilien, Amphibien
14.
15.
16.
17.
18.
AQ.
20.
u. Fische des Naturhistorischen Museums zu Hamburg. Ham-
burg 1884 in 8°. Les № 1--13 de la part de Mr. le Dr. A. Pa-
genstecher de Hambourg.
Bulletin of the Torrey botanical Club. Vol. XL № 1—9. New-
Tork 1884 in 8°. De la part du Club botanique Torrey à New
Tork.
Journal of the American Medical Association. Vol. 3 № 11, 12,
13, 14. New Iork 1884 in 8°. De la part de la Rédaction. u.
Nature. N 778, 779, 780, 781. London 1884 in 8°. De la part
de la Redaction. |
Zoologischer Anzeiger. 1884. Jahrgang 7. № 177, 178, 179. Leip-
zig 1884 in 8°. De la part de Mr. lé Prof. Vict. Carus de Leipzig.
Bulletin de l'Académie de médecine. 1884. № 39, 40, 42. Paris
1884 in 8°. De la part de l'Académie de médecine de Paris.
Feuille des jeunes Naturalistes. 1884. :X 168. Paris 1884 in 8°.
De la part de Mr. Adrien Dollfus de Paris.
Russische Revue. Jahrg. 18, Ней 3. St.Petersburg 1884 in 6°.
De la part de Mr. К. Hammerschmidt de St-Pétersbourg.
. Записки Имп. Общества Сельскаго Хозяйства Южной Poccin.
1884. Май, Гюнвь, Гюль. Одесса 1884 1 in 8°. De la part de la So-
ciete I. d'agriculture d’Odessa.
. Ofversigt of finska Vetenskaps-Societetcns Förhandlinger. XXV.
1882—83. Helsingfors 1888 in 8°.
. Acta Societatis scientiarum fennica. Tomus ХИТ. Helsingforsiae
1884 in 4°. Les % 22, 23 de la part de la Société finnoise des
sciences à Helsingfors.
| 24.
25.
26.
— 31 —
Comptes Rendus des séances de la Société de Biologie. 1884. №
29—32. Paris 1884 in 8°. De la part de la Société de Biologie de
Paris.
Annales des sciences naturelles. Zoologie. Tome 15, X 5 et 6.
Tome 16. № 1—3. Paris 1883 in 8°. De la part de MM. Milne-
Edwards de Paris.
Zeitschrift für Naturwissenschaften. 1884. Mai—Iuni. Halle aus.
1884 in 8%. De la part de la Société d'histoire naturelle de
‘ Halle a. в.
28.
33.
34.
35.
O9
(ep
. The London, Edinburgh and Dublin Philosophical Magazinie and
Journal of scienee. Tifth series. Ne 110. London 1884 in 8. De
la part de la Redaction.
Jahresbericht des physikalischen Vereins zu Frankfurt a. M.
für 1856—57, 1857—58, 1859—60, 1861—62, 1865—66, 1874—75.
Frankfurt a. M. 1857—76 in 8°. De la part de la Goo physi-
cale de Francfort s. M. |
. Bollettino della Societa geografica italiana. 1884. Fasc. 9. Roma
1884 in 8°. De la part de la Société géographique italienne de
Rome.
. Журналь Министерства Hapoxsaro Просвфщен1я. 1884. Cen-
тябрь. С.-Петерб. 1884 in 8°. De la part de la Redaction.
. Mittheilungen des historischen Vereines für Steiermark. Heft
32. Graz 1884 in 8°.
. Beitráge zur Kunde Steiermarkischer Geschichtsquellen. Jahr-
gang 20. Graz 1884 in 8°.
Stiria illustrata Bogen 9—12. Graz 1884 in 8°. Les Л 31, 32, 33
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Hzewcmia Teoxornyeckaro Konnrtera. 1884. № 6. C.-lerepoyprs
1884 in 8°. De la part du Comité géologique de St.-Petersbourg.
Mittheilungen der K. K. Geographischen Gesellschaft in Wien.
Band 27, № 6. Wien 1884 in 8°. De la part de la Société géo-
graphique de Vienne.
. Trautvetter, Е. В. а. Incrementa florae phaenogamae rossicae.
Fasc. 4. Petropoli 1884 in 8°. De la part de l'Auteur.
BT.
38.
40.
41.
42.
43.
44.
46.
an
48.
49.
ET e
Garten-Zeitung. Jahrgang 3: № 40, 41, 42. Berlin 1884 in 8°. De
la part de Mr. le Dr. Wittmack. D^ Nene:
Der Naturforscher. 1884. № 25, 26, 28—33, 35—37—89, 40. Ber
lin 1884 in 4*. De la part de Mr. le Dr. Srlarek, И
. Mittheilungen aus der Zoologischen Station zu Neal Band 5,
Heft 2. Leipzig 1884 in 8°. De la part de Mr. le Dr. A. Doren
de Naples.
Petermann’s Mittheilungen aus I. Perthes Geographie An-
stalt. Band 30. Heft VI—VIII, IX. Gotha 1884 in 4°. De la part
de Mr. Justus Perthes de Gotha.
Mau, W. Ueber Scoloplos armiger C. F Müller. Leipzig 1881
in 8°. De la part de l’ Auteur.
Berichte des naturwissenschaftlich medizinischen Vereins in
Innsbruck. Jahrgang XIII. Innsbruck 1883 in &*. De la part de
la Société d'histoire naturelle et de médecine d'Insbruck. —
Mittheilungen der naturforschenden Gesellschaft in Bern aus
dem Jahre 1882. Heft 2;—aus dem Jahre 1888, Heft 1. Bern
1883 in 8°. De la part de la Société des Naturalistes de Bern.
Miltheilungen der Schweizerischen Entomologischen Gesell-
schaft. Vol. 7, Heft 1. Schaffhausen 1884 in 8°. De le pant de la
Société entomolagesus suisse de Schaffhouse.
. Atti della Societa crittogamologica italiana. Anno 27. Ser. 2,
vol. 3. Disp. 3. Varese 1884 in 8°. De la part de la Société de
Criptogammologique a Milan.
Извьстля Имп. Русскаго Географическаго Общества. Toms 20,
вып. 8. С.-Петерб. 1884 in 8°.
Отчеть Восточно-Сибирскаго Orxbza И. Русек. Географ. O6-
WiecrBa за 1883 годъ. С.-Петерб. 1884 in 8°.
— Зацадно-СОибирек. Отд. Имп. Русск. Географ. Общества, за
1883 г. С.-Петербургт. 1884 in 8°. Les № 46—48 de la part de
la Société I. géographique russe de St.-Pelersbourg.
Verhandlungen u. Mittheilungen des Siebenbürgischen Vereins
für Naturwissenschaften in Hermannstadt. Jarhgang 34. Her-
mannstadt 1884 in 4*. De la part de la Societé d'histoire natu-
relle de Hermannstadt.
51.
52.
08.
54.
55.
56.
57.
58.
59
60.
61.
62.
cxi depu
. Report of the scientific results of the voyage of H. М. S. Chal-
lenger during the years 1873—76. Zoology. Vol. 9. Plates. Lon-
don 1884.
Crepin, Francois. Manuel de la flore de Belgique. 5 édit. Bru-
xelles 1884 in 8°. De la part de l’Auteur.
Bericht (18-ter) der Oberhessichen Gesellschaft für Natur-u.
‚Heilkunde. Giessen 1879 in 8°. De la part de la Société d’his-
toire naturelle et de medecine de Gissen.
Medunruncniti Сборникъ. 1884. № 38. Тифлись 1884 in 8°.
Протоколь Экстраординарнаго Засфдан1я Имп. Вавказскаго
Медицинскаго Общества. 1884. № 5. Тифлисъ 1884 in 8°. Les №
54, 55 de la part de la Societe I. des médecins du Caucase à
Tiflis.
Bulletins des travaux de la Société murithienne du Valais de-
puis 1868 jusqu'à 1871. Fascic. 2, 1 et 8, Ti. 12, Genéve et Neu-
chatel 1873—84 in 8°,
Tissière, P. G. Guide du Botaniste sur le Grand St. Bernard.
Aigle 1868 in 8*. Les N* 56, 57 de la Lang de la Société muri-
thienne du Valais a Neuchatel.
Anales de la Sociedad cientifica argentina. Entregaz, Tomo 18.
Buenos-Aires 1884 in $*. De la part de la Societe scientifique
argentine de Buenos-Atres.
The Geological Magazine. 1884. September. London 1884 in 8°.
De la part de Mr. Woodward.
Jahresbericht der Gesellschaft für Natur-u. Heilkunde in Dres-
den. 1883—84. Dresden 1884 in 8% De la part de la Societé
d'histoire naturelle et de médecine à. Dresde.
Neueste Schriften der Naturforschenden Gesellschaft in Danzig.
Band 6. Heft 2 u. 3. Danzig 1861 in 4*.
Schriften der Naturforschenden Gesellschaft in Danzig. Neue
Folge. Band 6, Heft 1. Danzig 1884 in 8°. Les № 61, 62 de la
part de la Societe d’histoire naturelle de Danzig.
Chronique de la Société nationale d’acclimatation de France.
Année 10. X 19, 20. Paris 1884 in 8°. De la bati de la Societé
nationale d’acclimatation de Paris.
Je 3. 1884. b
63.
64
|. 69.
66.
67.
68.
40.
41.
73.
— s
Sitzungsberichte der Kón. Preussischen.. Akademie der Wissen-
schaften zu Berlin. XVIII— XXXIX. Berlin 1884 in 8°. De la
part de l’Académie К. des sciences de Berlin.
. Texnuxs. 1884, № 54, 55. Москва 1884 in 4°. De la part de la
Rédaction.
Landwirthschaftliche Jahrbücher. Band XIII, Heft 4 u. 6. Band
XII. Supplement 1. Berlin 1884 in 8°. De la part du ministère
d'agriculture de Prusse à Berlin.
Müller. Konrad. Vergleichende. Untersuchung der anatomischen
Verhältnisse der Clusiaceen, Hypericaceen etc. Leipzig 1882 in
8°. De la part de l'auteur.
Bulletin de la Société .de Borda Dax. 1884, trimestre 3. Dax
1884 in 8°. De la part de la Société de Borda Dax.
Фишеръ фонъ-Вальдлеймь А. Курсь Ботаники. Часть I. Варшава
1884 in 8°. De la part de l'auteur.
. Moberg, К. Adolf. Beskrifning till Kartbladet № 7 avec la
Carte géologique. № 7 de la Finlande. Helsingfors 1884 in 5°
et in fol. De la part de l'administration des mines en F'inlande
a Helsingfors.
Rovartani Lapok. 1 Kötet. Füzet 7—9. а 1884 in 8%
De la part de Mr. le Redacteur Horwath Geza. ——
Jahresbericht (1, 2, 5, 6, 7, 9-ter п. 33 ter) der Naturhistori-
schen Го in Ho Hannover 1851—1884 in 8? u
4°, De la part de la Société des Naturalistes de Hannovre.
. Hayden, F. V. Preliminary Report of the United States Hes
gical Survey of Wyoming. Washington 1872 ш.8°. De la part
de l'auteur.
Proceedings of the American philosophical Society. Vol. 16, №
99. Philadelphie 1879 in 8°. De la part de la Société philoso-
phique américaine de Philadelphie.
. Macoun, John. Catalogue of Canadian Plants. Part 1. Montreal
1883 in 8°. De la part de l’auteur.
. Schomburgk, R. Report of the progress and condition of the
botanic garden etc. during the year 1882. Adelaide 1883 in fol.
De la part de Vauteur
80.
81.
82.
83.
84.
85.
66.
87.
— 35 —
. Overzigt over det Kong. Danske Videnskabernes Selskabs For-
handlinger. 1873. № 2. Kjobenhavn 1873 in 8°.. De la part de
la Soc été Royale des sciences de Copenhague.
. Mittheilungen der Anthropologischen Gesellschaft in Wien.
Band 11, Heft 3 u. 4. Band 12, Heft 11. II, IV. Wien 1882 in
4°, De la part de la Société anthropologique de Vienne.
- Joly, oh. et André, Ed. Exposition universelle de la Nouvelle-
Orléans. Paris 1884 in gr. 8. De la part de Mr. Joly.
i Вы Centralblatt. 1884. № 40, 41, 42. Cassel 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Dr. Oscar Uhlworm de Cassel. .
Dokoupil, Wilh. v. Jahresbericht (9) der Gewerbschule zu Bis-
tritz in Siebenbürgen. Bistritz. 1883 in 5°. De la Bare de l'au-
teur.
Annual Report of the Board of Regents dr the Smithsonian In-
stitution for the year 1879. Washington 1880 in 8°. De la part
de l'Institut Smithson de Washington.
Annales de la Société entomologique de France. Série 4. Tome
10, partie supplémentaire. Paris 1875 in 8°. De la part de la
Société entomologique de France de Paris.
Jahr buch der K. K. Geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1851.
X 1. Jahrg. 1882. № 2 u. 3. Wien 1881—82 in gr. 8°. De la part
de Kinstitut d... B. géologique de Vienne.
Report of go for 1880—82. rant 1883 in 8°. De la
part de la Société géologique et d'histoire naturelle du Canada
a Montreal.
Transactions of the American philosophical Society. New se-
ries. Vol. 15, part 2. Philadelphie 1875 in 4°. De la part de la
Société philosophique américaine de Philadelphie.
Отчеть 0 cocroanitt (.-Петербургскато Л$енато Института за
1883 г. С.-Петерб. 1884 in 8°. De la part de l'Institut forestier
de St.-Petersbourg. _
Memeoposoruueckiü Сборникъ издаваемый Императ. Авадемею
Наукъ. Томь 6, вып. 2. C.-IIerep6. 1879 in 4°. De la part de
Mr. le Dr. H. Wild. de St.-Pétersbourg.
85.
‚(serie 2) XX—XXV. Vol. 3. (Ser. 2) 1. Dublin .1882—88 in 4°.
89.
91.
94.
ACT CUR
The scientific transactions of the Royal Dublin Society. Vol. 1
The Scientifie Proceedings of the Royal Dublin Society. Vol. 8
(Hew ser.) № 6, 7. Vol. 4. № 1—3.. Dublin 1882—83 in 8°. Les №
89, 90 de la part de la Société Royale des sciences de Dublin.
. Bulletin mensuel de la Société nationale d'Acclimatation de
France. Année 31-ème. № 5, 6. Paris 1884 in 8°. De la part de
la Société nationale d'Acclimatation de France de Paris.
Favre, Alphonse. Carte du phénoméne erratique et des anciens
glaciers du versant Nord des Alpes suisses et de la Chaine du
Montblanc. 4 cartes. Genéve 1884 in gr. fol. De la part de
- l'auteur.
. Bulletin del Instituto Geografico argentino. Tomo 5, Cuaderno
9. Buenos-Aires 1884 in 8*. De la part de l'Institut Mind
que argentin de Buenos-Aires. |
: Entomologisk Tidskrift. 1884. Hàft1 o 2. Stockholm 1884 in 8°.
De la part de la Société entomologique de Stockholm.
Anales de la Sociedad espagnola de historia natural. Tomo 13.
"Cuaderno 2. Madrid 1884 in 8*. De la part de la Société Espag-
95.
96.
98.
go
пе d'histoire naturelle de Madrid.
Personalstand der K. K. Franz-Jos. Universitat zu Czernowibs
1884-—85. Czernowitz 1884 in 4*. |
Verzeichnis der öffentlischen Vorlesungen an der K. K. Franz-
Jos. Universität zu Czernowitz 1884—85. Czernowitz 1884 in 4°.
Les `№ 96, 97 de la part de l'Université de Czernowitz.
. Bulletin de la Société géologique de France. 3 serie: Tome 9.
X 7. Tome 10, X 7. Tome 12, X 4, 5, 6. Paris 1882—84 in 8°.
De la part de la Societe géologique de France à Paris.
Мельниковь, H. Il. Выставки Bb Одесс$. 1884. Одесса 1884 in
8°. De la part de l’auteur.
Bulletin de la Société zoologique de France pour l’année 1884.
Parties 1 et 2. Paris 1884 in 8°. De la part de la Société zoolo-
gique de France à Paris.
100.
101.
102.
103.
104.
105.
106.
107.
108.
109.
110.
111.
ic HA a
Mittheilungen des K. K. Militar-Geographischen Instituts. Band
4. Wien 1884 in 8°. De la part de l'Institut I. В. géoyraphique
militaire de Vienne.
Actés de la Société Linnéenne de Bordeaux. Tome 25, Tome
29 et Tome 30. Bordeaux 1864—73 in 8*. De la part dela So-
ciété Linnéenne de Bordeauz.
Bulletin de la Société botanique de France. Tome 28. Comptes-
rendus 6-bis. Tome.29, Tome 30. Comptes rendus 1—4. Revue
bibliographique A—D. Paris 1881—83 in 8°. De la part de la
Societé botanique de France de Paris. |
Annales de la Société entomologique de France. Année 1883.
Trimestre 1—4. Paris 1883—84 in 8°. De la part de la Société
entomologique de France de Paris. |
Journal of the Royal Microscopical Society. 1884. October. Lon-
don 1884 in 8°. De la part de la Société Royale de Microscopie
de Londres. |
Nuovo Giornale botanico italiano. Vol. 16. № 4. Firenze 1884
in 8. De la part de Mr. T. Caruel de Florence.
Pyccxit ВЪстникъ. 1884. Сентябрь. Москва 1884 in 8°. De la
part de la Rédaction Кайо]. :
Bulletin de la Société Linnéenne de Normandie. 3-e série. Vol.
7. Caen 1883 in 8°. De la part de la Société Linnéenne de Nor-
mandie a Caen.
Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série 2, Tome
6. Fasc. 16. Paris 1884 in 8*. De la part de la Société des scien-
ees de Nancy.
Bulletin de la Société d'histoire naturelle de Toulouse. Année
17 et de l'Année 18 (1884). Janvier—Mars. Toulouse 1883—94
in 8°. De la part de la Société d'histoire naturelle ae Toulouse.
Danielssen, D. C. og Koven, Johan. Asteroiden. (The Horwegian
horth—Atlantic Expedition) met 15 planches. Christiania 1884
in 4. De la part du Comité de l'expédition Norvégienne du
Nord Atlantic.
Труды Имп. Bo1bHaro Экономическ. Общества. 1884 г. T. 3.
Сентябрь. С.-Петерб. 1884 in 8°. De la pari de la Société I.
libre économique de St.-Pétersbourg.
112.
113
114.
122.
Annali del Muséo civico di Storia naturale de Genova. Vol. 18.
19. Genova 1883 in gr. 8. De la part du Musée civique d'histoire
naturelle de Geneve.
Journal de Conchyoliologie. Tome 23. № 1, 2. Paris 1883 in
8*. De la part de. MM. Crosse et Fischer.
Bulletin de la Société académique franco-hispano-portugaise de
Toulouse. 1884. № 1. Toulouse 1884 in 8°. De la part de la So-
ciélé académique Franceshispangupeniygaiae.
. Струве. Г. По поводу появленя филоксеры въ ac Tnuó-
лисъ 1881 in 8°.
— въ СухумЪ. Тифлисъ 1882 in 8°.
- d x {
e — — — — === — — —— — — => — — — Ld
— BB Oyxyars. Tudauct 1884 in 8°. Les №. 115—117 de la EN
de Mr. le Professeur Ch-s Lindeman.
. Journal de Micrographie. 1884. № 9. Paris 1884 in 8°. De la
part de Mr. le Dr. I. Pelletan..
. Mémoires de l'Académie des sciences, belles lettres et arts de
Lyon. Classe des sciences. Vol. 26. Lyon 1883—84 in gr. 8°. De
la part de l'Académie des sciences de Lyon.
. Nordenskiold, A. E. Vega Expeditionens Vetenskapliga Iaktta-
gelse. Bandet 1—3. Stockholm 1882—83 in 8°.
Paesi Vegas fárd kring Asien och Europa. Del. 1—2. Stock-
holm 1881 in 8°.
Rosny. Leon de. Catalogue de la Bibliotheque p de Nor-
denskiold. Paris 1883 in 8°. Les № 120—121 de la Bart de Mr.
A. E. Nordenskiold.
BULLETIN
SOCIETE IMPERIALE
DES NATURALISTES
Tome LX.
ees
ANNEE 1884.
Uu S Sa PSP IPSIS
№ 4.
MOSCOU.
Imprimerie de l'Université Impériale. (M. Katkoff.)
74881.
ENUMERATION DES ESPECES DE PLANTES VASCULAIRES
DU CAUCASE
par
M. Smirnow
de Tiflis.
L'énumération de toutes les espèces de plantes vas-
culaires recueillies jusqu'à ce jour au Caucase, à l'état
spontané, avec l'indication des localités, ou elles furent.
trouvées, ainsi que l'examen critique des opinions, souvent
contradictoires, exprimées. par divers botanistes à l’é-
gard..d’un grand nombre de ces plantes, constituent un
travail préparatoire indispensable pour les recherches
ultérieures relatives aux rapports de la flore du Caucase
avec celles des autres pays de l'Europe et de l'Asie.
Les mémoires des divers savants, qui ont consacré leur
temps à l'étude de la flore Caucasienne,.sont épars dans
différents recueils périodiques, souvent peu répandus et dif-
ficiles à obtenir; la nécessité de remonter à ces travaux
originaux, malgré les obstacles qui se présentent, dérive
du peu d'aecord qu'on rencontre chez les auteurs plus
récents qui les citent. La Flora Rossica de Ledebour,
№ 4. 1884. 12
BR
terminée en 1853, et la Flora orientalis de M-r Boissier
qui vient d’étre achevée, sont les deux grands ouvrages
ou se trouvent mentionnées les espéces de la Flore Cau-
casienne, mais aucun d'eux n'en donne une énumération
compléte.
Le nombre des espéces découvertes au Caucase depuis
l'apparition de la Flora Rossica est trés considérable, et
l'oeuvre de M-r Boissier ne les contient pas toutes; le
savant auteur de la Flora Orientalis, s'étant donné la
tache de décrire la flore d'un immense territoire, on ne
saurait s'attendre à trouver dans son livre une énumé-
ration complète des espèces de chaque province. En outre,
des espéces nouvelles ainsi que d'autres qui n'avaient
pas été trouvées au Caucase jusqu'alors, tout en étant
connues ailleurs, mais qui y furent recueillies aprés la
publication des premiers volumes de la Flora Orientalis,
vinrent former un appoint sound able a la flore du
pays *).
Cet exposé des sources ou l’on doit puiser pour obtenir
une énumeration complète des espèces qui composent la
végétation du Caucase, et le catalogue détaillé des écrits
qui y ont trait placé à lafin de cette préface, démontrent
Ja nécessité du travail de colligation dont nous nous sommes
chargé, en vue d'établir une base indispensable pour des
recherches ultérieures d'un ordre plus élevé.
Le nombre et la réputation des savants qui ont con-
tribué à l'étude de la flore du Caucase, soit en collection-
nant dans le pays, soit en examinant les Herbiers qui
leur étaient envoyés, nous autorise à penser que les
*) Les descriptions des espèces nouvelles sont dûes à M-r de Trautvet-
ter et se trouvent dansles huit volumes des Acta Horti Petropolitani.
— 183 —
espèces nouvelles, que pourront nous donner les recherches
futures ne sauraient étre bien nombreuses. Il n'en est pas
de méme pour les données nouvelles relatives à la dis-
tribution des espèces dans les différentes régions du Cau-
case. Les notions que nous avons sur ce sujet sont
-d'ordinaire bien vagues et bien fragmentaires. La plu-
part des savants qui vinrent visiter le Caucase, en vue
d’herborisations, ne purent accorder à leurs excursions
hátives qu'une parlie de l'été, et les rares botanistes qui
y séjournérent plus longtemps, se consacrérent à l'étude de
cerlains districts de.prédilection. Le manque de recher-
ches s'étendant du printemps à l'automne, explique pour.
quoi la flore des plateaux et des plaines du Caucase
est bien moins connue que celle des montagnes, laquelle
développe toules ses richesses au coeur de nae; à Héper
que habituelle des herborisations.
Notre but étant de fournir une contribution à Vétude
du Caucase au point de vue de la géographie botanique,
nous trouvons nécessaire de faire précéder l'énumération
des espéces qui composent [а Йоге Caucasienne par un
court aperçu de l’orographie et du climat de son domaine.
Apercu orographique..
L'exposé, que nous offrons, des principaux traits oro-
graphiques du Caucase, n'est qu'une traduction abrégée
d'un excellent article de M-r Salatzky, inséré dans les
Mémoires de la section caucasienne de la Société Impé-
riale de géographle. *) t. VII.
Le territoire désigné sous le nom général de Caucase,
*) Записки Кавказ. Orabaa Импер. русскаго географич. RIEN YII.
12
— 184 —
comprend l'isthme ponto-caspien et les parties adjacentes
de l'Arménie. Cette région n'est pas renfermée dans des
limites de géographie physique bien tranchées. Nettement
défini à l'est comme à l'ouest par les deux mers qu'il
sépare, le Caucase n'est délimité au nord et au midi que
par des frontières politiques, ne coincidant pas tou-
jours avec quelque trait saillant du relief. Au nord, les
plaines du Kouban, de Stavropol et du Terek se confondent
insensiblement avec celles de la Russie du : sud-est. La
frontière administrative de la lieutenance générale du Cau-
case y est indiquée par les cours de deux petits fleuves,
le Kouga-Jeia et l'Jegorlik moyen, et par le sillon occupé
par les deux Manytchs, dont l'un déverse ses eaux dans
la mer d'Azoff et l'autre se dirige, sans l'atteindre, vers
la mer. Caspienne. Ces minces filets d'eau, acceptés comme
limite septentrionale du Caucase, séparent des plaines qui
ne différent sous aucun rapport; mais, à défaut de toute
frontière plus naturelle, on est bien forcé de s'en contenter.
La limite méridionale du Caucase n'est pas beaucoup plus
naturelle que la précédente. Sa ligne sinueuse coincide
bien, dans quelques parties de son trajet, avec des chaines
de montagnes ou avec le cours de l'Araxe, mais ici com-
me au nord, les contrées, situées des deux cótés de la
frontière, ne different pas par leurs caractères physiques,
La difficulté d'assigner. au domaine de la flore, qu'on
éludie, des limites de géographie. physique bien tranchées
aété déjà signalée par M-r De-Candolle dans son-célébre
ouvrage; ") elle apparait toujours, dés qu'on est en pré-
sence d'une vaste région continentale qui n'a pas le ca-
ractere de péninsule.
*) Géographie botanique raisonnée T. II.
— 185 —
La nécéssité de se contenter d’une limite convention-
nelle s'impose donc ici d'elle méme.
Considéré dans le sens étendu qu'on vient d' indiquer,
le Caucase se trouve compris entre les 46°,, et 38° lat.
N. et les 54,3" et 68° long. E. Fer. et embrasse une éten-
due de 472666 kil. c. dont une moitié est occupée par
des montagnes et dont l'autre est formée de plaines.
La grande chaine qui traverse en diagonale du N. O.
au S. E. tout l'isihme ponto-caspien, et à laquelle appar-
tient plus spécialement le nom de Caucase appliqué de-
puis à l'isthme méme, divise ce dernier en deux parties
inégales. La partie située au nord de la grande chaîne
ou Ciscaucasie *) a une étendue de 253926 k. c., tandis
que celle, qui est placée au sud de la chaine et qui porte
le nom de Transcaucasie, n'embrasse que 218740 k.c. **).
Chacune de ces deux parties de l'isthme présente, outre
les versants partiels, deux versants généraux: l'occiden-
tal ou pontique, et l'oriental ou caspien. L'aire occupée
par le versant pontique est à celle du versant oriental
dans le rapport de 1: 1,4 pour la Ciscaucasie et de 1: 3,5
pour la Transcaucasie.
Le versant septentrional ***) de la grande chaine [orme
deux saillies hemi-ellipsoidales, separées par le défilé du
Térek (long 62 Fer.) et occupant ensemble 80000 k. c.
ou prés du tiers de l'étendue totale de la Ciscaucasie. La
partie restante est constituée par des steppes, plus élevés
vers le milieu de l'isthme, plus déprimés vers les cótes,
qui se confondent au nord avec les plaines de la Russie.
*) Y compris le Daghestan.
**) En y ajoutant les provinces de Batoum et de Kars.
***\ En donnant l'étendue des versants nous y comprenons tous les
remparts et Ayant-monts qui se dressent le long de l’axe principal.
— 186 —
Le versant méridional de la grande chaine occupe 63000
k. c. soit environ un tiers de l'étendue totale de la
Transcaucasie.
Au versant méridional de la grande chaine, vers le 61°,5
lon. Fer, vient aboutir la rangée des monts Meschiques;
dirigée du S. O. au N. E. elle rattache à l'aréte princi-
pale de l'isthme, les massifs connus sous le nom de petit
Caucase. Les montagnes ainsi désignées remplissent le
Sud-Ouest de la Transcaucasie en y formant des chaînes.
multiples. Elles couvrent une surface de 61000 k. c. Des
94740 k. c. restant pour la Transcaucasie, 25820 kil.
sont compris dans les provinces de Kars et de Batoum,
1995 k. c. sont occupés par les monts Meschiques, 2,300
kil. c. par les massifs de l’Agri-dagh et de l'Ararat et
3,600 par la chaine du Talysh, au sud—est de l’isthme;
enfin 61,100 k. c. forment les plateaux inférieurs et les
plaines compris entre la grande chaine, les massifs du
petit Caucase et la Caspienne. ml
La direction du N. O. au S. Е., suivie par la grande
Chaine du Caucase, prédomine dans la plupart des autres
massifs de l'isthme. La direction O—E. est la seconde en
importance. Les lignes de soulèvement, parallèles au me-
ridien, et celles qui se dirigent du S. O. au N. E. jouent
un rôle plus effacé dans l'orographie du pays.
La grande chaine du Caucase.
La chaine principale du Caucase, frontiére naturelle entre
l'Europe et l'Asie, forme une barriére non interrompue,
qui s'étend depuis la péninsule de Taman au N. O. jus-
quan cap d'Apschéron au S. E. sur une longueur de
1200 kil, abstraction faite des sinuosités qu'elle décrit.
La largeur moyenne de la chaine, mesurée dans la direc-
— 187 —
tion N. E.—S. O., atteint 140 kil. et la surface qu'elle
recouvre est de 143000 kil. c., ce qui équivaut environ
à un tiers de la surface totale de l'isthme.
Le versant seplentrional offre une pente bien moins
forte que le versant opposé. Des deux saillies hemi-ellip-
soidales qui le composent, l'occidentale atteint une longueur
de 600 kil. et une largeur maximum de 110 kil.; les di-
mensions correspondantes pour la saillie orientale sont
de 460 et de 150 kil. La partie la moins large dn versant
septentrional se trouve entre les deux saillies. Elle peut
étre indiquée par uneligne droite, reliant Vladikavkaz au
col de la Croix et mesurant 65 k.
A peu prés au milieu de sa longueur, le versant nord
de la grande chaine forme le massif du Songouti-Khogh,
servant de point de départ à une importante créte, dite
«latérale», qui se dirige parallèlement à l'aréle principale,
et s'étend vers l'est presque aussi loin que cette dernière.
Les deux chaines sont à une distance moyenne de 50 kil.,
et se relient l'une à l'autre par des crétes transversales,
qui séparent huit grandes vallées, occupant l'espace in-
termédiaire. Dans sa moitié occidentale, le versant sep-
tentrional de la grande chaine émet des contreforts qui
ont d'abord une direction presque perpendiculaire à la
sienne, mais qui s'élargissent plus loin en talus ou gra-
dins, formant, par leurs juxtapositions succesives, des
chaines secondaires paralléles à l'aréte principale et d'au-
tant moins élevées qu'elles en sont plus éloignées. Les
versants méridionaux de toutes ces chaines sont abrupts,
tandis que les versants opposés s'inclinent en penles
trés douces. Ces remparts secondaires se prolongent à
l'est aussi loin que la grande chaine et conservent la
méme direction, mais, à partir du Songouti-Khogh, ils
longent Je versant septentrional de la chaine latérale, qui
= 408 2
se dresse entre eux, et l'aréte principale. . Cette dernière
. est une crête continue qui forme la ligne de partage
entre les bassins de la Ciscaucasie et ceux de la Transcau-
casie. L'altitude moyenne de la ligne de faite est assez
variable dans les diverses parties de la chaine. A l'ouest
de l'Adai-Khogh, la plupart des sommets dépassent la li-
mite des neiges qui, dans cette partie du Caucase, est à
un niveau moyen de 10980 p. ang. ou de 3349 m.
Cette altitude considérable se maintient dans la direc-
tion N. O. sur un parcours de 300 kil., jusqu'au mont
Oshten, à partir duquel la crête s'abaisse graduellement,
pour finir aux bords de la mer Noire par les collines
d'Anapa. La partie orientale de l'axe principal comprise
entre l'Adai-Khogh et le Baba-Dagh, sur un trajet de 400
kil., a sa ligne de faite à un niveau moyen de 11240 p.
ang. ou 3427 m. Les sommets principaux qui se succe-
dent de l'Ouest à l'Est et leurs hauteurs respectives sont
indiqués dans la petite table qui suit; on y voit que la
créte se reléve notablement, tant vers sa terminaisou
orientale que vers le point de départ de la chaine la-
térale. |
Long. E. d. Fer alt.
p. an. met.
Vikanin i qae idol. 61°36’. 19.563. 3832.
‚ Ailleha-Khogh.s.) 6469. ..12.645. 3883. ui
; Jehakhis;:.. 69967 07 12407.) 9 3692:
Barbalo ии... 62°52’ 10.807. 3296.
Schavi Kilde.... 63°16’. 11.314. 3450.
. Dide Gwerdi.... 63° 5'. 10.939. 3335.
Salawat ...... . 6458". 11.943,*. 36040
‚Basar uz ..... 65331. 14.7199. 2280,
Tfan dagh ..... 65°39’. 4196.
13.164.
— 189 —
Au delà du mont Babadagh (41°1’, lat. N et 65°58
long.) qui atteint encore 11934 p. a. ou 3637 m.,la chai-
ne se continue vers l'est sur un parcours de 120 kil., et
se termine par les collines qui longent le littoral de la
mer Caspienne. Les sommets les pius élevés de cette
partie de la chaine, ne dépassent pas 8917 p. ang. ou
2720 m. La hauteur moyenne des cols, dans la moitié
orientale de l'aréte principale, est de 9494 p. ang. ou
2895 m. Le col le plus élevé, celui de Kadlassar, entre
la Liakhwa et le Terek, est à 10770 p. ang. ou 3284 m.
Le col le moins élevé, qui porte le nom de Bouslatchir,
natteint que 7746 p. ang. ou 2361 m. La grande chaine
latérale, qui se dresse au nord du Versant septentrional
de l'axe principal, et dont le point de départ a été déjà
indiqué, ne constitue pas une créte continue; elle est
formée par une série de massifs alignés dans une direc-
lion plus ou moins parailéle à celle de l'axe principal,
el separés de ce dernier par de hautes vallées, ou pren-
neni naissance les riviéres qui forment le systéme hydro-
graphique de la Ciscaucasie orientale. Ces cours d'eau
s’échappent des vallées supérieures par les défilés qui
séparent les massifs formant la chaine latérale. Quoique
le rôle de ligne de partage des eaux soit réservé à l'axe
principal du Caucase, ce dernier est néanmoins surpassé
par la chaine latérale, quant àla hauteur moyenne de la
ligne de faite, et à l'altitude absolue des sommets prin-
cipaux. Sous ce dernier rapport le Caucase présente une
frappante analogie avec les Pyrénées, où les pics les plus
élevés se trouvent aussi placés en dehors de l'axe prin-
cipal. Le sommet le plus élevé du Caucase, le mont El-
brous (5646 m.), se dresse au nord du versant. seplen-
trional de la chaine principale, en massif indépendant,
toul en y étant rattaché par de puissants contreforts, Le
— 190 —
mont Dykhtaou occupe une position analogue, et, à partir
du point oü commence la chaine latérale, tous les som-
mets les plus élevés se trouvent concentrés sur cette
derniére. L'aréte principale n’atteint des niveaux plus
élevés que vers sa terminaison orientale, là où la chaine
latérale s'écarte vers l'est et s’abaisse brusquement. Dans
sa moitié occidentale la créte latérale atteint en moyen-
ne Valtitude considérable de 14420 p. ang. ou 4397 m.,
dépassant ainsi de 1775 p. ang. ou 541 m.les sommets
les plus élevés de la partie correspondante de l'axe prin-
cipal. (Le mont Ziltcha-Khogh 3883 m). Plus à l'est, la
chaine latérale est moins élevée, mais jusqu'au 63°5 long.
le niveau moyen se maintient au dessus de 12000 p. ou
3660 m. et le col le moins élevé a 10599 p. ou 3232
m. (Le col de Bot chagwis tavi entre Dido et Unkratl).
Le tableau suivant indique les altitudes des principaux
sommets de la chaine laterale.
Long. Altit.
p. an.
m.
Schah Dagh.... 65°40'. 13.951. 4255.
Alakhun Dagh.. 64?58'. 12.655. 3853.
Djulti. Dagh .... 64°33’... 12.435... 3792.
Tebulos Dagh... 62°58’. 14.781. 4530.
Kasbek ....... 62°10’. 16.546. 5045.
Ghimerai-Khogh. 62°4. 15.673. 4785.
Adai-Khogh .... 61°28’. 15.244. 4646.
Dykh-taou ..... 61°. 16.928. 5158.
Koschtantaou... 60°50’. 17.080. 5211.
+), Elbrous...... 60°6’. 18.571. 5646.
*) Les trois derniers sommets ne sont pas généralement consi-
dérés comme faisant partie de la chaine latérale, laquelle a son point
de départ prés de l'Adai-Khogh, mais ils se dressent au nord de
laréte principale, sur une ligne qui coincide par sa direction avec
celle de la crète latérale. Т.е Koschtantaou est du reste trés rapproché
du faite de partage.
— 191 —
Parmi les remparts successifs qui s’échelonnent au
nord de la grande chaine, celui qui se dresse immédia-
tement au pied de cette derniére, surpasse tous les autres,
en longueur comme en altitude. L’aréte continue, formée
par ce contrefort, porte le nom de Montagnes Noires, et
constitue une cheine importante, qui accompagne la créte
principale dans la plus grande partie de son parcours.
Les plus hauls sommets des Montagnes Noires s'élévent
dans la région centrale de cette chaine, el dépassent
3000 m. Les contreforts plus septentrionaux ne forment
pas de chaines continues, mais des massifs peu élevés
se dressant au pied des Montagnes Noires, et n'attei-
gnant des dimensions considérables que dans cetle partie
orientale de la Ciscaucasie, qui porte le nom de Daghe-
stan. Toute la superficie de cette derniére province, sauf
une étroite zóne côlière, est occupée par de smontagnes,
dont l'ensemble forme un systéme trés compliqué. Les
recherches géologiques de Mr. Abich ontenfin permis de
s'orienter dans ce dédale de massifs, dont les apercus
orographiques, qui se bornaient à un examen du relief,
ne pouvaient donner une idée exacte.
L'espace compris entre la chaine latérale et la zóne
côtière du Daghestan est occupé par des rangées de
montagnes dirigées du N. O. au S. E... La créte la plus
rapprochée de la chaine latérale est la continuation des
Montagnes Noires. Toutes ces rangées sont reliées entre.
elles par des ramifications plus ou moins perpendiculai-
res à leur direction, et ce sont ces dernières crétes qui
forment les lignes de partage des eaux de cette région.
Parmi les cinq principaux fleuves du Daghestan, il y en
a trois qui coulent dans des vallées dirigées du S. O. au
N. E., et qui coupent les remparts successifs, échelonnés
entre la grande chaine et les montagnes les plus rap-
— 0
prochées de la côte. А une petite distance à l'ouest de
се dernier rempart, coule le fleuve le plus important
‘de la province; dans la partie supérieure de son cours,
ce fleure porte le nom de Koisu-Kasykoumyk, plus loin
celui de Soulak; les trois autres fleuves sont les tri-
butaires. La direction suivie par le Soulak est à peu
prés paralléle au méridien, et la riviére coupe les cliaines
successives qu'ele rencontre sous des angles aigus. Le
Soulak sert de déversoir général pour les eaux de là
moitié occidentale du Daghestan, et s'échappe de cette
région montagneuse par une profonde cluse taillée dans
la crête des monts Salatau. Cette dernière chaine, qui
forme la limite septentrionale du Daghestan, est dirigée
de l'est à l'ouest, et constitue une partie du seuil demi-
circulaire, servant de ligne de partage entre les eaux
de cette province et celles des plaines situées au nord.
La. zone cótiére du Daghestan n'a que des torrents
qui se précipitent dans la mer aprés un cours de quel-
ques dizaines de kilométres. Le seul fleuve considérable,
en dehors du systéme du Soulak, est le Samour, l'artére
principale du Daghestan méridional. La moitié supérieure
de son cours occupe la profonde vallée comprise entre
la grande chaine et la chaine latérale, plus loin le fleuve
se dirige brusquement vers. le N. E. en coupant la chai-
ne latérale et les crêtes suivantes, el se jette dans la
mer Caspienne. 1.98
Nous avons déja remarqué que les remparts secondai- -
res, échelonnés au nord de la grande chaine, dans la
moitié occidentale de la Ciscaucasie, n'atteignent pas les
mémes dimensions que dans le Daghestan. En face du
massil.de l’Elborous les contreforts forment trois rangées
de terrasses qui s'inclinent vers le nord, en pentes tres
douces, et présentent des escarpements abrupts du cote
— 193 —
du Sud. Le rempart le plus rapproché de la grande chaine
n'est que la continuation des montagnes Noires, et ses
sommels dépassent 2500 m. A une petite distance des
derniers replis, formés par les contreforts que nous ve-
nons de décrire, s'éléve au milieu des plaines le petit
groupe volcanique qui domine la ville de Piatigorsk. Son
sommet le plus élevé, le mont Beshtau, atteint 4500 p.
(1372 m.). La région centrale de la Ciscaucasie est for-
mée par le plateau de Stayropol, qui s'étend entre les
57'20 et 62°30’ de long; il est limité au nord par
le sillon que suit le cours du Manytch et au sud par
le Terek et le Kouban. Ce plateau, qui a une longueur
de prés de 400 kil. sur une largeur de 230, atteint prés
de Stavropol une altitude de 2400 p., ou 732 m. A par-
lir de ce point culminant, le plateau s'abaisse dans tou-
tes les directions, et finit par se confondre avec les plai-
nes qui forment les cótes de la mer Noire et de la mer
Caspienne. La surface du plateau est couverte de collines
disposées en rangées généralement paralléles à l'axe prin-
cipal du Caucase, et séparées par des vallons creusés
par les ‘affluents du Manytsch, du Kouban et de la Kou- |
ma. Le faite de partage entre les eaux, qui se déversent
dans la mer Noire et celles qui s'écoulent vers la Cas-
pienne, peut être indiqué par une ligne unissant l'Elbo- -
rous el Stavropol et dirigée ensuite vers les sources du
Manytch occidental. Dans ce dernier endroit, le niveau
du faite ne dépasse pas 60' p. ou 18, 3 m. L'espace
compris entre le bord occidental du plateau de Stavro-
pol et la mer d'Azoff, forme une plaine basse a surface
unie. La région orientale de ces steppes a un sol argilo-
sableux, et les terrains salins n'y sont pas rares. Dans
la partie occidentale, le terreau noir ou tchernoséme do-
mine; les cours d'eau y sont plus nombreux, el les crues
— 194 —
du printemps donnent naissance à une multilude de ma-
res et de marécages, qui se groupent le long du littoral
el du cours inférieur du Kouban.
Les plaines de la moitié orientale de la Gore au
nord du Terek, sont formées par des terrains argilo-
sableux et salins très stériles. Leur surface uniforme
n’est accidentée que par le ravinement des cours d’eau
temporaires qui descendent du plateau de Stavropol,
par des mares salées et des dunes. Ces dernières for-
ment une large bande, ie long de la rive gauche du Te-
rek et sur les bords de la Kouma. Les steppes compris
entre les cours inférieurs du Soulak et du Térek, et qui
portent le nom de plaine des Koumykes, différent a peine
des précédents. Mais plus au sud, au pied du versant
septentrional du Caucase, s’étend une longue zóne de
steppes fertiles et bien irrigués par les nombreux cours
d'eau qui descendent des montagnes. Ces steppes qui se
continuent à l'ouest par ceux du Kouban, constituent
les territoires des Tchétchénes et des Kabardiens. Riches
en paturages, ils ne sont pas dépourvus pourtant de
forêts; celles-ci occupent une surface considérable du pays
des Tchétchénes, entre la Sounjàet les premiers contre-
forts du Caucase. Cette zone fertile est séparée des plai-
nes arides situées plus au nord, par les cours du Terek
et de la Sounjà et deux rangées de collines élevées qui
s’etendent le long de l'espace compris entre ces fleuves.
Le versant méridional de la grande chaine couvre une
étendue d'environ 63000 kil., et acquiert son plus grand
développement en largeur entre les 59° et 63° long. A
l'est, comme à l'ouest de ces méridiens, sa largeur dimi-
nue el ses pentes deviennent plus abruptes.
Les ramifications émises par la partie du versant mé-
ridional située à l’ouest du 58° long., remplissent tout
— 195 —
l'étroit espace réservé entre la mer Noire et l'axe prip-
cipal, en formant de petites crétes plus ou moins per-
pendiculaires à ce dernier. Ces chainons, qui se termi-
nent brusquement au bord de la mer par des escarpe-
ments souvent verticaux, séparent d’étroites vallées occu-
pées par de petits cours d'eau trés rapides.
Les vallées ne s'élargissent qu'à leurs embouchures, et
les petites plaines ainsi formées sont les seules surfaces
plates de cetle zóne côtière, dont la plus grande largeur, -
prés de l'embouchure du Bsyb, ne dépasse pas 40 kil.
Plus à l'est, le versant méridional de la grande chaine
s'élargit et acquiert une structure plus compliquée;
dans la partie de son parcours comprise entre les 58°
et 61° long. il émet des ramifications qui constituent
irails dominants du relief de cette région et s'étendent
en longues crétes suivant une direction générale de ГЕ.
à ГО. Ces chaines forment les faites de partage entre
cinq grandes vallées occupées par les cours supérieurs
des principaux fleuves de la Transcaucasie occidentale:
le Bsyb, le Kodor, l'Ingour, le Tskhenis-Tskhali et le
Rion *). La plus importante de ces crétes est le rem-
part qui limite au sud la haute vallée de l'Ingour, en la
séparant de celle du Tzkhenis-Tzkhali. Ses principaux
sommets atteignent 3500 m. d'allitude et dépassent la
limite des neiges éternelles, rabaissée dans cette partie
du Caucase gráce à l'apport incessant des vapeurs four-
nies par la mer Noire.
La crête qui sépare les vallées du Tzkhenis-Tzkhali
el du Rion se détache de la chaine principale à une
petite distance de la précédente. Aussi longue, mais moins
*) Ces fleuves se succèdent du N. О. au S. Е dans l'ordre de leur
énumération.
— 196 —-
élevée que cette derniére, elle surpasse, par ses dimen-
sions, la rangée des montagnes qui se dressent de l'autre
cóté du Rion et quilimitent, au sud, la haute vallée tra-
versée par le cours supérieur de ce fleuve.
Avant d'entrer dans la plaine qui s'étend au midi des
diverses chaines secondaires que nous venons de décrire,
l’Ingour, le Tzkhenis-Tzkhali et le Rion obliquent vers
le Sud-Ouest. L'Ingour conserve cette derniére direction
jusqu'à son embouchure dans la mer, et le Tzkhenis-Tzk-
hali jusqu'à sa réunion avec le Rion. Cette derniére ri-
viére est l'artére principale de la Transcaucasie occiden-
tale. Au point de sa jonction avec la Kvirila, le princi-
pal affluent de sa rive gauche, le Rion tourne brusque-
ment vers l'ouest et conserve cette direction jusqu'à son
embouchure. Le bassin de la mer Noire est séparé de
celui de la mer Caspienne par une suite de montagnes
disposées le long d'une ligne dirigée du $. О. au N. Е.
La moitié méridionale de ce faite de partage est formée
par le massif des monts Meschiques, tandis que sa partie
septentrionale n'est qu'une ramification de la grande
chaine. du Caucase, intercalée entre le cours supérieur de
la Kvirila et celui de la Liakhva. Entre ce point et le
Mt. Barbalo (62°53’ lon.) le versant méridional de la
grande chaine émet des contreforts qui ont une direction
à peu prés perpendiculaire à celle de l'axe principal,
dans la premiére partie de leur trajet, et s'étendent plus
loin vers le S. E.; parmi ces remparts, ceux qui séparent
successivement les cours de la Liakhva, de l'Aragwa, de
l'lora et de L'Alazane *) forment seuls des crétes d'une
certaine importance. Plus à l'est, du Barbalo au Baba-
*) Oes quatre fleuves sont les principaux affluents de la rive
gauche de la Koura.
— 197 —
dagh, sur une longueur de 300 k., les ramifications de
laréte principale pénètrent à peine dans la plaine qui
s'élale à ses pieds. Vers son extrémité orientale le ver-
sant sud de la grande chaine reprend pourtant une lar-
geur plus considérable, plusieurs peiites crétes secon-
daires surgissant dans cette région.
La chaine principale du Caucase est séparée des mas-
sifs de la Transcaucasie méridionale par des plaines qui
s'élendent le long des cours inférieurs du Rion et de
la Koura. Cette zóne de surfaces planes n'est interrom-
pue que par la chaine, déjà mentionnée, des monts Mes-
chiques et par une rangée de montagnes peu élevées
qui surgit immédiatement au Nord de Tiflis. La série
des massifs qui composent la ligne de partage entre les
bassins du Rion et de la Koura, s'étend sur une lon-
gueur de 70 kilométres. Dans la partie la plus étroite
de ce faite, constituée par les monts Meschiques, la dis-
lance entre les bases des deux versants opposés ne dé-
passe pas 40 kil. et le niveau s'abaisse au col de Sou-
ram jusqu'à 920 m. Malgré leurs dimensions peu consi-
dérables, ces massifs ont une grande importance au point
de vue de la géographie physique, car, outre qu'ils for-
ment la ligne de partage entre les bassins de deux mers,
ils séparent aussi deux régions fort différentes sous le
double rapport du climat et de la végétalion.
Le fond de la vallée parcourue par le Rion, aprés sa
sortie des derniéres garges de montagnes prés de Kou-
tais, constitue l'unique plaine de la Transcaucasie occi-
denlale intérieure. Sa longueur, comptée du pied des
monis Meschiques jusqu'au littoral, est de 130 kil, et sa
plus grande largeur ne dépasse pas 40 kil. Le niveau
de l'extrémité orientale de la vallée n'étant que de 149 m.,
cette derniére s'incline vers la mer en pente à peine sensible.
.E 4. 1884. 13
— 198 —
De l'embouchure du Kodor à celle du Tcholokh, sur un
trajet de 100 kil, la cóte de la mer Noire est formée
par une bande de terres basses qui atteint une largeur
moyenne de 20 kil et qui est recouverte de sables et
de marécages. En dehors de ces limites, les montagnes
s’avancent jusqu'au bord de la mer, et la longue rangée
des falaises n'est interrompue que par les petites plaines,
formées aux embouchures des cours d'eau par les dé-
pots d'alluvions.
Les diverses régions de la Transcaucasie boetügufale
emprunient leurs noms aux peuplades qui les habitent.
Les vallées du Bsybe et du Kodor, avec la région cor-
respondante de la côte, font partie de l'Abkhasie, les
hautes vallées de l'Ingour et du Tzkhénis-Tzkhali con-
stituent le pays des Souanes, tandis que la région du
cours inférieur de ce dernier fleuve et la contrée située
entre sa rive droite et le littoral portent le nom de Min-
grélie. La vallée inférieure du Rion, en amont du confluent
de ce fleuve avec le Tzkhénis-Tzkhalé, et les montagues
qui l'encaissent, composaient l'ancien royaume. d'Iméré-
tie. Actuellement tous ces territoires, à l'exception de
l'Abkhasie, constituent la province de Koutais.
Les plaines qui s'étendent le long de la Koura com-
mencent au pied du versant oriental des monts Meschi-
ques, à l'endroit où le fleuve sort du défilé de Borjom
et tourne vers l’est. En amont de Tiflis elles forment
une bande étroite, interrompue par les contreforts des
chaines voisines, mais au delà de ce point elles s'élar-
gissent rapidement et s'étendent jusqu'au bord de la mer
Caspienne, en occupaut une surface de 500 kil de lon-
gueur et d'une largeur moyenne de 130 kil. |
L'Alasagne, le principal affluent de la rive gauche de
la Koura, lonze le pied du versant méridional de la
— 199 —
grande chaine Caucasienne sur un trajet de 160 kil. La
vallée de cette riviére et les hauteurs voisines consti-
tuent une région très fertile, connue sous le nom de
Kakhétie. L'Alasagne débouche dans la Koura à 180 kil
en aval de Tiflis, immédiatement aprés sa jonction avec
Рога, le principal tributaire de sa rive droite. Jusqu'à
son confluent avecl'Alasagne, la Koura coule à une pe-
tite distance des massifs échelonnés le long de la fron-
tière orientale de l'Arménie. Le bas plateau qui sépare
les vallées de l'Iora et de la Koura a une altitude moyen-
ne de 600:m. Quelques crétes qui traversent sa partie
septentrionale s'élévent pourtant jusqu'à 1000 m.
Le plateau qui s'étend entre les cours de l'lora et de
l'Alasagne a le méme niveau moyen que le précédent,
ses. bords se dressent en remparts abrupts, qui atteignent
en plusieurs endroits la hauteur de 900 m.
Du point où elle est rejointe par lAlasagne jusqu'à
som embouchure, la Koura se maintient généralement.à
une distance égale de la grande chaine du Caucase et
des massifs de la Transcaucasie méridionale. Le niveau
de la vallée et des plaines limitrophes, qui est de 170 m.
au confluent avec l'Alasagne, diminue graduellement vers
le sud-est et finit par descendre à 25,5 m. au dessous
de: celui de l'Océan. |
La région montagneuse de la иван Не mére
nale s’étend du Nord-Ouest au Sud-Est sur une longueur
de 550.kil et alteint une largeur moyenne de 240 kil.
Elle se rattache directement au haut plateau d'Arménie,
dont elle constitue la moitié orientale, et se relie aux
montagnes de la Perse par les massifs du Karabagh, qui
la limitent au sud. A l'exception des plaines qui s'éten-
dent entre Erivan et l'Ararat et de quelques vallées, dont
le niveau est de 700—1,000 m., toute cette contrée a
155
— 200 —
une-allitude de plus de 1500 m.,et les nombreux mas-
sifs qui s'y dressent alleignent une hauteur moyenne de
3,000 m. Dans cette partie de la Transcaucasie les chai-
nes d'une longueur considérable sont rares, les monta-
genes isolées ou grouppées autour d'un sommet central
prédominent. Les divers massifs sont séparés par des pla-
teaux dont les bords se relévent graduellement en for-
manti des terrasses et des replis qui vont rejoindre les
conireforts des montagnes et dont les parties centrales
constituent une surface plus ou moins unie.
La chaine la plus longue de cette région est formée
par le rempart qui la limite au Nord. Elle s'étend de la
mer Noire jusqu'à Tiflis, sur une longueur de 290 kil.,
sa créte coincidant а peu prés avec la lat. de 41° 48’
N. La vallée supérieure de la Koura coupe cette chaine
dans toute sa largeur et la divise en deux parties à peu
prés égales. La moitié occidentale porte le nom de mon-
tagnes Adjaro-Imérétiennes, la moitié orientale celui de
monts Trialeth. Les sommets les plus élevés de ces cré-
tes ne dépassent pas 3.000 m. et leur largeur moyenne
. est de 60 kilom. La chaine Adjaro- Imérétienne émet
vers le Nord une ramification qui se rattache aux monts
Mechiques et qui contribue ainsi à former le seuil de
partage entre les bassins de la mer Noire et dela mer
Caspienne. Un contrefort du versant méridional de cette
méme chaine prolonge ce seuil vers le sud en se réunis-
sant aux crétes qui s'étendent à travers le plateau d'Ar-
ménie et qui séparent le bassin du Tchorokh de ceux de
la Koura et de l'Araxe. |
Le territoire traversé par le Tchorokh et ses princi-
paux affluents: la rivière d'Adjarie, l'Jmerkhevi et РО]-
litchai, présente un vaste ensemble de montagnes, inter-
— 201 —
rompu seulement par les étroites vallées des principaux
cours d'eau.
Une série de crétes, qui se détachent du Saganiou-
dagh et qui traversent, du S. O au N. E. toute la pro-
vince de Kars, forment le seuil de partage entre les bas-
sins de la Koura et de l'Araxe.
Les principaux sommets situés le long de ce faite ne
s'élévent qu'à 1.000 mètres au dessus du niveau géné-
ral du haut plateau, qui atteint, dans cette partie, une
altitude moyenne de 2000 m.
La moitié méridionale de la province de Kars est
formée par le bassin de l'Araxe. Les surfaces planes y
acquièrent une extension considérable. Elles Jongent les
cours du Kars-tchai et de l'Arpatchai et se réunissent
au Sud-Est aux plaines qui s'étendent entre Erivan et
l'Ararat. :
La frontiére méridionale de la province est formée par
une rangée de montagnes dirigée de l'est à l'ouest et
qui sépare les vallées de l'Euphrate (Mourad-tchai) et de
l'Araxe. |
Cette chaine, connue sous le nom de monts Agridagh,
se termine à l'est parle mont Ararat. Les autres sommets
principaux, telsque le Parly-dagh, le Bozdagh et le Tchinguil
dépassent 3.000 m. d'altitude. Des massifs considérables
occupent aussi tout l'espace compris entre l'Araxe et la
région plane qui s'étend le long du Karstchai. Cette
série de montagnes se termine à l'est par le groupe du
mont Avliar, qui se dresse à une petite distance de ГАг-
patchai. |
La plus grande partie du bassin supérier de la Koura
est une région essentiellement montagneuse; parmi ses
nombreux sommets, plusieurs atteignent 3000 m. d'alli-
tude, et la hautur movenne des massifs dépasse 2500 m.
— 202 —
Les surfaces planes, qui au centre du bassin n’occu-
pent qu'un espace restreint, acquiérent prés d'Ardahan,
à l'est de la Koura, une étendue considérable, et y for-
ment le haut plateau d'Akhalkalaki. Ce plateau, limité au
Nord par les monts Trialeth, est séparé du bassin de
l'Araxe pas les massifs de l'Outch Tapalar et du Mada-
Tapa qui s'étendent en rempart continu le long de son
bord méridional.
La limite orientale du plateau est constitüee par une
rangée de sommets volcaniques, dirigée du N. au S, et
qui s'étend des monts Trialeth aux massifs du Mada-Tapa,
sur un trajet de 60 kil. Les sommets principaux de cette
rangée fels que le Samsar et le Leghly dagh, s'élévent
jusqà 3.200 m. A une distance de 20 kilométres des
monts Trialeth la chaine volcanique forme un coude et
émet vers le sud une courte ramification qui se termine
par le sommet conique du gr. Aboul (3.301 m.). L'espace
compris entre cette ramification et la rangée principale
est occupé par lelac de Taparovan qui sert de récipient
à toutes les eaux de cette partie du plateau. Le niveau
du lac est de 2.095 m., sa superficie n'est que de 50 kil.
car. Les autres bassins lacustres du plateau d'Akhalka-
laki sont encore moins considérables que celui de Topo-
ravan; ce dernier n'est surpassé que parlelac de Tchal-
dyr-ghel qui occupe une dépression du faite de partage
entre les systémes de la Koura et de l'Araxe. Àu massif
susmentionné de Madatapa se rattache la chaine des
monts Somkhetiques qui s'étend de l'ouest à l'est, sur
une longueur de 80 kil. Ses derniers contreforts s'avan-
cent jusqu' au bord de la vallée de la Koura, en aval de
Tiflis. La région comprise entre ce fleuve, les monts Tria-
leths, la rangée qui limite à l'est le haut plateau d’Akhal-
kalaki et la chaine des monts Somkhétiques, constitue un
— 203 —
plateau qui s'incline vers l'est et finit par se confondre
avec les plaines de la Géorgie méridionale. Un rempart,
a peu prés paralléle à la chaine des monts Somkhétiques,
se dresse à une petite distance au sud de cette dernière.
Les sommets principaux de ce massif, qui est connu
sous le nom de Besobdal, s'élévent jusqu'á 2.000 m. Un
contrefort relie son extèrmité occidentale à la chaine du
Pambak qui forme une troisiéme rangée de montagnes,
parallèle aux deux précédentes. La créte des monts Pam-
bak se prolonge à l'est jusqu'au lac de Gokhcha et se
rattache à une rangée de montagnes qui se dressent entre
la Koura et ce lac. Ces derniers massifs, connus sous le
nom de monts Armeno - gandjiques, s’étendent dans la
direction du N. O. au S. E., sur une longueur de 180
kil., et forment, ensemble avec la chaine du Pambak, le
faite de partage entre les bassins inférieurs de la Koura
et de l'Araxe. L’altitude moyenne de ces montagnes est
de 2.900 m. et leur sommet le plus élevé atteint 3.742
m. de hauteur. Le lae de Goktcha, dont l'altitude est de
1.930, occupe une superficie de 1.300 kil. car., il est
entouré de tous les cótés par de hautes montagnes. La
chaine susmentionnée longe son bord oriental, d'autres
massifs se dressent au sud et à l'ouest du lac et remplis-
sent tout l'espace compris entre ce bassin et l'Araxe.
Parmi les nombreux sommets de cette région, plusieurs
dépassent 3.500 m. d'altitude (Gesel-dara, Kyzil-dagh,
Ak-dagh). Ces montagnes sont séparées du haut plateau
d'Arménie par la vallée de t'Arpatchai et les plaines qui
s'étendent entre Erivan et le mont Ararat, sur un espace
d'une longueur de 80 kil. et d'uge largeur de 50 kil.
Cetle région, dont la hauteur moyenne ne dépasse pas
900 m., est limitée au nord par le massif volcanique du
mont Alaghoez, qui se dresse à une petite distance au
— Bl
sud de la chatne de Pambak et à 75 kil. au №. №. Е.
de l'Ararat. Le sommet de l'Alagez n'atteint que 4.190
m. d'altitude, mais le pourtour de sa base n'a pas moins
de 150 kil. en longueur et dépasse ainsi celui de l'Ara-
rat. L'imposant massif associé au récit du déluge se
dresse à proximité de l'extrémité orientale de la chaine
susmentionnée de l'Agridagh. Le pourtour de sa base me-
sure 130 kil. et son sommet principal atteint 5.160 m.
d'altitude. La contrée montagneuse qui occupe la plus
grande partie de l'espace compris entre les vallées dela
Koura et de l'Araxe, au sud-est du lac de Goktcha, porte
le nom de Karabagh. Ce pays est limité au N. E. parle
rempart des monts Arméno-Somkhétiques et au Sud par
l'étroite vallée de l'Araxe, qui sépare la Transcaucasie
de la Perse. Les ramifications dela chaine de Daralaghez,
qui s'étend le long de la rive gauche de ГАгахе sur un
parcours de 150 kilométres, remplissent toute la partie
méridionale du Karabagh. Le sommet principal de la chatne,
le mont Kapoudjikh, a une hauteur de 3.715 m. Une
créte dirigée du S. O. au N. E. relie la chaine de Da-
ralaghez aux monts Arméno - Somkhétiques. La région
centrale du Karabagh est formée par un haut plateau
incliné vers le sud-est et que surmontent des massifs
volcaniques, dont les sommets principaux tels que: l'Ishikli
dépassent 3.500 m. d'altitude. Le rebord oriental de ce
plateau est formé par la chaine de Schousha qui s'étend
d'abord du S. O. au N. E. et se dirige ensuite vers le
5. E. La longueur totale de ce dernier rempart est de
140 kil. et le sommet te plus élevé, le mont Mikhtoukhan,
atteint une altitude de 3.615 m.
Une région de plaines d'une largeur de 80 kil, qui
s'étend de la Koura jusqu'en Perse, sépare le haut pays
du Karabagh des monts Talysch.
— 205 —
Ces derniéres montagnes qui constituent le rempart de la
Transcaucasie le plus avancé vers le sud-est, se dres-
sent à une petite distance de la mer Caspienne.
La créte sinueuse de la chaine de Talysdr a une direction
générale du S. E. au N. O. Sa partie méridionale constitue
le rebord oriental du haut plateau d’Ardebil, qui forme le
district limitrophe de la Perse.
La partie de la chaine de Talysch comprise dans le
territoire russe a une longueur de 90 kil. Les sommets
les plus élevés ne dépassent pas 2.500 d'altitude. L'étroi-
te zóne de basses terres qui forme le littoral sud-
Ouest de la Caspienne s’élargit graduellement vers le
nord et se confond avec les plaines qui s'étendent le
long de la Koura.
Apercu géologique.
Les roches cristallines du Caucase forment trois grou-
pes distincts. Le groupe le plus ancien consiste en gra-
nites de diverses variélés, prologines, pegmatiles, gneiss
et micaschistes. Ces roches constituent l'axe principal de
la grande chaine du Caucase dans sa partie la plus
élevée, comprise entre l'Elborous et lAdai Khogh, ainsi
que le noyau central des M-ts Meschiques. Des roches de
méme nature, mais d'une époque postérieure d'aprés M-r
Abich, se trouvent dans la province de Karabagh, prés.
d'Ordubad, et dans les M-ts Pambak. Des granites con-
tenant une moindre proportion de quartz, des syénites et
des diorites relient ce premier groupe au suivant, désigné
par M-r Abich sous le nom de porphyrique. La structure
particuliére qui prédomine dans ce dernier et qui lui a
valu son nom, se manifeste dans des roches fort différentes
— 206 —
quant à leurs éléments constitutifs. On y voit aussi bien
des porphyres feldspathiques et amphiboliques quartzi-
féres que des mélaphyres, diorites, diabases et porphyres
divers dans lesquels le quartz fait défaut. Ces roches se
relient à leur tour par des transitions insensibles à celles
du troisième groupe, qui comprend les produits de l'acti-
vité volcanique, tels que les trachytes, dolerites et basaltes.
Les roches des deux derniers groupes acquièrent leur
plus grande extension sur le plateau d'Arménie ou l'ac-
tivité voleanique s'est exercée avec une intensité sans
cesse renaissante, et a déterminé tout le caractére oro-
graphique du pays. |
Les roches du groupe porphyrique constituent aussi
un élément important de la chaine Adjaro-Iméretienne,
des M-ts Trialeth et des M-ts Somkhetiques. Des produits
éruptifs de méme nature ont troublé les terrains sédi-
mentaires du versant méridional de la grande chaine, en
y pénétrant sous forme de coulées et de dykes.
Au centre de la grande chaine du Caucase l'activité
volcanique s'est encore manifestée au commencement de
l'époque quaternaire, en y édifiant les sommets les plus
élevés, tels que l'Elborous, le Kasbek et plusieurs pics
situés entre ces derniers. En dehors de ces limites l'aréte
principale de la grande chaine est formée par des couches
de terrains sédimentaires.
Terrains de Sédiment.
Des conglomérats, des grés et des calcaires des époques
dévonienne et carbonifére qui occupent une certaine
partie de la vallée de l'Araxe sont les seuls représen-
tants de l’âge paléozoique au Caucase. Les couches des
formations jurassique et crétacée atteignent au contraire
une grande extension dans le pays.
— 207 —
C'est au terrain jurassique inférieur que paraissent se
rapporter les schistes argileux, plus ou moins ardoisiers,
qui se trouvent en contact immédiat avec les roches
cristallines de la grande chaine du Caucase. Ces schistes,
qui longent les parties supérieures des deux versants
tant que la ligne de faite est formée par des roches
cristallines, constituent, à partir de l'Adai Khogh jus-
qu'au Daghestan, la créte centrale de la chaine. Les
schistes sont parfois remplacés par des grés quarlzeux à
grain fin. Des grés et des marnes, plus récents que les
schistes, mais appartenant encore au terrain jurassique
inférieur, s'étendent le long des deux versants de la
grande chaine. Ces couches contiennent des dépots de
houille. Sur le versant méridional ces terrains furent bou-
leversés par les nombreuses éruptions plutoniennes que
nous avons déjà mentionnées.
Le terrain jurassique supérieur acquiert un grand de-
veloppement sur le versant septentrional de la grande
chaine: il constitue la créte élevée des montagnes Noires
qui accompagnent l'aréte principale dans toute sa lon-
gueur.
Ce terrain est formé par des calcaires de diverses sortes
el des dolomies. Dien moins développées sur le versant
meridional, les couches du Jurassique supérieur n'y pa-
raissent qu'en lambeaux détachés. Des dépots du méme
dge se retrouvent dans la vallée du. Basartchai et prés
de Nakhitchevan.
E/extension au Caucause du terrain crétacé est trés
considérable. Le crétacé inférieur y est représenté par
les étages: Neocomien et Aptien, et le crétacé supérieur
par des couches Touroniennes et Sénoniennes. Au nord
de la grande chaine le terrain crétacé s'étend en zone
continue d'une mer à l'autre.
— 208 —
Пу forme quatre escarpements successifs, dont le
premier, qui repose directement sur des couches juras-
siques, est constitué par des calcaires de l'étage Neoco-
mien, le second est formé par une puissante assise de
erés aptien et le troisiéme par des grés et des cal-
caires appartenant à un horizon supérieur du méme
étage. Des couches calcaires qui se rapportent à l'étage
Senonien constituent le quatriéme escarpement.
Au sud de la grande chaine les dépots du terrain
crétacé inférieur furent bouleversés par des éruptions
plutoniennes. Les conglomérats, bréches et grés de diverses
sortes qui correspondent à l'étage neocomien contiennent
de nombreux fragments deroches éruptives qui leur va-
lurent le nom de «formation de debris porphyriques». Des
calcaires et des marnes qui correspondent aux étages
urgonien et aptien atteignent une extension notable le
long du versant méridional de la grande chaine, en Ime-
relie el au Daghestan. Le crétacé supérieur, qui est
représenté dans les deux régions que nous venons de
nommer par des calcaires de l'étage Senonien, parait
manquer dans la région intermédiaire.
En Arménie, prés d'Eriwan, et dans le Karabagh, l'étage
touronien est formé par des calcaires, des conglomérals
et des argiles à Rudistes qui rappellent beaucoup les
couches de Gösau dans les Alpes orientales. Des dépots
de l'horizon Senonien font partie des M-ts Trialeth et
des M-ts Somkhetiques; ils reparaissent encore dans les
massifs du Karabagh et dans les montagnes qui limitent
au sud la vallée de la Koura.
Une bande d'argiles feuilletées et de marnes, qui s'é-
tend sur une assez grande distance le long du versant
septentrional de la grande chaine, est le seul représentant
de l'époque eocéne en Ciscaucasie.
A
Le terrain nummulitique acquiert une grande extension
en Transcaucasie. Le long du versant méridional de la
grande chaine ce terrain ne forme que des lambeaux,
tels que ceux qu'on observe en Imeretie et dans les
vallées de la Liakhva, de L’lora et de L'Alazagne; mais
dans les massifs du petit Caucase, et notammeut dans
les vallées de L'Araxe et de la Koura supérieure, les
dépots nummulitiques atteignent un grand développement
et contiennent une fauue riche et variée. La mer num-
mulitique parait avoir occupé la plus grande partie de
l'espace qui s'étend entre L'Arménie et là grande chaine
du Caucase.
Au Daghestan, oü le terrain nummulitique fait défaut,
l'éocéne supérieur est représenté par des grés et des
marnes feuilletées riches en fucoides, que M-r Abich com-
pare au fiysch des Alpes. Des argiles feuilletées gypsi-
ferés, contenant des écailles de poissons du g. Meletta et
des traces de naphte s'étendent au nord, comme au
sud, de la partie orientale de la grande chaine. Dans les
derniers contreforts du versant méridional, enire Tiflis et
L'Alazagne, des couches schisteuses analogues, riches en
gypse et en septaria, reposent sur les dépots nummuli-
tiques.
Les plus anciens dépôts de l’epoque miocène observés
en Arménie sont représentés, suivant la localité, par des
conglomérats, des grès et des marnes riches en sel et en
gypse, ou par des calcaires. Ces terrains correspondent а
l’étage falunien. Les dépôts de miocène moins anciens,
qui correspondent à l'étage sarmatique, atteignent une
extension très vaste, tant au nord qu’au sud de la grande
chaîne du Caucase. Les nombreuses recherches géologi-
ques exécutées dans l'Europe orientale out démontré l'exis-
tence d'une mer miocéne, qui s'étendait de L’Autriche
— 210 —
jusqu'au dela de l'Aral, en couvrant toute la Russie du
sud. Entourée de tous cotés par cette mer, la grande chaine
du Caucase formait une ile étroite et allongée. Limitée
au sud parle bord du plateau Arménien, cette mer séten-
Чай bien loin vers le №. E. *). Les dépôts qui for-
maient le fond de ce vaste bassin couvrent la plus grande
partie des plaines de la Ciscaucasie et les derniers con-
ireforts de la grande chaine. Ils consistent en calcaires de
diverses sortes, en marnes et. en grès. Ces terrains, qui
constituent tout le plateau de Stavropol, sont en partie
recouverts de dépots quaternaires et d'alluvions modernes.
En Transcaucasie la mer miocéne remplissait tout l'es-
pace compris entre la grande chaine et le haut plateau
d'Arménie. Les nombreux dépots sarmatiques qui se trou-
vent dans toutes les vallées du versant méridional de la
srande chaine et qui atteignent en lmeretie et dans la
province de Tiflis une altitude de 1550 mét. et dans le Da-
ghestan oriental jusqu'a 2200-m, indiquent autant de gol-
fes de l'ancienne mer. Les dépots de cet áge ne pénétrent
pas aussi profondément dans les chaines qui limitent au
sud les vallées de la Koura et du Rion.
Le terrain pliocéne n'a été constaté jusqu' à présent
qu'en Ciscaucasie. Le calcaire des steppes et les cou-
ches subordonnées à ce dernier correspondent à l'étage
inférieur de la formation Aralo-Caspienne de M-rs Mur-
chison et Verneuil. Ces dépots s'étendent au nord du
*) La communication avec l'océan polaire, à travers la Sibérie
occidentale, est admise comme un fait établi par plusieurs auteurs
qui s’appuient sur des données de géographie zoologique. Mais, ainsi
que l'à démontré M-r Helmersen,les preuves décisives font défaut.
‚— 911 —
plateau de Stavropol et recouvrent aussi en partie la
presqwile de Taman.
La délimitation des terrains pliocéne et post-pliocéne
est toujours une táche difficile, qui nécessite des recher-
ches géologiques prolongées. Les données reueillies jus-
qu'à présent au Caucase ne fournissent que des rensei-
gnements forts incomplets relativement à la nature et à
l'extension des dépots de l’âge quaternaire, et il est fort
possible que plusieurs des terrains, considérés comme da-
tant de cette période, seraient en réalité plus anciens.
En Arménie la première phase de la période quaternaire
est représentée par des couches de conglomérats conte-
nant les débris de toutes les roches des périodes pré-
cédentes. Le ciment calcaire qui unit ces cailloux et
les fréquents dépots de travertin, observés en Arménie et
en Géorgie, témoignent de l'abondance des sources qui
précipitaient cette substance. Le conglomérat forme des
couches horizontales qui reconvrent le terrain tertiaire et
s’elendent le long des flancs ou sur le fond des: gran-
des vallées d’érosion. Parmi les cailloux qui les com-
posent on ne voit aucun représentant des roches vol-
caniques. Tous les indices de l'activité volcanique sont
postérieurs à ces dépots. Les immenses coulées de Jave-
doléritique et trachytique, vomies par les nombreux cónes
qui surgirent après le dépot du conglomérat, comblèrent
les profondes vallées préexistantes et les ‘convertirent en
plateaux. Des tufs et des conglomérats, débris des roches
trachytiques de l'Alaghoez et du Tchildyr, recouvrent ces
laves dans certaines régions du plateau.
Les dépots volcaniques subirent une forte érosion qui
y tailla d'étroits «défilés ‘de: plas de 100-m. de profon-
deur. Les parois verticales de ces défilés présentent une
section compléte de toutes les coulées de lave, jusqu'à
И
la couche de conglomérat sous-jacente. Ces effets d'érosion
sont nombreux sur les hauts plateaux de Schuraghel,
d'Akhalkalaki, de Lori et dans le Karabagh.
Le comblement des vallées, joint à l'action nivelante
des laves, qui s'étalérent en coulées horizontales sur les
surfaces plus unies, expliquent la prédominance des hauts
plateaux dans cette partie de la Transcaucasie.
Le mode de distribution des conglomérats diluviens sur
les versants de la grande chaine du Caucase prouve que les
vallées principales avaient déjà a peu prés leur configuration
actuelle au début de l'époque quaternaire. La plupart
d'entre elles étaient occupées par des lacs, étagés succes-
sivement les uns au dessus des autres. Les laves émises
par les sommets les plus élevés de la chaine se précipi-
térent dans les vallées du Kouban, de la Malka, du
Terek, de L'Aragwa et de la Liakhva et y recouvrirent
les conglomérats, en formant des coulées de 150-m d'é-
paisseur. | | 1
Une de ces coulées combla entiérement la haute vallée
de Kely, située au sud du Kasbek,et la convertit en un
plateau.
Les traces de la période glaciaire au Caucase, cons-
tatées par M-rs Abich et E. Favre, démontrent que les
glaciers n'atteignirent une grande extension que sur le
versant septentrional de la grande chaine. Ceux du ver-
sani méridional étaient moins considérables, tout en sur-
passant les glaciers actuels. Prés de l'Elborous le terrain
erratique ne parait pas en dehors de la grande chaine
Plus à l'est les blocs erratiques s'avancent jusqu'aux
débouchés des vallées et pénétrent méme dans la plaine.
M-r Favre *) observa un dépót erratique sur un des som-
*) E. Favre. Recher. géol dans la partie centr. de la chaine du
Cauc. pp. 46 et 101.
mets des montagnes Noires, le Khodolsek, à une altitude
de 2865-m. Le versant septentrional de celle créte pre-
sente des traces manifestes de polissage glaciaire. Le
terrain erratique est tres developpé dans la vallée du
Terek, des trainées de blocs se retrouvent méme prés de
Lmievskoe, à 30 kil. de Wladicaucase.
Les conglomérats et graviers diluviens qui se voient
dans les vallées inférieures du versant sud de la grande
chaine ne contiennent pas de cailloux striés; on n'a pas
observé non plus de traces de la periode glaciaire dans
les autres parties de la Transcaucasie.
L'étude détaillée du terrain quaternaire et des dépôts
plus récents du Caucase n'a pas élé entreprise jusqu'à
présent. Il est vrai que,vu l'étendue du pays et les dif-
ficultés inhérentes à ce genre de recherches, la tâche à
entreprendre exigerait le travail combiné de plusieurs
géologues; mais l'importance des résultats qu'on pourrait
obtenir serait equivalente au labeur accompli. La con-
naissance exacte des différents sols qui forment la sur-
face du pays et leur indication sur une carte spéciale,
pareille à celle de la Russie d'Europe, editée par le mi-
nistére des domaines, seraient d'une utilité pratique évi-
dente. Ces données fourniraient aussi un des eléments
indispensables pour l'appréciation des causes qui ont
régi la distribution actuelle des espèces végétales, les
problémes relatifs aux origines de la flore Caucasienne
et à ses connexions avec les flores des autres pays de
l'Europe et de l'Asie ne pouvant étre résolus qu'en te-
nant comple des derniers changements survénus dans
la configuration et le relief du territoire.
L'étude approfondie des formations pliocene et qua-
ternaire acquiert ainsi une importance capitale au point
de vue de la géographie botanique.
№ 4. 1884. 14
— 314 —
Une couche de terre noire identique au ichernoséme de la
Russie constitue le sol des steppes du Kouban et de la plus
grande partie de la province de Stavropol. Elle recouvre
aussi la moitié occidentale de la province du Terek.(Cartede
larégion du tchernoséme. Dokoutchaieff. Rap. à la Société
Impériale d'Economie 1882.
Les terrains salins prédominent dans les plaines de la
Ciscaucasie orientale. Le sol argileux des steppes qui s'e-
tendent au nord du cours inférieur du Terek est comp-
lètement sterilisé par la forte proportion de sel qu'il
contient. Les plantes qui composent la pauvre végétation
de cette région sont toutes des halophytes typiques. Une
flore plus variée ne s'y voit que surles collines de sable,
qui alternent avec les surfaces argileuses. En Transcau-
casie les terrains salins ont une étendue considérable
dans les vallées de la Koura et de l'Araxe.
Le chlorure de sodium n’y est pas toujours le sel
prédominant. Les sulfates de magnésie et de soude
prennent alors sa place. La rareté des lacs qui pendant
l'époque quaternaire etaient assez nombreux aux pieds
des deux versant de la grande chaine, constitue une
des particularités du Caucase. Tous les bassins lacustres
de quelque importance qui s'y voient actuellement sont
concentrés sur le plateau Arménien, à une altitude moyen-
ne de 2.000 m.
Sur la grande chaine il n'y a que quelques pièces
d'eau, trop exigues pour mériter le nom de lac. Une de
ces mares permanentes occupe une dépression du petit
plateau volcanique de Kely, au sud du Kasbek; sen alti-
tude dépasse 3.000 m. et sa surface est gelée la plus
grande partie de l'année. Les mares salées des environs
de Tiflis ont des dimensions un peu plus considérables;
mais versla fin de l'été elles ne présentent plus qu'une
couche de sel, l'eau ne s'y conservant que quand la saison
215 —
chaude est accompagnée de pluies suffisantes. Un de ces
petits lacs est envahi par le Ruppia marilima qui v pros-
pére aussi bien que dans l'eau de mer.
Les marais recouvrent une assez graude étendue de
terrain le long du cours inférieur des principaux fleuves
du Caucase, tels que Je Kouban, le Terek, le Rion et la
Koura. Dans le district de Lenkoran les marais cótiers
occupent une grande partie du littoral. Le long de la
rive pontique du Caucase, compris entre l'embouchure du
Kodor et Novorossiisk, les contreforts de la grande chaine
s'avancent jusqu'au bord de la mer et les petites plaines
alluviales aux débouchés des cours d'eau sont les seules
localités marécageuses de cette région. La zóne des ma-
rais s'élargit au sud du Kodor etatteint un grand déve-
loppement le long du bas Rion.
Apercu Climatologique.
Les contrastes frappants que présentent les climats des
différente parties du Caucase sont la couséquence de
l'étendue du pays (7° de lat. sur 14° de long.) et des nom-
breuses chaines de montagnes qui le traversent. |
Le tableau hypsomètrique qui suit permet de se for-
mer une idée assez exacte du relief du pays. Les par-
ties des diverses provinces comprises entre les limites
d'altitude indiquées en téte de chaque colonne sont ex-
primées en centiémes des superficies totales *).
*) Ces chiffres furent obtenus en mesurant au planimétre les aires
correspondantes de la carte hypsométrique de l'état-majór du Cau-
case. Sur cette carte (à '/,,,, les parties du territoire comprises
entre les altitudes limites — 85’ — U pied ang, 0’ — 500”, 500 — 1000’,
1000’ — 2000’, 2000’ — 4000’, 4000’ — 6000’, 6000’ — 8000’, 8000’ —
10000’, 10900’ — 12000’, 12000’ et au dessus sont indiquées par dix
teintes distinctes. Les données qui ont servi pour la delimitation
des aires sont assez nombreuses, mais vu la petitesse de l'échelle
nous ne saurions attribuer aux chiffres du tablau qu'une valeur
approximative.
14*
— 216 —
Tableau hypsometrique (les altitu-
Altitudes.
pr d
m. m. m. m.
—") 26 — 05,0 — 152;152 — 304; 304 — 608;
Provinces.
Kouban........ (21°/,) — 60,6 8.3 12,9
Stavropol........ (15,4) 1,8% 65,9 19,8 11,2
Terele leis. | (13,6) 9,8%, 284 — 14 17,6 .
ensemble de la
Ciscaucasie occid.
et centrale...... (50,2) — 3,27/, 53.5 19,4 13,6
Daghestan....... (6,5) 7,7 64 5 11
Zakatal......... (0.9) — — 26,7 36,3
See ers (8,9) = — 4,1 19,2
Koutais......... аи 20,6 10,1 18,3
Soukhum........ (1,7) — 20,2 19 17,1
Tchernomorsk... (2,1) == 11 22,3 30,3
Elisabetpol..... (10,1) — 22,3 11,1 18,4
[BEAK DU d RES (8,6) 9.8 50,9 9,8 9,7
Bryan... su. (6,3) — — — 9,6
Transcaucasie
avec le Daghes-
(RES à eis (49,8) 2,7 17,3 8,3 15
Tout le Cau-
а... (100) 2,9 35,5 10,9 14,3
*) Les chiffres en parenthéses qui suivent les noms des provin
surface totale du Caucase. Pour les provinces de Kars et de Batoum
encore, mais dans la premiére les trois quarts du territoire dépas
passe 2.000 m. occupe plus d'une dixiéme de l'étendue totale du Cau
dans les provinces d'Erivan et du Daghestan; dans la premiére,
perficie. |
— 217 —
des sont exprimées en métres).
m. m. m. m. m. m.
608—1216;1216—1824 ;1824—2432;2432— 83040 ; 3040—3648; 3648 et au
es.
4,6 81. 3 1,5 0,7 03
13 im d en hd try
TT 116 5,2 3,5 14 08
4,4 6,5 27 1,6 0,7 0,4
9,7 25,8 25,2 6,6 2 0,5
81 14,1 8,9 1,5 4,4 >
29,3 27,2 15,8 3,4 0,7 0,3
12,3 18 11 6.1 2.9 0,7
11 119 9,5 7,2 3 1,1
12,6 11,3 7 4 1,2 0,3
9.2 19.6 13,2 4,6 1 0,6
7,6 8,2 3 0,7 0,2 0,1
16,3 29,8 38,8 9,3 9 0,2
14 20,2 16,1 4,8 1,3 0,3
9,2 13,4 9,4 3,1 PV 0,3
ces indiquent les superfizies de ces derniéres en centiémes de la
la déterminations des aires de différentes altitudes n’a pas été faite
sent 1.800 m. d'altitude. Le territoire dont l'altitude moyenne dé-
case. Ces hautes terres acquiérent leur plus grand développement
elles forment la moitió, dans la seconde prés d'un tiers de la su-
218 —
Les grandes différences d'altitude que signale le tableau
précedent ne constituent pas le seul facteur orographi-
que dont il y ait lieu de tenir compte daus l'apprécia-
tion des climats caucasiens. Les directions des chaines
de montagnes exercent aussi une influence par les dé-
rivalions qu'elles font subir à certaines portions des
grands courants atmosphériques.
Le probléme est done compléxe; seule une longue
suile d'observations faites dans des stations convenable-
ment reparties pourrait nous en fournir la solution. Avec
les données dont nous disposons nous ne pouvons dres-
ser qu'un tableau fort incomplet des divers elements
climatologiques. En effet, sur les quarante stations mé-
téorologiques du Caucase il n'y en a que quatre dont la
periode d'observalion atteigne ou depasse vingt années
(Tiflis, Bakou, Poti, Stavropol) La plupart des autres
stations n'ont eu qu'une durée bien moindre. En outre
plusieurs parties du pays, telles que le Daghestan et
toute la vallée de la Koura en aval de Tiflis, n'ont été
pourvues de stalions que dans le courant des dernières
années et les données relatives au climat de la zóne su-
périeure du Caucase, audessus de 2.000 m., se reduisent
aux observations faites à Goudaour (2,160 м.) pendant
une période de quatre ans.
Cela dit voici quelles sont les données fournies par les
stations existantes.
. Pression atmosphérique et régime des vents.
Nous ne pouvons offrir qu'un apercu sommaire de la.
distribution de la pression atmosphérique au Caucase.
La pression y atteint son maximum en hiver et son mi-
nimum en élé.
— 21
mit
En Janvier Visthme Caucasien est compris entre les
isobares ") de 768 mm. et de 765 mm. Ces lignes dans les
parties if leurs parcours limitrophes à l'isthme se dirigeut
du NO au SE. La prémiére coupe la cóte septentrionale de
la mer Caspienne à une assez grande distance du Caucase:
laseconde coincide à peu prés avec ia cóte ee dela
mer Noire.
En juillet les isobares extrémes sont de 758 mm. et
de 755 mm. Leur direction est du S. О au М. E. La ligne
de plus haute pression passe par la presqu'ile de Taman
a l'extréme Nordouest du Caucase; l'isobare de 755 mm.
coupe la côte meridionale de la mer Caspienne.
Ces données sont empruntées aux carles des isobares
de l’Europe et de la partie adjacente de l'Asie. Les obser-
vations météorologiques que nous possedons actuellement
ne suffisent pas pour pouvoir retracer le parcours de ces
lignes audessus de listhme méme.
La position géographique du Caucase autorise à pré-
sumer que les aires de haute et de basse pression atmos-
phérique qui déterminent, conformément à leurs posi-
tions respectives, les. directions des isobares et des vents
prédominants de l'Europe et de la Sibérie occidentale,
exercent aussi une influence notable sur ce pays. Pour
pouvoir apprecier les effets dus à ces différents <cen-
+) Une carte spéciale des isobares du Caucase n'existe pas
La tache de dresser une carte de ce genre pour un pays à
relief aussi varié que celui du Caucase devient très délicate. Les
isobares extrêmes que nous indiquons sont empruntées aux cartes
de M-r Woeikoff ,Climats du globe terrestre“ (Воейковъ: климаты
земнаго шара) et aux cartes annexées au memoire de M-r Rykat-
chef. (Rep. Météorologie IV).
ea
р
tres d'action de l'atmosphére» *) il est indispensable de
rappeler leur distribution dans les deux périodes oppo-
sées de l'année.
En hiver un anticyclone très accentué occupe la Si-
bérie orientale, un autre maximum barométrique se trouve
placé audessus de l'océan Atlantique entre les 30° et
40° de lat. N. L'aire de basse pression s’etend en cette
saison sur l'Atlantique septentrional au nord du 60°. Le
maximum el le minimum barométriques placés au des-
sus de l'océan concourrent tous le deux à assurer à là
majeure partie de l'Europe et ala Sibérie du Nordouest
la prédominance des vents d'O et de S. O.
Ces vents ne pénétrent que rarement dans l'Europe
du sud-est, ou prédomine l'influence du maximum baro-
métrique de la Sibérie orientale. Cet anticyclone émet
une ramification qui s'elend vers les sudouest jusqu'aux
Carpathes **). Les vent ФЕ et de N E. prédominent en
celle saison dans la Russie méridionale et dans la plus
grande partie du Caucase.
En été le maximum de pression se trouve placé audes-
sus de l'Atlantique au N de la lat. de 40°, et une aire
de basse pression s'etend sur l'Asie centrale, il en re-
sulle que les vents ФО et du N О surpassent en fre-
quence tous les autres tant au Caucase, que dans la plus
grande partie de l'Europe.
Des aires de haule et de basse pression d'un ordre
secondaire viennent modifier les directions des isobares
*) J'emprunte cette dénomination au memoire de M-r Teisserenc
de Bart. Comp. Rend. de ГАс. des Sc. Paris 1832. 18 sep.
**) Cette ramification de l'aire de haute pression qui occupe en
hiver la Sibérie orientale est designée par M-r Woyeikoff sous le
nom de grand axe du continent. Elle détermine le regime des
vents d'hiver de la Russie méridionale.
— 221 —
el des vents déterminés par les grands centres d’action
de l'atnosphére que nous venons d'indiquer. Un anticyc-
lone de cet ordre s'etablit en hiver audessus du haut
plateau d'Arménie et sur la Transcaucasie centrale, tan-
dis que des aires de basse pression s'etendent sur la
mer Noire et la mer Caspienne *).
En été s'est au contraire l'isthme Caucasien qui de-
vient le siége d'un minimum barométrique et la mer
Noire celui d'un maximum. Audessus de la mer Caspien-
ne la pression doit étre plus forle en movenne qu'audes-
sus del'isthme, mais ce second maximum n' atteint pas
la valeur du premier.
Les moyennes barométriques contenues dans le petit
tableau qui suit permeltent de verifier les considerations
que nous venons de développer **).
Moyennes barométriques mensuelles.
Janv. Juillet.
m. m. m.m.
BOR Эпир! JU eupibetggome ritos
О 0. 2072 7565 , 730
ER S s s... BB 757,2
в... 765,9 756,9
Les aires de haute et de basse pression susmention-
nées engendrent des courants atmosphériques dont les
directions changent nécessairement de saison en saison
conformément aux déplacements periodiques des aires.
+) Wild. Température de l'air en Russie. (Температура Bosıyx&
въ Российской Импер!м). |
**) Ces moyennes reduites au niveau de la mer et corrigées de la
pesanteur sont extralies du livre de М-г Woyeikoff „Les climats du
globe“ p. 440. (Климаты sewuaro mapa).
ES -
Les vents dont il s'agit se manifestent nettement sur les
deux zónes littorales du Caucase *).
Sur le littoral Pontique en hiver les vents qui éma-
nent de l'anticyclone placé audessus du plateau Armé-
nien soufflent del'est, tandis qu'en été ce sont les vents
de mer, c'est à dire ceux de l'ouest qui affluent vers le
foyer. d'appel de la Transcaucasie. |
Il en résulte qu'en toute saison ces vents ont les mé-
mes directions que les courants généraux émanés des
grands centres d'action de l'atmosphére. Cette coincidence
donne aux vents du littoral occidental du Caucase la
régularité des moussons.
Sur le littoral Caspien de l'isthme le régime des vents
est moins régulier. Conformément aux positions respec-
lives de celte côte et des aires de haute et de basse
pression d'ordre secondaire, les vents émanés de ces der-
niéres ont dans chaque saison des directions opposées à
celles des courants généraux de l'atmosphéres, issus des
grand centres d'action. M
La table suivante indique la fréquence relative des
différents vents sur les deux zónes littorales du Cau-
case *). |
Hiver. Été
N. NE. E. SE. N.S0.0. NO| №. NE. Е. SE. S. SO. O. NO.
Poti. 1110,5. 8 0607 ts "17 71081009 4*'15' 8 Blas RUE
Lenkoran 1218 2 5 4201728 2 15: 9.91: 030182075205
*) Ces vents acquièrent une grande régularité sur les côtes parce
qu'ils y sont moins deviés parles montagnes que dans l'intérieur du
pays. Ils soufflentsans interruption plusieurs jours de suite, et ne
sauraient étre confondus avec les brizes périodiques de terre et
de mer purement locales.
*) La fréquence relative des différents vents est exprimee en cen-
tiémes du nombre total.
— 223 —
fn groupant ensemble d'une part tous les vents com-
pris entre les directions NE et SE, et d'une autre tous
ceux qui sont compris entreles directions NO et SO on
obtient:
Hiver: E f 4:
Vents de Vents de Vents de Vents de
terre. mer. terre. mer.
Pots: 22% ID" NE. en, SE) (NO, 0,50) (МЕ, Е, SE) (NO, 0, SO)
29 25 : 72
Lenkoran,.... (NO, d. SO) (NE, I SE) (NO,O, SO) (NE, E, SE)
60 28 55
Ashur-Adé... (NE,E,SE) (NO, o SO) qut à SE) (NO, O, S0)
52 29 81
Les chiffres du tableau precédent TUNE que
sur le littoral occidental de la Caspienne les vents éma-
nés des centres de pression d'ordre secondaire prédo-
minent sur les courants généraux. Sur la rive orientale
de celle mer, à Ashur Adé, les vents prédominants souf-
flent dans les directions déterminées par les grands cent-
res d'action, de méme que sur le littoral Pontique du
Caucase *).
Les courants atmosphériques subissent dans leur pas-
sage audessus du Caucase de nombreuses déviations cau-
sees- par les divers massifs montagneux qu'ils y rencont-
rent. | en resulte que pour la majeure partie de la ré-
gion intérieure de l'isthme les indications des girouettes
*) La prédominance en hiver des vents continentaux sur les
vents de mer est moins marquée à Ashur-Adé qu'à Poti. Le voisi-
nage de l'antieyclone placé audessus de la Transcaucasie centrale
doitétrela cause principale de cette fréquence des vents d'est sur la
côte Pontique du. Caucase; on ne saurait admettre que l'anticyclo-
ne dé la Sibérie orientale y exerca une influence plus forte qu'à
Ashur-Adé.
— 224 —
ne peuvent suffire pour déterminer la provenance des
vents *). Une longue série d'observations simultanées
étendues sur tous les éléments climatériques et recueil-
lies dans un grand nombre de stations pourrait seule
nous permettre de distinguer les venis d'origine locale
des courants généraux.
Sur le littoral de l'Abkhasie et dans la vallée infé-
rieure du Rion les vents de NE et ФЕ présentent fré-
quemment tous les caractéres du fochu des Alpes.
Ces vents ne peuvent alteindrele pied du versant mé-
ridional qu'à l'état de courants descendants, et sont tou-
jours suivis d'une élévation de température et d'une élé-
vation de l'humidiié relative. A Soukhoum en hiver la
température est de 0,5" à 44° au dessus de la moyenne
de cette saison quand les vents soufflent de l'E et du NE;
elle est de 1° audessous de cetle dernière lorsque régne
le vent du S. **). Malgré la forte prédominance des vents
ФО, l'été n'est pas tout à fait exempt de ceux de ГЕ.
Dans cette saison leur sécheresse est excessive, et quand
leur durée se prolonge la végétation dans la vallée du
bas Rion se flétrit et certaines espéces d'arbres commen-
cent à perdre leurs feuilles. Ces effets sont trés frap-
pants dans une localité qui se distingue, en général, par
un excés d'humidité et une éxubérance extraordinaire de
la végétation. Dans la baie de Novorossiisk pres de l'ex-
trémilé septentrionale du littoral Pontique du Caucase un
vent de NE, semblable à la bora de l'Istrie, est très fre-
quent en hiver. Il souffle avec la violence d'un ouragan
*) Le vent de N O prédomine à Tiflis l'année ronde. Il est evi-
dent que c'est le relief local qui en est la cause.
**) Woyéikoff. 1. c. p. 526. Des vents semblables au fochu s'obser-
vent aussi au pied du versant septentrional de la grande chaine.
zs 8p ce
el entraine à sa suite une baisse de température fort
considerable. Les montagnes environnantes sont privées
de végétations par ces rafales. L'origine de la bora de
Novorossiisk est semblable à celle de Triest. La vallée,
d'Adegoi, qui setrouve au NE dela baie, n'en est separée
que par la créte du Mt. Warada, qui ne dépasse pas
600 m. d'altitude. L'air qui remplit cette vallée du ver-
sant septentrional de Ja chaine du Caucase, étant beau-
coup plus froid en hiver que l'air de la region littorale,
l'équilibre devient instable et dés que cette masse d'air
froid et dense atteint le bord peu élévé de la vallée, elle
se precipite comme une cascade dans la baie.
La bora est bien moins forte au sud de Novorossiisk
et elle ne s'observe pas au dela du 44°. |. N. ou la chaine
]u Caucase atteint une grande hauteur; l'etablissement
d'un équilibre instable entre les masses d'air audessus de
la côte et audessus de la crête ne peut done y avoir
lieu que dans des cas bien rares *).
Les brizes ascendantes et descendantes de jour et de
nuits, analogues aux thal winds et pontias des Alpes, s'ob-
servent dans un grand nombre de defilés et dans plusieu-
res vallées du Caucase.
En général au Caucase on ne reléve que fort peu de
jours ou l'atmosphére soit absolument calme.
Le tableau suivant indique la fréquence relative des
venls dans les differentes saisons.
+) Woyeikoff 1. c. р. 525 et Baron de Wrangel: Bora de Novo-
rossiisk. Nikolaew. 1876. |
= OR à
*) Nombres de vents constatés, exprimés en centièmes
du nombre total d'observations. |
à E
be = - = :
=. c ME d Wm EN
sh cmn SUAM S Vu ifs Ia MS
Рио =
=: — — — os e = > 2 —_— Eu)
nn go -1 — [Seb e = Ez ec | wa
hiver..:... 40 38 85 49 83 99 89 63 71.77 38
print 33° 46 90 65 № 97 98 77 81 в
Sten oe 30 38 92 80 80 88 94 56 60 82 64
autom 34 ‘37 (79 .51' 82 194.188. 611162 "75:140
annnée. ... 34 39 86 61 82 95 91 64 69 .78 48
On voit d'aprés ce tableau que dans trois stations (Len-
koran, Bakou, Shemakha) les vents acquiérent la plus
grande fréquence en hiver; dans trois autres (Shousha,
Koutais, Redoui-Kalé) au printemps, et dans les cing res-
tantes en été.
Température,
Les observations des quarante stations météorologiques
du Caucase permettent d'offrir un tableau assez complet
de la distribution des températures dans ce pays **).
Pour toutes les localités ou les observations ne furent
poursuivies que pendant une courte période de temps les
moyennes ont été corrigées, suivant la méthode adoptée
*) Ce tableau dressé d’aprés les données recueillies par le mede-
cin en chef de l'armée du Caucase, est extrait de l'Essai d'une géo-
graphie medicale du Caucase du D-r Toropow, (Тороповъ. Опытъ we-
дицинской теограф1и Кавказа).
**) Les données relatives aux températures moyennes sont extrai-
tes du beau travail publié sous la direction de M-r Wild, chef de
observatoire physique central „La température de l'air dans l'Empire
de Russie*, Cet ouvrage à été edité en !angues russe et allemande.
Un atlas, contenent les cartes des isothermes y est annexé.
— 227 —
en météorologie, d'aprés les données correspondantes ob-
tenues dans les stations qui ont fonctionné vingt ans sans
interruption.
Des deux tableaux qui suivent,le premier contient les
températures mensuelles et annuelles effectives, le second
ces moyennes reduites au niveau de la mer *)
Un coup d'oeil jeté sur le tracé des isothermes de
Janvier et sur celles de Juillet permettra de se rendre
compte des grands contrastes de température que pré-
sentent les différentes parties du Caucase, indépendam-
ment de leurs altitudes. | |
En Janvier la Ciscaucasie toute entière a une tempé-
rature moyenne audessous du point de congélation. L’iso-
therme de 0^ suit la crête de la grande chaîne du Cau-
case d’Anapa jusqu'à un point peu eloigné du littoral
Caspien, ou elle passe sur le versant septentrional pour
atteindre la cóte prés de Derbent.
L'isotherme de — 2* longe le pied du versant nord de
la chaine; celle de —3° passe au N de Stavropol et la
ligne extréme de — 4° coincide à peu prés avec le sillon
des deux Manytch **).
Toutes ces lignes se dirigent du N O au S E.
Le tracé des isothermes de la Transcaucasie est moins
uniforme. |
*) Ces dernières moyennes ont servi pour le tracé des isothermes
du Caucase.
touche l'extremité septentrionale dela Norvége et descend ensuite vers
le S E en passant au sud de Christiania et de Varsovie; apres avoir
traversé la Sussie méridionale cette ligne s'incline encore plus vers le
S E passe par Khiva et le bassin du Lob nor et atteint le bord de la
mer Jaune, non loin de Pekin (lat. 40°).
— 228 —
D'abord parallèles à la grande chaine à une реше dis-
lance à l'est du méridien de Koutais elles s'infléchissent
brusquemment vers le S О et decrivent des courbes
paralléles au bord de la mer Noire. L'isotherme dé 6°
coincide à peu prés avec la partie de la cóte occiden-
tale de la Transcaucasie comprise entre Soukhoum et
Batoum et le prolonge plus loin dans la direction de
l'ouest jusqu'à la mer de Marmara, se repliant ensuite
vers l'ést elle passe par Mossoul et atteint la mer Caspien-
ne prés de Rescht. |
L'isotherme de 4° decrit d'abord une courbe à peu
prés parallèle a Ja precédente, en se maintenant à
une plus grande distance de la côte pontique, aprés
s'être avancée vers l’ouest bien au dela du centre de
l'Asie mineure elle revient vers l'est, coupe le lac d'Our-
mia et traverse le littoral Caspien au sud de Eenkoran.
L'isotherme de 2° longe le pied du versant méridional
de la Grande chaine j'usqu'au point ou viennent s'y rat-
tacher le M-ts Meshiques; elle devie ensuite vers le 5. 0.
et decrit une anse qui entoure le haut plateau d'Armé-
nie. Revenant vers l'est celte courbe passe bien au sud
d'Erzeroum, traverse le lac de Van, et aprés avoir coupé
lAraxe prés de Nakhitchévan, remonte vers le №. 0.
jusqu'à une petite distance au delà de Tiflis.
Au nord de cette ville l'isótherme de 2° reprend la
direction du S E qu'elle conserve sur une grande distance;
s'inclinant ensuite vers le N E elle atteint la cóte de mer
Caspienne entre Bakou et Derbent.
L'anse formée par cette ligne entoure, ainsi que nous
venons de le dire, le haut plateau d'Arménie. Ce dernier
constitue une zone de froidure tout à fait exceptionnelle.
Les températures moyennes des mois d'hiver y sont les
FT 239 boron
memes que dans la partie la plus seplentrionale de la
Ciscaucasie. Les isothermns de 0°, — 2,, et — 4" qui re-
paraissent d'une manière si inattendue sous des latitudes
de 39° — 41° lat. N. forment des courbes fermées con-
centriques qui ont pour centre l'espace triangulaire com-
pris entre Alexandropol, Kars et Erivan. La moyenne de
janvier d'Alexandropol descend méme jusqu’à —5,4* et
celle d'Erivan jusqu'à — 6,1*. L'isotherme de — 4° passe
a une petite distance de trois points susmentionnées; là
courbe que decrit l'isotherme de — 2° traverse Erzeroum;
et celle que forme l'lisotherme de 0° touche l'extrémité
seplentrionale du lac de Van, longe la rive occidentale
du lac de Goktcha et s'étend au N au delà du defilé de
Borjom. |
L'aire de froidure du plateau Armenien se reconnait
déjà dans le tracé des isothermes d'octobre et ne dispa-
rait qu'à parlir du mois d'avril, mais les excés de froid
qu'elle. présente ne sont jamais aussi considérables qu'en
janvier, les températures moyennes les plus basses dé-
passant à peine — 2° tant en Décembre qu'en Février.
Les isothermes de degrés au dessous de 0° et méme
celle de 0° ne s'observent au Caucase que dans les trois
mois de l'hiver. En Mars l'isotherme de 1° longe la limite
septentrionale de listhme, celle de 6° suit la crête de
la grande chaîne et la méme température ‚est indiquée
pour le centre du plateau Arménien *). En Novembre
Visothermé de 4° passe au N de la limite septentrionale
de l'isthme. |
*) || est remarquable qu'au premier printemps la température croit
très lentement sur le littoral de la Transcaucasie du 5 E; à Len-
koran la moyenne. de Mars est la méme qu'au pied de la Grande
chaine. |
P 4. 1884. 15
zc Bp
La température moyenne de Juillet réduite au niveau
de la mer ne descend nulle part au Caucase au des-
sous de 22,°8. L'isotherme de 23° coincide avec le bord
de la mer Noire, celle de 24° décrit une courbe paral-
léle à la précédente en se maintenant à une pelite dis-
tance de la côte. L'isotherme de 25° s'étend du Gouriel
à travers la grande chaine jusqu'à Piatigorsk et se dirige
plus loin vers le N E tout comme le font les lignes pré-
cédentes au nord de la mer Noire. Le refroidissement
du à l'action de cette mer est trés nettement manifesté
par le tracé de ces lignes qui contournent toutes son
bassin.
Bileiherne de 26° traverse la région du hau Tcho-
rokh, se relevant vers le nord au centre de la. Trans-
caucasie elle passe prés de Tiflis et s’incline ensuite vers
le S E jusqu'à Shousha, à l'est de cette derniére ville
elle. remonte de nouveau versle N au delà de Shemakha;
en. atteignant le bord dela mer Caspienne la ligne change
brusquemment de direction et longe Ja côte jusqu'à Len-
koran.
L’isotherme de 28° à peu prés potait à la préce-
dente passe par Kars, l'extrémité septentrionale du lac de
Goktcha et Shemakha, elle contourne la mer Caspienne
au sud est n'atteint la cóte que prés d'Ashur-Adé. La
température moyenne de Juillet réduite au niveau
de la mer est de 30° a Erivan et Nakhitchevan et
dans cette derniére station la moyenne d'Aoüt s'éleve
méme jusqu'à 32°. L’abaissement de la température ésti-
vale causé par la mer Caspienne se traduit par l'inflexion
vers le S E des isothermes de 26? — 30° dans le voisi-
nage de son littoral. En examinant la distribution des
températures moyennes annuelles du Caucase on S'aper-
coit aussitôt qu'elles dépendent plus particulièrement Tes
— 831
températures hivernales. En eifet les isothermes annuel-
les ont une direction générale du N O au S E de méme
que celles des mois d'hiver et décrivent aussi une anse
irés prononcée autour de l'aire de froidure de l'Arménie.
L'isotherme annuelle de 10* coincide avec la limite sep-
tentrionale de l'isthme caucasien. Celles de 11" et de
12° courent dans une direction parallèle à la précédenie,
la premiére passant par Stavropol ei la seconde par
Ekaterinodar et Viadikavkase.
L’isotherme de 18° qui coupe la cóte Pontique du. Cans
case prés de Gelendjik suit le faite de la grande chaîne
jusqu'au méridien d'Elisabetpol ou elle passe sur le ver-
sant nord et alleint la côte de la mer Caspienne au sud
de Derbént. Le long du versant méridional de la chaine
court l'isotherme de 14^ qui coupe le littoral Caspien au
N de Bakou. Les deux lignes dont nous venons d'indi-
quer les directions générales forment entre les méridiens
de Koutais et de Tiflis des anses allongées qui penchent
au sud au delà d'Alexandropol. L'isotherme de 15° qui
alteint le bord oriental de la mer Noire au sud de Poti
ne pénélre dans la Vallée du Rion que jusqu'à Koutais,
à partir de ce point elle se dirige au S O et decrit en-
suite une courbe qui passe au sud de Kars et du lac de
Goktcha pour ne remonter au N que près d’Elisabetpol;
elle se dirige ensuite vers le S E et coupe la côte Cas-
pienne non loin de Lénkoran.
Le tracé des isothermes que nous venons d'indiquer
permét de faire les rapprochements suivants.
La partie la plus septentrionale du Caucase a des tem-
peratures moyennes de l’année qu'on retrouve en Aut-
riche, en Suisse et dans le nord de la France; la zone
méridionale de [а Ciscaucasie présente des moyennes qui
au nord des Alpes ne s'observent que dans les bassins
15*
— ee —
du Rhone et dela Garonne. Enfin en Transcaucasie on
ne releve que des tempéralures annuelles semblables à
celle de la 1noitié Speer. du bassin méditerranéen.
Tout autre est le résullat qu'on obtient en examinant le
iracé des isothermes de Janvier et de Juillet. En Jan-
vier la plus grande partie de la Ciscaucasie et le pla-
ieau Arménien reproduisent les températures propres a
la Suéde et à la Pologne, etla région qui s'etend au pied
méme du versant septentrional de la Grande chaine cel-
les de la Prusse du N E. L’isotherme de — 2° qui longe
le versant susmentionné se continue vers le №. O. jus-
qu'en Hongrie d'ou elle se dirige au N en passant prés
dé Breslau, Posen et Dantzig. Cette ligne qui dévie ensuite
vers le N O traverse la Suéde du sud et s'étend en
Norvége jusqu'au 70* lat. N. en se maintenant à une
ge distance des côtes.
En Transcaucasie, à l'exception du plated Arménien les
moyennes de Jail sont toutes supérieures à celles de
l'Europe centrale et méme à celles du Piémont, mais ce
n’est que dans la région comprise entre la mer Noire et
les M-ts Meshiques qu’elles atteignent les degrés observés.
en Provence et en Toscane.
- En été au contraire on ne releve dans tout le CitudáBé
que des lempératures moyennes égales ou supérieures а
celles du bassin méditerranéen. Ainsi que le fait voir le
tableau hypsométrique placé en téte de cet apercu cli-
matologique les deux cinquiémes du territoire caucasien
ont une allitude audessus de 1,200 m. et plus de la moi-
Не du pays dépasse 300 m. de hauteur. Il en resulte
que jes températures moyennes indiquées par les isother-
mes sont en général bien supérieures à celles qui зе
déduisent direclement des observations. Elles ne sont
donc susceptible d'application immédiates que pour les
ZI |
deux régions liltorales, les plaines de la Ciscaucasie et
les vallées inférieures du Rion et de la Koura dont
l'altitude ne dépasse pas 100 m. |
Parmi les quarante stations du ons il ny en à
que quinze qui satisfassent à cette condition. Les coef-
ficients qui ont servi à réduire les températures des di-
verses stations à leurs valeurs au niveau de la mer ont
été calculées par M-r Wild *) d'aprés les observations
simultanées de Tiflis (410 m.), Bielvi Klutch (1150 m.),
Goudaour (2160 m.) et Vladikaucase (680 m.). Les chif-
fres suivants indiquent les variations de température qui
correspondent à des différences d'altitude de 100 m.
Doe Jan. Fév. Mars. um ae dain.
0,249" 0,356" 0,428" 0478’ 0,558" 0578" 0,606"
Juil. At. 5. 0. N. annee.
0,594 0,600° 0,529" 0,462 0,205! 0,470"
La variation de la température moyenne de l'aunée
correspondant à un changement d'altitude de 100 m.
déduite pour le Caucase ne différt que fort pea de cel-
les qui ont été relevées dans les autres contrées mon-
sagneuses de l'Asie, mais elle est bien moins con-
tiderable que dans les Alpes.
Variation de la température moyenne de Bon. pot
une différence de hauteur de 100 1
Inde... abe ch: 0,42, — 0,500
Himälaya........ 0,45 — 0,48
воли 4740,46 i Bil
Kuen-lun...... 00048 — 170,
Andes.i 24... +, 0,41 — 0,52
Mexigue,,......-. Pr esu hes
si ceder une ao 0,58'— ^,
O2ueasa 1.4... . 451 OAT — ,
5 IL. Le
oom (E te
l| est necessaire de rappeler que l'erreur inhérente a
toute réduction des lempératures au niveau de la mer
augmente avec la hauteur de la station. Elle peut aussi
devenir trés considérable quand les stations, dont on ré-
duit les températures, différent notablement par leurs ca-
ractères orographiques de celles qui ont servi à détermi-
ner les coefficients.
Les chiffres du tableau II montrent que sur le plateau
Arménien les températures. moyennes des mois d'hiver
et celles de l'année sont bien plus basses que dans toutes
les autres régions du Caucase comprises entre les mémes
limites d'altitude et de latitude que ce plateau. Cela se
voit aussi en examinant les températures non réduites du
tableau I. Ainsi les moyennes des trois mois d'hiver d'Ale-
xandropol sont de 2° à 3° inférieures a celles de Gou-
daour situé à 690 m. plus haut et à 2° lat. plus au N,
et les moyennes des mêmes mois d'Aralvkh n’atteignent
pas les températures correspondantes de Dielyi Klutch,
dont l'emplacement est à 1,5° lat. plus au Net de 320 m.
plus haut.
. A Ardaghan (41"8' 1. N. 1786 m.) ies observations n'ont
été poursuivies que durant une année et neul mois, mais
elles suffisent pour nous donner une idée du froid exces-
sif qui peut régner dans ces contrées a une altitude qui
n’atteint pas 2000 m.
L'hiver de l'année 1880 fut très rigoureux dans tout le
Caucase; à Ardaghan les températures moyennes de Jan-
vier et de Février furent respectivement de—15,°9 et de—
14°, le minimum absolu de — 35,4° et trois jours de
suite la moyenne diurne se maintient audessous de—29".
Par son hiver rigoureux l'Arménie reproduit le ca-
raclére commun a tous les hauts plateaux situés en de-
hors de la zone tropicale. Le rayonnement du sol des
haut plateaux est facilité par la grande sécheresse de
l'air et par l'épaisseur amoindrie de Ja couche atmosphé-
rique qui s'étale audessus d'eux. En hiver quand l'inten-
site du rayonnement dépasse celle de l'insolation la tem-
perature s'abaisse à tel point qu'elle deprime la moyen-
ue de l'année bien audessous des degrés qui s'observent
a latitude et a altitude egales, mais dans des localités
situées en dehors des plateaux.
L'été est au contraire relativement plus chaud sur les pla-
feaux. Ainsi par exemple de Juin à Septembre la tempé-
rature à Alexandropol est à peine inférieure à celle de
Bielyi Klutch et de 5° plus élevée qu'à Goudaour.
Assurément ia réduction des températures moyennes
des stations arméniennes au niveau de la mer d’après
les coefficients susmentionnés donne des indications fort
importantes en démontrant à quel point le caractére de
haut plateau peut modifier les conditions thermiques de-
terminées par la latitude et la hauteur; mais ces coef-
ficients ne permettent pas de calculer les températures
qui doivent effectivement. avoir lieu en Arménie à des
altitudes données *).
Pour obtenir des températures plus conformes à la reali-
té il faudrait donc déterminer les coefficient de réduc-
tion d’aprés des observations simultanées faites à des hau-
teurs différentes sur le plateau même. Malheureusement
nous n'avons que les deux stations d'Alarykh et d'Alexan-
.*) Il est évident que des coefficients de réduction calculés d’après
des observations simultanées d'une station située sur le plateau et
d'une autre placée au dehors donneraient des resultats encore moins
exacts que les précédents; on trouverait un abaissement de la tempé-
rature avec la hauteur trop rapide en hiver et trop lent en été. .
— 236 —
dropol qui fout en remplissant ces conditions fournissent
en méme temps des données dignes de confiance *),
Les chiffres suivants indiquent la mesure du decrois-
sement des températures moyennes qui correspond à une
élevation de niveau de 100 m. d’après les observations
simultanées d'Aralykh et d'Alexandropol **).
Déc. Ian. Fév. Mars. Av. M. Ju.
0.59? 0,55" 0,92° 1,07° 0,95? 0,85? 0,98°
DL At. S. FAO? N. année.
1,180 qi 0,85^. 0,57° 0,5° 0,79,
Ces valeurs sont toutes bien supérieures à celles qui
ont été deduites des observations combinées de Tiflis-
Goudaour-Vladikaucase. _ ipis
En Mars et dans les trois mois de l'été l'abaissement
de la température moyenne avec la hauteur entre Ara-
lykh et Alexandropol atteint 1° par 100 m. ***) Une chute
aussi rapide ne peut étre due qu'à l'influence de la si-
tuation particulière de l'une des stations sumentionnées,
П est donc évident que les chiffres du tableau. précé-
*) Les observations d'Erivan n'ont eu qu'une courte durée et ne
présentent pas le degré d'éxactitude nécessaire et celles d'Ardaghan
ne commencérent qu'aprés la cloture des deux autres stations.
**) La difference des latitudes d’Aralykh et d'Alexandropol atteig-
nant à peu prés 1" nous avons d'abord réduitles températures d'Ara-
lykh à la latitude d'Alexandropol; la correction est de 0,8* pour les
six mois dela période froide de l'année et de 0,2" pour les six autres.
*"*) Un déeroissement de température de 1° par 100 m. d'élevation
indique un état d'équilibre instable des couches atmosphériques et la
formation de courants descendants. La présence de ces derniers expli-
querait l’excés de température de la station inférieure, mais la persistan-
ce de pareïls courants plusieurs mois de suite ne sauraitétre admissible.
Nous пе pouvons donc attribuer la grande différence des températures
moyennes d'Aralykh et d'Alexandropol qu'à des circonstances locales.
9 $7 €-.
dent ne peuvent pas donner une mesure du décroisse-
ment de la température avec la hauteur applicable: à tou-
tes les parties du plateau Arménien. La recherche d'une
mesure semblable doit étre remise jusqu'au jour ou nous
aurons un plus grand nombre de stations dans cette région.
Nous avons déjà observé que sur les quarante stations
du Caucase il y'en ‘avait quatorze dont l'altitude ne dé-
passait pas 100 m.; il est évident que la réduction de
leur températures moyennes au niveau de !a mer n'ac-
croit ces dernières que de quelques dixiemes de degré.
Sept de ces stations sont situées sur le littoral Pontique,
quatre sur celui de la mer Caspienne et les trois autres
sont placées dans les plaines basses de la Ciscaucasie.
Enfin on peut comprendre daus cette catégorie: Koutais
dont l’allitude n'est que de 140 m. Toutes les compa-
raisons que nous avons établies plus: haut sous le rap-
port des températures moyennes entre les différentes ré-
‘gions de l'Europe et du Caucase ne s'appliquent direete-
ment. qu'aux stations qui viennent d’être citées ainsi qu’
aux parties du territoire voisin dont l'altitude ne: ig
se pas 100 m. |
Les huit autres localités de la Ciscaucasie dig on
posséde les observations sont situées à des hauteurs com-
prises entre 300 m. et 750° u et leurs différences en
latitude ne dépassent pas 2,5°. L'ecart entre les tempé-
ratures moyennes des deux stations qui différent le plus
‘a la fois par leur positions géographiques ‘et par leurs
hauteurs respectives, Stavropol (lat. 45,3” long. 41,59".
550 m.) et Mikhailowskaja (lat 43,91° long 45,10”, :250
sr est de prés de 4" pour celle de l'hiver; de 4^ pour
celles de l'été et de 2,5" pour l'aunuelle. La grande dif-
férence des températures “éstivales s s'explique facilement.
Le décroissement de la température avec la hauteur est
— 238 —
plus rapide en cette saison qu'en toute autre et en outre,
ainsi que l'indique le tracé des isothermes, la parlie orien-
tale de la Ciscaucasie est en général plus chaude en été
queles régions centrale et occidentale.
De l'ensemble des données fournies par les huil stations
susmentionnées il résulte qu'en Ciscaucasie, dans la zone
comprise entre les allitudes de 300 m. et 750 m. les
températures moyennes de l’année peuvent varier, selon
les localités, de 8,4° à 10,65; celles de Janvier *) de—
4,9° à — 9,1? et celles de Juillet de 21° à 24°.
L'isotherme de—2° dont nous avons déjà fait connaitre
le tracé marque la limite orientale des contrées de l'Euro-
pe ou les températures moyennes de Janvier réduites au
niveau de la mer sont supérieures à celles de la Ciscau-
casie. Il paraitrait par conséquent peu probable de pou-
voir retrouver en Europe quelque part à l'ouest de la
ligne susmentionnée et à des altitudes comprises comme
celles des stalions Ciscaucasiennes, entre 300 m. et 750
m. des moyennes de Janvier aussi basses que dans ces
derniéres. Néanmoins on en observe dans quelques lo-
calités de l'Europe centrale. Nous citerons comme exem-
*) Temirkhan -Shoura (lat 42°,49' H. 42*,5 m.) est la seule localité
en Cicaucasie ou l'on ait observé une moyenne de Janvier s'élevent
jusqu'à — 2,1" Occupant une position plus méridionale que toutes
les autres stations de ce pays Temirkhan-Shoura quoique placée à une
altitude de 425 m. a pendant la periode la plus froide de l’année une
température supérieure à celle de stations situées comme Ekaterino-
dar à une petite hauteur au dessus de la mer, mais à 2°—2,5® lat. plus
au N. La différence des latitudes suffit ici pour compenser à la fois
le décroissement de la température avec la hauteur et celui qui est
du, à une position plus orientale. Dans les autres sept stations du
groupe considéré la moyenne de Janvier la plus elevée n'est que
de — 8,5*. ; ЧА? |
^
— 299 —
ples Munich (lat 48° Н. 530 m.) dont la moyenne de
Janvier est de — 3° et Thusis (lat 46,8" H. 706 m.) ou
elle est de — 3,1°. |
Les températures annuelles des station Ciscaucasien-
nes ne différent pas de celles qu'on observe à égale alti-
tude en Suisse.
(Coire 603 m. 9,1". Berne 574 m. 8,1". Interlaken
311 m. 8,77. Genève 408 m. 9,7% Sion 536 m. 10,6".
Montreux 385 m. 10,0". Castasegna 700 m. 10°).
En été le thermométre se maintient en Ciscaucasie a
la méme hauteur que dans l'Italie centrale.
Le plateau Arménien se signale en hiver, ainsi que nous
l'avons déjà dit, par des froidures excessives. La mo-
yenne de Janvier à Alexandropol est de — 10,6° c'est à
dire inférieure de 3,5 à celle ie Goudaour (2.160 m.
et à 1,5° lat plus au N) et de 1,6° à celle du grand
S.-Bernard (à 5° lat. plus au N età 1000 m. plus haut) *);
mais la moyenne annuelle y est plus élevée (de 2,9" et
de 7,9") que dans ces deux stations.
En été la température à Alexandropol est toute aussi
haule que dans l'Europe centrale à des altitudes de 0—
100 m.; elle dépasse de 5° et T 712° bi moyennes ésti-
А Aralykh situé a 1° Це au bud (pH Lad po et à
680 m. plus bas la température de l'été est la méme
+) "A Bevers (Canton des Grisons lat 45,5° H. 1.715 m.) dont l'altitude
dépasse celle d'Alexandropol de 240 m. et qui est située à 6" lat.
plus au N et dans une large vallée participant du caractére des pla-
teaux et constituant une région de froidure exceptionnelle en Suisse
la température moyenne de Janvier est pourtant de 1° plus élevée
que dans la station arménienne.
a La moyenne de Juillet у. est de 5,7" plus élevés « qu’ a Bevers.
— a
qu'en Andalousie et dans l'Italie du sud. Sa moyenne an-
nuelle y est de 11,2? égalant à peu prés celle de Came-
rino (Italie centr. lat 43,6" IT. 662 m.) et de Leon (lat
49°37’ H. 850 m.). En revanche la moyenne de Janvier
à Aralykh n'est que de — 6,5".
La.température croit rapidement en hiver.à mesure
qu'on s'éloigne du plateau Arménien dans la direction de
l'est. A Shousha située dans le N. E. du Karabagh sous
la méme latitude qu'Aralykh, mais à 390 m. plus haut,
la moyenne de Janvier dépasse celle de la station armé-
nienne de 6°; de Mars à Novembre les moyenne men-
suelles sont au contraire plus élevées dans celte dernière
et la température annuelle y est de 2,8? supérieure à celle
de Shousha (8,4°).
L’examen comparatif que nous venons de faire démon-
tre le profond contrast qui existe sous le rapport des
conditions thermiques entre le plateau Arménien et le
Karabagh du N. E. Cette derniére région a un cheat
bien plus tempéré. —
Les moyennes des quatre | saisons relevées a Shousha
sont assez proches de celles qui s'observent dans diver-
ses parties de la Suisse à des altitudes de 550 m. à
100 m. n :
Pour l'hiver. et l'automne les différences n’excedent
pas quelques dixiémes de degré. Dans les deux autres
saisons elles peuvent atteindre 1°—2°. Au printemps la
température est plus élevée dans les stations suisses *).
en été à Shousha. |
Le petit tableau qui suit permet de verifier les pei
prochements que nous venons de faire. PUN
*) Kile y est déjà plus élevée en Février (de 1° à 2°). Par contre
en Décembre la température est d'autant plus haute à Shousha et
c'est ce qui égalise les moyennes hivernales.
ое
"und i Hiv. Prin. Été, . Aut. Année
A usi. aie oie ia 706 —1,° 8,8 17,3 8,6 8,4
Day EUM. tS 588 02°" 67 17,2 8,7 8,7
Berne sise. 574 — 0,7 8,3 16,8 8 8,1
Interlaken ..... 571 . —0,4" 9,1 17,3 8,6 8,7
Shousha....... 1180 — 0,1° 71 185 95 | 84
Sous le rapport du climat la région centrale de la
Transcaucasie qui s'étend au nord des massifs du Petit
Caucase, depuis les M-ts Meshiques jusqu'au méridien de
Shemakha *), différt du plateau Arménien tout autant
que le Karabagh du N. E.
'A Shemakha dont l'emplacement est à 1° lat. au N
d'Aralykh et à 80 m. plus bas, les moyennes des trois
mois de l'hiver sont de 2° à 6° plus élevées que dans
cette derniére station. Les températures s'égalisent entre
les deux localités en Mars; d'Avril à Septembre elles
sont plus élevées à Aralykh (de 2,5? en Juillet), mais en
Octobre Shemakha reprend le dessus et la moyenne an-
nuelle y est de 0,5? supérieure à celle de la station armé-
nienne. . |
À Tiflis et à Elisabetpol, situés tous les deux à la même
altitude (diff. de 30 m.) et sous des latitudes ne diffé-
rant que de 1°, les températures moyennes sont à peu
prés **) identiques. Le faible excés qu'elles présentent
par rapport à celles de Shemakha, placée sous la méme
latitude qu' Elisabetpol, s'explique par la hauteur plus
considérable (de 300 m.) de la station orientale.
Les moyennes de Décembre et de Janvier de Tillis et
d’Elisabetpol égalent celles de Milan et de Pavie (lat .45,2°
*) La station méme est encore comprise dans la région centrale.
**) Les moyennes de Juin et de Juillet à Elisabetpol dépassent de
1* celle de Tiflis.
sr.
— 21
is
et 147 m. et 98 m.), mais de Février à Mai les tempé-
ratures mensuelles y sont moins élevées que dans les
deux stations italiennes, l'égalité se rétablit pour, la: pé-
riode de Juin à ee Do *), enfin en automne l'excés
est du côté des stations caucasiennes.
Les moyennes annuelles d'Elisabetpol et de Pavie sont
identiques (12,8°), celles de Tiflis et de Milan ne -dif-
férent que de 0,3? (Tiflis 12,6". Milan 12,3%). |
А Tzarskvi-kolodizi, bourgade située à environ. cent
kilomètres au S E de Tiflis à une hauteur de 820 m.
les températures mensuelles sont de.1° a 2° inférieures
à celles du chef-lieu de la Géorgie; elles différent un peu
moins des moyennes correspondantes de Shemakha.
Des conditions thermiques semblables à celles qui fu-
rent constatées dans le Karabagh du N E s'observent
aussi à hauteur égale dans la Trancaucasie centrale. ...
Les moyennes mensuelles de Bielyi Klutch, ‚station si-
luée à une cinquantaine de kilométres au. S.O de... Tif4
lis et à 1.150 m. au dessus du niveau de la mer, diffèrent
fort peu de celles de Shousha. Le thermométre se main-
tient un peu plus haut (1,5°) dans cette dernière loca-
lité en Janvier et en Février, mais de Mars à Septembre
les températures des deux stations sont à peu prés éga-
les et pour les quatre mois suivants il y a une petite
différence en faveur de Bielyi Klutch.
Le massif des M-ts Meshiques qui limite au N O r
région centrale de la Transcaucasie en la séparant du
bassin du Rion, constitue en méme temps, malgré ses di-
mensions peu considérables, une ligne de démarcation
fort importante au point de vue de la géographie physi-
*) La moyenne d’Aoüt fait exception; elle est de 2° plus . élevée
dans les deux stations caucasiennes.
mais
que. A l’ouest de ce rempart s'étend le domaine du éli-
mat maritime de la Transcaucasie occidentale; cette ré-
gion qui fait partie du bassin méditerranéen se caracte-
rise par des températures hivernales: bien plus élevées
que celles de toutes les autres parties du Caucase.
La station de Souram située a quelque - kilométres à
l'est du fait de partage, à une altitude de 730 m. parait
étre soustraite à l'influence. modératrice du climat mari-
iime de la région occidentale. Les: températures moyen-
nes des mois d'hiver y sont au contraire plus basse que
celles qui s'observent à altitude égale dans les localités
de la Transcaucasie centrale plus éloignés des M-ts Mes-
hiques dans la direction de l’est. Les moyennes. de No-
vembre, de; Décembre ‘et. de Janvier de Souram sont
méme inférieures à celles de Bielyi Klutcb; en, desaccord
aves les hauteurs respectives des deux! stations, 9.) 2°
L’abaissement de la température. hivernale, observée à
Souram se constate également ‘а Borjom; il est: bien plus
considérable. encore à. Akhaltzikhe, «ainsi que:le démons
irent les chiffres du tableau suivants; о пра wi om
Haut: en Nov. Déc. Jan. Fév, Mar.
met.
*) SURE. Cr ap. « 730 5,3 0,4 —21 —05 32
Borjon „........ 795 44. Ol —16 -07 24
Akhaltzikhe...... 1021 — -- —78 — 3,5 1,6
La station d'Akhaltzikhe est située au bord méme du
plateau Arménien et ses moyennes hivernales ne diffé-
rent de celles d'Alexandropol que de 3° environ.
*) Les moyennes de Borjom sont déduites pour une période de deux
ans. A Akhaltzikhe les observations ne furent poursuivies qne durant
sept mois. Toutes les moyennes de ces deux stations sont corrigées
d'aprés les observations simultanées de Tiflis.
— Die
Nous pouvons conclure des données précédentes qu'au
lieu d’un surcroit de. température hivernale, qu'il serait
si naturel d’admettre pour la partie de la Transcauca-
sie centrale contigue au domaine du climat maritime, on
y constate au contraire un abaissement trés considérable,
qui doit être atribué à l'influence prépondérante exer-
cée par la zone de froidure du plateau Arménien. Nous
avons déjà indiqué eu exposant le tracé des isothermes
que cette influence s “étendait vers le Po au-delà du dé-
filé’ de Borjom. |
Les moyennes éstivales de Souram et en Borjom sont
aussi relativement moins élevées que dans les autres lo-
calités de la Transcaucasie centrale d’égale altitude, mais
les différences dépassent à peine 1°. A Akhaltzikhe on con-
state au contraire en ‘été un surcroit de température
très considérable. La moyenne d'Aoüt y atteint 22,47. :
Cette station, ou l'ecart entreles températures de Jan-
vier et de Juillet est de 30*, a un climat continental des
plus accentués, et semblable à celui des localités situées
sur le plateau Arménien.
(à. continuer). |
‘MO ПОВОДУ ПРЕДЛОЖЕННАГО T. ВЫШНЕГРАДСКИМЪ
ВЫВОДА МАНСВЕЛЛОВА ЗАКОНА.
A. Ц. Ооколова.
Въ «Wapbcriaxe С.-Петербургскаго Технологическаго
Института за 1880—1881 годы» (С.-Петербургъ, 1889)
помфщена статья npoeeccopa Въыишнеградскаго «o 3aKont
Мансвелла›». ЦЪль статьи указать на недостатки извъст-
наго Мейерова вывода закона Мансвелла о распред$ле-
Hi скоростей въ raab и, сохранивъ основную точку
apbuia Мейера, дать болфе строг выводъ этого закона.
Какъ известно, вопросъ 0 выводЪ Мансвеллова закона
Cb точки 3pbuis теор BEPOATHOCTE, какъ и HaHBbpo-
ятнфйшаго закона распредфлен!я скорости въ raat, nocrb
Мейера былъ подвергнуть всестороннему раземотрёню
Больтцманомъ. Въ двухъ обширныхъ работахъ, пом$-
щенныхъ въ Sitzungsberichte der Wiener Academie der
Wissenschaften за 1877—78 rox» "5, Больтцманъ вос-
*) Ueber die Beziehung zwischen dem zweiten Hauptsatze der
Mechanischen Wärmetheorie und der Wahrscheinlichkeitsrechnung,
respctive den Sitzen über das Warmegleichgewicht. 1877. Octoberheit.
Weitere Bemerkungen über einige Probleme der mechanischen War-
metheorie. 1878. Juniheft. ее Ki ii neuen | |
4 4. 1884. LE
Sa
пользовался указанною точкою 3pbHid какъ для изящ-
Haro и строгаго вывода закона Мансвелла, такъ и для
вывода втораго закона механической теори теплоты.
Такимъ образомъ съ этой стороны BOUupocs о законЪ
Мансвелла можетъ считаться въ существенныхъ чертахъ
законченнымъ.
Приступая къ чтеню статья г. Вышнеградскаго, я
былъ поэтому въ HSKOTOPOMS недоум$нш касательно TO-
го, что можно еще 3X5Cb сказать новаго посл5 всего
того, что давно сказано Больтцманомъ. По прочтения
же статьи я убЪдился, что г. Вышнеградскй не только
ничего новаго не сказалъ, но еще совсфмъ не знакомъ
co старыми работами (Больтцмана) по этому вопросу
и въ ABUCTBATCIBHOCTH продолжаетъ стоять на той же
XOxHoli TUIKS 3pbuia Мейера; а потому и выводъ, имъ
предложенный, столь же далекъ отъ истины, какъ и
Мейеровъ.
Ho такъ какъ разсужден!я: г. Вышнеградскаго oôxe-
чены повидимому въ строго научную Форму H для лю-
дей, недостаточно знакомыхъ съ вопросомъ, могутъ по-
казаться вполнф законными, TO я считаю полезным
указать здЪсь вкратп$ на заблуждешя г. Вышнеград-
скаго. За болфе обстоятельными же разъясненями от-
сылаю читателя къ цитированнымь выше работамъ
Больтцмана, въ которыхъ онъ найдетъ OTBbTP на Bch
могуше его интересовать вопросы.
Прежде всего замфчу, что возраженя, дЪлаемыя
г. Вышнеградскимь Мейеру направлены главнымъ 06pa-
зомъ противъ вишней часто математической части ero
вывода и въ общихъь чертахъ согласуются съ TbMU,
Kaki были представлены ему Больтцманомъ нисколько
яЪтъ раньше. Что же касается боле существенной
стороны Absa, основной идеи вывода, TO y г. Вые-
— 247 —
градскаго она осталась безъ mnawbHeHidH, какъ показалъ
Больтцманъ, будучи совершенно ложною, привела его,
конечно, также какъ и Мейера къ ложному выводу.
Чтобы убфдиться въ этомъ достаточно сравнить pb-
шене вопроса, полученное г. Вышнегоадскимъ, съ истин-
HbIMb рЪшенемъ, даннымъ въ первой изъ цитирован-
ныхъ мною работъ Больтцмана.
Въ pbmenia г. Вышнеградекаго все дЪло сводится къ
нахождению вида Функци © (и, v, w), выражающей
собою законъ распредфления скоройстей въ газЪ, подъ
условтемъ, чтобы н$Фкоторый опредфленный интегралъ
+
| MI 9 (№ v, w) Lge о (u, v, w) du dv dw
принималъ при этомъ наибольшее 3Hawenie, a два друге
интеграла
| P.
M o (u, v, w) du dv dw u.
>
E |
| hil (u*2-0*--^w) 9 (u, v, w) du dv dw
сохраняли бы постоянныя величины. (Введенное еще
г. Вышнеградскимъ услове сохраненшя дважешя центра
тяжести отпадаетъ само собою, CIN будетъ разсматри-
вать газъ въ состоянш видимаго покоя). Въ р5шенш
Больтциана вопросъ также сводится къ отысканю
ФУНКЩИ o (u, v, w) подъ TEMA же условями, только
первый интегралъь, maximum котораго ‘разыскивается,
имфетъ знакъ —, а He +, какъ у г. Вышнеградекаго.
Такъ какъ Больтцманъ относительно своего интеграла
16*
_ ge ud.
доказалъ, что OHb получаетъ свое ‘наибольшее, значенте
для, случая, когда © (и, v, ww) выражается Мансвелло-
вымъ закономъ, то отсюда слфдуетъ, что интегралъ
n: `Вышнеградскаго достигаетъ въ этомъ cayuab. своего
наименьшало значеня. Въ послфднемъ легко убфдиться
непосредственно, опред ляя знакъ второй варгащи этого
интеграла, при условш, что первая ero варащя=0.
_ Поэтому г. Вышнеградскй слишкомъ поспфшиль
окончательнымъ выводомъ, заявляя, что изъ его сообра-
женш законъ Мансвелла оказывается дЪйствительно на-
ивъроятнЪ Ишим закономъ ‘распредфленя скоростей въ
газ$. Еслибы соображеня эти были вфрны, T TO cabqo-
вало Obl, напротивъ, заключить, что УМансвелловъ законъ
есть самый невфроятный mao BCbx' P возможныхъ. Одного
указан1я на это обстоятельство уже вполн$ достаточно,
чтобы убЪдить читателя Bh совершенной; несостоятель-
ности вывода T. Вышнеградскаго. Но интересно paacwo-
TpbTb, въ чемъ заключается причина этой несостоятель-
ности.
Причина здЪсь двоякая: Cb одно стороны— невфрная
постановка задачи, съ другой—невфрное ея pbmenie.
Основная постановка задачи у г. Вышнеградекаго
совершенно таже, uro m у Мейера. Предполагается, что.
Bb газ имфетъ MBCTO нЪкоторое распред$лене скоро-
стей, характеризуемое Функшею © (и, v, w) ихъ CJà-
гающихъ. Мы дълаемъ, k испытавй (при чемъ & само
no ce6b очень велико, по въ сравненшь Ch NOIHBIM'E
dECIOM' п молекулъ въ rast весьма мало), состоящихъ
Bb TOMB, что на удачу. вынимаемъ одну молекулу, за-
мбчаемъ ея слагающия скорости и. ОПЯТЬ присоединяемъ
Kb OCTQIbHIM?. ЗатЪмъ составляемъ .Bbipa;enie Bbpo-
ATHOCTH того, | что ‚между этими k ‘молекулами. распре-
дълене скоростей таково. же, _какъ и во всей. wacch
газа. Tee. ‘выражается Функщею 9 (и, v, №). Наконец
вщемъ при какомъ BUT Функши © эта BbposTHOCTb есть
наибольшая, принимая при томъ во вниман!е N3BbCTAbIA
условия, "KOTODbIM всякое распредфлене Bb Ta3b ДОЛЖНО
удовлетворять. Ho такая постановка задачи, KK sam b-
тилъ Больтцманъ, никоимъ образомъ не можеть повести
насъ къ pburegim интересующаго. вопроса, 100 изъ за-
кона большихъ чиселъ Бернулли прямо cabayers, что
при Kk очень большомъ самое BbposarHoe распредфленте
скоростей между А молекулами будетъ именно TO, ка
кое имфетъ MBCTO между v молекулами, совершенно He-
зависимо отъ вида Функции ©.
Если несмотря на то г. Вышнеградскому удалось изъ
постановленной такимъ образомъ задачи найти BAAD
этой Функши (только, какъ было показано, не для на-
иболлье, а для наименте вЪроятнаго распредЪлен!я CKO-
ростей), то это произошло orb нев5рнаго phburenis ca-
мой задачи. Въ самомъ 161$, при составленш BFEPOAT-
nocrH существования между А молекулами распредзленя
9 (u, v, w) г. Вышнеградеюй принимаетъ во вниман!е
тотъ опредфленный, хотя и произвольный, 70рядок, въ
какомъ молекулы съ различными слагающими скоростей
появляются въ описанномъ выше Фиктивномъ опытф.
Въ дЪйствительности же искомая BEPOATHOCTL не MO-
жетъ зависфть отъ этого случайнаго порядка, а должна
выражаться суммою вЪроятностей для BCbXb возмож-
HBIXb порядковъ появленя молекулъ Bb SAKTABHOMD
OUBITÉ. Эта вфроятность получится, слфдовательно, изъ
составленной г. Вышнеградскимъ черезъ помножене ея
на число перестановокъ изъ À элементовъ, принимая
при томъ во вниман!е, что He BCb & элементовъ раз-
личны, а разбиваются на группы изъ одинаковыхъ эле-
ментовъ, соотв$тствующихъ молекуламъ съ одинаковыми
c BED
величинами слагающихъ скоростей. Взявши Bbipamenie
такой вфроятности, мы посл преобразований легко yOb-
AUMCA, что OHA не содержитъ въ себЪ искомой ®YHRLIA
9 (u, v, w) и сл5довательно никоимъ образомъ He MO-
жетъ повести къ опредфленню вида этой Функц, какъ
TOTO и слфдовало ожидать. |
Такимъ образомъ задача поставленная и рьшенная
г. Вышнеградскимъ, не имфетъ никакого отношен!я KB
наивфроятнЪИйшему закону _распредфленя cHAPRET EE Bb.
rast.
Москва 1885 года. 10 Anpsam. I
UEBER MEROMYZA SALTATRIX MG. UND ELACHIPTERA
CORNUTA F.
von
Professor K. Lindeman.
Ueber die Lebensweise genannler Fliegen ist bis jetzt
noch wenig bekannt. Viel mit dem Studium unserer Ge-
treidefeldern schädlicher Insekten beschäftigt, habe ich Ge-
legenheit gehabt auch über die zwei genannten Fliegen
einige Thatsachen zu beobachten, ao ich im all
milzutheilen mir erlaube. |
Mehrere Jahre beobachte ich ein massenhaftes Erscheinen
der Meromyza saltatrix auf Sommerweizen, Roggen und
Gerste bei Moscau. Besonders aulfallend war die Unmasse
dieser Fliegen im Jahre 1884. Den ganzen Sommer waren
sie auf den Feldern zu finden, aber im Mai und Anfang Juni
selten. Erst Mitte Juni begann das massenhafte Erscheinen
und dauerle bis ia den September.
Obwohl die Fliege in unendlichen Massen an dem sis
treide erschien, konnte ich keine Spuren einer schädlichen
еж.
Thätigkeit des Insects constatiren. Die von ihr besuchten
Felder wurden im Laufe des Sommers sehr genau untersucht
weil Chlorops taeniopus und Oscinis frit hier ebenfalls
ihr Wesen trieben und zu der Zeit Gegenstand meiner
‚ eingehenden Studien waren. Man sollte denken, dass die
Millionen im Juni und Juli erschienenen Fliegen eine we-
nigstens ebenso grosse Brut hervorbringen werden, deren
Thatigkeit an den Pflanzen nicht verkannt werden könnte:
Aber doch konnte ich keinen Schaden, der einer solchen
Brut zugeschrieben werden musste, an den Getreide-
pflanzen entdecken. Jede untersuchte absterbende Pflanze
war von anderen Insecten bewont. Es musste also der
Schluss gezogen werden, dass die Larven von Meromyza
saltatrix entweder an unwichtigen Theilen der Getreide-
pflanzen (B. allen Blattern), oder an Unkrauiern leben.
Letztere Möglichkeit hatte wenig für sich, da in dem gut
bestellten Felde die Zahl der Unkrauter noch sehr gering
und eine Beschädig gung derselben auch nicht bemerk-
lich war.
Ich wendete darum. meine besondere Aufmerksamkeit
den unteren Blättern des Sommerweizens und Gerste zu
und untersuchte dieselben im Juli und August an. vielen
Pflanzen. Meine Voraussetzung erwies sich bald als rich-
tig. Anfangs August konnte ich, häufiger an Gerst in den
welkenden unteren Blättern sonst ganz gesunder Pflanzen
minirende Larven finden, aus denen es mir gelang die
Meromyza saltatrix zu ziehen. Durch diese Beobachtun-
gen ist also festgestellt, dass die Larve von Meromyza
saltatrix in den Blättern gewisser Getreidearten mini-
rend lebt und eine doppelte Generation hat. Am 15 Au-
gust erschienen die Fliegen ' der Sommers eneration bei
meinen Zuchtversuchen. =~ od ara IM
— 253 —
Die Larve von Meromyza saltatrix ist weiss, grünlich
durchschimmernd. Die Kopfstig-
mentrager (fig. 1) sind kurz .und
dick, pilzfórmig; ihr keulenför-
mig verdicktes Ende enthält sie-
ben kurze Thracheenendröhren, de-
ren Öffnungen auf kleinen, nie-
Fig. 1; drigen Warzen gelegen sind. Die
binjeren Stigmophoren haben die Gestalt langer dunkler
Hörner. Die beiden Kopfhaken sind gross,
Schwarz, und an ihrem Unterrande mit zwei
grossen stumpfen Zähnen bewaffnet (fig. 2).
Die Tonnenpuppe ist hellgelb, beinahe
9. farblos, mit deutlichen Segmenteinschnitten.
| Aus den am 2 August eingesammelten Pup-
Fig. 2. pen erschienen die Fliegen am 15 August,
wodurch bewiesen wird, dass die Puppenruhe wenig-
stens zwei Wochen dauert; Die ganze Entwickelung ver-
langt nicht weniger als 6 — 7 Wochen, denn ich erhielt
Mitte August erwachsene Fliegen aus Gerstenpflanzen
welche am'27 Juni von mir eingezwingert wurden.
Die eben aus der Puppe gekommene Fliege ist farblos;
nur die Augen, zwei Rückenstriemen, die Fühler und Ta-
ster sind dunkel gefárbt. Aber schon sehr bald fürbt sie
sich vollständig aus.
+ Es gelang. mir aus den isolirt gehaltenen Puppen in
Meromyza saltatrix auch einen Parasiten zu erziehen.
Es erwies sich derselbe als Ceraphron destructor, also
der: nähmliche welcher in den Larven der Cecidomya de-
strucior schmarotzt. Diese Thatsache scheint mir sehr inte-
ressant und von grosser Bedeutung: 434
— 254 —
. Ueber Elachiptera cornuta F., war schon früher durch
Prof. Nowicki bekannt, dass deren Larve an der Gerste
lebt, wo dieselbe in Gesellschaft der Larve von Chlorops
laeniopus das obere, ährentragende, Halmglied befrisst.
Es gelang mir auch diese Fliege in merklicher Anzahl
bei Moscau, auf den Feldern der landwirthschaftlichen
Academie zu finden und zwar nicht bloss. an der Ger-
ste, sondern auch am Sommerweizen. Wahrend Nowicki
. bloss die zweite Larvengeneration kannte, hatte ich Ge-
legenheit die Larven der ersten Generation zu beobach-
ten. Dieselben fand ich schon Mitte Juni erwachsen im
Inneren der jungen Weizenpflänzchen lebend, wo sie, ganz
wie die Larven der Oscinis frit die Knospe und die noch
zarten inneren Blatter ausfressen, in der dadurch verur-
sachten Wunde ein nasses Wurmmehl nachlassend.
Nicht bloss die äusseren Mermale der von dieser Flie-
ge befallenen und absterbenden jungen Pflanze machen
letztere täuschend ähnlich der durch Os-
cinis frit verdorbenen Pflanze, sondern
auch die Larven beider Fliegen sind ein-
ander so sehr ähnlich, dass nur bei ge-
fe 353 nauem Untersuchen die Verschiedenheit
.Fig.3. | derselben aufgedeckt: wird. Beide Larven
sind dünne, farblose, grünlich durchschimmernde Maden,
nur ist die Larve von Elachiptera cornuta etwas dünner
: und länger als die von Oscinis frit. Sie unter-
scheidet sich durch folgende Merkmale. Die Kopf-
. sligmentrager der ersteren sind geweihartig,
| schlank, und bestehen aus einem dünnen Stiel,
welcher sieben dünne Aeste trägt (fig. 3). Die
Kopfstigmenträger der Larve von Oscinis frit
Fig. 4, sind pinselförmig, und bestehen aus sechs dün-
nen Fäden, welche ohne Stiel dem Körper aufsilsen
— 255 —
g. 4). Die Kopfhaken von Elachiptera cornuta sind an
ihrem Kaurande ságeartig mit mehreren, ziem-
lich grossen Zahnchen bewaffnet (fig. 5), wah-
rend bei Oscinis frit diese Haken hier kaum ge-
kerbt sind (fig. 6).
Die jungen Weizenpflanzen, deren Inneres
von der Elachiptera cornula Larve ausgefressen wird,
И sterben immer ab, so dass diese Fliege zu den
schädlichen Insecten gehórt. Der von ihr ver-
ursachte Schaden wird aber wohl nicht gross
sein, da die Fliege gewöhnlich zu den sel-
teneren Insekten unserer Fauna gehört.
hie S T.U BUE Ne
E DIE ZAHNPLATTEN DER GATTUNG n LAM.
| von Е
gah Dr. W. Dybowski in Niankow:
Eee Tafel v.
Wir haben schon die Zahnplatten von vier Gattungs-
Typen der Süsswasser-Pulmonaten genauer kennen gelernt;
diese Typen sind:
Ancylus Bourg. *). Eh Drap. ?). Amphipeplea Nils. ?)
und Planorbis Guet. *).—
In den vorliegenden Studien gehen wir nun zur Be-
trachtung der Zahnplatten von der Gattung Limnaea Lamk.
über, welche den fünften und letzten Typus der lungen-
_athmenden Süsswasser-Schnecken repräsentirt.
Die eben erwähnten fünf Gattungstypenzerfallen nach der
Form und Gestalt ihrer Zahnplatten in folgende drei Gruppen.
Physa*). — Ancylus. — Limnaea, Amphipeplea und Pla-
norbis.
') Vid. Bullet. de Moscou. Jahrg. 1884 Lief. 3.
*) Vid. Sitzungsber. d. Dorpater. Naturfor. Gesell. 1884.
*) Vid. Malacozool. Bl. N. Е. 1885.
*) Vid. Ibid.
*) Die Gattung Aplexa Flem. scheint hierher zu mie (Vid.
Lehmann, Die lebenden Schnecken u. Muscheln d. Umgeb. Stettins
etc‘) p. 201. Tab. 16. Fig. 71.
— 257 —
Eine genauere Betrachtung. der. Gruppen: muss: der Zu-
kunft; überlassen werden, ‘weil wir gegenwärtig noch
keine Angaben über die specifischen Unterschiede der
betreffenden Genera besitzen. Wir gehen daher zu unse-
rer Aufgabe über. ..
D-ter Typus. Die Zahnplatten der Gattung. aires
Lamark: (Fig. 1 — 8). |
Die Formel der Zahnplatten: 1 —19 — 15 — 15.
Die Mittelplatte (A. Fig. 1, Fig. 3 und 4) ist lünglich-
dreieckig und bedeutend schmäler als die beiden, benach-
barten Seitenplatten (A. Fig. 1). Der Buckel ist deutlich
abgegrenzt. Der Zahn ist einfach, nach hinten zugespitzt
und breiter als lang (Fig. 4 A.). Die Basis ist schmal, läng-
lich — dreieckig und mit einem tiefen Einschnitte am hin-
teren Rande versehen (A. Fig. 3). Die Krone ist sehr kurz
(A. Fig. 3), so dass die Basis fast ganzlich entblésst wird.
Die inneren Seitenplatten (B. 1 — 4. Fig. 1, B. 1 u. 2
Fig. 3 und B’ 1'. B. 1. Fig. 4) sind durch den Umstand
charakterisirt, dass die erste Platte allein mit einem media-
len Seitenzahn (a. Fig. 3 u. 4.) versehen ist, wührend alle
übrigen Platten der in Rede stehenden Gruppe (B.) keinen
solchen Zahn besitzen (d. Fig. 1. B. 1—4. u. Fig. 3. D.
1—2) )« ta
An der Basis der Platten bemerkt man ein grosses,
etwarhombisch gestaltetes Feld (k. Fig. 4), welches durch
ein eigenthümliches Lichtbrechungs-Vermógen von dem
übrigen Theil der Basis sich auszeichnet. Der Buckel ist sehr
gross und deutlich abgegrenzt. Der Zahn ist einfach *), zu-
5) Der Seitenzahn tritt erst bei der 20-ten (resp. 1-ten: mittleren
Platte wiederum auf (Fig. 5. C. 20. bei a.).
°1) Mit Ausnahme der ersten Platte, welche einen Seitenzahn hat
(vid. oben).
— 258 —
gespitzt und so lang, dass er die entsprechende Platte des
nachfolgenden Gliedes zum Theil bedeckt (Fig. 1). Der
mediale Seitenzahn an der ersten Platte erscheint als
eine mehr oder weniger tiefe. Ausbuchtung des Hauptzah-
nes (a. Fig. 1, 3 u 4). Der Nebenzahn (nz. Fig. 3 u. 1t.) ist
spitz und stets deutlich abgegrenzt.
Wie die inneren Seitenplatten. (in ihrer natürlichen
Lage) in die Längs — und Querreihen (resp. Glieder)
angeordnet sind, veranschaulicht die beigegebene Ab-
bildung (Fig. 1.). Die Platten liegen so dicht neben einan-
der, dass sie sich gegenseitig zudecken. Die beiden entge-
gengesetzten Platten (В. 1. u. В’. 1’. Fig. 4), welche die
Mittelplatten (A. Fig. 1) zwischen sich fassen, treten so
nahe an einander, dass sie die una fast lu
zudecken (A. Fig. 4).
Alle Platten der in Rede stehenden Gruppe sind ein-
ander sehr ähnlich *) und die Formänderung derselben
lässt sich erst an der dritiletzten (resp. 17 — 19-ten)
Piatie wahrnehmen. Die Formänderung der Platten be-
steht darin, dass die Platten bedeutend schmäler wer-
‘den, wobei der Zahn sich nach hinten stark verlängert.
Ihrer Form und Gestalt nach sind die 2—3 letzten, inneren
Seitenplatten den ersten Platten der nachfolgenden Gruppe
(mittlere Seitengruppe) sehr ähnlich, von welchen sie sich
!) Ich muss hier erwähnen, dess allerlei Missbildungen und rarie-
täten der Zahuplatten vorkommen können welche jedoch ziemlich
selten sind. Ist aber ein Mal eine gewise Missbildung vorgekommen,
so beschränkt sie sich nicht auf eine einzige Platte, sondern lässt
sich durch die ganze Längsreihe verfolgen. Ist z. B. bei einer gewis-
sen Platte der Nebenzahn doppelt (gespalten), so tritt dieselbe
Erscheinung, genau in derselben Weise, bei allen übrigen Platten der
betreffenden Längsreihe auf.
nur durch die ао des Seiten—und basalen Lahnes
auszeichnen.
Die mittleren onde (Fig. 2. 5. 1 Ц. 8). Die 3.3
ersten Platten dieser Gruppe behalten noch die Gestalt der
vorhergehenden Platten, haben jedoch zwei neue Zahne:
1) den Seitenzahn und 2) den basalen Zahn. Alle übrigen
Platten ändern ihre Form so sehr, dass sie von denen der
vorhergehenden Gruppe gänzlich verschieden erscheiden:
letztere Platten besitzen ausser den eben. erwähnten : zwei
Zähnen noch die secundären Zähne.
Die Basis ist bei den ersten: Platten der Gruppe von der
Krone bedeckt (Fig. 5. C, 20), bei den nachfolgenden da-
gegen streckt sie sich lateralwärts aus, so dass sie mit der
Krone in einer Ebene zu liegen kommt. (Fig. 8). Das rhom-
bische Feld (К. Fig. 5. u. 7.) ist auch hier deutlich wahr-
uehmbar. Die Krone streckt sich nach hinten aus und steht
zu der Basis unter einem stumpfen Winkel, so dass. die
Platten eine winklich gebrochene Lamelle darstellen (fig. 8).
Der Buckel ist hier nicht abgegrenzt, sondern die Krone
geht unmittelbar in die Basis über (Fig. 5. u. 8). .
Der Hauptzahn stellt eine längliche Lamelle dar, (Fig. 5,
7 u. 8), welche mit О cités (resp.
Làhnen) versehen ist. |
Der Seitenzahn ist bei der aller-ersten Platte (Fig. 5. €.
90. bei a.) seitlich gestellt, bei den 3 — 4 nachfolgenden
dagegen rückter immer näher und näher gegen die Spitze
des Hauptzahnes herab, woher der Zahn zweispilzig er-
scheint (Fig, 5. 21. u. Fig. 7).
Der Nebenzahn ist bedeutend kleiner, als bei den
vorhergehenden Platten (Fig. 4. u 5 bei nz.); anfanglich
steht er an der Seite des Zahnes (nz. Fig. 5), dann aber
in dem, zwischen Basis und Krone (Fig. 7. u. 8), entste-
hendem Winkel.
— 260 —
Der Basalzahn tritt an der ersten, mittleren, Platte als
ein ganz kleiner Vorsprung (bz. Fig. 5) auf, welcher allmäh-
ich grósser wird und auf die Basis der Platten übergeht.
lib. mi) 8): !
Die secundären Zähne bilden sich allmählig aus. Zuerst
zeigt sich in dem Ausschnitte des Hauptzahnes ein ganz
kleiner Vorsprung (m. Fig. 7), welcher bei den nachfol-
senden Platten allmählig grösser wird, so dass der Hauptzahn
dreispitzig wird. Es bildet sich ferner noch ein zweiter (Fig.
8), oder sogar dritter Zahn aus, welche alle jedoch stets
kleiner sind, als die beiden ursprünglichen, lateralen Zähne
Die Zahl den secundären Zähne ist nicht constant und
schwankt zwischen 3 und 5.
Die mittleren Seitenplatten sind in ve Längs-
und Querreihen der Art angeordnet, dass die Krone einer
jeden Platte die Basis der vorhergehenden Platte bedeckt
(Eig. 2) was ein ungemein zierliches Aussehen darbietet.
Die äusseren Seitenplatten (Fig. 6) erscheinen als läng-
lich—viereckige Lamellen, welche in einer schrägen Rich-
tung, ganz dicht neben einander, angeordnet sind. Die in
Rede stehenden Platten zeichnen sich vor allen übrigen
Platten dadurch aus, dass hier die Basis fast gänzlich zu-
rücktritt und nur in der Gestalt eines ganz kleinen Vor-
sprunges sich wahrnehmen lässt. (Fig. 6). |
Das rhombische Feld tritt auf das vordere Ende (К.
Fig. 6) zurück und wird von den Platten des vorher-
gehenden Gliedes bedeckt. Der Nebenzahn fehlt. Der ba-
sale Zahn ist sehr undeullich markirt. Die secundären
Zähne sind [deutlich ausgebildet; die Zahl derselben ist
nicht constant und beträgt 3—5; die allerlezien, ‘am
Rande der Radula stehenden Platten sind meistentheils
ungezähnt. Die Platten nehmen gegen den Rand der
Be. TO
Radula an Grösse ab (Fig. 6). Der Rand der Radula (v.
Fig. 6) zeichnet sich nicht besonders aus.
Zur Untersuchung sind 10 Radulae von Limnaea stagnalis
Var. vulgaris Wsrterl. (aus Niankow) benutzt verden.
Maasangaben,
Nae (Lehaneas: DES <
Das (sehäuse TP INR ae").
Die Radula,
Mie eames 12325 viondt 3 4 Mm.
Dire. де. FN
Die Zahl der Glieder . . 100 — 102
Die Zahnplatten.
A. B. C. Di
Die Lange . . . 0,034 0,060 0,064 0,020 bis
Die Breite . . . 0,012 0,030 0,030 0,004 bis
Niankow. Januar 1885.
Erklärang der Abbildungen ?).
0,034
0,016
Fig. 1 — 8) Die Zahnplatten der Limnaea stagnalis Var. vulgaris
Westerl. (aus einem kleinen Park-Teiche in Niankow)
Fig. 1) Ein Stück der Radula mit den Zahnplatten. A, Drei über
einander stehende Mittelplatten.
B 1— 4) Vier innere Seitenplatten in drei über ein-
ander stehenden Querreihen (resp. Glieder) der rechten
Seite.
'*) Vid. Malakozool. В]. N. Е. 1855.
*) Alle Abbildungen sind mit Hülfe des Hartnack'schen Zeicheu-
prismas dargestellt; die Fig. 1 —2 mit Object. № 4 und die Fig.
9 — 8 Object. № 8, indem das Zeichen-Papier unmittelbar auf dem
Tisch lag.
Je 4. 1584.
17
— 262 —
В’. 1") Drei übereinander stehende innere Seiten-
platten der linken Seite.
Fig. 2) Ein Stück der Radula mit vier Reihen der mittleren Seiten-
platten. (Rechte Seite).
Fig. 3) Drei Zahnplatten (in situ).
A) Die Mittelplatte.
B 1) Die erste innere Seitenplatte (rechts).
a) Der Seitenzahn.
B 2) Die zweite innere Seitenplatte (rechts).
n.z.) Der Nebenzahn (der Seitenzahn fehlt).
Fig. 4) Drei Zahnplatten (in situ).
A) Die Mittelplatte.
B 1) Die erste, innere Seitenplatte (rechts).
a) Der Seitenzahn. лен
n, 7.) Der Nebenzahn.
К) Ein rhombisches Feld, welches durch eine eigenthüm-
liche Lichtbrechung ausgezeichnet ist.
B'. 1”) Dieerste innere Seitenplatte (links). Die Be-
zeichnung wie vorher.
Fig. 5) Zwei erste mittlere Seitenplatten:
a) Der Seitenzahn.
1.7.) Der Nebenzahn.
b. z.) Der basale Zahn.
k) Wie in der Fig. 4.
Fig. 6) Dreizehn äussere Seitenplatten der rechten Seite (in situ),
k) Wie in der Fig. 4.
Fig. 7. u. 8) Die mittleren Seitenplatten (rechts).
Die Bezeichnung wie ia der Fig. 5.
VER ZEW GION 18:8
DER ВЕ! MOSKAU VORKOMMENDEN BORKENKAFER.
Von
Prof. K. Lindeman.
Seit vielen Jahren die Borkenkäfer der Umgebungen
von Moscau studirend, habe ich warscheinlich alle hier
vorkommenden Arten dieser Familie eingesammelt, denn
schon seit mehreren Jahren finde ich keine mehr, die mir
nicht schon von früher bekannt wären. Deshalb wird das
Veröffentlichen eines Verzeichnisses der bei uns vorkom-
menden Arten dieser interessanten Familie nicht verfrühet
erscheinen. Die gröste Anzahl der hier zu nennenden Arten
ist im Parke und Forste der landwirthschaftlichen Aka-
demie und deren Umgebungen beobachtet worden.
Folgende 42 Arten kommen demnach bei Moscou vor.
Hylastes decumanus Er. Sehr selten.
> palliatus Gylh. Sehr häufig.
> attenuatus Er. Sehr selten.
> ater Pk. Sehr gemein.
> angustatus Hrbst. Haufig.
> cunicularius Er. Sehr selten.
Hylurgus piniperda L.
» minor Hart. Beide Arten sehr häufig.
Dendroctonus «cans Киз. Selten.
Carphoborus pilosus Rtzb. Burundukovo, bei Talyza selten.
Ploeophthorus rododactylus Marh. Selten.
Hylesinus crenatus F.
» fraxini Е. Beide bei Talyza. Selten.
| 17*
— 264 —
Polygraphus pubescens E. Sellen.
Crypturgus pusilus Gylh. Haufig.
» cinereus Herbst. Häufig.
Trypodendron domesticum .L. Selten.
Xyloterus Zineatus Gylh. Sehr häufig.
Ernoporus tiliae F. Häufig.
Cryphalus asperatus Gylh. Häufig.
» abietis Ratzb Häulig.
Stephanoderes alni Lindm. Talyza. Selten.
Xyleborus dispar F. Häufig.
Pityophthorus pytiographus Rizb Selten.
Dryocoetes alni Georg. Häufig.
> autographus Ratzb. Häufig.
> coryli Perr. Nicht selten.
> aceris Lindmn. Selten.
Tomicus stenographus Duft. Häufig.
> typographus L. Sehr häufig.
> accuminatus Gylh. Sehr háafig.
» chaleographus Г. Häufig.
> bidens F. Sehr haufig.
> laricis. Sehr häulig.
> nigritus Gylh. Häulig.
> sylographus Sahlb. Sehr ne
Scolytus destructor К. Häulig.
> Ratzeburgi? Jans. Sehr häufig.
> rugulosus Ratzb. Sehr häufig.
» intricatus Ratzb. Häufig,
» pruni Rizb. Sehr häufig.
» multistriatus Marsh. Selten.
DRITTER BERICHT ÜRER DEN BESTAND MEINES HERBARIUMS.
von
Eduard von Lindemann.
Dr. der Botanik.
Alles ist darin zu finden,
Blätter, Knospen, Blumen, Frucht.
Goethe.
Schon im Jahre 1863 hatte ich die Ehre der Kaiser.
Naturforscher Gesellschaft zu Moskau einen Bericht über
den Bestand meines Herbariums einzureichen, welchem ich
im jahre 1872 einen zweiten nachfolgen liess.
Dem besonderen Wohlvollen unseres gegenwärtigen
hochverehrten Herrn Prasidenten Hr. von Renard hatte ich
es zu verdanken, das beide in das üher die ganze Erde
verbreitete, verdienstreiche Journal: Bulletin de la So-
ciété des Naturalistes de Moscou (1863 Ne I u. 1873
№ Ш) aufgenommen wurden.
Ausser dem Interesse genaue Nachrichten über den
Inhait einer Sammlung überhaupt zu erhalten, hatte die
Idee kurze Biographien derjenigen Naturforscher, welche an
ihr mitgewirkt hatten, zusammenzustellen, Gefallen gefun-
den, weil dadurch zugleich mancher verdienstvolle, aber
weniger bekannte Name der Vergessenheit entzogen wird.
— 266 —
Bei der mühsamen Zusammenstellung eines derarti-
gen Namensverzeichnisses hatten mich beim zweiten Be-
richt unter Anderen die Herren: Kawall, Pastor zu Pus-
sen in Kurland; Beise, Syndik der Kaiserl. Universi-
tat zu Dorpat, wie auch Dr. Senoner in Wien mit man-
chen werthvollen Berichtigungen und Ergànzungen unter-
stützt. Bei diesem dritten Berichte diente mir fur die
biologischen Nachrichten als Quellenstudium vorziiglich
die reiche botanische Bibliothek der Kaiserl. Neurussisclien
Universitat, die ich in ihrem ganzen Bestande durchgesehen
habe; aber ausserdem kamen auch noch die neuesten Jour-
nal—und Zeitungsnachrichten hinzu, die Bezug auf das
Namensverzeichniss hatten.
Da sich mein Herbarium in den letzten dreizehn Jahren
seit dem Erscheinen des zweiten Berichtes, aufs Neue um -
ein Bedeutendes vergréssert und vervollständigt hat, so-
mit gegenwärlig gewiss zu den grössten Privatpflanzen-
sammlungen Russland's gehórt, erlaube ich mir widerum
einen neuen Bericht über den gegenwärtigen Bestand der
Sammlung der Kaiserl. Naturforscher rg vorzu-
legen. |
Zu meinem Herbarium wurde der Grund von meinem
verstorbenen Vater Emanuel v. Lindemann im Jahre 1814,
als er in Dorpat studirte, gelegt. Zehnmal hat im Laufe
der Zeit die Sammlung ihren Standort wechseln müssen,
und befand sich dieselbe namentlich:
in Dorpat 1814 — 1830.
» Mitau 1820 — 1845.
». S.-Petersburg 1845 — 1860.
» Bjelgorod (Gouv. Kursk) 1860 — 1862.
› Korotscha (Gouv. Kursk) 1862 — 1863.
» Michailowka (Gouv. Cherson) 1863 -— 1870.
— 267 —
in Elisabethgrad (1870 — 1875).
» Kischinew (1875 — 1876).
» Odessa *) 1876 —- 1878.
» Elisabethgrad 1878 — bis gegenwärtige.
Heute besteht die Sammlung aus 312 sehr stark gefüll-
ten Mappen. Die Zahl der catalogisirten Arten ist bis zum
Augenblicke 23,640, mit ungefahr 62,000 Nummern. Die
Zahl der Exemplare muss annähernd etwas über 200,000
betragen. Alles ist auf das Genaueste nach dem Systeme
von De Candolle geordnet und in weissem Schreibpapier
und grünen Mappen mit Inhaltsaufschrift auf das Sau-
berste gehalten. — Bei der Sammlung befinden sich zwei
Kataloge: 1) ein systematischer (205 Bogen), aber seit 5
Jahren nicht fortgesetzt, 2) ein alphabetischer (163 Bo-
gen), vollstándig und mit Nummerangabe, wo eine Pfa!nze
im Herbarium sogleich zu finden sei.
Die grosse Anzahl der Doubletten ermóglichte es mir
mit anderen Botanikern des In—und Auslandes in Tausch-
verker zu treten, so weit es meine Zeil und Mittel
erlaubten. Nach den bei mir befindlichen Notizen, habe
ich seit dem lahre 1862 bereits 54 grössere bota-
nische Sendungen gemacht und zwar ins Inland 24,
und 30 ins Ausland, mit 20,765 Nummern. Während
dieser Zeit erhielt ich 69 Sendungen, darunter 32 aus
Russland und 37 aus dem Auslande, mit 20,560 Num-
mern. :
In der Sammlung befindet sich eine grosse Anzahl héchst
interessanter Handschriften berühmter Botaniker aller
a) Während der Kriegszeit hatten sich besonders die Professoren
J. J. Metschnikow nnd J. J. Walz für das Herbarium interessirt u.
dasselbe, in 7 riesigen Kisten verpackt, im Vorsaale der natur.
historischen Kabinete der Universität aufzubewahren erlaubt.
— 96h —
Länder; was die russische Flora betritft, z. В. von: .
Andrzejowski, Besser, Böber, Bongard, Buhse, v. Bun-
ze, v. Chamisso, Czernajew, v. Eichwald, Eschscholiz,
Fleischer, Gorski, Hofmann, Hohenacker, Kaufmann, v.
Ledebour, Meinshausen, Pallas, Rudolph, Sievers, Sobo-
levski, v. Steven, v. Trautvetter, Trinius, Turczaninow,
Weinmann, Wilhelms, Wolfgang etc. |
Auserdem verdienen noch ihres Alters wegen Er-
wahnung einige sehr gut conservirte Pflanzen aus der
Mitte des 17-ten Jahrhunderts von Huest, Breyn und
Clegero, welche vielleicht die áltesten Reprásentanten eines
Herbariums in Russland sein móchten.
A) Anzahl der Arten im Herbarium nach den Florage bieten:
I. Europa:
Busan s. AR EM e ee 6.500 Arten.
Pe Nevaladsemlja...«- c eT TO
Senjawin-Bucht....... a a Se
а en ML ee DUM boum
Tappland* ©. . ПОЛЯ. SUR ME 56, à
Pinnland Dod s. oU. По: DOS.
Hoehlanal 6... OS Jorge letti
Petersburgdassaubaos. 2. de. 43 À
Estland;iLivland.:. . sa). „are . ASE №
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Dalmatian, Istrien, Illyrien..... 600 ,
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Sandwich-Inseln.. ;,..... 2222721 89" fi
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B) Anzahl der Arten aus verschiedenen botanischen Garten:
Petersbute SA JOD ee. Л. 330 Arten.
PAWlOWSK RN. роли OY, 380 * >;
Dosput* поли заверили 3:860 * ^,
Rigas viii ERANT PPT 140 . ,
Mitaun ss EE OOO, 2500" 17%
Warschau 227501026, DE PANNE 24075
еее u vn Peek gll 150 977
MOSCAU s bie a EU о. 300 Arteu.
Kiew ....:. OR RIS NE 365 De
ala... ec Ve Cue e ROU IE 1255114.
!Us) PENES SS 150098,
Dreslhu . ..-2--eccov ket eR b 1.120990.
НЕЕ его. ‚екон до,
Dresden. .:,4::+3a rem 120 084
Ausserdem einzelne Arten aus den botan. Gárten zu: Abo,
Wilna, Charcov, Upsala, Amsterdam, Leyden, Utrecht, Ham-
burg, Góttingen, Frankfurt a. M, Cassel, Halle, Würzburg,
Erlangen, Freiburg, Paris, Montpellier, Marseille und Pisa.
Verzeichniss derjenigen Botaniker, welche zu meinem Herba-
rium beigetragen haben.
„Ich habe mich gewöhnt beim Vorzeigen meiner Samm-
lung der Personen zu gedenken, durch deren Vermitte-
lung ich das Einzelne erhielt. Die Urheber der Gaben steigen
dann wiederholt vor der Einbildungskraft hervor, man ver-
knüpft mit ihrem Dilde eine angenehme Erinnerung, macht
sich den Undank unmóglich und ein gelegentliches Erwiedern
leicht und wünschenswerth *. |
Goethe.
Wahrheit und Dichtung.
un ! ; Artenzahl.
1. Agardh, Carl, Adolph. Geb. zu Bastad bei Lund
23 Jan. 1785; T zu Carlstadt 28 Jan. 1859. Seit
1812 Profess. der Botanik zu Lund, zuletzi Bi-
schof zu Carlstadt. Berühmter Algolog.—Agardhia
von Sprengel, Cabrera u Fries.......... et -- 1
2. Agardh, Jac. Georg. Sammelte in Schweden... 82
3. Akermark, Botanisirte in Schweden........... 2
4.
5.
10.
PL.
12:
T NE
Artenzahl.
Allamand, Botanisirte in Surinam.............
Allioni, Carl. Geb. zu Turin 23 Septbr. 1725, +
daselbst als Professor 28 Juli 1804. Allionia von
Linésundieholsy so 4.2 QOEM UM
Alschinger Audr. Geb. zu Wien 1791, +10 Juli
1868. Professor zu Zara in Dalmatien. Alschin-
OTA om. VATS EATS UM. Помет. CHR TINI
Amblard, Louis. Botanisirte in den Pyrenaeen.
Ambrosi, Francesco, lebte zu Borgo di Valsugana
Anderson, Nils, Joh. Geb. zu Linkóping 29 Febr.
1821, + zu Stockholm als Professor 27 Märtz 1880.
Bearbeitete die Flora Lappland's 1846, Scandi-
naviens 1849 und 1852, die Salicineae zu De Can-
dolle's Prodromus 1868 und die nordamerika-
nischen Weiden 1858... Ве
Andorfer, Joseph. Apotheker zu Langenlois in
Nieder Destreich? rie BS, SOCIUS iet Lien ic
André, Ed. Sammelte um Grenoble. :.....:...
Andrzejowski, Anton (Антонъ Луюановичь)..
Geb. 1785 in Volhynien, + zu Stawicze im Gouv.
Kiew 10 Decembr. 1868. Studirte in Krzemeniec,
wurde Gehilfe Bessers; darauf bekleidete er
zeitweise Professuren in Krzemeniec, Kiew und
Neschin. Bekannt durch seine wissenschaftlichen,
besonders botanische’ Excursionen zwischen
Dnjestr und Bug 1814— 1824; wurde ein Beglei-
ter Eichwald's auf dessen Reise durch Podolien
_ 1829. Seine letzten Lebensjahre brachte er als pen-
sionirter Gelehrter meist in Nemirow und Bjelo-
Cerkow zu und machte sich einen nicht unbe-
deutenden Rnf als polnischer Sehriftsteller. Nach
seinem Tode wurden seine zahlreichen Papiere
vom Grafen Branicki an Profess. J. Knapp zur
Bearbeitung übergeben. Von mir ist sein Nekro-
lor 1869 in der Flora von Regensburg publicirt
36
13.
14.
15.
16.
14.
22;
23.
— 274 —
. Artenzahl.
worden. Andrzejowskia von Reichenbach, ausser-
dem Rosa A., Scirpus A., Erysimum A.. von
Besser runs cmt epi nli BE MBit olas EE
Angelis, Katholischer Geistlicher, botanisirte in
den steirischen Alpen um Admont. Angelisia von
Angstróm, Joh. Sammelte in Lappland. Angstró-
mia, von Sehimper,.seibete EE o lob DERE
Ankerkron. Botanisirte .in Schweden...........
Anzi, Martino. Presbyter, Abbé und Profess. im
Seminarium zu Novo Como. Ausgezeichneter
Bryo-u. Lichenolog. Prasia А. von Rabenhorst
Ardissone, Francesco. Seit 1863 Professor zu
Genua, dann am Lyceum zu Feno auf Sicilien..
Berühmter ÁAlgsolos.. EE val ubt eae |
Arndt, E. Botanisirte um Greifswald...... T1 N
; Arnell, H. Botanisirte in Schweden...........
. Arnold, Fr. Assistent beim Appelationsgerichte
zu Eichstädt. Ausgezeichneter Bryo-u, Licheno-
log. Arnoldia von Massalongo................
. Ascherson, Paul, Friedr., Geb. zu Berlin 4 Juli.
1834, Professor daselbst. Einer der bedeutendsten
Systematiker der Gegenwart. Aschersonia von
Endlicher, ausserdem wurdeneinige Arten nach
ibm benannt... st. ei hich ine are Oe ee
Aubert, Gust. Geb. zn Lovette St. Pierre 1897.
Auerswald, Bernh. + zu Leipzig 30 Juni 1870
als Lehrer an der Realschule.— Auerswaldia von
о О.
. Augustinowicz, Thomas. (Goma Матвфевичьъ). *)
Studirte in Vilna. War Medicinal-Jnspektor des
Gouv. Kursk. bereiste Sachalin u. Sibirien....
2120
60
16
20
517
+) Die sternchen bedeuten: *=war oder ist mir persönlich be-
kannt, **— war oder ist mein Correspondent, *** = war oder ist
beides.
P —
HE ru Artenzahl.
25. Aulin, F. R. Botanisirte in Schweden......... 1
26. Axell, P. Botanisirte in Schweden............ 1
. Baenitz, Carl, Gabriel. Dr. hat gegenwärtig einen
** Pflanzentauschverein in Königsberg wo er Leh-
rer ist. —Asperula D. von Heldreich...........
28. Baglietto, Francesco. Berühmter italienischer Li-
chenolog.—Bagliettoa von Massalongo ЕЕ
29. ры ее но Laus aont
30. о ик. оо nd ur
31. Balfour J. В. Botanisirte in England und qué
42.
43.
44.
Mauritius. Schrieb über Pandanus 1878.
. Ball, John. Sammelte in Spanien, D al НИ
ОО e re. Loos e cuc e + . 0 09 9 F9 © = 95099 © + ©
. Bannon, H. Botanisirte in Frankreich LE UP |
. Danse, Botanisirte um Magdeburg... 4. |
. Barcelo. Botanisirte auf den Balearen.........
. Barth, J. + 1875? Tüchtiger Botaniker Sieben-
burgens.—Jnula В. von Sehur... uvm rm
. Bary, Antoine de. + zu Strassburg als Professor
9 Mai 1877. Berühmter Algo-u. Bryolog.—Barya
Xon A ВСВ aoro anne Ss Ponens
. Basson. Sammelte in Frankreich............ x
. Bastelier, Botanisirte. in- Belgien..…... 11.2.
Bauer. Chemiker in Berlin. Sammelte um Ber-
lm 1529. u: m, Pommern 1849.5. e ao. 0er)
. Bauh, Caspar. Geb. zu Basel 17 Januar 1560,
+ daselbst 5 Decembr. 1624, als Professor der
Anatomie und Botanik, welches Amt er seit 1588
bekleidete; von 1614 erster Stadtarzt u. Profes-
sor der Medicin. Der grósste Botaniker seiner
Zeit-—Bauhinia. von; Linné,..... aus «ens ees
Baumbach. Dr. Arzt in Leipzig..............
Bausch, W. Bryolog in. Baden... ..... +... .-
diawsc ен. re e) a
Pe R2 € NO
45.
46.
47.
48.
49.
50.
51.
52.
53.
54.
55.
56.
5m
58.
59.
60.
Artenzahl.
Bayer, Joh., Nepom. Geb. zu 'Gross-Krosse im:
östreichischen Schlesien 20 Marz 1802. Sammelte
iB Bteverii 0 Us. PI OM AR CUTE ge.
Beaujeau. Sammelte in Belgien...............
Beaupre ..... ИАН. ПА SERRE
Beccari, Odoardo, Bekannt durch seine Reisen
làngst den Küsten des rothen Meeres und auf
Borneo.—Beccaria von Venturi, ausserdem Da-
valia B. von Cesati..... ес
Becker, Alexander (Александръ Варповичъ). Lebt
in Sarepta. Sammelt im Gebiete der Wolga, in
Daghestan, Turkmenien, tiberhaupt im Siid-Osten
Russlands. Gleichzeitig eifriger Entomolog.—
Allium B. von Regel; Salvia B. von Trautvetter.
Becker, Friedr. Staabsarzt in Wien............
Benesch. Botanisirte in Bóhmen.............. |
Benzon, Alfred. Botanisirle in Danemark.—Ben-
zonia' vor Schumacher s. o same eee
Bergelin, R. Sammelte in Schweden.......... T
Berger, M. Botanisirte auf Madagascar E
chona B. von Martins; Crepis B. von Stendel..
Berggren, Sven. Professor zu Lund. Bryolog...
Bergh H. Sammelte in Schweden..............
Bergius, Carl, Heinr. Geb. zu Berlin 1792, + am
Cap. 4 Jan. 1818. Botanisirte als Pharmaceut
fleissig im südlichen Africa.—Bergia von Fürnrohr;
ausserdem Serruria B. von Rob. Brown....... |
Bergstidt. Sammelte in Schweden........... -
Bernard, G. Sammelte in Tyrol. gri deu" von
blonston v4. NIUE GENS SENS Е
Bernhardt, Joh., Jacob. Geb. zu Erfurt 7 Sep-
tembr. 1774, + ebendaselbst als Medicinalrath u.
Professor der Philosophie. Sein Herbar soll gegen
40,000 Arten enthalten haben, namentlich viel
aus der Hedwigschen Sammlung.—Bernhardia von
11
234
ot to
26
61.
62.
63.
64.
. Bieberstein Marschall Baron von, Friedr., August.
66.
67.
Willdenow; ausserdem Aconitum B. von. Reichen-
Artenzahl.
Develo о, AT. rare aes: ec ee
Bertram, Carl. Sammelte Moose in Braunschweig.
Bertram, Wilhelm. Pastor in Braunschweig...
Besser, Wilibald, Joseph, Gottlieb. (Виливальдъ
Готлибовичъ). Geb. zu Innsbruk in Tyrol 7 Juli
1784; T zu Krzemeniec in Volhynien 11 Oktobr.
1842. Schüler von Schiwereck und Schultes. 1807
Doct. med. 1809 Professor der Naturwissenschaf-
ten zu Krzemeniec, darauf 1833—1835 Professor
der Botanik in Kiew. 1835 Mitglied der Kais.
Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg.
Lebte seit 1837 pensionirt. Schrieb 21 Werke
‚и. Abhandlungen. Sein Herbar kam an die Wla-
dimir-Universität zu Kiew.—Bessera von Schul-
tes; ausserdem wurden noch 22 Arten nach ihm |
| tuc AIO оо оба Ч aa Qi
Bicchi, C. Bryo-u. Lichenolog zu Глеса........
Geb. zu Stuttgart 10 Aug. 1768, + zu Merofa
bei Charcow 5 Oktobr. 1826. Botanisirte 1793—
1796 in Taurien, 1797, 1798, 1802 u 1805 im
Caucasus. General-Jnspektor des Seidenbaus im
stidlichen Russland. Hat 9 Werke u. Abhandlun-
gen hinterlassen, darunter seine klassische Flora
taurico-caucasica (1808— 1819). Sein Herbar kam
ans Museum der Kaiser]. Akademie der Wissen-
schaften zu St. Petersburg.—Biebersteinia von .
Stephan; Marschallia von Bartling; ausserdem
wurden 50 Arten nach ihm benannt...........
Bienert, Theophil. T zu Riga 18783. Studirte in
Dorpat. 1872 Magister pharmac. Eifriger Beoba-
chter der baltischen Flora.—Bienertia von Bunge.
Bischoff, Gottlieb, Wilhelm. Geb. zu Dürkheim
an der Haardt, wo sein Vater Apotheker war,
X 4. 1884. 18
1
870
А
43
68.
69.
70.
11.
2:
73.
14.
— 278 —
Artenzahl.
1797; + zu Heidelberg 11 Septbr. 1854. Schüler
Koch's zu Kaiserlautern. Ging 1819 in die Ma-
lerakademie nach München, muste aber eines
Augenleidens wegen die Malerei aufgeben. 1821
bezog er die Universität Erlangen. Ging 1822
wieder nach München, wo er die Zeichungen für
Martins brasilianische Reise aufertigte. 1823 Pro-
visor und Doct. philos. zu Erlangen. 1825 Pri-
vatdocent zu Heidelberg und seit 1833 daselbst
Professor der Botanik.— Bischofia von Blume und
Bischofia von "Decaisme.. MARNE UL SPUREN MM
Biornstrom. Bôtanisirte in Schweden.........
Blanche, Isidor, H. Franzósischer Consul zu Tri-
polis in Syrien.—Blanchea von Boissier.......
inleisch. "Dr... 000. ORDER EEE
Blomberg, J. M., Botanisirte in Norwegen.....
Blum, Friedr. Geb. in Hannover. Studirte 1813—
1815 in Dorpat Medicin. War Medicinal-Inspector
zu Astrachan. Seine Pflanzen bearbeitete Lede-
Blyznn, Gregor (Григорий Яковлевичъ). Geb.
zu St-Petersburg 22 Septbr. 1838. Studirte in
Paris. Lehrer der Naturwissenschaften an der
hóhern Realschule zu Elisabetherad...........
‚Bochkolz, C., М. Botanisirte als Civil-Ingenieur
um" Trier )0:..:179 2 coU ER MN
. Dóber, Joh. Geb. 1746; + 1820. Oberst und Di-
rektor des Kadettencorps zu St.-Petersburg aus
Moscau, Charcow, Ekatherinoslaw und Taurien.
Verüfientlichte seine botan. Beobachtungen in
heichs Magazin des Pflanzenreichs und Pallas
neuen nordischen Beiträgen 1793. Seine Pflan-
zen theilte er besonders Willdenow mit. Bóbera
von Willdenow, Lessing п. De Candolle; aus-
serdem Anemi B. von Hoffmann.............
70
180
76.
d.
78.
19
80.
81.
82.
84.
ys aes
Arten zahl.
Boch gern Die oM veolog s.a Fra Aa
Boissier, Edmund. Geb. zu Genf 10 Mai 1810.
Professor der Botanik daselbst. Verfasser der
berühmten Flora orientalis 1867— 1879.— Bois-
siera von Stendel und Hochstetter; ausserdem
wurden noch 9 Arten nach ihm benannt.......
Bolander, A. W. Botanisirte in Norwegen.....
Bolle, Carl. Dr. Geb. zu Berlin 21 Novbr. 1821.
Botanisirte in Deutschland u. auf den canarischen
Inseln. Bearbeitete die Algenvegetation Deutsch-
lands und die Farren der Canaren.—Bollea von
Lote LEE Go up MEAE uL PE M ME Me
Dos: 4a Botanisirte am" Capes. ores 73104
woo OUO LL NEE Lh VER PAPER. BUNS
Bongard, August, Heinrich, Gustav. (Густавъ Пет-
ровпчъ). Geb. zu Bonn 12 Septbr. 1786; + zu
St. Petersburg 25 Aug. 1835. Als Arzt des Fiir-
sten Barjatinski promovirte er zu Marburg zum
Dr. med. am 3 Mai 1817. Seit 1830 Professor
und Mitglied der Kaiserl. Akademie der Wissen-
schaften zu St.-Petersburg. Bearbeite zum Theil
das von Mertens und Postels auf der Erdumseg-
slung 1823—1826 gesammelte Material. Schrieb
9 Abhandlungen u. eine Monographie.—Bongar-
dia von C. A. Meyer; ausserdem Bauhinia D.
von Stendel., Eriocaulon В. von St. Hilaire,
АО von* Wemaiann. 859 Tr s 5...
Borbas, Vince. Geb. zu Nogrod in Ungarn 29
Juli 1844. Professor an der Staatsoberrealschule
zu Pesth. Eifriger Erforscher der Flora Ungarns.
Bordère. Lehrer zu Gédre in den obern Pyre-
naeen. Hat unter Anderem das grosse Verdienst
die einst von Babiani gesehene Dioscorea pyre-
naica wieder aufgefunden zu haben, die einzige
europäische Art dieser Gattung..............
106
25
402
200
91.
JA
93.
94.
95.
96.
97,
Soi
99,
Artenzahl.
_ Бои, D. и... ro 200 ee. UE EEE
. Bosse, J. A. Privatgelehrter in Odessa. Bota-
nisirte in Podolien, Bessarabien und um Odessa.
. Boswall Syme, J. Sammelte in Schottland. Gab
1854 English Botany heraus....... e epe fe > НВ
. Boulay. Abbé und Professor zu Besancon in den
Vogesen. Verdienstvoller Bryolog.............
Bourgeau, Eugen. Sammelte in Spanien u. auf
den canarischen Inseln.—Burgaea u. Astragalus
В стою. COSSOMs ... «ee Ch PE ce eee
Boutelou, Pablo. Geb. 1817; + zu Sevilla 1846.
Ingeniero de Montes in Sevilla.—Bouteloua von
Hornemann u. Lagaseas.. 2004.01. 0.0008
Braig, Elise. + zu Triest 18 Novbr. 1870. Bo-
[anisipte:s dn ; Istrien... ran 2 2... Ve
Brandis, Dietr. Geb. zu Bonn 21 Marz 1824..
Braun, Alexander. Geb. zu Regensburg 10 Mai
1805, + als Professor zu Berlin 29 Marz 1877.
Braunia von Bridel u. Schimper; Sempervivum
В. von Koch... es. оо meals Sola SD EE
Braunstengel. Sammelte in Oestreich.........
Breer. Botanisirte in Frankreich............
DBveidler, J. Botanisirte in Steiermark und
Karntlien. ен ens E deere AME TELS
Breutel, Joh., Christ. Geistlicher in Bertelsdorf
bei Herrnhut. Bekannter Bryolog.—Breutelia von
Bridel u. Schimper. 1... c a > SE eee
Breyn, Jacob. Geb. zu Danzig 14 Jan. 1637, +
ebendaselbst, wo er Kaufmann war, 25 Jan.1697.
Berühmt ist sein Prachtwerk: Exoticarum plan-
tarum centuria 1678.—Breynia von Forster, aus-
serdem Tulipa B. u. Capparis B. von Linne,
Asplenium B. von Retzius, Ranunculus B. von
Crantz u. Guajacum B. von Sprengel.........
50
12
250
12
10
36
— 281 —
ы Artenz ahl.
100. Bridges, Thomas. Botanisirte in America: 1851
in Chili, 1853 in Californien, + 9 Septbr. 1865
auf hoher See, wáhrend einer Reise nach Nica-
ragua.—bridgesia von Hooker u. Bertoloni.....
101. Brinkmann. Bryolog zu Rostock............. 1
102. Brittinger, Christian, Casimir. Geb. 30 April 1795,
+ als Apotheker zu Linz 1859. Bekannt als Bo-
taniker u. Entomolog. Seine Biographie in Oestr.
botan. Zeitung 1860.—Mentha B. von Opiz. . 10
103. “Bromment. Wee. (Pe DIDISUAA EI HEN, 1
104. Втопаейиз. Sammelte in Schweden........... 20
105. Bronikowski. Sammelte in Schweden.......... 1
106. Brosson, P. Botanisirte in Schweden.......... 5
107. Bruch, Phil. + 17 Febr. 1847 als Apotheker zu
Zweibrücken an seinem Geburtstage. Bryolog.—
Bruchia- von. Sehwaegrichen.. #4, 220. 2
108. SHEXINWEIELLES. 227002010. TA LU ERI d. AOI, 2
109. Buchardt, Wilh. Sammelte auf Ruben und in
Neu-Pomiwernic LI 40 SUS te NT,
110. Buchwald. Sammelte in Brandenburg......... 1
111. Buek, Joh. Nicol. Geb. zu Hamburg 8 Aug.
1779, + zu Frankfurt a. О. 30 Jan. 1856, wo er
Apotheker war.—Buekia von Nees; Canna B. von
Weinmann, Orobanche B. von. Koch........... 3
112. .Buhse, Friedr., Alexand. (Феодоръ Александро-
*** вичъ). Geb. zu Riga 18 Novbr. 1821. Studirte
in Dorpat 1840—1842. Dr. Philos. Bereiste
1842—1843 Ober-Italien, Illyrien, Dalmatien und
Montenegro; 1847—1849 den Caucasus und Per-
sien. Einer der Stifter und thätigsten Mitglieder
des Naturforscher Vereines zu Riga. Ihm zu
Ehren. benannt: Rosa B. von Boissier, Orobanche
B. von Reuter, Reseda B. von Müller, Allium
B: ORTES ERBEN. AeA ILE SO, 946
113. Bunge, Alexand. von (Александръ Андреевичъ).
x
114.
115.
116.
117.
118.
LISE
120.
121.
122.
123.
124.
125.
126.
127.
— 98
Artenzahl,
Geb. zu Kiew 24 Septbr. 1803. Anfangs Professor
in Kasan, darauf seit 1835 in Dorpat. Vom Jahre
1833 Mitglied der Kais. Akademie der Wissen-
schaften zu St. Petersburg. Begleitete Ledebour
zum Altai u. durch die soongarische Kirgisen-
steppe 1826—1827; in viel spáteren Jahren be-
reiste er auch Persien in Begleitung von Bie-
nart. Das älteste Mitglied (seit 1824) der Kai-
serl. Naturforscher-Gesellschaft zu Moscau. Lebt
gegenwartig als pensionirter, aber immer noch
wissenschaftlich thätiger Gelehrter zu Dorpat.—
Verfasser von 37 höchst werthvollen Schriften. |
Sein grosses Herbar verkaufte er vor vielen
Jahren an Cosson nach Paris. Bungea von C.
A. Meyer; ausserdem wurden 24 Arten nach ihm
benannt........... see eee eee. bee ee
Burkhard. т 1847. War ete zu Niesky i in ,d
der JLausitz.... kr. laser et а #6
Burle, E. A. Sammelte in der Schweiz. п. или.
Burmeister. Sammelte um Uralsk.......... + Do
** Caflisch, Joh., Friedr. Lehrer in Augsbure..
Calavia, Botanisirte in Spanien............. yu
Caldesi, Ludov. Berühmter Mycolog APT
Campana, Antonio, Geb. zu Ferrara 3 vil
1751, т daselbst als Professor 2 Mai 1833..
CY A. т zu Valsesca 1836. Abbé zu Riva
Bekannter Lichenolog.—Peziza C. von Cesati..
Carlsson, E. Botanisirte in Schweden.........
Carpinski. Sammelte um St. Petersburg.......
Carrington. Dr. englischer Bryolog............
** Caruel, Theodore. Geb. 1830. Seit 1858 Custos
des naturhistorischen Museums zu Florenz; seit
1871 Professor der Botanik zu Pisa.—Unter sei-
128.
129.
130.
131.
132.
— 283 —
Artenzahl.
nen Schriften hat ein ganz besonderes Interesse
seine Flora toscana 1860—1864.—Caruelia von
Pantone tr a я
Casavielo. Botanisirte in Spanien.............
Cesati, Vincenzo, Barone. Professor am National-
kollegium zu Vercelli, darauf von 1868 in Pisa,
gegenwärtig in Neapel.—Berühmter Bryolog.—
Cesatia von Endlicher u. Rabenhorst, ausserdem
Agaricus С. von Rabenhorst, Ricasolia C. von
Massalongo u. Mentha C. von Gandoger.......
Chalon, Jean. Botanisirt in Belgien..........
Chamisso de Boncourt, Adalbert, Ludw., Carl.
von. Geb. auf dem Schlosse Boncourt in der
Champagne 27 Jan. 1781; + als Kustos des bo-
tan. Kabinets zu Berlin 21 Aug. 1838. Emigrirte
mit seinen Eltern 1790 aus Frankreich. War
Page bei der Kónigin nnd Leutenant in preussi-
schen Diensten. Studirte in Berlin 1813—1815
Medicin u. Naturwissenschaften. Machte auf
dem Rurik die Entdeckungsreise unter Kotzebue
1815—1818 mit. Ausgezeichneter Botaniker und
einer der grössten deutschen Lyriker. — Das
reiche auf der Reise gesammelte Material bear-
beitete er mit D. F. L. von Schlechtendal in der
Linnaea unter dem Titel: De plantis in expedi-
tione speculatoria Romanzoffiana observatis 1826—
1836.—Sein Herbarium, aus ungefähr 16,000
Arten bestehend, besitzt die Kaiserl. Akademie
der Wissenschaften zu St. Petersburg, ein kleine-
res befindet sich in Berlin.—Chamissoa von Hum-
boldt u. Bonpland; ausserdem wurden noch 25
Aptent nach abmoslbenanpft.. 53.592993. „aus ern.
Chaubard, Louis, Anastase. Geb. zu Agen 17
Aug. 1785; f zu Paris 13 Jan. 1854. Begleitete
40
319
133.
134.
135.
136.
137.
138.
139.
140.
141.
142.
— 284 —
Artenzahl.
die franzósische Expedition nach Morea.—Chau-
bardia von" Reichenbach wur ae nun. 2 Se
Chauvin, Franc., Joseph. Geb. zu Vive im De-
partement Calvados; Т zu Caen 5 Febr. 1859.—
Algolog.—Chauvinia von Bory, Steudel u. End-
Dchepe ео d tees EEEE
Chavannes, Hermine. Т zu Lausanne im April
1853.— Chavannesia von A. De Candolle.......
Choulette, Sebastian. Geb. zu Toul 1803. Mili-
tair-Apotheker zu Philippoville u. Constantine
insAleier 1859-1858.) me - 1017 x ap
Chrustalew, Peter. Botanisirte vor ungefahr 40
Jahren fleissig im Gouv. Cherson.—Seine Pflanzen
verkaufte er an das ehemaliche Lyceum zu
Odessa. O04 «RL. AS LR HE LIE E
Claus, Carl (Карль Федоровичъ). Geb. zu Dor-
pat 11 Jan. 1796; + ebendaselbst 24 Marz 1864.—
Als Provisor machte er sich schon durch seine
Steppenflora 1817 bekannt. Von Kasan aus, wo
er eine Apotheke griindete, machte er wieder-
holte Exkursionen zwischen Ural und Wolga, so
unter Anderen 1827 mit Profess. Erdmann und
1834 von Dorpat aus mit Profess. Goebel. Von
1839 Professor der Pharmazie in Dorpat.—Clau-
sia von Kornuch-Frotzki; ausserdem Astragalus
C. von C. A. Meyer und Heracleum C. von Le-
debour.. 4515217. „SUR, „WEISE, ID
Claussen, P. Gebiitig aus Danemark. Botanisirte
mehrere Jahre in Brasilien.—Rhus C. von Turcza-
UDIN MOK MOLE UT Rito Bld 0429. DR SSMO MN
Clegero. Sammelte um’s Jahr 1688 in Japan...
Cogniaux, Alfred. Conservator des botan. Gartens
О TRE TL LEURS
Collinder, E. Botanisirte in Schweden....... T
Colomiers. Botanisirte in Frankreich.........
36
36
28
200
143.
144,
145.
146.
147.
148.
149.
150.
151.
152.
153.
154.
155.
— 285 —
Artenzahl.
Coquerray. Botanisirte in Frankreich......... 1
Cordier, F. S. Cordiera von Richard.......... 5
Cosson, Ernest. Geb. zu Paris 1819. Bereiste
1852 die Ufer des mitländischen Meeres und be-
sonders Aleier. Verfasser der Flore des environs
de Paris 1861. Besitzer eines der gróssten Her-
barien.—Cossonia von Durieu, ausserdem Brassica
C. von Boissier u. Reuter, Mentha C. von Gan-
Costa у Cuxart, Antonio, Cypriano, Professor zu
Barcelona. Costia von Willkomm; Pulegium C.
2:00 CINE AL. ЭРО. «5. Am Pelo
Coster, B. S. Sammelte in Schweden.........
Couturier, L. Sammelte in Belgien............
Coyet, A. Botanisirte in Schweden............
Cramer, Carl. Professor am Polytechnicum zu
Zürich. Cranieria Von! Murrap 2...
Crépin, Francois. Geb. 1829. Profess. an der Gar-
tenbauschule zu Gentebrügge in Belgien. Schrieb
Flora Belgiens u. Primitiae monographiae Rosa-
rum. 1874—1876. Rosa C. von Deseglise, Cela-
strophyllum C. von caus Mentha C. von Gan-
Ge SEIN 349. 20900011 IT OW PAR EB
Cruse, Carl, Friedr, Wilh. Geb. zu Mitau 13 Mai
1803; + als Professor zu Königsberg 23 Jan.
1873. Schrieb über Cap-Pflanzen. Crusea von
ChamISSO «e. e.a erento roten he nete ne nete el wa
Csato, Joh.. Gutsbesitzer zu Contza in Ungarn.
Cuming, Hugh. Geb. zu West-Alvington in De-
vonshire 14 Febr. 1791; + zu London 10 Aug.
1865. Hat bis 130,000 getrocknete Pflanzen, be-
sonders aus Süd-Amearika und den Philippinen
zusammengebracht. Cumingia von Don und Kunth;
ausserdem wurden 9 Arten nach ihm benannt..
Curnow. Englischer Bryolog...........
ND ча
50
16
as
Artenzahl.
156. Czegt.. Sammelte. in (Oestreichise) 2. ai 1
157. Czemakowski. Sammelte in der Mongolei...... 4
158. Czernajew, Basilius (Василй МатвЪевичь). Geb.
*** zu Woronesh 1793; + zu Charkow 21 Febr. 1871,
wo er bis 1863 Professor der Botanik war. Der
gründlichste Kenner der ukrainer Flora. Hat
nur 3 botanische Schriften hinterlassn. Sein Her-
bar, ungefähr 15,000 Arten, erbte die Univer-
sitàt Charkow, leider ist. es aber gegenwártig
nicht aufgestellt. Czernajewia von Turczaninow..
159. Czeetz. Botanisirte in Siebenbürgen.............
160. Dahlberg, A. Botanisirte in Schweden........
161. Daldini, A. Kapuzinermónch im Kloster della
Madonna dell Sasso im Canton Tessin. Gelehrter
Mycolog. Lemania D. von Rabenhorst, Aego-
grophila D. von de Notaris etc........... en
162. Dandois, H. Botanisirte in Belgien...........
165. Dabeaux J., Odon. Militairoberapotheker zu Bor-
deux. E eure D. -vonsGreniery 1 sd
164. De Candolle, Auguste, Pyramus, Geb. zu Genf
4 Febr. 1778; 7+ daselbst 9 Septbr. 1841. Lebte
anfangs mehr in Paris, dann in Montpellier u.
zuletzt in Genf, wo er Professor war. Einer der
eróssten u. verdienstvollsten Botaniker. Candollea
von Labillardiére u. Raddi; Decandolia von Bas-
ter; ausserdem wurden 17 Arten nach ihm be-
MAN ctl. do gun Vu us
165. Deracqz. Kapitan. . .2.. sis): ce cases. EE
166. Delastre. Botanisirte in Frankreich. Delastrea von
A-SDercandolle.. ga. :15 21. d RESO EIS.
167. Dela Vigne, Gislain, Francois. Franzósischer
Emigrant. Studirte zu Erlangen und Góttingen.
Vorgänger Czernajews als Professor der Bota-
nik in Charkov, wo auch noch bei der Univer-
sitàt einiges von seinem Herbar vorhanden ist.
170
168.
169.
176.
ITI.
178.
2880 5$
Artenzahl.
Vignea von Palisot de Beauvois, ausserdem Koe-
Лета Do von ‚Czernajew.as,1% ‚ans Auber
Delbos, Joseph. Professor zu Mühlhausen im Elsass
Delile, Alire, Raffeneau. Geb. zu Versailles 23
Jan. 1778; + Montpellier 5 Juli 1850, ais Pro-
fessor. Begleitete Napoieon 1798 nach Egypten.
Delila von Dumortier, Delilia von Sprengel, Li-
laea von Bonpland; ausserdem Orobanche D. von
Поп я: x03. НС. застоя
. Delongchamp, J. S. A. Dr. med. Verfasser einer
Flora gallica 1806. Longchampia von Willdenow
| AE ORM CME NEE MAR SUR CRIME OAS
Deppe. Sammelte in Nord-America. Deppea von
Chamisso u. Schlechtendal; ausserdem wurden 8
Antenunbel ihm: benannt: ..5i- SM. LIRE, али,
Déséglise, Alfred. Lebt in Belgien. Hat sich beson-
ders mit den Rosen Süd-Europas, Asiens u. Afri-
kas beschäftigt; schrieb unter Anderen: du genre
Toss ORT E Sy Зое 3 ER ise eto.
Detharding, Georg, Gustav. Geb. zu Rostock 22
Juni 1765; + daselbst 1838. Dr. med. und prak-
tischer Arzt zu Warnemünde. Botanisirte vorzüg-
lich in Meklenburg und Holstein. Dethardingia
а avete coim ocn ttes НЫ ДЕ
Devaux, Augustin, Nicaise. Geb. zu Poitiers 21
Aug. 1781; + in der Nähe von Angers 12 Juli
1856. War seit 1817 Director des botan. Gar-
tens zu Angers. Er soll ein Herbar von 40,000
Arten besessen haben? Devauxia von Poiret....
Devos, Andr. Geb. zu Champlon 1829. Lehrer
an der Ecole moyenne zu Namur in Belgien...
Dierbach, Joh,, Heinr. Geb. zu Heidelberg 23
März 1788; + daselbst als Professor der Medi-
6
19
95
20
14
bo
22
179.
— 288 —
Artenzahl.
cin, Pharmakologie und Botanik 9 Mai 1845.
Dierbachia. von. Sprengebes ae 2 Se
Dieudonné, Oscar, Baron de. Geb. auf dem Schlos-
** se Corbeck-Loo in Belgien, wo er auch gegen-
180.
Joker
181.
182.
183.
184.
185.
186.
187.
188.
189.
wärtig lebt. Dr. scientiar. natural.............
Döngingk, Alexand. (Александръ Давидовичъ).
Geb. zu Riga. Gründer und von 1835 —1877 Di-
rektor des botanischen и. landwirthschaftlichen
Gartens zu Kischinew, zog verabschiedet nach
Elisabethpol in den Caucassus. Seit 1875 Mitglied
der Kais. Akademie der Wissenschaften für Meteo-
rologie........-5.. eve Y ne o cc HERE
Dolliner, Georg. Geb. zu Ratschach in Krain 11
April 1794; + als praktischer Arzt zu Idria 16
April 1872. Hatte in Wien seine Studien ge-
macht. Sein Herbar vermachte er dem Krain-
schen Landes-Museum. Dollinera von Sauter....
Dora Муссо Saa S RU LED RE
Dreesen, Peter. Bryolog in Bonn..............
Dufour, Léon. Geb. 1779; + zu Saint Sever 18 April
1865. Ausgezeichneter Arzt und Naturforcher.
Dufourea von Humboldt, Bory und Grenier.....
Dupuis. Gelehrter Gartner in Paris, machte mit
Vahl mehrere neue Pflanzen bekannt. Dupuisea
yon. Richard... sess Woe ane Ie 6
Dupuy Dominique, Geb. zu Lectaure 1818. Abbé
und Professor des Seminarii Auscitani
Durando, Cajetan. Leutenant in Caraglio, Sam-
melte: movAÍfrieai.. 213.221. 0298900 DOCE
Dwrando-Duquesney, Don Gada Apotheker und
Direktor des Acclimatisations-Gartens in Algier.
Durandea von Delarbre; ausserdem Chloris D.
vonS SURUITES) s EL LULU, SORS IDEE
Durieu de Maisonneuve, Mich., Charl. Geb. 1796;
f zu Bordeaux 20 Febr. 1878, als Direktor des
18
758
300
11
24
12
190.
291.
192.
193.
194.
195.
— 289 —
Artenzahl.
boten. Gartens daselbst. Duriena von Merat u.
BOSSER Le ot Bah ot ahh NOD. OT. M.
Dusla Carl. Sammelte in Schweden...........
Duval-Jouve, Joseph. Geb. zu Boissy-Lamberville
1810. Inspektor der Akademie zu Strassburg.
Botanisirte 1853—1854 in Algier. Duvalia von
NeeSs OT DEUS JUAN RER RP SDR, DEN
Ecklon, Christ., Friedr. Geb. zu Apenrode bei
Hamburg 17 Decembr. 1795; + zu Captown im
Decembr. 1868. Bereiste das südliche Africa
1829—1833 im Auftrage des würtembergschen
Reisevereins mit Carl Zeyher. Ecklonia von Steu-
del; ausserdem wurden noch 31 Arten nach ihm
ЕТ Л hee ime omen AUD, DDR
Egerström. Botanisirte in Schweden...........
Ehrenberg, Christian, Gottfried. Geb. zu De-
litzsch in Sachsen 19 April 1795; + zu Berlin
als geheimer Medicinalrath u. Professor. Studirte
1815—1817 in Leipzig u. Berlin zuerst Theolo-
gie, dann aber Medicin und Naturwissenschaften.
Promovirte 1818 zum Dr. med. mit seiner Dis-
sertation: Sylvae mycologicae berolinenses. Be-
reiste 1820— 1826, anfangs mit seinem Freunde
Hemprich, welcher jedoch schon 1823 starb
Egypten und Nubien. Zurückgekehrt wurde er
Professor der Medicin zu Berlin. Im Jahre 1829
machte er seine zweite grosse Reise mit Alex.
von Humboldt und Gustav Rose durch Russland
u. Sibirien bis an den Altai. Als bis dahin gröss-
ter Beobachter der Mikroorganismen, wurde er
auch der wissenschaftliche Begründer der Infuso-
rienkunde. Ehrenbergia von Sprengel und Mar-
tius; ausserdem Canna E. von Bouché, Euphorbia
E. von Sweet, Acacia E. von Hayne, Lupinus
20
— 290 —
Artenzahl.
E. u. Wedelia E. von Schlechtendal, Indigophora
von ^steudel.... MMM te PEE 2
196. *** Eichwald, Eduard von. Geb. zu Mitau 4 Juli
1794; + zu St. Petersburg 20 Novbr. 1876. Stu-
dirte 1814—1817 in Berlin. Bereiste darauf
Deutschland, die Schweiz, Frankreich, England
und kehrte 1819 nach Russland zuruck, wo er am
18-ten Mai in Vilna mit seiner Dissertation: de
Selachis Aristotelis zum Dr. med. promovirte.—
Von 1821—1823 Privatdocent in Dorpat; 1823—
1828 Professor der Entbindungskunde und Zoo-
logie zu Kasan; von dort aus unternahm er sei-
ne berühmte Reise 1826—1827 nach dem kas-
pischen Meere und dem Caucasus. Wurde 1826
Mitglied der Kais. Akademie der Wissenschaften
zu St. Petersburg.—1$828 ging er nach Vilna, wo
er als Professor der Zoologie und Mineralogie
bis 1837 wirkte. Von hier aus unternahm er
1829 seine für die Wissenschaft wichtige Reise
durch die südwestlichen Provinzen Russlands,
darauf besuchte er Deutschland, Italien und Hol-
land. —Vom Jahre 1837—1851 war er Professor
der Zoologie, Mineralogie u. Geologie bei der
Kais. Medico-Chirurgischen Academie zu St. Pe-
tersburg, wo auch der Verfasser dieses Berichtes
1841—1843 sein Zuhörer war. In diese Periode
fallen seine bekannten Reisen durch Estland,
Livland, Nowgorod u. Moscau, wiederholte Rei-
sen ins Ausland, unter Anderem nach Schweden
u. Algier.—Seit 1851 Prof. emerit.—Feierte 1869
sein 50—jähriges Doktorjubiläum, welches in
den Schriften der Kais. mineralogischen Gesell-
schaft zu St. Petersburg 1870 von mir geschil-
dert worden ist.—E. hat 8, meist mehrbändige
Werke u. 66 Abhandlnngen veröffentlicht. —Eich-
M LU eee
; je Artenzahl.
waldia vou Ledebour, auch erhielt eine fossile
Thiergattung diesen Namen von Billings, einem
ausgezeichneten Paläontologen Canada's; ausser-
dem wurden noch 35 verschiedene lebende u.
fossile Thiere u. Pflanzen mit seinem Namen
beehrt; zu den lebenden Pflanzen gehóren: Am-
modendron E. von Ledebour, Zygophyllum E.
von C. A. Meyer; Heliotropium E. von Steudel,
HelehusnmuE.:: von. "Вазы er a. 200
197. Eichwald, Karl. Geb. zu Mitau 19 Jan. 1824;
*** + 1854 während des Krieges als Militairarzt in
Sevastopol am Typhus. Studirte in St.-Petersburg
1841—1846 Medicin.—Neffe des Vorigen..... an
198. Ekelon, C. J. Botanisirte in Schweden......... 1
199. Ekmann, S. E. Botanisirte in Schweden....... 2
200. Ве РЕ . 23450 oom TRO Mna. 14 al: 1
201. Endress, Philipp., Anton. Christoph. Geb. zu Lu-
stenau bei Ellwangen 21 Septb. 1806; + zu Stras-
burg 9 Decembr. 1831.—Apotheker und Mitglied
des Esslinger Reisevereins. Botanisirte in Frank-
reich und Spanien.—Endressia von Gay; Centau-
reg «E: vol! Hochstetter ju. Steudel.-. 2:5... 10
202. Engström, B. A. Sammelte in Schweden...... 2
203. Eschscholtz, Joh. Friedr. Geb. zu Dorpat 1 No-
vembr. 1793; + daselbst am Nervenfieber 7 Mai
1831. Studirte in Dorpat 1813—1815. Begleitete
Otto v. Kotzebue auf seinen beiden Erdumsege-
lungen: 1815—1817 als Arzt und 1823— 1826
als Naturforscher. Wurde, nachdem er von
seiner ersten Reise zurückgekehrt, Professor der
Medicin und Direktor des zoologischen Kabinets
zu Dorpat, welches auch seine von der heise
mitgebrachten Mineralien erhielt.—Sein Herba-
rium, ungefihr 1300 Arten, in 15,000 Exempla-
ren, kaufte 1825 der Kaiserl. botan. Garten zu
79,99 04
Artenzahl.
St. Petersburg für 5000 Rub. B.—E. war mehr
Entomolog als Botaniker. Seine reiche Insekten-
sammlung mag sich auch, wenigstens theilweise,
bei der Universität Dorpat hefinden.— Eschscholt-
zia von Chamisso; ausserdem Claytonia E., Lis-
tera E. Hippuris E., Saxifraga E. von Cha-
misso; Arabis E. Cardamine E. von Andrze-
jowski; Loranthus E. von Martius; Ranunculus
E. von Schlechtendal; Veratrum Е. von Gray;
Stelaria BE; von Ве. и. 393 lu mn 530
204. Ewers, Joseph, Philipp, Gustav. Geb. zu Amclun-
xen im Bisthum Corvey 4 Juli 1781; + zu Dor-
pat 8 Novbr. 1830. Studirte 1799—1803 in Göt-
tingen anfangs Theologie, dann Staatswissen-
schaften. 1803 Hauslehrerin Livland, 1808 be-
gleitete.er seine Zóglinge nach Moscau, wo er
unter Karamsin's Leitung die alte russische Ge-
schichte studirte.—1810 Professor der Geographie,
Statistik und Geschichte bei der Universitat Dor-
pat. Seit 1818 eine lange Reihe von Jahren Rek-
tor der Universität. 1826 übernahm er das Ka-
theder für Staats— und Völkerrecht. Wurde 1809
Mitglied der Akademie der Wissenschaften zu
St. Petersburg u. 1826 deren Ehrenmitglied.—
sedum, E. von Ledebour: 0288 0? 30.1.4. oe 2
205. Fabre, Henri. Geb. zu St. Leon 1823. Profess,
ZUSANIENON.. MOULE SR UNE ПВА. 1
206. Fabry, Johann. Geb. zu Lassong im Neograder
Comitate Ungarns 1803.—Profess. zu Romas-
ZOMG AIT Иллирии. BOUE TEE 1
207. Falk, Carl, Martin, Alfred, Emanuel. Geb. zu
Gladsax 30 Oktobr. 1784; + zu Lund 3 Jan. 1871.
Botanisirte in Schweden u Norwegen.......... 40
208. Favrat, L. Botanisirt in der Schweiz.......... 23
209. Fedischenko, Olga, die rühmliche Begleiterin
a
Artenzahl.
ihres Mannes P. F. auf den beschwerlichen und
gefährlichen Reisen durch Turkestan 1868—1871.
Das Material bearbeitete Regel 1873—1880....
210. Fellmann, Nils, lsak. Botanisirte im russischen
211:
Lappland und um Kola. Sehrieb: Plantae vas-
culares in Lapponia orientali collectae 1864—
СО oL RR LV pu
Fenzl, Eduard. Geb. zu Krummnussbaum an der
*** Donau 15 Febr. 1808; + zu Wien 17 Septbr.
213.
214.
215.
216.
217.
218
1879, wo er Direktor des botan. Gartens u. Ka-
binets war. Rühmlicher Mitarbeiter an Ledebours
Flora rossica.— Fenzlia von Endlicher u. Bentham,
ausserdem Stellaria F. u. Peperomia F. von
Besse. von Steudel mp 4 Pa ir.
Ferrari, P. Lychenolog u. Myeolog...........
Meee asson, zu. Burgweida jS eee. oes ele ory.
Fiedler, Bernh. + zu Dónitz 3 Juni 1868.—Dr.
med.—Hat die Cryptogamen-Flora Meklenburg’s
untersucht.—Fiedleria von Reichenbach u. Ra-
Me o isn no a d a d EER
Fincke. Apotheker zu Oppeln in Schlesien.—
Hingieear moms Ilotzsch... EN BEE ви:
Fircket, Chr
* Fischer, Ferdin., Ernst, Ludw. (Федоръ Богда-
HoBHus). Geb. zu Halberstadt 20 Febr. 1782; + zu
St. Petersburg 17 Juni 1854.—Studirte in Halle.—
Dr. med. u. Direktor des Razumofskischen Gar-
tens zu Gorenki.—1812 Profess. adj. in Moscau.
Von 1823 Direktor des Kais. botan. Gartens zu
St. Petersburg; wurde ungerechter Weise 1850
seines Amtes entsetzt, weil er Missbräuche beim
Bau des erossen Palmenhauses aufgedeckt hatte.—
Von ihm sind 46 Schriften gedruckt.—Sein rei-
ches Herbar, gegen 60,000 Arten enthaltend,
besitzt seit 1855 der Kais. botan. Garten zu St.
Л 4. 1884. 19
10
18
12
Artenzahl.
Petersburg.—Fischera von Sprengel u. Swartz;
Fischeria von De Candolle; ausserdem wurden
40; Arten nach ihm benannte 2... 22 zi MD
219. Fischer, H. Apotheker in Oestreich........... i"
290. * Fischer von Waldheim, Alexander (Александръ
221
Александровичъ). Gegenwärtig Professor der
Botanik in Warschau. Verdienstvoller Mykolog u.
Bryolog. Schriek 20 botan. Abhandlungen, auch
eine Florula bryologica mosquensis 1864...... 2
.* Fleischer, Joh., Gottlieb. Geb. zu Mitau 15 Oktbr.
1797; + ebendaselbst an Phthisis pulmonum 22
April 1838. Studirte in Dorpat 1817—1821. Pro-
movirte zum Dr. med. 9 Mai 1822. Bearbeitete
mit seinem Freunde Emanuel Lindemann die
Flora der Ostseeprovinzen. Sein Herbar, ungefáhr
7000 Arten, wird im Museum zu Mitau аа е- -
MCLE Ol PONT ER uolo 3000
222. i HRORES EMMA. cl victum RRR ей i
223. * Forestier, G. von. War Sekretär bei der Univer-
Sitat DOPDAb. . 02e cose) bee RD SR 1
224. Forster, Joh., Georg, Adam. Geb. zu Nassenhu-
224
225
ben bei Danzig 26 Novbr. 1754; + zu Paris am
Schiagilusse 11 Jan. 1794. Folete 1765 seinem
Vater Johann Reinhold F. nach Saratow, Peters-
burg u. London.—1771—1775 begleitete er mit
seinem Vater Cook auf der Erdumsegelung.—
1779—1784 Lehrer der Naturwissenschaften an
der Ritteracademie zu Kassel.—1784—1785 Pro-
fess. der Naturgeschichte zu Vilna.—1788 Pro-
fess. u. Bibliothekar beim Kurfürsten zu Mainz,
Ausgezeichneter Kenner der orientalischen Spra-
chen.—Forstera von Linné fil u. Gärtner; aus-
serdem wurden 15 Arten nach ihm benannt.... 4
« ossa EE eed LOBO OE. Seal et S ET 1
. Fournier, Eug. Dr. med. Géneral-Secretair de
226.
221.
228.
229.
230.
231.
232.
233.
234.
235.
236.
LUN —
Arteuzahl.
la Société botanique de France, Schrieb unter
Anderem, über Farne und Gräser Mexico's.....
Franqueville, Albert, Comte de Fécamp bei
Pau in Frankreich. Botanisirte in Abyssinien;
Franquevillea avon: Salisbur a 2 NP in.
Franzoni, A. Advokat im Canton Tessin
eeceee €
Fyeyer, .Нешг.. Geb. zu Idria 7 Таш 1802; + zu
Triest 1866. Custos des Museums zu Laibach.
Prevenaumonmiveichenbach us «c emi). don
Freyn, Joseph. Geb. zu Prag. 7 Decembr. 1845.
Ingenieur zu Pola in Istrien. Schrieb eine Flora
Xr UM T DIEN LA . NR ar N
peck imammelte. im ' Caucasus. 915.2222, 52...
Friedricksson. Sammelte in Schweden.........
Fries, Elias, Magnus. Geb. auf der Pfarre Fem-
sjó in Smoland 15 Aug. 1794; + zu Upsala 8
Febr. 1878.—1814 Docent, 1824 Professor der
Botanik, 1834 Professor der praktischen Okono-
mie, 1851 Direktor des botan. Museums u. botan.
Gartens der Universitit Upsala. Grosser Myco-
log u. ausgezeichneter Redner in schwedischer u.
lateinischer Sprache. Friesia von Sprengel u. De
Candolle; Friesea von Reichenbach; ausserdem
Stellaria F. von Seringe, Statice F. u. Potamoge-
tomb duoenmtiuyrechto tete. EI их.
Fristedt, Robert. Professor in Upsala Bryolog.
Fritze, В. Apotheker zu Rubrik in Siebenbür-
gen. Botanisirte in Schlesien, Polen, Bohmen,
Spanien etc. Hieracium F. von F. Schultz.....
Fritzche, Carl. Julius, Philpp. Geb. zu Neustadt
* in Sachsen 29 Oktbr. 1808; T zu Dresden 28 Juni
1871. 1829 Apotheker u. 1833 Lehrer in Berlin.
Seit 1853 Mitgiied der Kais. Akademie der Wis-
senschaften zu St. Pétersburg. Bekannt durch
oF
60
40
90
10
14
50
237.
238.
239.
240.
241.
244.
MEC e
Artenzahl.
seine Werke über den Pollen u. über Campher
ete. Fritzschia von; Ghamissqr i 5. cor as
Froelich, Joh., Aloys von. Geb. zu Oberndorf im
Algau 19 Marz 1766; T zu Ellwangen 11 Marz
1841. Medicinalrath zu Ellwangen. Bearbeitete die
Gattungen Hieracium u. Gentiana. Froelichia von
Mönch u. Vahl; ausserdem wurden noch mehrere
Axten nach ihm, benannt? а. 20999 - c an eee
Fuckel, Leopold. Geb. zu Okriftet bei Hatters-
heim in Nassau; + zu Ostrich im Rheingan 8
Mai 1876. Bekannter Mycolog. Schrieb auch eine
ога Nassau'g.. о. Le AO Bee. HERR
Funck, Heinr., Christian. Geb. 1771; + zu Gefress
bei Baireuth als Apotheker 14 April 1839. Aus-
gezeichneter Bryolog. Sammelte besonders in Ty-
rol u. im Fichtelgebirge. Sein Cryptogamen-Her-
bar wird im Nationalmuseum zu Tyrol aufbe-
wahre. Euunekia. von Deunstadt ni... 3 2
Funk. Sammelte in. Spanien ae... „ae :
Fürnrohr, Aug., Emanuel. Geb. zu Regensburg
27 Juni 1804; + ebendaselbst 6 Mai 1861. Stu-
dirte 1824—1826 zu Erlangen. 1880 Provisor
in der Goldbachschen Apotheke. Spáter Professor
am Lyceum, Direktor des botan. Gartens u. Pra-
sident der botan. Gesellschaft zu Regensburg. Von
1843—1861 Redaktor der botan. Zeitschrift , Flo-
2a. Rürnrohria von Co Кос
Fürstenwärther, I. Baron von. Botanisirte in
DMM. berlin. el ABS
. Fuss Joh., Mich. Geb. zu Hermanstadt 4 Oktbr.
1814. Pfarrer zu Girelsau in Siebenbürgen. Hie-
racmm By yon-P..Schultz. 2.51 Bean 5
Gagliard?, Abbé und Professor in Domo dosolla.
BekanntenBrylog 2.1.6520. oh sn BUS NS
28
3T
13
245.
246.
247.
248.
249.
250.
251.
252.
253.
254.
255.
256.
257.
— 297 —
Artenzahl,
Gander. Botanisirte in Tyrol.—Viola G. von Haus-
meum M A LU. Le alle el ;
Gariod. Botanisirte in Belgien u. in den Alpen
Gayer. Professor zu Aschaffenburg. Bryolog....
Gebler, Friedr., August. Geb. zu Zeulenroda
(Reuss-Greiz) 15 Decembr. 1782; 4 zu Barnaul
in Sibirien als Oberarzt der Kolywanschen Hüt-
tenwerke 21 März 1850. Seit 1832 Mitglied der
Kais. Akademie der Wissenschaften zu St. Peters-
burg. Ausgezeichneter Entomolog. Sein Herbar
kaufte 1825 der Kais. botan. Garten zu St. Pe-
tersburg. Geblera von Fischer u. Meyer; ausser-
dem wurden noch 14 Arten nach ihm benannt..
Geheeb, Adelbert. Geb. zu Geissa im Sachsen-
М Ват Лет Bryaloe.),a ERS ee sss.
Gennari, Patrizio. Professor an der от
muss Sardinien... Ye „Bis. ni,
Georgi, Joh., Gottlieb. Geb. zu Wachholzhagen
in Pommern 31 Decembr. 1729; + zu St. Peters-
burg 27 Oktbr. 1802. Bereiste 1770—1774 Russ-
land u. Sibirien. Georgia von Sprengel; Geor-
einer vonsaMdlldenow 15 T - Hi mn al. an:
Gerard, Louis. Geb. zu Cotignac in Frankreich
1733; T ebendaselbst als praktischer Arzt 1819.
Schrieb eine Flora gallico-provincialis 1761. Ge-
rardia von Linné; ausserdem wurden 14 Arten
DAC WENA pss sos с р АО
Gerecke. Gartenmeister zu Kónigsberg.........
Gersdorf, Baron von. Botanisirte in Persien....
Gibelli, Guiseppe. Professor zu Pavia. Mycolog.
Gilbert. Botanisirte in Belgien................
Girtanner, Christoph. Geb. zu St. Gallen 26
Oktobr. 1760; + zu Góttingen 17 Mai 1800. Stu-
dirte in Góttingen Medicin, promovirte zum Dr.
med. 1788. Bereiste Deutschland, Schweiz, Frank-
4
30
1
17
26
эн»
| pi
258.
259.
: 260.
261.
262.
— 298 —
Artenzabl..
reich u. England. Liess sich 1790 in Göttingen
nieder. Bescháftigte sich wenig mit der ärztli-
chen Praxis, war aber tüchtiger medicinischer
Schriftsteller u. deutscher Historiker. Girtannera
Vou Necker is. 31)... JU re ОЕ
Glehn, Peter (Петръ Петровичъь). т Custos des
Herbars am Kais. botan. Garten zu St. Pétersburg.
Begleitete die sibirische Expedition im Auftrage
der Kais. Geographisshen Gesellschaft 1859—1862.
воза С. топ Schmidt ea... она. LULA
Gmelin, Johann, Georg. Geb. zu Tübingen 12
Juni 1709; + ebendaselbst 20 Mai 1755. Nachdem
er auf der Universitat seiner Vaterstadt seine Stu-
dien vollendet, ging er mit seinen Lehrern Bil-
singer u. Duvernoy nach Pétersburg, wo er Mit-
glied der Academie der Wissenschaften u. 1731
Professor ord. der Chemie und Naturgeschichte
wurde. Bereiste 1733—1743 in Begleitung des.
Geographen Delisle, Historikers Müller, Kapitàns
Behring etc. Sibirien, u. machte dabei für die
Wissenschaften höchst wichtige Beobachtungen.
1743 kehrte er nach Tübingen zurück wo er
Professor der Chemie u. Botanik bis an sein Le-
bensende war. Berühmt ist seine Flora sibirica
in 4 Theilen 1749—1769. Gmelinia von Linné;
ausserdem wurden noch 59 Arten nach ihm be-
Dann. Go is wesw lo ek. lad). N NS
Molen2,. ec SRA EE COURIER ae
Gomez, Bernardino, Antonio. Geb. zu Arcor 1769;
T zu Lissabon 13 Jan. 1823. Dr. med. Leibarzt
der Kónigin von Portugal. Gomezia von Robert
Brownie. fe we 229€ 2.309 EDITT
Góppert, Heinrich, Robert. Geb. zu Sprottau ia
* Nieder-Schlesien 25 Juli 1800; t zu Breslau
1879. 1816—1821 Pharmazeut zu Sprottau und
20
263.
264.
265.
266.
267.
268.
269.
270.
271.
272.
i «dU C. y
Artenzahl.
Neisse. Studirte 1821—1825 zu Breslau Medicin.
1826 praktischer Arzt zu Breslau, 1827 Privat-
docent u. 1831 Professor der Medicin u. Bota-
nik, wie auch Conservator des botan. Gartens zu
Breslau. Berühmter Palàontolog, den man auch
den «Bernstein-Góppert» zu nennen pflegte. Góp-
pertia von Nees u. Sternberg; Betula G. von
И 1e ВАА LLES hs N NN
Gorski. Stanisl.; Batys. + zu Polesje im Swecimer
Kreise 3 April 1864. Lithauscher Botaniker u.
Entomolog. Direktor des botan. Gartens zu Vil-
na. Seine Arbeiten benutzte Eichwald in seiner
Naturhistorischen Skizze von Lithauen etc. 1830.
Tragopogon G. von Reichenbach..............
Goth, J. Sammelte in Siebenbiirgen...........
n uen, VOUS SS ANA Sl.
Graf, Ferdinand Botanisirte in Steiermark.....
Graf, Sigismund. Geb. zu Laibach 23 Juli 1801;
+ daselbst 3 Septbr. 1838. Dr. med. et chem.
Apotheker zu Laibach. Botanisirte vorzüglich um
GratGrana von Reichenbaehl.. v... 12. 2...
Graff, von. T. Gelehrter Forstmeister in Ekathe-
mnusidwatsipdoG. won Steven. IN. are...
CAE OS PER N IR N a San.
Gravat, Bryolog in Belgien. Plagiothecium G.
VOR IDEE UNE. De UT ER
Gremblich, Julius. Dr. Sammelte in Tyrol......
Grenier, Charl., Jean, Marie. Geb. zu Besancon
1808; 7 daselbst 9 Novbr. 1875 als Professor der
Botanik. Verfasser der Flore de France 1847—
1856.— Greniera von Gay; ausserdem Lamium G.
von Mutel; Cerastium G. u. Orabanche G. von
о imeem is dus m. SPIRE! LEUR
.* Grey. William. + ungefähr 1858 zu St. Peters-
burg als Obergürtner des taurischen Gartens.
co ho ho
50
14
100
274.
275.
276.
277.
278.
289.
280.
281.
282.
MEC ee
Artenzahl.
Seine schóne Insekten Sammlung vermachte er
der entomologischen Gesellschaft zu St. Peters-
Due LULU, ot ere с
Gries, Jacob. Botanisirte in der Schweiz u. Tyrol.
Grinal. Sigismund. Botanisirte in Ungarn......
Grönwall, T. A. L. Sammelte in Schweden.....
Groh. ‘Apotheker: in Sachsenz..2.... . 2:2: 90298
Groschke, Johann, Gottlieb. Geb. zu Tuckum in
Kurland 30 Aug. 1760; + zu Mitau 20 Marz 1828.
Studirte in Berlin u. Góttingen 1778—1780. Von
hier aus lernte er S. Th. Sömmering u. G. For-
ster kennen, die beide damals in Kassel lebten.
Promovirte 1 Mai 1784 zum Dr. med. et chir.
Ging dann nach Holland, Frankreich und England,
wo er in London bis zum Ende des Jahres 1785
die medicinische Praxis ausübte. Von 1786—1788
machte er Nachstudien in Edinburgh und besuch-
te damals die schottischen Hochlande und die
Hebriden.—Am Ende des Jahres 1788 kehrte er
nach Kurland zurück, wo er bis an sein Lebensende
die Professur für Physik u. Naturwissenschaften
am damaligen akademischen, spáteren Gymna-
sium illustre zu Mitau bekleidete. Von 1791—
1795 war er auch gleichzeitig Hofarzt des letz-
ten Herzogs von Kurland (Peter Byron).—Seine
reiche Mineralien-Sammlung u. sein Herbar, aus
ungefähr 1000 Arten bestehend, werden im
Gymnasium zu Mitau aufbewahrt.............
Groves..sammelte: in ! Italien. OPERA 2a
Grzegorczek, Adelbert. Dr. Botanisirt in Ungarn.
Guding. Botanisirte in der Schweiz...... SE
Günther, Johann, Christian. + zu Breslau als
Medicinalassessor 18 Jun. 1833.—Günthera von
Sprengel; Güntheria von Andrzejowski u. Trevi-
150
20
Am
126
283.
284.
285.
286.
287.
288.
289.
290.
29.
292.
293.
294.
295.
— $01 —
ranus; ausserdem Potentila С. von Pohl.......
Guepin, Jean, Pierre. Geb. zu Angers 1779; +
daselbst als Arzt und Professor 11 Febr. 1858.
Verfasser der Flore de Maire et Loire. 1830.—
Guepina von Bastard; Guepinia von Fries......
Gowillon, A. Botanisirte in Frankreich.........
Guirao, Don Angelo. Direktor dell’Instituto zu
Mina тн оао 0 ERE TRE
Gullbrandson, V. Botanisirte in Schweden.....
Gundelsheimer, Andreas von. Geb. zu Feucht-
wangen 1668; T zu Stettin 17 Juni 1715. Be-
reiste Italien, praktisirte dann als Arzt in Paris
u. begleitete den berühmten Tournefort nach der
Levante. Nach seiner Rückkehr diente er als Arzt
bei den Armeen in Piemont und Brabant, und
wurde 1713 als erster Kónigl. Leibarzt nach
Berlin berufen. —Gundelsheimera von Cassini; aus-
seudenZiphora G::von €. Rock... 02.21
Haesendonk, L. Botanisirt in Belgien. Eine Cen-
taurea H. wurde nach ihm benannt...........
** Halaszy, Eugen. Dr. med. Praktischer Arzt in
MEIN AU ob rd amado ЛИ.
И JIX EEE.
Hampe, Ernst. Geb. zn Fürstenberg an der We-
ser 5 Juli 1795; + zu Helmstádt 23 Novbr.
1880.—Apotheker zu Blankenburg im Harz. Fei-
erte am 5-ten Oktobr. 1859 sein 50—jähriges
Jubilàum als Pharmaceut. Besass ein Moosher-
bar von nahe an 4000 Arten.--Hampea von
Schleehtenal tn Nee. 7:118 LIP EID...
Hamstróm, Coss. Sammelte in Schweden......
Hanry, H. Botanisirt in Frankreich und Algier.—
Ото НИ мой IDR пи. HE
Hans, Wa Herrnhüter 29. 1: 22 EV
Artenzahl.
34
877
296.
297.
298.
299.
300.
301.
302.
Artenzahl.
Ноу, А. Botanisirte ny ПРО. ea 21
HELGA OG eke son se. ct MANIP S edle o IDE 1
Hausmann, Franz, Baron von. Geb. 1810; + 5
Aug. 1878 zu Botzen. Schrieb eine Flora Ty-
rol’s.—Hausmannia von Dunker; ausserdem An-
drosace H. von Leybold, Saxifraga H. von Ker- '
ner, Verbascum H. von Celakowski, Jnula H. von
Haussknecht, Carl. Magister u. Professor der
Pharmacie zu Weimar. Bereiste den Orient. —
Asplenium H. von Godet u. Reuter, Galeopsis
H. von Ludwig, Pilostylis H. von Guillemain,
Heliotropium, H.. von Bungee. o2. else 2
Haynald, Ludwig von. Geb. zu Szécsény im Ne-
ograder Comitate 3 Oktbr. 1716. Dr. Theol. War
Erzbischof von Kalocza, gegenwärtig Cardinal. Ei-
friger Botaniker. Sein reiches Herbar enthält
unter Anderem die wichtigen Sammlungen von
Henfiel, Kotschy u. Schott.—Haynaldia von Ka-
nitz; ausserdem wurden auch einige Arten nach
ihm benannt, z. B. Athamantha von Borbas u
[ОА о ete RC Co ERE
Hazslinzki, Friedr., A. Geb. zu Kesmark 6 p
1818. Professor am evangelischen Collegium zu
Bperies im Unsarne Au... Be ks bu qe
Heer, Oswald. Geb. zu Niederuzwyl im Canton
Gallen 31 Aug. 1809. Professor der Theologie in
Zürich. Schrieb mehrere Florae fossiles.—Heeria
von Meissner u. Schlechtendal; ausserdem Bia-
tora H. von Hegetschweiler, Salvia H. von Re-
gel u. die von ihm 1826 entdeckte (Aretia) An-
drosace H. von Hegetschweiler, von welcher nur
drei Sammlungen, die von Siegfried in Zürich,
die von Reichenbach in Hamburg u. die meinige
Exemplare besitzen .sollen..:185 - 1439 au
18
12
303.
304,
305.
306.
307.
308.
309.
310.
311.
312.
313.
314.
Artenzahl.
Tienes ner. nt ЛА, 2
Heiland ee o eae be rn er 9
Heldreich, Theodor von. Professor und Direktor
des botan. Gartens zu Athen.—Heldreichia von
Boissier; ausserdem sind mehrere ärten ven Bois-
sier u. Orphanides nach ihm benannt.........
Henning, Johannes (Иванъ Ивановичъ). Studirte
in Dorpat 1829—1832. Vicedirektor der Garten-
baugesellschaft zu Moskau. Sammelte vorziiglich
um Moskau u. am Don.—Henningia von Karelin
u. Kirilow, ausserdem Trinia H. von Hoffmann,
area von, Goldbach... a sei
Hepp, Philipp. Geb. 1799; + zu Frankfurt a.M. 5
Febr. 1867. Arzt zu Neustadt an der Haardt bei
Zürich. Berühmter Lichenolog. Sein Herbar um-
fasste 180 Pakete. Henria von Naegeli........
Hepperger, Carl von. Sammelte in Tyrol.......
Herminier. Dr. Bryolog zu Gouadeloupe.—Her-
miniera von Guillemain u. Perrottet...........
Herrnkohl. Botanisirte in Cleve..............
Bienen ta SL idR MEL UL s ddiset er:
Heufler, Joh. Physicus zu Lugos im Banat.....
Heufler. Micolog zu Insbruck................
315. *** Heugel, C. A. Apotheker in Riga. Hat sich
316.
317.
318.
319.
rühmlichst mit den Chenopodiaceen beschäftigt
u. 19 botan. Abhandlungen geschrieben........
Heuser, Emilie. Herrnhuterin. Sammelte in Nord-
America in der Umgegend von Novo Eboraco..
Hillmann, Richard. Botanisirte in Schweden...
Hilse. Botanisirte um Gross-Landau..........
Hinterhuber, Rudolph, Geb. zu Stein bei Krems
1802. Apotheker zu Mondsee unweit Salzburg.—
Hinterhubera von Schultz-Bipont..............
40
300
40
320.
321.
322.
323.
324.
a За
Artenzahl.
Hladnik, Franz. Geb. zu Idria 29 März 1773;
+ als Priester und Professor zu Laibach 25
Septbr. 1844.—Hladnikia von Koch und Reichen-
bach; ausserdem Gentiana H. u. Scabiosa H. von
Host; #Seopolia He von Free eme ve
Hochstetter, Christian, Ferdinand. Geb. zu Stutt-
gart 16 Febr. 1787; + zu Reutlingen 20 Febr.
1860. War zu Esslingen, wo er mit Steudel den
Reiseverein leitete, Stadtpfarrer, Gymnasialdirek-
tor und Profess. am Schullehrerseminar.—Hoch-
stettera von Spach, Hochstetteria von De Can-
dolle; ausserdem Cerastium H. von Fenzl, Lysi-
machia H. u. Ruellia H. von Steudel, Senecio H.
von» sehultz-Bipont. sr nn UR MARE
Hoffmann, Georg, Franz. Geb. za Markbreit in
Baiern 31 Jan. 1766; + zu Moscau 17 Marz
1826.—1792—1804 Professor in Góttingen, 1804—
1826 in Moscau, wo auch sein Herbar, aus un-
sefähr 8000 Arten bestehend, aufbewahrt wird.
Berühmt durch seine Bearbeitung der Umbelli-
feren.—Hoffmannia von Willdenow u. Swartz;
ausserdem Trinia H. von Marschall-Bieberstein.
Hoffmann, J. E. Gelehrter Gartner beim Lyceum
zu Krzemeniec in Volhynien....... Mee mei e a NES
Hohenacker, Rudolph, Friedr, Geb. zu Zürich
1798; + 1872? Evangelischer Pastor zu Helenen-
dorf in Transcaucasien, wo er viele Jahre lebte
und botanisirte, bis er 1837 nach, Deutschland
zurükkehrte, Pastor zu Esslingen bei Stutt-
gart wurde und sich durch seine botan. Kaufan-
stalt grosse Verdienste erwarb. Sein reicher bo-
tan. Nachlass ging an Carl Keck auf Schloss
Aisterhaim in Nieder-Ostreich über.—Hohenacke-
ria von Fischer u. Meyer; ausserdem wurden 24
Arten Macnee benannt... eese oa ace EE
20
40
150
— 405 —
Artenzahl.
325. Holuby, Joseph, Ludwig. Evangelischer Pfarrer
zu Presburg. Hat sich eifrig mit der Gattung
Rubussbeschättiet ash. Ack: ALOR M e 00, 28
326.. Holzhauer In Charlottenburg... .:.»......... 1
327. Holzinger, Joseph. Dr. in Gratz. Lichenolog.... 1
328. Home, Everard. Geb. zu Hull 1 Mai 1756; + zu
Chelsea 31 Aug. 1832. Ausgezeichneter englischer
Wundarzt und Physiolog zu Edinburgh. Erhielt
durch seinen Schwager J. Hunter die Professur
der Anatomie u. Chirurgie am Konigl. Collegium
der Wundarzte zu London. Spáter wurde er Pra-
sident dieses Collegiums, Direktor des St. Georg-
Hospitals, 1813 Baronet u. Leibarzt des Prinz-
329. Hooker, William. Einer der berühmtesten Bota-
niker Englands. Schrieb unter Anderem eine Flora
boreali-americana. 1833. Sein Herbar ist eine
der gréssten Privatsammlungen in der Welt.—
Hookera von Salisbury, Hookeria von Smith;aus-
serdem sind 30 Arten nach ihm benannt....... 1
330. Hoppe, David, Heinrich. Geb. zu Vilsen in Han-
nover 15 Decembr. 1760; + zu Regensburg 1
Aug. 1846. Anfangs Pharmaceut in Celle u. Re-
sensburg. Promovirte 1795 zum Dr. med. Seit
1805 Professor der Naturgeschichte und Botanik
zu Regensburg. Machte fast jàhrlich Alpenreisen.
Feierte am 5 Mai 1845 sein 50 jähriges Doktor-
jubilàum. Sein Herbar enthielt gegen 5000 Arten,
darunter 1700 Cryptogamen und wurde vom
Gymnasium zu Salzburg angekauft.—Hoppea von
Willdenow, Endlicher u. Reichenbach; Hoppia von
Sprengel u. Nees; ausserdem wurden noch 6 Ar-
ten; пасы ilm benannt aM 9220s 2
381. Hoppe, E. Botanisirte in Schweden..... (otc MOM 1
332.
332.
333.
394.
335.
—— 306 —
Artenz ahl.
Horaninow, Paul (Павелъ Оедоровичь). Geb. zu
Mohilew 1796; + zu St. Petersburg 21 Oktbr.
1866. Besuchte 1801 das Jesuitenkollegium zu
Mohilew. Wurde 1810 Lehrling in der Hartmann-
schen Apotheke und beim Durchzuge der Franzo-
sen durch Mohilew 1812 Officier de santé. Stu-
dirte 1817—1820 unter Scherer in St. Peters-
burg. 1824 Dr. med. 1825—1851 Professor der
Naturwissenschaften и. Pharmakologie bei der
Kais. Medico-Chirurgischen Academie in St. Pe-
tersburg, welche auch nach seinem Tode Herbar
u. Bibliothek für den Spottpreis von 1000 R.
erwarb. Verfasser mehrerer medicinischer und
naturhistorischer, meist origineller Schriften.—
Seinen Nekrolog veróffentlichte ich in der „Flora“
von Regensburg 1867.—Horaninevia von Fischer
ее: aient <i: а.
Hornung, Ernst, Gottfried. Geb. zu Frankenhau-
sen in Schwarzburg 15 Septbr. 1795; + zu
Aschersleben in Thüringen 30 Septbr. 1862, wo
er Apotheker war und am 17 Mai 1860 sein 50
jahriges Jubilàum feierte. Sein Herbar enthielt
8500 Arten in 25,000 Exemplaren.—Hornungia
von Bernhardi und, Reichenbach: 2). „2222
Houttuyn, Mart. Arzt zu Amsterdam im vorigen
Jahrhundert. Schrieb Natural. histor. Amsterdam
1774—1783.—Houttuynea von Thunberg.......
Hübner, J. P. W. Geb. 1772; + zu Hamburg im
Febr. 1847. Bereiste Norwegen. Bekannter Bryo-
log.—Hiibneria von Rabenhorst; ausserdem Sphae-
ria H. u. Desmidea H. von Rabenhorst........
Hübner, Wilhelm. 1 16 Juii 1863. Obermilitair-
apotheker zu Dresden.—Hiibneria von Reichen-
Dac aa 3 ala EL ed TREE rr
80
20
336.
337.
“er
Artenzahl.
Huest. Dr. Die im Herbar von ihm stammende
Pflanze (Anagyris) ist mit dem Jahre 1651 be-
zeichnet eM. VOLL DEREN LAU OT
Huet du Pavillon, A. Professor zu Toulon. Gab
seit 1861 die Botanik auf.—Huetia von Boissier.
. Huguenn, A. Т zu Chambery 1860. Sammelte
die Flora Savoyen’s.—Huguenia von Reichenbach.
Hultmark, C. Sammelte in Schweden..........
Huter, Rupert. Pfarrer in Tyrol.—Hieracium H.
vom idem. 22. 2 EEE
Javornegg, M. Th. von. Verfasser einer Flora
Kárnthen's.—Achillea J. von Halaezy..........
Jachmann, Joh., Ludw. Geb. in Livland 1785; +
zu Dorpat 1814; studirte daselbst 1805— 1806.
Dr. med. Privatdocent bei der Universitat. Grin-
del nannte ihn seinen besten Schüler..........
Jack, Joh., Bernh. Apotheker zu Salem in Ba-
Фе асю, von Blume. „nam 21.22.2288
Jacob, B. Botanisirte in der Schweiz.........
. Jaeger, B. Schrieb über die Flora O Taiti's
1830. Jaegera von Gisecke u. Räusch.........
Jan, Georg. Professor in Parma. Jania von La-
DIEBE лол RR. CAES
.** Janka, Victor von. Geb. zu Wien 24 Decembr.
1837. Diente als Oberleutenant bei den óstreich-
schen Kürassieren. Seit 1871 Conservator des bo-
tan. Museums zu Pesth. Die Kenntniss der Flora
Ungarn's, Siebenbürgen's und des Ваал’; hat
er sehr erweitert, daher die ungarischen Botani-
ker ihn auch ,Balkanski^ nennen.—Fumaria J.
von Haussknecht, Anemone J. von Fr. Schultz,
Lilium J. von Kerner, Centaurea J. von Simkovicz.
Jenkins. Botanisirte auf Java.—Jenkinsia von
Hipolsendt u EAN SEQUENS АЛИ
112
356.
— 308 —
,
Artenzahl.
. Jensen, Th. Sammelte iu Norwegen und Eng-
land 4MpO99086.. 4... vno eee EE TD
. Inzenga, Guiseppe.Professor zu Palermo. Mycolog.
Jónsson, J. M. A. Botanisirte in Norwegen....
. John, Joh., Friedr. Geb. zu Anklam 10 Jan. 1782;
Tzu Berlin 5 Marz 1847. Ausgezeichneter Chemi-
ker. 1804—1806 Professor der technischen Che-
mie am ókonomischen Institute zu Moscau. Von
1810, bis zur Auflösung der Universität, Profes-
sor der Chemie u. Pharmacie zu Frankfurt, von
wo er nach Berlin kam.—Johnia von Ruxburgh,
О.
Jordan, Alexis. Professor zu Lyon. Specificirt die
Flora Frankreich’s mit mehr oder weniger Glück,
bis an die Grenzen der Möglichkeit. Sein Herbar
enthielt 1866 gegen 500,000 Exemplare in 1840
Paketen.— Jordania von Boissier u. Heldreich...
Jouffroy, C. + 15 Febr. 1859. Sammelte in
Erankreichiss se ste tort HE D NT
. Jundzill, Bonifacius, Stanislaus. Geb. im Dorfe
Jasionci des Lidaschen Kreises 6 Mai 1761; y zu
Vilna 27 Mai 1847. Wurde bis zum 14-ten Jahre
im elterlichen Hause, dann bei den Pijaren in
Lida, in deren Orden ertrat, erzogen. Seit 1784
Priester. Studirte in Vilna unter Gilibert u. Georg
Forster, dann in Wien unter Jacquin u. in Frei-
berg unter Werner. 1797 wurde er an die Uni-
versitàt Vilna berufen. 1798 Doct. philos. 1802
Professor der Naturwissenschaften u. Gründer des
botan. Gartens daselbst. Erblindet, wurde er 1824
emeritirt. Verfasser mehrer botanischer u. zoolo-
et e Ha © Img
22
35
19
— 309 —
| Artenzahl.
gischer Schriften in polnischer Sprache.— Jundzillia
von Andrzejowski; ausserdem Rosa J. von Besser. 1
359. Juratzka, Jacob. Geb. zu Olmütz 8 Juli 1821;
1 zu Wien 22 Novbr. 1878. Bekannter Bryolog. 15
360. Jussieu, Adrien de. Geb. zu Paris 23 Decembr.
1794; + ebendaselbst im Juli 1838. Dr. med.,
Mitglied der Academie und Professor der Bota-
nik am Jardin des plantes
361. Kablick, Josephine. Geb. zu Hohenelbe 9 Marz
1787; + ebendaselbst als Apothekerwittwe 21 Juli
1863. Sammelte im Riesengebirge und in Oest-
reich. Nach ihr sind 8 Arten benannt. . . . . .. 1
362. Kalchbrenner, Carl. Magist. pharm, Apotheker
zu Langenlois in Nieder-Oestreich............. 4
363. Kaleniczenko, Johann (Иванъ Осиповичъ). + zu
Charcov 1876. Dr. med. Praktischer Arzt und
Professor der Physiologie an der Universitat
Charcov bis 1862. Botanisirte unter Anderem in
der Krim und im Caucasus. Entdeckte die von
ihm benannte Daphne Sophia im Gouv. Kursk
1849. Kaleniczenkia von Turczaninow; ausserdem
Euphorbia K. von Czernajew
364. mS: nice JP IUE ai. 8
365. Kappler, A. Sammelte in Surinam 1840....... 49
366. Karelin, Gregor (Григорй Силычъ). yf. Be-
reiste 1828 u. dann 1832—1833 die Kirgisen-
steppe in naturhistorischem Interesse. 1838—
1843 besuchte er im Auftrage der Kaiserl Na-
turforscher Gesellschaft zu Moscau und unter-
stützt von der Regierung mit Kirilow und Mas-
leninow Sibirien nach den verschiedensten Rich-
tungen. Hat viele neue Pflanzen, aus noch ganz
unbekannten Gegenden, entdeckt. Karelinia von
Lessing; ausserdem wurden noch 18 Arten nach
ела. ee N dualis. SA „ Я
NM 4. 1884. 20
361.
368.
369.
270.
#11.
U L
nues
372.
Artenzahl.
Karte Dr. Lebt ine Wien. 2231. 20, ae 1
Karl; Pfarrer in Boehmeni) 2.2... 4
Kastalski, G. Dr. Begleitete die Erdumsegelung
unter Starinkewicz 1826—1829. Sammelte spä-
ter um St. Petersburg. Seine Ausbeute, circa
600 Arten, erhielt die Kaiserl freie ökonomische
Gesellschaft /- 224.157. 1204 CRUDO. ae го
Kastrapp, G. Botanisirte in Hannover........
Kauffmann, Nicolaus (Николай Николаевичт).
Geb. zu Moscau 8 Febr. 1834; + Daselbst 15
Decembr. 1870. Professor u. Direktor des botan.
Gartens zu Moscau. Schrieb eine hôchst werthvolle
Московская Флора 1869. und 5 botan. Abhand-
lungen. Kauffmannia von Regel; ausserdem Ra-
nunculus K. von Clerc; Tulipa K., Statice K.,
Eremostachys K. u. Gentiana K. von Regel; Pe-
ziza К. von Tichomirow; Pedicularis К. von
Ihnnzsenu 22,2 ar EAN. Se pM
Kawall, Johann, Heinrich, Carl. Geb. zu Mitau
***3 Marz 1799; + zu Pussen bei Windau in Kur-
373.
land 17 Jan. 1881. Studirte in Dorpat 1818—
1821 Theologie. Bereiste 1825-—1827 Deutschland,
Schweiz, Italien und Frankreich. Wurde Pastor
zu Angermünde u. darauf 1835 zu Pussen, wo
er sich bis an sein Lebensende eifrigst mit Na-
turwissenschaiten, besonders Entomologie beschat-
tigt hat. Sein Herbar, nicht von Bedeutung, er-
hielt der Naturforscher-Verein zu Riga........
Keck, Carl. Geb. zu Wien 1825. Lebt auf dem
** Schlosse Aisterheim in Nieder-Oestreich. Der
314.
315.
reiche botan. Nachlass von Hohenacker: ist in
seinen Besitz übergegangen. Keckia von Glockner.
Kemmler. Sammelte in Schweden Moose.......
Kennedy, Alb. Botanisirte am Cap. Kennedya
О.
595
270
E.
D.
18:
383.
384.
— 911 —
Artenzahl.
Kerner, Anton. Geb. 13 Novbr. 1831. Seit 1861
Professor am. Josephs-Polytechnicum zu Ofen,
gegenwartig bei der Universitat Insbruck. Ker-
nena ovo: Meichenbaehsy ii: ui d. buo ste
Kersten, M. S. Professor zu Freiberg.........
Kesselmeyer, Paul, August. Geb. zu Frankfurt
a/M. 1814. Lebte mit Botanik u. anderen natur-
historischen Studien beschaftigt in Frankfurt
a/M bis 1865, in der Schweiz 1866, zu Corte
auf Corsica 1867, darauf zu Freiburg im Breisgau
Kiaer. Dr. Botanisirte in Norwegen...........
AG Okt ideae. AU. olo oS RE, Nel M.
Kéndberg, Nicolai, Conrad. Lector in Linköping.
Schrieb über Lepigonum 1856 u. 1863 und eine
wens lors .L911724:2H een MIO AREA. .nagledsl
Kirillow, Peter. Studirte in Dorpat. Schrieb über
die Loniceren des russischen Reichs 1849. War
Ordinator am Kalinkinschen Hospital in St. Pe-
tersburg, darauf Profess. adj an der Universitat
zu Charcov. Ertrank während des Badens......
Kirilow, Johann. Geb. zu Irkutzk 1822; + zu
Arsamas 11 Septbr. 1842 auf der Reise nach
Moscau von der Expedition nach dem östlichen
Soongorien mit Karelin (Vergl. № 866). Kirilovia
von Bunge, Kirilovia von Lindley; ausserdem
Eupatorium K., Pyrethrum K., Senecio K., von
Turezaninow. Halimocnemis К. von Fenzl; Sor-
huma Ke son Maximowiezo3399 5:12 s uos
Klinggräff, Hugo von. Geb. zu Wisnievo bei
Lóbau in Preussen. Rittergutsbesitzer bei Ma-
rienwerder. Schrieb eine Flora von Preussen 1848
Koch, Carl, Heinr., Emil. Geb. zu Weimar 6 Juni
1809; + zu Berlin 25 Mai 1879. Studirte in Jena
und Wiirzburg; hier erwarb er sich 1833 den
Doctorgrad mit seiner Dissertation: Monographia
20*
75
750
200
409.
410.
411.
— 312 —
Artenzahl.
generis Veronicae; habilitirte sich darauf in Jena
u. machte 1836-—1838 u. 1844—1845 wissenschaft-
liche Reisen durch Süd-Russland und die Kauka-
sisch. Lànder u. in den Orient; zurükgekehrt
wurde er zuerst Professor in Jena u. darauf in
Berlin, wo er sein reiches Reise-Material bear-
beitete. Hat 38 Werke und Abhandlungen ge-
schrieben (м... ое. MARNE. SE
Kühlewein, Paul, Eduard v. Geb. zu Reval r..
Mai 1798; + zu Rostock 1780. Studirte u. pro-
movirte zum Dr. med. in Dorpat. Praktisirte in
St. Petersburg u. lebte seine letzten Jahre in
Rostock. Sein reiches Herbar aus 370 Fascikeln
und mehr als 26.000 Arten, in ungefáhr 150.000
Exemplaren bestehend, vermachte er der Univer-
sitat Dorpat (Vergl. Willkomm: der Kaiserl. bo-
tan Garten zu Dorpat. 51873: 15.049) er
Kühn, L. Sammelte Algen in Süd-Africa......
Kützing, Friedr., Traugott. Geb. zu Ritteburg
in Thüringen 8 Decembr. 1807. War anfangs Apo-
theker, studirte dann in Halle Naturwissenschaf--
ten. Entdeckte wahrend seines Aufenthaltes in Ei-
lenburg die durch ihr fossiles Vorkommen so be-
rühmt gewordenen Kieselschalen der Baccillarien.
Untersuchte 1835 die Tange des adriatischen und
mittländischen Meeres. Lehrer der Naturwissen-
schaften an der Realschule zu Nordhausen; her-
nach Professor. Berühmter Algolog. Kützingea von
Sonder; Callitriche K^! von? Ruprecht. LE E
Fortsetzung folgt.
50:
10:
BEITRAGE ZUR HISTOLOGIE DER HAUT DER REPTILIEN
von
W. Lwo ff.
(Taf. VI).
|l, Ueber die Haut der Crocodile.
Die letzten 15 Jahre wurde die Haut der Reptilien
mehrfach untersucht, wobei die Aufmerksamkeit haupt-
sachlich auf jene vielfachen Veränderungen gerichtet
wurde, welche die Epidermis erfáhrt. Die Arbeiten von
Leydig und Kerbert haben es bewiesen, dass die Schuppe
der Reptilien sich aus einer bindegewebigen Papille ent-
wickelt und folglich ein dem Haare und der Feder ho-
mologes Gebilde ist. Nach Kerbert ist die Schuppe am
einfachsten bei den Ascalabotae und Chamaeleonidae gebil-
det, wesshalb man ihre Schuppe als ein Anfangsstadium
in der Entwickelung der Schuppen bei den Reptilien
annehmen darf. Ihre Haut ist mit kleinen Höckerchen
besäet, zwischen welchenstellenweise grössere vorkommen.
Jedes Hóckerchen stellt eine bindegewebige Papille dar,
welche von aussen mil Epidermiszellen bedeckt ist.
— 314 —
Indem Kerbert die Entwickelung der Schuppen ber
Tropidonotus natrix verfolgte, fand er, dass die ersten
Anlagen der späteren Schuppen als kleine Hóckerchen
auftreten, «entstanden dnrch partielle Wucherung des
unter der Epidermis liegenden Bindegewebes. Es ent-
steht eine Cutispapille, welche anfangt sieh von der
übrigen Lederhaut abzugrenzen». Anfangs wächst das
Hóckerchen gleichmässig, dann biegt es etwas nach hin-
ten um und wird mehr oder weniger abgeplattet. Nach-
her wächst es schon bilateral-symmetrisch, nnd man
kann eine obere und eine untere Flache an der Schuppe:
unterscheiden *). | |
Die Schuppen der Eidechsen und Schlangen wurden
auch von Cartier **, Todare **) Batelli +) und
Blanchard +*) untersucht. Nur über die Haut der
Schildkróten und Crocodile wurden keine Untersuchun-
gen angestellt. Desshalb benutzte ich zwei Exemplare
junger Crocodile, die in dem Cabinet der Vergleichenden
Anatomie der hiesigen Universität mir zu Gebote stan-
den: der kleinere derselben (Crocodilus acutus) war
28 cm., der grössere (Crocodilus biporcatus.) 51 cm.
lang.
Die Haut eines jungen Crocodils bietet grosse Vor-
theile bei der Untersuchung der Schuppen, da die Form
*) Ueber die Haut der Reptilien und anderer Wirbelthiere (Arch.
f. micr. An. Bd 13.) 1876.
**) Studien über den feineren Bau der Haut bei den Reptilien
(Arbeiten ans dem. zool.-zoot. Inst. in Würzburg, 1874).
***) Sulla struttura intima delle pelle dz Retilli. (Atti В. Acad.
Lincei Mem. Sc. Fis. Vol II 1879).
+) Beiträge zur Kenntniss des Baues der Reptilienhaut. (Arch.
f. micr. An, Bd. 17). 1880.
{*) Recherches sur la structure de la peau des Lézards. (Bulle-
iin de la Société zoologique de France. 1880).
— 315 —
der Schuppen an verschiedenen Stellen des Körpers
grosse Mannigfaltigkeit bietet. An den Beinen befinden
sich kleine Hóckerchen, welche durch ihre dussere Ge-
stalt, sowie durch ihren Bau an ähnliche Hóckerchen bei
Ascalabotae und Chamaeleonidae erinnern. An den Seiten
des Rumpfes werden diese Höckerchen grösser und fan-
gen an einander dachziegelförmig zu bedecken, indem sie
die typische Form der Schuppe annehmen. Auf dem
Bauche haben die Schuppen die Form von glatten
viereckigen Platten, die dachziegelförmig gelagert sind.
Am Halse und auf dem Rücken haben die Schuppen
einen Hocker oder Kiel. Auf dem Schwanze errei-
chen diese Kiele eine bedeutende Grösse und bilden
zwei Kamme, welche dann in einen zusammenfliessen,
wodurch der hintere unpaarige Kamm des Schwanzes
gebildet wird. An allen diesen Formen der Schuppen kann
man verfolgen, dass die gróssere Entwickelung der
Schuppen von einer grösseren Entwickelung der binde-
gewebigen Papille begleitet wird. Eine besondere Ent-
wickelung erreicht die Papille in den Schuppen welche
einen Kiel tragen, wo sie auf Querschnitten den Eindruck
macht, als ob sie diesen Kiel nach aussen vorgerückt
habe.
Was den microscopischen Bau der Crocodilhaut be-
trifft, so finden wir einige Beobachtungen nur bei Rathke
und Hoffmann. Rathke ^") fand dass die Epidermis bei
dem Embryo des Alligators aus mehreren Zellenschichten
besteht. «Die nach innen gelegenen Zellen der Epidermis
haben die Form von dünnen biconvexen Linsen und be-
sitzen einen rundlichen Kern». (S. 22). Die oberen hal-
*) Untersuchungen über die Entwickelung und den Körperbau der
Crocodile. (1866). S. 19—28.
— 316 —
ten so fest zusammen, dass sie mitunter nur nach Behan-
dlung mit Aetzkali sich von einander trenuen lassen.
Sie haben die Form sehr dünner Platten und lassen in
der Regel mehr oder weniger deutlich einen verkleiner-
ten und fein granulirten Kern erkennen.
In der Abtheilung «Reptilien» (Bronn's Klassen und
Ordnungen) *) bietet Hoffmann einige Abbildungen der
Epidermis des Embryo des Crocodi!s dar; das sind die
einzigen Abbildungen der Crocodilhaut, die man in der
Literatur findet, |
Hoffmann beschreibt bei dem Embryo des Alligators die
besondere Epitrichialschicht. «Dieselbe besteht aus einer
recht schönen Mosaik polygonaler Zellen; in jeder
dieser Zellen liegt ungefähr in der Mitte ein ovaler Kern.
Zwischen den Epitrichialzellen kommen kleine ovale
Löcher vor, den Stomata in der Epidermis der Pflanzen-
zellen nicht unähnlich». (S. 458). Diese Löcher, wie sie
auf der Zeichnung Hoffmanns abgebildet sind, erinnern
durch ihr Aussehen an ähnliche Löcher in der äussersten
Schicht der Epidermis des Frosches. Ich muss bemerken,
dass ich in der Haut jener Crocodile, welche mir zu
Gebote standen, keine ähnliche Zellen gefunden habe,
welche eine besondere Epitrichialschicht bilden könnten.
Die alleräusserste Schicht der Epidermis hat schon
längst die Aufmerksamkeit aller Autoren, welche die
Reptilienhaut untersucht hatten, aufsich gezogen. Leydig
betrachtet sie als eine wahre Cuticula. Diese Cuticula ist
nach Leydig nicht glatt, sondern zeigt die sogenannte
streifige Sculptur.
*) VI. Band. Ш Abtheilung S. 457- 460.
— 317 —
Indem Kerbert die Schuppen der Reptilien untersuchte,
fand er, dass jene Schicht, die Leydig Cuticula genannt
hatte, aus platten Zellen zusammengesetzt ist. Diese
äusserste Schicht bezeichnet Kerbert und nach ihm To-
daro und Batelli durch eine besondere Benennung als
Epitrichialschicht (pellicola epidermica-Todaro).
Eigentlich schlug Welker *) die Benennung Epitrichium
für die oberflächliche Zellschicht der Epidermis vor,
welche bei dem Embryo der Säugethiere die behaarten
Stellen des Körpers umhüllt. Bei einigen Thieren (z. B.
bei Bradypus, bei welchem diese Schicht eine Dicke von
1 mm. erreicht) bleibt das Epitrichium bis zur Geburt des
Thieres, bei anderen löst es sich während des Embrvo-
nallebens ab.
Kerbert versteht unter Epitrichialschicht «diejenige
oberflächliche embryonale Sehicht der Epidermis, welche
entweder allmählig und theilweise vor oder nach der Ge-
burt des Thieres verloren geht (Säugethiere, Vögel), oder
welche mit der eigentlichen Hornschicht verwächst und
in Zusammenhang mit dieser Hornschicht nach der Ge-
burt bei der ersten Häutung abgeworfen wird. (Reptilien
und Amphibien») **) Aber nachdem findet Kerbert, dass
bei dem ausgewachsenen Thiere bei der bildung einer
neuen Hornschicht sich eine neue Epitrichialschicht ab-
sondert ***), Aber welche Gründe führt er an für die
*) Ueber die Entwickelung und den Bau der Haut und Haare bei
Bradypus.
**) Ueber die Haut der Reptilien. S. 232—233.
***) Dieser Widerspruch wurde schon von Gardiner bemerkt. In Be-
treff dessen sagt er folgendes. „Dabei scheint Kerbert freilich ver-
gessen zu haben, dass seine Definition des Epitrichiums sich nur auf
den Embryo bezieht, da er von dessen Existenz bei ausgewachsenen
Thieren nichts erwähnt. (Beiträge zur Kenntniss des Epitrichiums und
der Bildung des Vogelschnabels. Arch. f. micr. An. 24 Bd. 5. 303.).
— 318 —
Absonderung dieser Epitrichialschicht aus der übrigen
Hornschicht? Nach Kerbert ist sie zusammengesetzt «aus
schönen polygonalen Zellen, in welchen hier und da
deutliche Spuren eines Kernes wahrnehmbar waren» ^).
Ferner findet Kerbert, dass man von diesen schónen
polygonalen Zellen» Uebergange zu den eigenthümlichen,
schmalen, zackigen Zellen der interstitiellen Partien
Schritt für Schritt verfolgen kann **). Dasselbe wurde
von Batelli gefunden, indem er auch einen allmäligen
Uebergang der Zellen. seiner Epitrichialschicht in die
Zellen der eigentlichen Hornschicht bemerkte ***). Daraus
wird es deutlich, dass die sogenannte Epitrichialschicht
Kerberts keine bestimmte Charakteristik hat, weder eine
morphologische, noch eine histologische. Desshalb scheint
es mir, dass man keinen Grund hat sie bei ausgewach-
senen Reptilien von der Hornschicht abzusondern.
Was die Haut des Crocodils betrifft, so bemerkt man
auf dem Schnitte, welcher mit Picrocarmin gefärbt ist,
die rothe Malpighi’sche Schicht und die Hornschicht,
welche mit Picrocarmin gelb gefärbt ist. Die untere Lage,
welche der Cutis anliegt, besteht aus cylindrischen oder
cubischen Zellen, welche einen rundlichen Kern enthaiten.
(Taf. VI. Fig. 1 b.) Weiter nach oben folgen 1—2
Lagen rundlicher Zellen mit runden Kernen (Fig. 1 c.).
Diese Zellen halten fest aneinander, und die (Grenzen
derselben sind nicht immer deutlich zu unterscheiden.
Weiter fangen die Zellen an sich längst der Hautober-
fläche zu strecken und scheinen auf dem Schnitle spin-
delfórmig. (Vig. 1. d). Das sind diejenigen Zellen, welche
*) Ueber die Haut der Reptilien. S. 212.
=) loe2 ct 58216.
***) Beiträge zur Kenntniss des Baues der Reptilienhaut. S. 348.
ene gus
Rathke biconvexe Linsen benannt hat. In der spindel-
förmigen Zelle befindet sich ein ovaler Kern mit einem
Kernkörperchen, welcher nach der Länge der Zelle liegt.
Diese Zellen liegen eng aneinander. Weiter folgt die
Hornschicht. Die Zellen aus welchen sie zusammengesetzt
ist, sind in den unteren Schichten kórnig (Fig. 2.) und
werden in den oberen durchsiehtiger. Hoffmann beschreibt
die Zellen der Hornschicht als abgeplattete, verhornte
Zellen mit Kernen und feinen Leisten, welche durch ge-
genseiligen Druck der Rander der polygonalen Zellen
entstanden sind. Ich glaube, es sind stark zusammenge-
drückte polyedrische Zellen, und die Leisten sind nichts
anderes als die Kanten des polyedrischen Kórpers. (Fig. 3).
Man kann sich davon überzeugen, indem man das Deck-
släschen bewegt und die Zelle unter dem Mikroscop rollen
lasst. Dann werden die Seiten und Kanten abwechselnd
sichtbar. Bei der Mehrzahl dieser Zellen kann man bei
der Isolirung durch Zerzupfung mehr oder weniger deut-
liche Spuren eines Kernes bemerken. In der Horn-
schicht sind sie in geschichteten länglichen Reiheu gela-
gert, und auf feinen Schnilten kann man sehen, wie sich
diese Reihen abblättern, welche aus abgeplatleten Zellen
zusammengesetzt sind. (Fig. 4).
In der Hornschicht der Crocodilhaut sind stellenweise
feine, längliche, mit Luft angefüllte Spalten sichtbar. Das
sind wahrscheinlich Lufträume; sie gleichen sehr den
Lufträumen in der Rindensubstanz des Haares und der
Feder.
Einer der Crocodile, die mir zu Gebote standen, (nàm-
lich der Crocodilus acutus) war offenbar in der Hautung,
wobei die alte Hornschicht auf dem Rücken schon abge-
worfen war. Auf dem Bauche konnte. man von den
Schuppen ein dünnes Hornblatt, die alte Hornschicht,
— 320 —
leicht abnehmen. Auf dem Schnitte durch die Schuppe,
von welcher dieses Blatt abgenommen war, ist zu be-
merken, dass sich eine neue Hornschicht bildet. Auf
solchen Schnitten sind sichtbar: eine Lage von Cylin-
derzellen, welche an die Culis anliegt, dann rundliche
Zellen, endlich làngliche abgeplattete Zellen mit langlichen
ovalen Kernen. Nach diesen Präparaten kann man glau-
ben, dass bei der Häutung junger Crocodile nur die alte
Hornschicht abgeworfen wird, und anstatt derselben sich
allmählig eine neue bildet.
In der Epidermis junger Crocodile kann man also in
der Malpighi’schen Schicht fo!gendes unterscheiden: 1) eine
Lage von Cylinderzellen (stratum cylindricum); 2) rund-
liche Zellen (stratum dentatum) und 3) platte körnige
Zellen, welche an die Hornschicht grenzen (stratum gra-
nulosum). Jn der Hornschicht kann man auch die unte-
ren körnigen (stratum granulosum superius von. Batelli)
und die oberen durchsichtigen Zellen unterscheiden.
Ich werde die untere cylindrische Schicht näher be-
trachten. Deren Zellen liegen eng aneinander und die
Grenzen derselben sind nicht immer deutlich zu unter-
scheiden; jede Zelle enthält einen grossen rundlichen
Kern. An der unteren Fläche dieser Zellen auf der
Grenze mit der Cutis längs der ganzen Verbindungslinie
sind feine Streifen bemerkbar, welche von der unteren
Fläche der Cylinderzellen zur oberen Fläche der Cutis
gehen (Fig. 1. a). Manchmal geschieht es, dass die Mal-
pighi'sehe Schicht sich von der Cutis trennt. An solchen
Präparaten sind auf der unteren Fläche der Cylinder-
schicht deutliche Zähnchen bemerkbar. Ähnliche Zähn-
chen sind an denselben Schnitten auch auf der oberen
Fläche der Cutis zu sehen (Fig. 5). Der erste Eindruck
von diesen Präparaten führt zu dem Schlusse, dass die
99d
Zähnchen der Epidermis und der Cutis in der normalen
Lage die Verliefungen zwischen einander einnehmen und
also die Verbindung zwischen diesen zwei Schichten der
Haut befördern.
Wenn wir uns zur Literatur wenden, so finden wir,
dass Franz Eilhard Schulze ähnliche Zähnchen in der
Haut der Fische (bei Leuciscus erythrophthalmus und
beim Stör) und der Amphibien bemerkt hat *). In Be-
treff dessen sagt er folgendes: «Bei den tiefst gelegenen
Zellen erscheint zunächst die Bildung der auf der Cutis-
oberfläche aufstehenden untern Seite für die Auffassung
von der Verbindung zwischen Lederhaut und Epidermis
im Allgemeinen und somit für eine der interessantesten
und schwierigsten Fragen der Histiologie von der we-
sentlichsten Bedeutung» **). «In der Fischoberhaut habe
ich überall die antere quer abgestutzie Fläche der ge-
wöhnlich langgestreckten und palissadenartig neben-
einander stehenden prismatischen Zellen der tiefsten
Schicht besetzt gefunden mit kleinen blassen, finger-
fürmigen senkrecht zur Fläche stehenden Fortsätzen.
Dieselben stehen in gleichmässigen und in ihrem Quer-
durchmesser gleichen Abständen von einander und
sind an derselben Zelle sowie an allen Zellen einer
Gegend ungefähr gleichiang. Bei verschiedenen Fischen
und an verschiedenen Stellen der Haut eines und des-
selben Thieres fand ich diese Zähnchen dagegen oft von
verschiedener Länge. —Ganz dieselben blassen Zähnenen
stehen nun aber auch auf der Oberfläche der Cutis als
directe Fortsätze der obersten hellen Schicht in ihrem
Durchmesser gleichen Abständen, ohne dass sich indes-
*) Epithel- uud Drüsenzellen. (Arch. f. micr. An. Bd III. 1867.
ое Cite ou. Al,
— 322 —
sen hier Fasern aus der Cutis selbst in sie hinein ver-
folgen lassen». *) Bei den Amphibien (Triton taeriatus,
Triton niger und Rana esculenta) beobachtete Schulze
auch, dass die der Cutis aufsitzenden Zellen durch ihre
Cylinder-oder Palissadenform sich auszeichnen und mit der
Lederhaut selbst durch Ineinandergreifen beiderseitiger
Zühnchen fest verbunden sind. **) Daraus schliesst Schulze
«dass die Forisätze der untersten Epithelzellen zwischen
die gleichgestalteten der Cutisoberfliche» wie die Bor-
sten zweier in einander gesteckter Bürsten «eingreifen,
wodurch eine feste Verzahnung ganz ähnlich derjenigen
der Stachel-und Riffzellen unter sich zu Stande kommt» ***).
Aus meinen Beobachtungen, sowie aus den Beobachtun-
gen von F. E. Schulze wird es klar, dass diese Zahnchen,
welche an den Schnilten der Haut zu sehen sind, die
Epidermis mit der oberen Schicht der Cutis, der soge-
nannten Glashaut (basement membrane der englischen
Autoren) verbinden. Eine ähnliche Ansicht finden wir bei
Ranvier. «Les dents de la face profonde des cellules
épidermiques de la premiére rangée sont implantées dans
la membrane basale et assurent ainsi l'union solide de
l'épiderme et du derme». +) Aber Ranvier beschreibt
nur die Zähnchen der Epidermis und erwáhnt von den
Zàhnchen der Cutis nichts. Nach Ranvier greifen die
Zahnchen der Epidermis in die Glashaut ein.
Es ist klar, dass die Zähnchen der Epidermis Fortsatze
der Cylinderzellen sind. Doch was sind ähnliche Fortsatze
der Cutis? Sind es einfach Fortsätze der strukturlosen
=) loc. cit. 8. 142.
**) loc. cit. S. 166.
2+) loc. Cit 5. 143.
+) Traité technique d'histologie. Sixième fascicule. 1882. S. 884.
— 323 —
Schicht oder weisen sie auf irgend einen inneren Bau?
Im letzten Falle muss die Glashaut den Charakter der
strukturlosen Membran verlieren. Das sind die Fragen,
die mich bei der Untersuchung der Verbindung zwischen
Epidermis und Cutis interessierten. Aber bevor ich zur
Beschreibung meiner Beobachtungen übergehe, werde ich
mich zur Literatur wenden, um es klar zu machen, wie
diese strukturlose Glashaut beschrieben wurde.
Alte Autoren, welche die Haut und ihre Anhangsge-
bilde untersucht hatten, finden zwischen der Epidermis
und Cutis eine besondere Membran, die strukturlose
Glashaut (homogene Grenzschicht Leydig’s) *). In Toldt’s
Lehrbuch der Gewebelehre (1877) finde ich folgende
Beschreibung dieser Glashaut. «Unter der Bezeichnung
Grundmembran versteht man ein homogenes durchsich-
tiges Hautchen, welches an gewissen Bezirken der äus-
seren Haut und der Schleimhaute zwischen dem binde-
gewebigen und dem epithelialen Stratum eingelagert is-
und an Querdurchschnitten als eine helle Grenzlinie zwit
schen beiden erscheint. Sie wird derzeit fast allgemein
nicht als selbststándige Bildung, sondern als eine Mo-
dification und Verdichtung der obersten Schichte der
bindegewebigen Grundlage aufgefasst» **). Diese Glashaut
wurde gewóhnlich als eine strukturlose Schicht beschrie-
ben. Doch finden sich in der Literatur Anweisungen, dass
sie nicht ganz strukturlos ist. In seinem Artikel «Haut,
Haare und Nagel» beschreibt sie Biesiadecki folgender-
massen. «Die Oberfläche des Corium ist allenthalben von
einem dünnen Häutchen begrenzt........ Die Grenze dieser
*) Lehrbuch der Histologie. S. 67.
**) Lehrbuch der Gewebelehre. (1877). 8.112.
— 324 —
Membran gegen das Corium hin ist nicht scharf aus-
geprägt, desto schärfer die gegen die Schleimschichte,
welche, abgesehen von seichten Grübchen, in vielen Fäl-
len fein gezahnt ist. Von der Fläche aus gesehen zeigt sie
feine Riffe oder selbst Stacheln, welche zwischen solche
der Schleimzellen hineinragen. Sie lásst (nach Czerny) nach
der Behandlung mit Silberlósung, wie die Lymphgefass-
wände, einzelne Felder erkennen» *). Leider erläutert
Biesiadecki nicht, was für Felder es eigentlich sind.
In seiner Schrift «Die Epidermis der Ampibien» **)
(1880) berührt Pfitzner unter anderem die Frage von
der Verbindung zwischen Epidermis und Cutis; aber er
betrachtet diesen Gegenstand von einem anderen Stand-
puncte als Schulze. Die-Schrift von Schulze erschien 1867.
Seitdem haben sich die Anschauungen über Stachel-
. und Riffzellen wesentlich verändert. Anstatt der Vorstel-
lung Max Schulze’s über zahnradartiges Ineinandergreifen
der Stachel- und Riffzellen entstand eine andere Anschaung
(Dank den Arbeiten von Bizzozero, Flemming, Heitz-
mann u. A.), nach welcher die Zellen unter einander
durch sogenannte Intercellularbrücken verbunden sind,
zwischen denen die Intercellularlücken sich befinden.
Pfitzner fand bei dem Salamander folgendes. «Zwischen
den untersten Epidermiszellen und der Cutis sind bei
jüngeren Thieren die Brücken sehr schwach ausgebildet,
die sich jedoch hier verhältnissmässig stärker entwickeln
als anderswo, so dass sie sich beim erwachsenen Thiere
gerade durch besondere Grösse auszeichnen. Wie sie sich
zum Bindegewebe der Cutis verhalten, ob dieses ihnen
*) Stricker’s Handbuch der Lehre von den Geweben. 1871. Erster
Band. S. 585—586.
**) Morphol. Jahrbuch. Bd. VI.
SUME —
etwa auch ähnliche Ausläufer entgegen sendet, habe ich
nicht mit Sicherheit feststellen können» *) Ferner sagt
er: «Aber auch nach dem Corium zu kann man Verbin-
dungen verfolgen. Beim erwachsenen Thiere wenigstens,
wo an der Cutisflache der unteren Epidermiszellen die
Drücken sehr stark entwickelt sind, stehen die von die-
sen gebildeten Hohlráume mit ähnlichen Hohlräumen in
der Cutis in Verbindung. In der oberen parallelfaserigen
und pigmentlosen Grenzschicht der Cutis verlaufen in
horizontaler Richtung Kanäle, die sich mehr oder minder
rechtwinklig umbiegen und bis in die grossen basalen
Intercellularlucken zu verfolgen sind; andere kommen
mehr direct aus der Tiefe» **),
Nach Pfitzner also stehen die Hohlräume, welche
zwischen den Fortsätzen der Epidermiszellen sichtbar
sind, in Verbindung mit ähnlichen Hohlraumen der Catis.
In der Grenzschicht der Cutis beschreibt er horizontale
Kanäle. Aber Pfitzner hat die Fortsätze der Cutis nicht
gesehen, und lässt die Frage von deren Vorhandensein
in der Cutis des Salamanders unentschieden; so dass es
unerklart bleibt, wie man die histologische Verbindung
zwischen Epidermis und Cutis sich vorstellen darf.
Um diese Verbindung in der Crocodilhaut zu erklaren
beschloss ich solche Präparate zu bekommen, an denen
die obenerwähnten Zàhnchen der Epidermis und der Cu-
tis en face zu sehen wären. Deswegen trennte ich an
der Schuppe die Epidermis von der unten gelegenen Cu-
tis, was manchmal ziemlieh gut gelang und nachdem ich
mich durch Schnitte überzeugt hatte, dass auf dem Bin-
*) Die Epidermis der Amphibien. S. 496.
+e) log. cit. S. 497.
. 4. 1884. 21
ra
degewebe keine Epithelschicht geblieben war, machte ich
einen feinen der Cutisflache parallelen Schnitt.
An solchen Präparaten stellt die Oberffäche der Cutis
ein Netzwerk von dünnen Querbalken dar, zwischen
welchen kleine bald rundliche, bald längliche Zwischen-
räume gelagert sind. (Fig. 6). Diese Querbalken färben
sich gar nicht, ebenso wie die obenerwähnten Zähnchen
der Cutis. Vielleicht sind es jene einzelnen Feider, derer
Biesadecki erwähnt. Pfitzner weist in der oberen Greuz-
schicht der Cutis auf Kanäle, welche in horizontaler Rich-
tung verlaufen. In der That bei dem ersten Anblick kann
man dieses Netzwerk von Querbalken für Kanäle anneh-
men, aber eine aufmerksame Beobachtung überzeugt,
dass es keine Kanäle sind, sondern Leisten, welche sich
über die Oberflache der Cutis heben und zwischen sich
Vertiefungen oder Zwischenráume lassen.
Indem man die untere Zellschicht von der inneren
Flüche des abgetrennten epidermischen Blattes (welches
vorläufig mit Picrocarmin gefärbt war) mit dem Scalpel
abschabt, uud sie unter dem Microskop betrachtet, kann
man ein ähnliches Bild von einem Netzwerk mit Quer-
balken und Zwischenräumen sehen. Hier erscheinen die
Cylinderzellen als rnnde oder vieleckige Felder, die eng
aneinander anliegen; jede Zelle enthált einen grossen run-
den Kern (Fig. 7). Auf der Fläche der Zellen sind die
obenerwähnten Querbalken mit Zwischenräumen sichtbar.
(Fig. 7). Ihre verhältnissmässige Grösse ist ‘derart, dass
die Fläche (eigentlich die Unterfläche) jeder Zelle 10—12
solcher Zwischenräume enthält. Die Querbalken sind hell
und färben sich mit Garmin nicht. Sie zeichnen sich
scharf auf der Fläche der Zellen aus, da die Zwischen-
räume körnig und mit Garmin gefärbt sind. Indem man
die Mikrometerschraube dreht, kann man sich überzeugen,
— 327 —
dass die Querbalken wie durchsichtige Leisten über die
Flache der Zellen hervorragen. Es scheint mir, dass, wenn
man diese Bilder mit denjenigen auf welchen die Zàhn-
chen sichtbar sind zusammenstellt, man zu dem Schlusse
kommen kann, dass von der unteren Fläche der Epi-
dermis, ebenso wie von der oberen Fläche der Cutis
(von der sogenannten Grenzschicht) Leisten oder Brücken
einander entgegen gehen, welche an Querschnitten als
" Zühnchen auftreten. Zwischen ihnen bilden sich Zwischen-
raume, und ich stimme mit Pfitzner überein, wenn er
sagt, dass die von den Brücken der unteren Epidermis-
zellen gebildeten Hohlräume mit ähnlichen Hohlräumen
in der Cutis in Verbindung stehen, obgleich Pfitzner da-
rauf nicht weist wie diese Hohlräume in der Cutis ge-
bildet sind.
Man darf schliessen, dass diese leistenfürmigen Fort-
sätze einerseits die Epidermis und die Lederhaut verbin-
den, und dass anderseits die obenerwähnten Hohlräume als
Lymphbahnen aus der Cutis zu den Intercellularraumen
der Epidermis dienen, welche Meinung mit der jetzt in
der Histologie vorherrschenden Ansicht völlig überein-
stimmt.
Diese Beobachtung an der Crocodilhaut erreg! jeden-
falls grosses Interesse, weil sie auf die histologische Ver-
bindung zwischen Epidermis und Cutis weist. Die Frage
ob diese Verbindung eine allgemeine Erscheinung in der
Haut der Wirbelthiere ist müssen künftige Untersuchun-
gen entscheiden.
Es bleibt mir noch kurz von der Cutis der Crocodil-
haut zu erwähnen. Die oberflächliche Schicht derselben
ist die obenerwühnte Grenzschicht, unter welcher sich
eine Pigmentschicht befindet. Diese letztere hat an ver-
schiedenen Stellen des Kürpers verschiedene Dicke. Am
21*
— 328 —
Bauche ist sie sehr dünn und verschwindet stellenweise
vollständig. Auf dem Rücken, wo die Hant dunkel ge-
farbt ist, wird die Pigmentschicht bedeutend dicker.
Unter der Pigmentschicht sind elastische und binde-
gewebige Faserbündel gelagert, welche sich durchkreuzen.
Die dickeren Faserbündel laufen am Bauche der Ober-
flache der Schuppe parallel; die dünneren strecken sich
von oben nach unten uud durchflechten sich in allen
Richtungen. An den kleinen Hóckerchen der Beine sind
die bindegewebigen Fasern besonders regelmässig gela-
geri da sie hier in parallelen Reihen laufen. In den
Schuppen des Rückens, welche Kiele tragen, sind die
Faserbündel sehr unregelmässig und verwickelt; dazwischen
kommen Zellen des Bindegewebes und Blutgefässe vor.
Bei dem Crocodilus biporcatus waren die Verknöche-
rungen in der Haut schon eingetreten, doch nur an einer
Stelle, nämlich in den Schuppen mit Kielen (auf dem
Rücken). Die Verknöcherungen haben die Gestalt klei-
ner Platten, die dem unbewaffneten Auge sichtbar sind.
Auf Querschnitten erscheint die Verknöcherung als eine
Platte, von der ein dünner Fortsatz in den Kiel läuft.
Die Knochenkörperchen haben die Gestalt von sternför-
migen Zellen des Bindegewebes. Diese Zellen anastomo-
siren mit ihren Forisätzen, welche die Gestalt feiner Ka-
näle in der hellen Knochensubstanz haben. An den Seiten
der Platte sind hie und da die Osteoblasten sichtbar.
IL Ueber die Haut der Hatteria *).
An verschiedenen Stellen des Körpers der Haileria
haben die Schuppen verschiedene Form und Lagerung.
*) Günther. Contributions to the Anatomy of Hatteria (Philosoph.
Transact. of the Royal Society of London. 1867).
— 329 —
Auf der oberen Fläche der Körpers (auf dem Halse, dem
Rucken und dem Schwanze) und auf den Seiten des
Rumpfes, wo die Haut dunkel gefarbt ist, ist die Haut
der Hatteria von kleinen Hóckerchen oder Kürnchen be-
deckt. Man kann dunkele (braune) und weisse (oder
gelbliche) Höckerchen oder Körnchen unterscheiden. Mei-
stentheils sind es braune Kórnchen, deshalb ist auch die
Haut hier braun gefárbt. Doch zwischen denselben be-
finden sich gruppenweise weisse, zu 3—7 Kórnchen in
einer Gruppe. Von der Mittellinie des Rückens nach
den Seiten werden diese Gruppen weisser Kórnchen
zahlreicher, und die Anzahl der Körner, welche eine
Gruppe bilden, wird grósser. Auf den Seiten fangen
schon die weissen Kórnchen an vorzuherrschen. Zugleich
werden dieselben grösser und gehen nach und nach in
Schuppen über, die dachziegelfórmig einander bedecken.
Der Mittellinie des Rückens entlang ziehen sich drei
Кашше. Auf dem Kopfe (von der Mitte seiner Lange an)
und auf dem Halse befindet sich der erste Kamm
aus 11 Zähnen bestehend. Jeder Zahn hat die Form eines
von den Seiten zusammengedrückten Kegels, dessen Spitze
zurückgebogen ist. Etwas weiter hinter jener Stelle wo
die Vorderextremitäten ihren Anfang nehmen, zieht sich
ein zweiter Kamm, der aus 20 Zahnen besteht, welche
dieselbe Form und Grösse haben. Dieser Kamm zieht
sich bis zujener Stelle wo die Hinterextremitaten Anfang
nehmen. Dem Schwanze entlang geht endlich ein dritter
Kamm, in welchem die Zähne dicker, breiter, aber nie-
driger als in den zwei ersten sind.
Auf der Bauchoberflache befinden sich biass gelbliche
Schuppen oder Platten. Auf der unteren Fläche des
Kopfes (wo der Unterkiefer ist) haben die Schuppen die
Form von kleinen sechseckigen Platten, welche fest
— 330 —
aneinander änliegen. Weiter, auf dem vorderen Theile
der Bauchoberfläche, dort wo die Vorderextremitaten
ihren Anfang haben, werden diese sechseckigen Platten
bedeutend grösser und sind eng aneinander gelagert.
Auf dem Bauche werden die Platten viereckig und
sind daechziegelfórmig gelagert, so dass die vordere
einen kleinen Theil der hinteren Platte bedeckt. Hier
nehmen die Platten die typische Form von Schuppen an.
Auf dem hinteren Theil des Bauches, wo die Hinterex-
tremitäten ihren Anfang nehmen, verwandeln sich die
Schuppen wieder in sechseckige Platten, die ebenso wie
zwischen den Vorderextremitaten gelagert sind. Allmäh-
lig kleiner werdend ziehen sie sich auf der unteren
Fläche der Hinterextremiläten, wo sie eine rundliche
Form haben. Auf der unteren Fläche des Schwanzes wer-
den die Schuppen wieder zu viereckigen Platten, die
dachziegelförmig gelagert sind *).
Bei mikroskopischen Untersuchungen lässt sich in der
Epidermis dasselbe was auch bei anderen Replilien be-,
merken. Die untere Schicht besteht aus einer Lage hoher
Cylinderzellen mit grossen ovalen Kernen, deren langere
Axe der Zelle parallel ist. (Fig. 8. b). Dann folgen 1—9
Lagen Zellen mit runden Kernen (Fig. 8 c); die Contou-
ren dieser Zellen sind im Durehschnille nicht zu sehen,
*) Der Unterschied in der Form und Lagerung der Schuppen auf
der Fläche des Bauches zwischen den viereckigen Platten des Bau-
ches, wo die Platten dachziegelförmig gelagert sind, und den sechs-
eckigen Platten derjenigen Stellen wo die Vorder- und Hinterextre-
mitäten sich befinden, bringt auf den Gedanken, dass die Platten auf
dem Bauche in der Locomotion des Thieres eine Rolle spielen. Diese
Meinung war schon von Günther, zwar auf Grund anderer Betrach-
tungen, ausgesprochen. (Contributions to the Anatomy of Hatteria
8. 610—611). |
23 99 ves
doch bei der Isolierung erscheinen rundliche Zellen mit
Kernen und feinen Fortsätzen an den Seiten. (Fig. 9. b).
Weiter dehnen sich die Zellen und Kerne längs der
Oberfläche der Schuppen (Fig. 8 d) und gehen in die
Hornschicht über. Die Zellen der Hornschicht erscheinen
als durchsichtige verhornte Platten, in welchen manch-
mal schwache Spuren von Kernen zu bemerken sind. In
der Epidermis der Hatteria kann man also das stratum
cylindricum, stratum dentatum, stratum granulosum und
die eigentliche Hornschicht (stratum corneum) unter-
scheiden.
Auf dem Rücken, wo die Haut braun gefarbt ist, be-
findet sich das Pigment nicht nur in der Cutis, sondern
auch in der Malpighi’schen Schicht: nàmlich in den Cy-
linderzellen und auf der (Grenze der Malpighi’schen
Schicht uud der Cutis sind Anhäufungen von Pigment-
zellen zn bemerken (Fig. 8), weiche bald eine runde,
bald eine langliche, bald eine unregelmassige sternartige
Gestalt mit vielen Fortsätzen haben. Auf der Bauchober-
flüche sind die Pigmentzellen in der Cylinderschicht nicht
sichtbar.
Die Grenze zwischen der Malpighi’schen Schicht und
der Cutis ist nicht immer deutlich zu sehen. Auf dem
hücken ist sie wegen des Pigments nicht zu bemerken.
Auf dem Bauche, wo es an Pigment fehlt, ist die Grenze
zwischen der Epidermis und der Lederhaut nicht so
deutlich, wie z. B, in der Haut des Crocodils. Auf den
Schnitten ist nur zu sehen, dass es in der aussersten
Schicht der Cutis eine Menge kleiner spaltenähnlicher
Zwischenräume giebt, die sehr unregelmässig geordnet
sind, so dass sie eine Art spongióses Gewebe bilden. Es
sind wahrscheinlich Lymphráume oder Lymphbahneu der
Cutis. Ich muss erwähnen, dass ich in der Haut der
— 332 —
Hatteria jene Verbindung zwischen Epidermis und Cutis,
die in der Haut des Crocodils so deutlich zu bemerken
ist, nicht gesehen habe. Doch bei Isolirung der Cylin-
derzellen kann man sehen, dass die obere, sowie die
untere Fläche dieser Cylinder von mehr oder weniger
langen zahnähnlichen Fortsätzen bedeckt ist. (Fig. 9. a).
Wahrscheinlich senden auch hier die Cylinderzellen
Fortsätze oder Brücken der Cutis entgegen.
Was die eigentliche Cutis betrifft, so lassen sich darin
an einigen Stellen (nämlich in den Höckerchen des
Rüekens) zwei Schichten unterscheiden. In der oberen,
welche aus parallelen dicken Faserbündeln besteht, sind
hie und da unregelmässige sternfórmige Pigmentzellen
sichtbar. Sie häufen sich hauptsächlich oben auf der
Grenze mit der Epidermis an und je weiter nach unten,
desto kleiner wird die Anzahl derselben. In der unteren
Schicht, die aus feineren Faserbündeln und Zellen des
Bindegewebes besteht, giebt es keine Pigmentzellen.Sie sind
nur auf der Grenze zwischen beiden Schichten zu sehen.
Darum kann man die obere—Pigmentschicht, die untere
pigmentlose Schicht nennen. Auf dem Bauche ist kein
scharfer Unterschied zwischen zwei Schichten der Cutis
bemerkbar. Hier ist die Anzahl der Pigmentzellen viel
kleiner. Hie und da lässt sich eine sternförmige Pig-
mentzelle bemerken. Anstatt dessen sind in der oberen
Schicht der Cutis unter der Malpighi'schen Schicht ein-
zelne gelbe Pigmenikórnchen bemerkbar.
Es bleibt noch die Verknócherungen in der Haut der
Hatteria zu betrachten. Günther, der einzige Autor, bei
dem wir eine kurze Mittheilung über die Haut der Hatte-
ria finden, behauptet, dass kein Theil der Haut Ver-
— 333 —
knócherungen enthalte *). In der That beünden sich Ver-
knócherungen in dem Kamme des Schwanzes, in der
Gestalt kleiner Körnchen die dem unbewaffneten Auge
sichtbar sind. Diese Verknócherungen strecken sich nicht
der ganzen Lange des Kammes entlang, sondern bilden ein
Körnchen in dem Vordertheile jedes Zahnes. Im Durch-
schnitte erscheinen diese Verknócherungen als rundliche
oder ovale Platten, deren grósserer Durchmesser 0,9 min.
und der kleinere 0,24 mm. lang ist. In der durchsich-
tigen Knochenplatte sind Knochenkórperchen mit anasto-
mosirenden' Fortsätzen zu sehen, welche letztere die ganze
Platte durchsetzen. Manchmal ist die Verknócherung noch
nicht vollendet. Die Substanz der Platte wird noch
gleichmässig mit Garmin gefärbt, und die Knochenkór-
perchen gleichen den sternförmigen Zellen des Bindege-
webes, in welchen die Kórnchen und ein Kern wahrzue
nehmen sind. Neben der Peripherie der Platte sind spin-
delfórmige Zellen des Bindegewebes bemerkbar, so dass
hier der Uebergang der Zellen des Bindegewebes in
Knochenkórperchen deutlich zu sehen ist. Solche Ргара-
rate machen deu Eindruck, dass die Verknócherung noch
nicht vollendet ist. |
An anderen Stellen der Haut habe ich keine Ver-
knócherungen gefunden. Durch dieses ausschliessliche
Vorhandensein derselben in dem Kamme des Schwanzes
kann man erklären, dass Günther sie übersah und auf
die véllige Abwesenheit derselben in der Haut der Hat-
teria hinwies.
*) „No part of the cutis contains any ossification^ (Contributions to
the Anatomy of Hatteria. S. 620).
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
T.
Erklarung der Abbildungen
Durchschnitt einer Ventralschuppe von Crocodilus biporeatus-
(Hartnak. Syst. 7, Oc. 2.).
. Grenzschicht der Cutis von der feine Streifen zur Cylinder-
schicht der Epidermis gehen.
. Cylinderschicht (stratum cylindricum).
. Rundliche Zellen der Malpighi'schen Schicht (stratum den-
tatum).
. Kórnige Zellen (stratum rase
. Hornschicht (stratum corneum).
. Zellen der Hornschicht, in denen Kórnchen noch zu sehen
sind. (Syst. 9, Oc. 2).
. Obere Zellen der Hornschicht (Syst. 7, Oc. 2).
. Querschuitt der Hornschicht (Syst. 7, Oc. 2).
. Durchschnitt einer dorsalen Schappe von Crocodilus bipor-
catus. (Syst. 9, Oc. 2). Die untere Flache der Epidermis hat
sich von der oberen Fläche der Cutis getrennt. Auf beiden
Flächen sind feine Zähnchen sichtbar.
. Das Netzwerk der Querbalken mit Zwischenräumen auf der
Fläche der Grenzschicht der Cutis. (Syst. 9, Oc. 2)..
. Cylinderzellen der Malpighi’schen Schicht. (Syst. 9, Oc. 2).
. Zelle, an deren unterer Fläche das Netz der Querbalken.
sichtbar ist.
. Zelle mit einem Kerne.
. Durchschnitt der Haut von dem Rücken der Hatteria (Syst.
oy) OG 2).
. Cylinderzellen.
. Rundliche Zellen.
. Körnige Zellen.
. Hornschicht.
Cutis mit Pigmentzellen.
Fig. 9. Isolirte Zellen der Malpighi'schen Schicht (Syst. 9, Oe 2).
a.
b.
Cylinderzellen.
Rundliche Zellen.
TABLE GENERALE DES MATIERES
POUR L'ANNÉE 1884.
Artari A. Liste des algues observées dans le gouverne-
BUTE He MOSCOU. -.-.- >... 2... Se Oe BREITE" dti
Becker Al. Reise nach Chanskaja Stafka und zum grossen
Bogdoberg. Beschreibung der Mylabris melanura-Lar-
ve. Verhinderung der Wasserscheu durch Cetonia
aurata. Das Vorkommen verschiedener Insekten und
Benmetkerlingsvarietälen те
Bredichin Th. Quelques formules de la théorie des cométes.
— — Sur la grande cométe de 1811. Avec une planche.
— — Sur les tétes des cométes. Avec deux figures...
Dybowski W. Dr. Ein Beitrag zur Kentniss der im Bai-
kal lebenden Ancylus-Arten. Mit Tafel............
— — Studien über die Zahnplatten der Gattung Lim-
о И La way are
Dybowski B. Prof. Neue Beitrüge zur Kenntniss der Crus-
taceenfauna des Baikalsees. Mit 3 Tafeln..........
— — Notiz über eine die Entstehung des Baikalsees
beiretende Ереване,
Goroschankine J. Mémoire sur l'état des herbiers de l’Uni-
versité Impériale de Moscou et de la Société Impé-
riale des Naturalistes de Moscou............ ..
Page.
Il.
II.
I.
124
256
17
157
290
— 336 —-
Gregorio. A. Marquis de. Note sur le Pecten lucidus Goldf.
et hinaus Munst 4224, а
Herder F. von. Plantae Raddeanae Monopetalae.........
Jakovlev (Яковлевъ В. Е.) Новые виды рода ТаПа.......
Ignatieff (Итнатьевъ ©. А.) Матерлалы для флоры Тамбов-
GRON SNVOODEHÜH ее ое ИЕ
Joukoffsky N. (dhykoscrif. Н Е.) P'bmenie одной задачи
изъ TeOplH; кометъ.......... И И «+ ab ara
Kisslakoffsky (Kncıakogckii E.) Химическй анализъ двухъ
образцовъ естественной тлауберовой соли изъ 3a-
О Ne lie и ee И о
Lindemann Dr. E. von. Dritter Bericht über den Bestand
menées Herbamiums... una ses ec en eR EIS
Lindeman. Prof. K. Ueber Meromyza saltatrix Me. und
Blackmpteraleornuta Z.«. 445.5. ал
— — Verzeichniss der bei Moskau vorkommenden
Borkenkätenr.. u... ek eere luu OE M
— — Годичный Отчетъ Императорскаго Моесковскато
Общества испытателей природы за 1883—84 годъ..
Lwoff. W. Beitrage zur Histologie des Haares, der Borste,
des Stachels und der Feder. Mit 4 Tafeln.........
— — Beiträge zur Histologie der Haut der Reptilien.
Meschaieff (Mbmaexss D. Д.) Списокъ pacteniit изъ chBep-
ной части Рязанской TYOCPHIM. 0.6... sacle cerns
Paulow. A. Notes sur l'histoire géologique des oiseaux..
Radoszkowski O. Revision des armures copulatrices des
males du genre Bombus. Avee 4 planches....... 2
Sabaneieff (Сабанфевъ A. IL) Xumnuecrif составъ грязи
одной изъ сопокъ Таманскато полуострова.........
— — О добывают и полимеризаи бромацетилена.. .
Sloudsky Th. Essai de solution du probléme géodesique .
I
„u
Il.
il.
IT.
178-
201
161
B2
246.
258-
265.
— 337 —
Smirnow. M. Enumération des espèces de plantes vascu-
last Canease.s. 1. HM lk OMM E 152
Sokoloff (Соколовъ A. II.) По поводу предложеннаго г. Выш-
неградскимъ вывода Мансзеллова закона.......... II. 246
Sorokine N. Courte description d'un voyage dans l’Asie
centrale Avec une planche ...::2:.:: md rese 1.0493
— — Coporuns H. В. Матерлалы для флоры Средней
ВИ OLE oa GIO «oue oe Ve e eroi I. 183
Weihrauch К. Studien zur Mitteibildung bei der relativen
Tone bee S. А Е ees I. 1. et 304
Weiss A. Ce que devient la bile dans le canal digestif... I. 22
Necrologue: Alexandre Grigoriéwitsch Fischer de Wald-
UE dr nore M OR RENTUR NR о. VE ME UR EUN II. 331
Extrait des protocoles des séances de la Société I. des
Е ее, В da etr 1
Supplement aw Bulletin:
Bachmétieff B. Meteorologische Beobachtungen ausgeführt
am Meteorologischen Observatorium der landwirth-
schaftlichen Akademie in Moscou.—Das Jahr. 1884.
(Erste und zweite НАШе.), Das Jahr. 1885. (Erste
Hälfte).
SEANCES
die la
SOCIETE IMPERIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
SEANCE DU 15 NOVEMBRE 1884.
S. Exe. le Vice-président Th. A. Bredichin a communiqué les ré-
sultats de ses observations, concernant les eométes de l'année cou-
rante.
M. B. N. Bensengre a parlé de l'ozone et de son róle dans le trai-
tement du cholera.
M. N. B. Goronovitch a exposé les résultats de ses recherches
sur la formation des couches embryonnaires et du chorda dorsalis
des salmonides.
M. W. J. Béliaef a parlé de la structure des microspores et des
anthérozoides des Selaginella et des Isoétes.
M. A. P. Artari a exposé ses observations sur les algues du gou-
vernement de Moscou.
Le seerétaire de la Société, M. le professeur Ch. Lindeman, ayant
déclaré que le terme triennal de son service était écoulé, il a été
prié de vouloir bien conserver ses fonctions pendant les trois ап-
nées suivantes.
.* 4. 1884. 1
Lue ie
La société entomologique russe de St.-Pétersbourg annonce qu'elle
va célébrer, le 4 Décembre, le 25-éme anniversaire de sa fondation.
La Société a décidé d'envoyer, à cette occasion, une adresse, qui
sera présentée par M. le secrétaire.
M. le Recteur de l'Université de Kief envoie un exemplaire des
ouvrages publiés pour la féte du jubilé de cette Université.
Mr. le Prof. Goroschankine présente un mémoire sur l'état des
herbiers de l'Université Impériale et de là Société Impériale des
Naturalistes de Moscou.
S. Exc. Mr. Th. Bredichin remet quelques formules de la théorie
des Cométes.
S. Exc. M. Théodore Wechniakof}, membre de la Société, a adressé
à la Société la proposition verbale suivante:
„J’ai, a-t-il dit, successivement pendant plusieurs années formé
une Bibliothéque d'ouvrages francais et allemands relatifs a toutes
les branches des connaissances humaines, la métaphysique exceptée,
dans l'intention d'avoir une base pour constituer et développer une
branche scientifique, non encore formulée. J'avais en vue de fonder
une Encyclopédie Synthétique, basée sur une Histoire Générale et
Comparée des Activités Scientifique et Artistique et une Théorie Gene-
rale des mêmes Activités, basée sur leur Histoire comparée et gé-
nérale. En marge de plusieurs livres de ma Bibliothèque se trou-
vent mes notes manuscrites, qui ont servi de matériaux à mes re-
cherches. —— :
Je voudrais que de jeunes chercheurs, non encore confinés dans
quelque spécialité officielle ou officieuse s'attachent à élaborer les
matériaux, que je n'ai pas encore pu utiliser, pour développer mieux
que moi les résultats généraux, que j'ai pu publier jusqu'à présent
dans mon Ébauche d’une Économie des Travaux Scientifiques et Es-
thétiques 1860 et dans les Recherches sur les Conditions Anthropologi-
ques de la Production Scientifique et esthétique 1865, 1868, 1870, 1872
et 1878. Dans cette intention je me suis décidé à léguer ou à re-
mettre en partie pendant ma vie la partie Scientifique de ma Bi-
bliothéque à une Institution Scientifique, qui aurait su rendre ma
Bibliothéque accessible à la jeunesse scientifique de deux sexes,
qui auraient le goüt de s'attacher au groupe de recherches, que
jai réussi à former, tout en ayant soin de conserver intacts les liv-
uds а
res et mes notes manuscrites, qui s’y tr ouvent crayonnées. I] me
serait agréable d'offrir la partie de ma Bibliothèque, relative aux
sciences Naturelles, à la Société Impériale des Naturalistes de Mos-
“cow si la Société daigne préalablement garantir les conditions sui-
vantes, que Je me permets. de lui proposer:
1-0. Que cette Bibliothéque forme une ‚sec ‚tion dis tincte de la
Bibliothéque Générale de la Société. |
2-0. Que cette méme Bibliothéque deux ou trois fois par semaine,
soit accessible non seulement aux Membres, mais aux personnes
étrangéres, qui s’occupent sérieusement des sciences, mais sans
pouvoir prendre aucun ouvrage en dehors du local de la Biblio-
théque.
S'il plait à la Société de garantir l'exécution de ces clauses, vers
le printemps j'aurais été à méme de remettre à la Société les ou-
vrages publiés jusqu'en 1880 *).
Depuis ma fixation à Moscou depuis plus de 18 ans, j'ai dépensé
chaque année environ 500 г. arg. pour augmenter ma Bibliothèque.
Voici à peu prés le nombre d'ouvrages distincts, que renferme ma
Bibliothèque, dont quelques uns comme le monumental Dictionnaire
Encyclopédique des Sciences Medicales de Dechambre, oeuvre collec-
tive admirable qui n'à de pareille dans aucune langue ni aucune
spécialité, est composé de plus de 70 doubles volumes.
A., Sciences Physico-Chimiques, Mineralogie, Géologie—65 ouvrages.
В. Biologie des Plantes et des Animaux, Pathologie —228 ouvrages
C.. Anthropologie Fonctionnelle et Somatique dans le sens le plus
étendu, selon Bertillon et Letourneau; Psychiatrie. Biographies des
Artistes et des Savans—219 ouvrages.
D., Histoire des Arts, des sciences et de la civilisation—186 ouvrages.
E. Matériaux Encyclopédiques et Philosophie Scientifique —107 ou-
vrages.
*) Note de la Rédaction. Au mois d'Avril 1885 M. Wechniakofi, a
remis à la société 222 ouvrages en 650 volumes, avec un Catalogue
de cette premiére série de son don. I
1
En tout 799 ouvrages scientifiques. proprement dits.
Les 300 ouvrages que je n'ai pas mentionnées et. qui se ratta-
chent à l'histoire non scientifique et aux sciences dites sociales,
malgré la destination et le caractére encyclopédiqus de notre So-
ciété, ne se rattachent pas à ses attributions et devront se trouver
en dehors du don projeté. |
La Société décide d'exprimer sa vive reconnaissance à В. Е. M.
T. W. Weschniakof pour le don généreux et Impogiant qu’il vient de
faire à la bibliothéque de la Société.
L'Université de John Hopkins à Baltimore en envoyant l'ouvrage
de W. К. Brooks sur le développement des huitres renou-
velle la proposition d'échange et fait parvenir. à la Société une
liste de ses dernières publications.
Le professeur E. de Martens annonce que la Société des amis
d'histoire naturelle à Berlin ne possède plus d'exemplaires de ses
Jahresberichte 1863 et 1864 réclamés par notre Société. L'année
1884 sera envoyée au mois de Février 1885.
Mr. le Dr. F. Al. Buhse de Riga en remerciant pour le- Bulletin
de la Société parle dans sa lettre adressée au Président: de la So-
ciété de l'importance de l'article de Mr. le Professeur Weihrauch
de Dorpat commencé dans le Bulletin № 1 de 1884 et envoie en
meme temps 12 Rbls, la eotisation pour 3 ans.
La Société d'histoire naturellea Bamberg annonce qu'elle va célébrer
le 27 Octobre (8 Novembre) son Jubilé de 50 ans d'existence et
invite à y prendre part. La Société n'ayant recu l'annonce de cette
féte que la veille du jour n'a pu rien faire qu'envoyer un télégram-
me de félieitations ce qu'a fait le Président de la Socióté au nom
de la derniére et de lui- méme comme membre honoraire e la dite
Société.
La Société de médecine et: d'histoire naturelle de Jena prie de lui
indiquer de rechef ce que nous possédons de son Journal: Zeit-
schrift für Medizin u. Naturwissenschaften in Jena. Elle se fera un
plaisir et devoir de remplir autant qu'il est possible les lacunes
qui se trouvent dans notre exemplaire du Journal de Jena. |
La famille Sancerotte annonce Ja mort du Docteur Antoine-Con-
stant Sancerotte mort à Lunéville le 8 Novembre dans sa 80 année.
»
WES p E
Mr. Alex. Karp. Becker de Sarepta remerciant pour le dernier
Bulletin écrit qu'entre les plantes d’Achal-Teke S. Exc. Mr. Traut-
vetter a trouvé beaucoup de plantes intéressantes et nouvelles, dont
la deseription Mr. Becker nous enverra au commencement de l'an-
née 1885. |
La Société d'histoire naturelle du District de Francfort sur VOder
envoie un Numérode ses „Mittheilungen“ qui paraissent chaque mois
et propose l'échange des publications.
Mr. le Chanoine Dr. J. B. Carnoy, Professeur de la botanique à
l'Université de Louvain fait don de son beau travail „La Biologie“
fasc. 1 et promet de nous envoyer en échange de nos publications
la Revue biologique dont le X 1 va paraitre sous peu.
S. Hac. Mr. A. J. Bitschkoff envoie de la part de la commision
internationale d’échange des publications un paquet de livres amé-
ricains.
La Société nationale d’acclimatation de France à Paris, la So-
ciété d'histoire naturelle de Colmar, l'Ecole des metiers à Bistritz
en Transylvanie, la Société d'histoire naturelle de Carlsrouhe, !a
Société d'Anthropolosie de Munich ont envoyé autant qu'il était
possible de leurs publications les numéros ou livraisons pour com-
bler les laeunes qui se trouvent dans leurs publications dans notre
bibliothèque.
. Lettres de remercimens pour l'envoi des publications de la part
de M-le Ministre des affaires étrangéres, de l'Académie Impériale des
sciences de St.-Pétersbourg, de l'Université de Moscou, de la So-
ciété Impériale géographique russe, de la Société libre économique,
des Instituts des mines et forestier de St.-Pétersbourg, de l'Institut
d’agrieulture de Nova Alexandrie, de l’Académie (agriculture de
Pétrovsky Razoumovsky, de l'école d'agriculture et horticulture d'Ou-
man, de la bibliothéque de Karamsin à Simbirsk, de la Société I.
des amis d'histoire naturelle de Moscou, du Comité statistique du
Kouban à Ekatérinodar, des Sociétés d'histoire naturelle de Khar-
koff, Kasan et de laroslav, et de la Société mathématique de Khar-
koff, de la part des MM. Leder, Buhse, Becker, Ed. Bogd. Lindemann,
Al. Al. Fischer de Waldheim, Warneck; de la part de la Société R.
zoologique natura artis magistra d'Amsterdam, de l’Académie Roy-
ale Danoise des sciences de Copenhague, de l'Institut Smithson de
Washington, de la Société nationale d’acclimatation de France à
Paris, de la Société Royale des sciences d'Upsal, de l'Institut Lom-
frau «ate
bard des sciences et des Jettres à Milan, de la Société Royale a’E-
dinbourg et de Mr. Ad. Senoner de Vienne.
Annonce de la mort de notre membre honoraire, conseiller privé
Ivan Timopheevish Glebow le 8 Novembre.
S.
Exc. Mr. Ant. 1%. Radoszkowsky à Varsovie remerciant pour
l'impression de son article sur les Bourdons (Bulletin 1 de 1884)
communique des extraits de lettres sur l'aecueil qu'on a fait à l'é-
tranger à ce travail.
en
D ONG
Livres offerts.
Иззьстяя Ими. Pyceraro Географическаго Общества. Toms 20.
1584. Вып. 1. С.-Петерб. 1884 in 8°. De la part de la Société I.
géographique russe à St.-Petersbourg. |
. Записки Ими. Харьковскаго Университета. 1881. T. I. Харь-
ROBB 1883 in 8°. De la part de l'Université de Kharkoff.
. Der Naturforscher. Jahrgang 1884. № 42, 43, 44. Berlin 1884
in 4°. De la part de Mr. le Dr. Sklarek à Berlin.
. Annali del Museo civico di storia naturale di Genova. Vol. 20-
Genova 1884 in 89. De la part du Musée civique d'histoire na-
turelle de Génes.
. Journal de Conchyliologie. Tome 23. № 3, 4. Paris 1838 in 8%
De ia part de MM. Crosse et P. Fischer.
. Brooks, W. K. The Developement and Protection of the oyster
in Maryland. Baltimore 1884 in 4°. De la part de l'Université
John Hopkins à Baltimore. À
. Annals of the New-lork Academy of sciences. 1883. September
New-lork 1883 in 8% De la part de l'Académie des sciences à
New-Iork.
. Proceedings of the American philosophical Society. Vol. 21. №
115. Philadelphie 1884 in 8°. De la part dela Société américaine
phsiosophique de Philadelphie. T
=
4
. Jahresbericht der Gesellschaft fur Natur-und Heilkunde in Dres-
10.
11.
12.
. Nature. 1884. № 782, 783
den. Sitzungsberichte 1883-—84. Dresden 1884 in 8*. De la part
de la Société pour l’histoire naturelle et la médecine a Dresde.
The american Journal of science. 1884. № 161, 162, 168. New-
Haven 1884in 8°. De la part de MM. Dana et Silliman à New-
haven. |
Hamlin, Ch-s E. Results of an examination cf Syrian Molluscan
fossils. Cambridge 1584 in 4°. De la part de Mr. Al. Agassiz à
Cambridge. |
Proceedings of the American Academy of arts and sciences,
New series Vol. XI. Part I, II. Boston 1853—84 in 8°. De la
part de l'Académie américaine des arts et des sciences à Boston.
‚ 154. London 1884 in gr. 89. De la
part de la Rédaction.
. Journal of the American Medical Association. Vol. 3. Ne 15, 17.
Chigaco 1884 in 8°. De la part de la Rédaction.
. Comptes-rendus hebdomadaires des séances de la Société de
16.
yr
18.
19.
Biologie. 1884. № 39, 34, 35, 86. Paris 1884 in 8°. De la part
de la Société biologique à Paris.
Bulletin de l'Académie de médecine. 1884. № 43, 14, 45. Paris
1884 in 8°. De la part de l’Académie de médecine a Paris.
Bulletin de l'Académie I. des sciences de St.-Pétersbourg. To.
me 29, feuilles 26—30. St.-Pétersbourg 1884 in 4°. De la part
de l'Académie I. des sciences de St.-Pétersbourg.
Gartenflora. 1884. September. Stuttgart 1854 in 8°. De la part
de Mr. le Dr. Regel de St.-Pétersbourg.
Mittheilungen des Vereins für Erdkunde zu Halle a. S. 1884.
Halle 1884 in 8°. Dela part dela Societé géographique de Halle.
. Nova Acta Regiae Societatis Scientiarum Upsalensis. Ser. 3.
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Vol. 12, fasc. 1. 1884. ОрзаНае 1884 in 4*. De la part de la
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Joly, Ch. Note sur la 7-ème exposition de la Société d'horti-
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23.
Dr
30.
82,
38.
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Zi... A
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№ 7. et 'pour remplir les lacunes de notre Bibliothèque: 1865.
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d' Acclimatation à Paris.
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gie a Parts.
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. Irmischia. 1884. № 5—9. Sondershausen 1884 in 8°. De la part
de la Société botamique de Sondershausen. -
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C.-Ilerep6. 1884 in 8°. De la part de la Rédaction.
. Botanisches Centralblatt. 1884. № 43. 44, 45. Cassel 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Dr. Oscar Uhlworm.
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part de Mr. le Dr. L. Wittmack.
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Buza, Janos. Kultivalt hóvenyeink betegsegein. Die Krankheiten
uuserer Culturpflanzen). Budapest 1879 in 8°.
. Daday Jenó. A Magyar Allattani irodalem ismerteléze 1870--
tél 1850—ig. (Darstellung der ungarischen zoologischen Litera-
ten.) Budapest 1882 in 8°.
Grubes Lajos. Utmutatas foldrajzi helymeghat arazarokra (An-
leitung zur geograph. Ortsbestimmungen) Budapest 1883 in 8°.
Kosutany, Thomas. Ungarns Tabaksorten u. deren Chemische
physiol. Untersuchung. Budapest 1882 in 4°.
Hagslinsky, Frigyes. A. Magyar birodalom zuzmo-Floraja. (Die
Flechtenflora des ungarischen Reiches) Budapest 1884 in 8°.
35.
35.
94.
38.
39.
40.
41.
ml ous
Mathematische und Naturwissenschaftliche Berichte aus Ungarn.
Erster Band. Budapest 1884 in 8°. Les № 29 и 35 de la part
de la Société Royale hongroise d'histoire naturelle à Budapest.
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Göteborg 1877 in 8".
— — .Redogórelse for den sevnska Polarexpeditionen ar
1872—73. Stockholm 1875 in 8°.
— — Utkart till Isfjordans och Belsunds geologi. Stock-
holm 1875 in 8°. | |
— — Passage du Nord-est (Expédition polaire suédoise do
1878). Upsale 1879 in 8°.
— — Svenska Färden till Novaja Semlja och Mynningen
of Jenisej sommaren 1875. Göteborg 1876 in 8°.
— — Remarks on the Greenland Meteorites. 1872 in 8°.
— — Astronomiska ortsbestämningar under Svenska polar-
"expeditionen 1868. Stockholm 1870 in 8*.
43.
44.
45.
— — Redogorelse för en expedition till Mynningen of Je-
nissej och Sibirien Аг 1875. Stockholm 1877 in 8°.
Duner №. and Nordenskiold, A. Е. Explanatory remarks in
illustration of a Map of Spitzbergen. Stockholm 1865 in 8°.
Deux exemplaires.
Nordenskiold, A. E. Memorial concerning the Arctic expedition
of 1878. Góteborg 1877 in 8*.
— — Om sjófart mellan Ob-Jenisej och Atlanten 1882 in 8°.
— — Anmàrkningar om thaumasiten 1880 in 8’.
— — Om Moójligheten att idka sjöfart i det Sibiriska is-
hafvet. 1879 in 8°.
. — — А. E. Sur la possibilité de la navigation commerciale
dans la mer Glaciale de Sibérie. Stockholm 1880 in 89. Ex. 3.
50.
51,
— 16 —
u CE Mineralogiska bidrag № 2, 3, 4, 5. 1878 in je. Xf
— — och Thesl M. J. Redogürélser för de svenska expedi-
tionerna till Mynningen af Jenisej är 1876. Stockholm 1877
in 8°,
. Jäderin, E. Geografiska Ortbestämningar under svenska expe-
ditionen till Grónland 1870. Stockholm 1871 1n 8°.
93. Sundevall, C. J. Spetsbergens Foglar. Stockholm 1874 in 8°,
54.
55.
Boheman, C. H. Spetsbergens Insekt-Fauna 1865 in 8°.
Lindstrom, G. Analyser pa bergarter fran Spetsbergen 1867
in 8°. | d "d
56. Malmgren, A. J. Om Spetsbergens fiskfauna. Stockholm 1865
in 8°.
57. — — Zur Vogelfauna Spitsbergens 1865 in 8".
58, — Ofversigt af Spetsbergens Fanerogam-Flora 1862 in 8°.
59. — — Anteckningar till Spetsbergens Fogel-Fauna 1863 in 8°.
60. — — Om tandbygenaden hos Hvalrossen 1863 in 8°.
. Heer, Osw. Om de Miocena växter 1873 in 8°.
6?
2, — — Anmärkningar Gfver de af svenska polarexpedition
1872—73. Stockholm 1874 in 8°.
.— — Forutskickade anmärkningar öfver Nordgrónlands Krit-
flora. Stockholm 1871 in 8°.
. Andersson, N. К. Bitrag till den nordiska Floran 1866 in 8".
. Dunér, N. C. Magnetiska inclinationsbert. pa Spetsbergen. Stoek-
. holm 1870 in 8*.
. Eisen. Gust. Redogórelse für Oligochaeter 1878 in.8*. .
. Karsten, P. A. Fungé in insulis Spetsbergen et Beeren Капа
‚1872 in 8*. dante | ref
68.
69.
70.
11.
12.
13.
Tres
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Fangsttour 1870 rundt om Novaja-Semlia. Stockholm 1871
in 8°.
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Stockholm 1870 in 8°.
Frier, Th. M. Om Beeren-Islands D THE vegetation. 1869
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Kjellmann, Е. В. Nagra tillagg till Kànnedomen om Spetsber-
gen. Stockholm 1874 in 8*.
Cleve, P. T. On Diatoms from the Arctie Sea. Stockholm 1873
in 8°.
. Lagerstedt, N. G. W. Sötvattens-Diatomaceer tran Spetzbergen
Stockh. 1873 in 8’.
. Malm, A. W. Skelettdelar af Hval. Stockholm 1883 in 8°.
. Wijkander, Aug. Om norrskenets spektrum 1874 in 8".
. — — lakttagelser ófver luftelektriciteten under den svenska
Dou paritionsn 1872—73. Stockh. 1874 in 8°.
78. Kjellman, Е. В. Om Spetsbergens Marina. I. Stockholm 1875
in 8°. |
79. — — Bidrag till Kannedomen af kariska hafvets Algvege-
80.
81.
tation. Stockholm 1877 in 8%
Torell, Otto. Bidrag till Spitsbergens Molluskfauna. Stockholm
1859 in 8°.
Heer, Osw. Om de af A. E. Nordenskiold och Blomstrand pa
Spetsbergen upptäkta fossila váxter. 1866 in 8°.
. Lilljeborg, М. Hats-Entomostraceer. Stockholm 1875 in 8°.
. Wijkander, Aug. Bidrag till Kànnedomen om vindfórhallandena
et. Stockholm 1875 in 8°.
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1864 in S°.
op CM
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86. Cleve, P. T. Diatomaceer fron Spetsbergen 1864 in 8.
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79) an (6^.
90. Malmgren, А. J., Bihang till beráttelsen om de Svenska expe-
92.
101.
ditionen till Spetshergen 1864. Stockh. 1868 in 5°.
. — — Jakttagelser och anteckningar till Я och.
Spetsbergens Daggdjurs fauna 1863 in $*.
— — Annulata polychaeta Spetsbergiae 1868 in 8°.
Théel Hj. Études sur les Géphyriens inermes des mers de la
Scandinavie etc. Stockholm 1875 in 8’.
. S'uxberg, Ant. Myriopoder fran Sibirien 1876 in 8°.
EUNT T Ex. 2
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. Nordenskiold, A. E. Resplan för en Expedition till Jenisej ar
1876. Tromsö 1876 in 8°.
‚ — — ‚ Berättelse on Jenisej-Expeditionen är 1876. Tromsó
1876 in 8*.
: Almquist, Е. Lichenologiska iakttagelser pa Sibiriens Nordkust
1879 in 8°.
. — — Studier ófver Tschuktschernas färgsinne 1879 in 8°.
. Tullberg, T. Collembola borealia. Stockholm 1876 in 8’.
Berggren, S. Alger fran Grónlands inlandis. Stockh. 1871 in 8°.
os me
2, Théel, Hj. Nagra bidrag till Nov. Seml. Fogelfauna 1876 in 8°.
. Hulke, J. He Memorandum on some fossil. vertebrate remains.
Stockholm 1873 in 8°.
. Smitt, E A. Bryozoa marina. Holmiae 1868 in 8".
. Nystróm, C. Om den sista svenska Spetsbergs- expeditionens
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. Nystrom, С. Om jarnings-och forruttnelseprocesserna pa Spets-
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. Kjellman, Е. В. Om Spetsbergens marina. Stockholm 1877 in 8°.
. Nauckhoff, Gust. Om förekomsten af gediget jern 1 en Basalt-
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. Isaksen, J. N. Provens färd i Murmanska 1882 in 8".
. Nordquist, Osc. Ur min dagbok fran St.-Lawrenceon. 1882 in 8°.
. Nathorst, А. G. Botaniska anteckningar fran nordvestra Grón-
land. Stockh. 1884 in 8*.
. Ekman, К. Г. Vattenprof 1882 in 8°.
. Lindhagen, Arv. Vega-Expeditiones geografiska Ortsbestàmnin-
gar. Stockh. 1881 in 8°.
. Chydenius, Karl. Om den under Svenska expeditionen till Spets-
bergen är 1861. Stock. 1862 in 8°.
. Theel, Hj. Berättelse om Landt-Expeditionen till Jenisej ar
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nuari 1869. Stockholm 1870 in 4°,
118. — — Geografisk och Geognostisk Beskrifning ofver Nordó-
stra Delarne. Stockholm 1863 in 4°.
. — — Meteorologiska Jakttagelser anställda pa Beeren-Ei-
land. Stockholm 1870 in 4°.
BP? Ca!
120. — — och Duner, N. ‚Forberedande Undersökningar. Stockh.
1864 in 4°.
121. Heer, Oswald. в Flora der Bären-Insel. re 1871
in 4°,
.— — Die Miocene Flora u. Fauna Spitsbergens. Stockholm
1870 in 4°.
ee Sie Kreide-Flora’ der arctischen Zone. Stockholm
123
1874 in 4°.
124. — — Beiträge zur Steinkohlen-Flora der, arctischen Zone. |
Stockholm 1874 in 8’.
195. 2a" — i ce zur fossilen Flora Spitsbergens. Stockholm
1876 in 4°. |
126. — — Fossile Flora von Alaska. Stockholm 1889 in 4*.
127. — — Nachträge zur Miocenen Flora Grönlands. Stockholm
129.
130,
131.
132.
133.
134.
135.
136.
1874 in &°.
. Thiel, Hj. Les Annélides polychétes des mers de la Nouvelle.
Zelande. Stockholm 1879 in 4°.
— — Mémoire sur l'Elpidia. Stockholm 1877 in 4°.
— — Note sur quelques Holothuries des mers de la Nou-
velle Zelande. Upsal 1877 in 4°.
Holmgren, Aug. Em. Bidrag till Kännedomen om Beeren Ki-
lands och Spetsbergens Insekt-Fauna. uos 1869 in 4°.
Agardh, I. G. Bidrag till Kännedomen af Spetsbergens Alger.
in 4°,
Cleve, P. T. und Grunow, A. Beiträge zur Kenntniss der arc-
tischen Diatomeen. Stockholm 1880 in 49.
Lemstrom, K. Selim. Magnetiska Observationer under Svenska
Polar-Expeditionen àr 1869. Stockholm 1870 in a
Nathorst, A. G. Bidrag till sveriges fossilia Hora. Stockholm
1876 in 4*.
Wijkander, Aug. Observations magnétiques faites pendant l'ex-
péd. arctique en 1872—73. Stockholm 1876 in 4°.
137.
188. -
139.
140.
141.
142.
149.
150.
er
— Observat météorolog. de l'expédition тя smédoise
1872—73, Stockholm 1875 in 4^. | is
— — Sibiriens Land-och Sótvatten-Mollusker. T. Stockholm
1877 in 4’.
— — liche Observationer 1872—73. Stockliolai 1876
in 4^. N | |
— — Обе magnétiques faites’ pendant le SE
arctique en 1872—73. I. Stockholm 1877 in 4°.
‘Lundstrom, Anel. N. Kritische Bemerkungen über die Weiden
Nowa-Semljas. Upsala 1877 in 4°.
Berggren, S. Undersókning af Mossfloran vid Disko-Bugten och
Auleitsivikfjorden 1 Grónland. Stockholm 1875 in 4°.
. — — Musei et Hepaticae Spetsbergenses. Stockholm 1875 in 4°.
. Oberg, P. Om Triar-Fórsteningar fran Spetsbergen Stockholm
1877 in 4*.
9. Guennerstedt, Ang. Anteckningar om djurlifvet i ishafvet mel-
lan Spetsbergen och Grónland. Stockholm 1868 in 4°.
. Lindahl, Josua. Om pennatulis-slägtet Umbellula Cuv. Stock-
holm 1874 in 4°.
. Leche, Wilh. Ofversigt ófver de af svenska expeditionerna till
Novaja Semlja och Jenissey 1875 och 1876 insamlade Hafs-Mol-
lusker. Stockh. 1878 in 4°.
. Fries, Th. M. Lichenes Spitsbergenses. Stockholm 1867 in 4°.
Kjellman F. R. Ueber die Algenvegetation des Murmanschen
Meeres an der Westküste von Novaja Semlja und Wajgatsch.
Upsala 1877 in 4°. Les № 36—149 de la part du Baron de Nor-
denskiold.
Mittheilungen der deutschen Gesellschaft für Natur-und Völker-
kunde Ostasiens. 31-tes Heft. Iokohama 1884 in 4°. De la pari
de la Societé Allemande pour la connaissance de la nature et
des peuples de l'Est d'Asie a Iokohama.
. Annual Report of the Board of regents of the Smithsonian In-
stitution for the year 1882. Washington 1884 in 5°. De la part
de l’Institut Smithson a Washington.
154.
155.
156.
157.
158.
159.
160.
161.
162.
163.
164.
165.
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167.
zse || me
. Mittheilungen des Vereins für Erdkunde in Leipzig. 1877. 1883.
Leipzig 1878—84 in 8°. De la part de la Société géographique
de Leipzig.
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part de Mr. Woodward.
Damon, Robert. Geology of Weymouth, Portland and Coast of
Dorsetshire. New edition Weymouth 1884 in 8'. De in part de
l'Auteur.
Dybowski, Nl. N. Monographie der Zoantharia sclerodermata
rugosa aus der Silurformation Estlands. Fortsetzung. Dorpat
1874 in 8°.
— — Beschreibung einer Permischen Koralle. Fistulipora
Lahuseni n. sp. St.-Petersb. 1876 in 8°.
— — Ueber die Gattung Stenopora Lonsdale. St.-Pétersb.
1876 in 8°.
— — Die mit Lungen versehenen Fische in 4°.
— — Die Gasteropoden-Fauna des Baikal-Sees. in 8°.
— — Notiz über die aus Süd-Russland stammenden Spon-
gillen 1888 in 8°.
— — Benedikt. Einiges über die bathometrischen Arbeiten
am Baikalsee. Dorpat 1878 in &.
— — Monographie der Spongilla sibirica. Dorpat in 8".
— -- Mittheilung über einen neuen Fundort des Sehwam-
mes Lubomirskia baicalensis 1884 in 8°.
— — Kinige Bemerkungen über die Veränderlichkeit der
Form u. Gestalt von Lubomirskia baicalensis 1880 in 8°.
— -— Some Remarks upon the Variability of Form in Lubo-
mirskia baicalensis in 8°.
Dybowski, W. Notiz über die Vivipara-Arten des europäischen
Russlands in 8°.
— — Notiz über eine die Enstehung des Baikal-Sees betref-
fende Hypothese 1884 in 8°.
168.
172.
173.
174.
175.
176.
177.
178.
173
180.
181.
Fee
— — Studien über die Süsswasser-Schwämme des Russischen
Reiches. St.-Pétersb. 1882 in 4°.
. Дыбовски, B. И. Замфтки о Бадягахъ Южной Poccin. Xaps-
ковъ 1884 in 8°. 2 Ex. Les Л 155—169 de la part de l’Auteur.
. Chronique de la Société nationale d'Acelimatation de France.
1884. № 21. Paris 1884 in 8°. De la part de la Société natio-
nale d’Acchmatation de France à Paris.
. Записки Имп. Харьковскаго Университета. 1881. Toms 2. Харь-
ковъ 1883 in 8°. De la part de l'Université de Kharkoff.
Czullik, Aug. Behelfe zur Anlage u. Bepflanzung von Gärten
Wien 1882 in fol.
— — Bericht über die internationale Gartenbau-Ausstellung
in St.-Pétersbourg. Wien 1884 in 8°.
— — Ansichten von Eisgrub u. der neuen Park-Anlagen.
Mit der Erklärung. Wien in 8. Les № 172—174 de la part
de l'auteur.
The Canadian Entomologist. 1884. № 7. London 1884 in 8°. De
la part de Mr. le Rédacteur Saunders.
Zoologischen Anzeiger. 1884. № 180. Leipzig 1884 in 8°. De la
part de Mr. le Professeur Carus.
Journal of the American Medical Association 1884. № 16. Chi-
cago 1884 in 8°. De la part de la Rédaction.
Протоколь ЗасЪдавая Имп. Кавказскаго Медицинскаго Обще-
ства. 1884. № 6, 7. Тифлисъ 1884 in 8°. De la iix de la Société
I. des médecins du Caucase à Tiflis.
Zeitschrift der Deutschen Geologischen Gesellschaft. Band 36,
Heft 2. Berlin 1884 in 8*. De la part de la Société géologique
Allemande de Berlin.
Jhwenoi Журналъ. XIV годъ, вып. 7 и 8-й. С.-Петерб. 1884 in
8°. De la part de la Société forestiére a St.-Pétersbourg.
Русское Садоводство. 1884. № 43, Москва 1884 in 4°. De la
part de la Redaction.
. 4. 1884. 2
182.
183.
184.
185.
186.
187.
188.
189.
190.
191.
192.
193.
ates deo
Bockwerken ter Tafel gebracht der K. Natuurkundige Vereeni-
ging Jahr 1884. (Januari—Juni in 8°. De la part de la Société
R. des naturalistes a Batavie.
Feuille des jeunes Naturalistes. 1884. Ne 169. Paris 1884 in gr.
8°. De la part de Mr. Adrien Dollfus à Paris.
Petermann, A. Dr. Mittheilungen aus Justus Perthes Geographi-
scher Anstalt 1824. X. Gotha 1884 in 4*. De la pari de Mr.
Justus Perthes.
Omboni, Giovanni. Della Ammoniti del Veneto. Venezia 1884
in 8°. De la part de l'Auteur.
Alorecht, Paul. Ueber die morphologische Bedeutung der Kie-
fer-Lippen u. Gesichtsspalten. Berlin in 8°.
— — Ueber die Zahl der Zähne bei den Hasenschartenkie-
ferspalten. Brüssel 1884 in 8°.
— — Sur les éléments morphologiques du manubrium du
sternum chez les Mammiféres. Bruxelles 1884 in 8°.
— — Sur les homodynamies qui existent entre la main et
le pied des mammiféres. Bruxelle 1884 in 8°.
— — Erwiderung auf H. Prof. Hermann v. Meyer's Aufsatz
„der Zwischenkieferknochen etc. etc. Brüssel 1884 in 8%. Les №
186—190 de la part de l'Auteur.
Rozpriawy i Sprawzdania z posiedzen wydzialu matematyczno-
przyrodniczego Akademii Umiezetnosci. Tom XI. Krakowie
1884 in 8°.
Zbior Wladomosci do Antropologii Krazowés. Tom 8. W Krako-
wie 1884 in 8°.
Sprawozdanie Komisyi fizyjograficznej. Tom osmnasty. W Kra-
kowie 1884 in 8°. Les № 191—193 de la part de l'Académie des
sciences de Cracovie. |
. Att dell’ Accademia pontifica de nuovi Lincei. Anno 35. Roma
1888 in 4°. De la part de l’Académie pontificale de Тлтсе a
Rome.
195.
196.
197.
198.
199.
200.
201.
202.
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204.
205.
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ge
Carnoy, J. B. La Biologie cellulaire. Fascicule 1. Louvain
1884 in 8°. De la part de Ul Auteur.
Труды Общества Русскихъ Врачей въ МосквЪ. 1883. Москва
1884 in 8°. De la part de la Société des médecins russes a
Moscou.
Русский Въстникь на 1884 г. Октябрь. Москва 1884 in 8°. De
la part de la Redaction.
Записки Императ. Общества Сельскаго Хозяйства Южной Рос-
си. 1884. № 8. Одесса 1884 in 8°. De la part de la Société I.
d'Agriculture du Sud de la Russie d’Odessa.
Mémoires de l’Académie Royale de Copenhague. Classe des
sciences. Vol. 1. Ne 9, 10. Kjóbenhavn 1884 in 4°.
Bulletin (Oversigt) de l'Academie Royale de Copenhague. 1884.
№ 2. Kjobenhavn 1884 in 8°. Les 199, 200 de la part de" A-
cadémie Royale de Copenhague.
Der Zoologische Garten. Jahrgang 25, № 9. Frankturt a. M.
in 8°. De la part de la nouvelle Societé zoologique de Francfort
S5 DE |
Anales de la Sociedad cientifica argentina. Setiembre de 1884.
Buenos Aires 1884 in 8°. De la part de la Société scientifique
argentine de Buenos-Aires.
Giornale ed Atti della Societa di Acclimazione ed Agricoltura
in Sicilia. Vol. 24. Palermo 1884 in 8°. De la part de la Societé
d’acclimatation et d’agriculture en Sicile a Palerme.
Bulletin de la Société d'histoire naturelle de Colmar. 1860,
1861, 1862, 1863. Colmar 1860—63 in 8°. De la part de la So-
ciete d'histoire naturelle de Colmar.
Programm der Gewerbschule zu Bistritz in Siebenbürgen, 1, 2,
3. Jahresbericht 4, 6 und 10. Bistritz 1875—84 in 8°. De la part
de la Direction de l’École des metiers a Bistritz.
Verhandlungen des Naturwissenschaftlichen Vereins in Carls-
ruhe. Heft 1—6. Carlsruhe 1864—72 in 4° et in 8°. De la part
de la Société d'histoire naturelle de Carlsrouhe.
9*
208,
209.
210,
211.
212.
213.
215.
216.
._ oou.
. Hemopia Императорскато Университета Св. Владимтра cocra-
eue Проф. M. d. Владимреюй-Будановъ. Tow» 1. Kierr
1884 in 8°,
Hxonnuxoss, В. QC. Biorpadmuecxiit Словарь Профессоровъ и
преподавателей Имп. Университета Св. Владим!ра 1884—1884.
Kies 1884 in 8°.
Иконниковъ, B. C. Исторпко-Статистическя Записки объ уче-
ныхЪ и учебновспомотательныхь учрежденляхъ Ими. Универ-
ситата Св. Владимтра 1884—1884. Kies 1884 in 8°.
Академическае Списки Имп. Университета Св. Владимтра 1834—
1884. Клевъ 1854 in 8°. Tes = Ree dela part de l’Univer-
site de Kieff.
Цабель, H. E. Древесныя u кустарныя породы разводимыя BP
Poceiu съ указантемъ степени ихъ выносливости. wing 1884
in 8°.
— — Куреь Общей Ботаники. Растен1я цвЪтковыя. Москва,
1885 in 8°. Les Л 211, 212 de la part de l’ Auteur.
Uljanin, Basil. Die Arten der Gattung Doliolum im Golfe von
Neapel и. den angrenzenden Meeresabschnitten. Leipzig 1884
in 4°. De la part de V Auteur.
. Monatliche Mittheilungen des Naturwissenschaftlichen Vereins
des Regierungsbezirkes Frankfurt a. O. Jahrgang 2. № 7. Frank-
furt a. O. 1884 in 8°. De la part de la omen d'histoire natu-
relle de Frankfort sur V Oder. ; |
Чернышовъ, 9. Матерлалы къ изучен1ю Девонскихъ отложен й
Росси. (Труды Геолотич. Комитета). С-Петерб. 1884 in 4°, De
la part du Comité géologique de St.- MU
D. 9. Линдемань. Banbren о жизни и T PYAAR Ковальскаго. De
la part de "Auteur.
xo Oe
Membres élus.
Actifs: | |
(Sur la proposit. de M. M. Renard et Lindeman).
Mr. le Prof. H. A. Pagenstecher, Directeur du jardin zoologique
à Hambourg. | |
Mr. le Dr. François Crépin, Directeur du jardin botanique à Bru-
xelles. 2
Mr. le Prof. Alphonse Favre, à Généve.
Mr. le Dr. Geza Horvath, Directeur de la Station phylloxérique à
Boudapest.
(Sur la propos. du Conseil).
M. le Prof. Adolphe Erik Nordenskjeld, a Stockholm. :
SÉANCE DU 20 DÉCEMBRE 1884.
M. le professeur A. P. Sabanéief a exposé ses recherches sur
Vallyléne.
M. A. P. Pavlof a communiqué les recherches de M. Damès sur
lV Archaeopteryx.
S. Exc. M. le Curateur de Varrondissement scolaire de Moscou
annonce que, sur la demande qui en a été faite par la Société, le
Ministere de l’Instruction publique a consenti à accorder au fils de
Mme. Matwéief, une bourse de pensionnaire au Gymnase de Sym-
phéropol.
Sur la proposition du Conseil, la Société a résolu:
1) d'organiser dans les appartements de la Société une salle de
lecture, afin de donner au public la possibilité de profiter de la
bibliothéque; |
2) de nommer A, Е. Koudriavtzef aide-bibliothécaire de la So-
ciété;
c pani
3) d'exprimer à Mr. H. A. Trautschold la plus vive reconnaissan-
ce pour les services qu'il a rendu à la Société pendant de longues
années en qualité de secrétaire et de conservateur, et le regret
que cause son refus de continuer de remplir ces fonctions;
4) de charger S. Exc. M. le membre du Conseil V. A. Kiprianof
des fonctions de conservateur des cabinets géologique et minéralo-
gique;
5) de charger S. Exc. Mr. V. A. Kiprianof et Mr. le bibliothécaire
K. P. Pérépelkine de.quelques-unes des fonctions du secrétaire, sa-
voir: de l'expédition des publications de la Société et de l'annonce
des échanges réguliers faits avec d'autres sociétés.
Mr. Serg. Nicol. Nikitine de St.-Pétersbourg propose pour insérer
dans les Nouv. Mémoires de la Société la suite sur le Jura de
lElaima avec 5 planches et 8 politypages. Il désire de faire litho-
graphier les planches à St.-Pétersbourg chez Ivanson qui demande
pour la tithographie 175 roubles et pour le papier et l'impression
de 560 exemplaires 96 roubles en tout 271 roubles.
L'Université de Moscou remercie la Société du don qu'elle lui a
fait par son herbier consistant en 79 différentes eollections.
Mr. E. Boullet à Corbie (Somme en France) envoie une liste de
Lépidoptères de l'Europe, du Sud de l'Amérique, de l'Asie, de l'Af-
rique et de l'Océanie qu'il présente en échange.
Mr. Léowide Alexeiv. Wojekoff à Tambov a envoyé 2 roubles ar-
gent pour le Numéro du Bulletin qui contient le Flore du Gouver-
nement de Tambov par Ignatieff.
Mr. Edmund heiter de Mödling pres de Vienne envoie за 19-ème
liste de Coléoptéres qui sont en vente ou pour l'échange chez lui.
MM. le Baron de Nordenskiold de Stockholm, les Professeurs A.
Pagenstecher de Hambourg et Alphonse Favre de Genève remer-
cient pour leur élection comme membres actifs de la Société.
Le Président de la Société annonce la mort de notre ancien mem-
bre du Dr. Ed. Rüppel à Francfort s. M. à l'age de 90 ans passés
(né le 8 (20) Novembre 1794 et mort le 29 Novembre (11 Décembre)
1884. Le defunt avait donné encore au Président lors de son pas-
sage par Francfort s. M. en été sa carte photographiée.
Mr. François Fasbender de Vienne réiterant encore une fois pour
son élection de membre de la Société envoie sa carte photogranhiée
et la cotisation de 4 Rbles pour 1884.
La cotisation de 4 Rbles pour 1884 a été payée de méme par MM.
Fed. Fed. Christoff, Al. Egor. Riesenkampf et Iv. Iv. Leder (le der-
nier pour 1885) de même Mr. Jacques de Bedriaga à Nice pour 1885.
Mr. Fed. Fed. Christoff donne quelques détails sur ses excursions
entomologiques de cette années dans le Caucase, excursions qui, à
cause des froids tardives et de beaucoup de pluies, n'ont pas fourni
tant de papillons et insectes en général comme il avait espéré.
Mr. le Dr. Guido Schenzl envoie ses observations magnéto-mété-
orologiques faites pendant les mois d'Octobre et Novembre à Bu-
da-Pest.
Mr. le Dr. A. E. Riesenkampf de Piatigorsk recommande Mr.
Pierre Serg. Sipiagine (Сицягинъ) actuellement à Moscou, qui a
rassemblé pendant l'été de belles collections de plantes dans les
environs de l'Elborous entre lesquelles doivent se trouver un bon
nombre de plantes inconnues et neuves. Mr. Sipiagine voudra ven-
dre son herbier ou les doubles des plantes neuves.
Mr. le Dr. Jwl. Christ. Knoch annonce quil est nommé médecin
en chef de l’hopital militaire à Riga et prie de lui envoyer tout ce
qui est destiné pour lui dans la derniére ville et promet en méme
temps d'envoyer sous peu son travail sur Jes maladies des vers
à soie.
La Commissions pour organiser la féte du Jubilé de 50 ans du
Professeur Meneghini à Pise annonce quela féte aura lieu le 2 (14)
Décembre. Mr. le Président à envoyé au nom de la Société un té-
légramme de félicitations.
La Société géologique de Belgique à Liége prie de lui envoyer: Bul-
letin № 1 de 1874 et les livraisons 1—3 du tome 13 et la livraison
3 du tome 14 de nos Nouveaux Mémoires qui manqueat dans leur
bibliothèque et s'offre de nous envoyer les volumes de leurs Anna-
les qui manqueraient dans la bibliothéque de notre Société. Les de-
siderata ont été expédiées.
6}
po ЧЕ
S. Exc. M. A. I. Bitschkoff de St-Pétersbourg nous a envoyé plu-
sieurs paquets avec des livres destinés à notre Société et venus de
l'Amérique, de la France, Belgique et d'Italie.
Mr. le Baron Fed. Roman. Osten-Sacken envoie la seconde livrai-
son du tome 4 des Comptes rendu de la Société néerlandaise de
Botanique à Niméeue présentée par Mr. l'Ambassadeur Hollandais
pour notre Société. |
Mr. Marseul Redacteur de l'Abeille à Paris (12 volumes); l'Ob-
servatoire Royal de Bruxelles (Annales 24 tomes in 4°.) L'Académie
I. des sciences à St.-Pétersbourg et la Société d'agriculture du Cau-
case à Tiflis ont envoyés tous les desiderata qui leurs ont adressé
de notre part pour remplir les lacunes n se trouvent dans la bib-
liothéque de notre Société.
Le Président de la Société annonce que le Bulletin Ne 2 de 1884
est achevé et pret à étre envoyé (distribué) un de ces jours.
Remercimens pour l'envoi de nos publications de la part de PU-
niversité de Varsovie, de l'Administration des mines en Finlande à
Helsingfors, de la Société des médecins russes à St.-Pétersbourg, de
la Société I. d'agriculture de Moseou et de la Société des amis d'hi-
stoire naturelle du Tourkestan à Taschkent, du Société des Natura-
listes Lotos de Prague et de Basle, de la Société Royal de Londres.
Le Professeur Neugebauer de Varsovie a envoyé plusieurs osse-
mens fossiles trouvés dans la caverne de Gailenreuth.
ом
Livres offerts.
1. Извьстля Геологическато Комитета 1884. Toms 3-й. № 7. C-Ie-
терб. 1884 in 8°. Dela part du Comité géologique de St.- Peters-
bourg.
2. Der Naturforscher. Jahrgang 17. № 45, 46, 47, 48, 49. Berlin
1884 in 8°. De la part de Mr. le Dr. Sklarek de Berlin.
9. Zoologischer Anzeiger. Jahrgang 7. № 181, 182. Leipzig 1884 in
8°. De la part de Mr. le Prof. I. V. Carus à Leipzig.
4.
7.
10.
IE
12.
13.
14.
15.
or
m1)
Nature. 1884. № 785, 786, 787, 788, 789. London 1884 in 4. D.
la part de la Rédaction.
. Bulletin de l’Académie de médecine. 1884. № 46, 47, 48, 49.
Paris 1884 in 8. De la part de l’Académie de médecine à Paris.
. Journal of the American Medical Association. Vol. 3, N* 18—
20, 21. Chigaco 1884 in 4°. De la part de l'Association améri-
caine de médecine a Chicago.
Bollettino della Societa africana d'Italia. Anno 3. fasc. 5. Na-
poli 1884 in 8°. De la part de la Société africaine d'Italie à
Naples.
. Memoire of the Museum of Comparative Zoology at Harvard
College. Vol. 9, Ne 3. Agassiz. Selections from Embryological
Monographs. Cambridge 1884 in 4°. De la part de Mr. Alexan-
dre Agassiz.
. Anales de la Sociedad cientifica argentina. Tomo 18. Entrega
4. Buenos Aires 1884 in 8°.
Holmberg, Ed. Ladisl. La sierra de Curamalal. Buenos Aires
1884 in 8°. Les № 9 et 10 de la part de la Société scientifique
argentine de Buenos Aires.
Bulletin mensuel de la Société nationale d’Acclimatation de
France. 1884. № 8, 9. Paris 1884 in 8°.
Chronique de la Société nationale d’Acclimatation de France.
2-е série. № 22, 23. Paris 1884 in 8°. Les № 11, 12 de la part
de la Société nationale d'Acclimatation de France à Paris.
Boletin de la Academia nacional de ciencias en Cordoba. Tomo
6, Entregas 2 y 3. Buenos Aires 1884 in 8° De la part de
l’Académie nationale des sciences de Cordoba dans la République
argentine.
Comptes rendus hebdomaires des sciences de la Société de
Biologie. 8-éme Série. Tome 1. № 37, 38—41. Paris 1884 in 8°.
De la part de la Société de Biologie de Paris.
Университетская ИзвЪстя. 1884, № 7, 8. Кевъ 1884 in 8°. De
la part de l’Université de Kieff.
. 16,
17.
18.
10.
20.
Записки Hogroporckaro Общества, Пчеловодства. Tour 4. Cen-
тябрь 1884. Новгородъ 1884 in 8°. De la Société.
Bollettino della Societa geografica italiana. Anno 18, fasc. 10.
Roma 1884 in 8. De la part de la Société géographique italienne
de Home.
Journal de Micrographie. 1884. № 10. Paris 1884 in 8^, De la
part de Mr. le Dr. I. Pelletan.
Botanisches Centralblatt. 1884. № 46, 47, 48, 49, 50. Cassel 1884
in 8°. De la part de Mr. le Dr. Oscar Uhlworm à Cassel.
Bulletin de la Société Belge de Microscopie. 10-óme année
‚№ 12 et 11-ème année № 1. Bruxelles 1884 in 8°. De la part
391.
24.
de la Société Belge de Microscopie a Bruxelles.,
Bulletin de la Société d’étude et des sciences naturelles de
Nimes. 1884. № 8 et 9. Nimes 1884 in 8. De la part de la
Société d'étude et des sciences naturelles de Nimes.
. Annals of the New York Academy of sciences. Vol. 3. N т
and 2. New York 1888 in 8°
. Transactions of the New York Academy of sciences. Vol. 2.
Contents Vol. 2. New York. 1882—83 in 8° Les Л 22, 23 de
la part de l'Ácadémie des sciences de New York.
Miller, Friedrich. Grundriss der Sprachwissenschaft. Band 3.
Abtheilung 2, Hälfte 1. Wien 1885 in 8°. De la part de l’Au-
teur.
. Gartenflora. 1884. October. Stuttgart 1884 in 8°. De la part de
S. Exc. Mr. Regel.
. Bericht (4 ter) der Commission zur wissenschaftlichen Unter-
suchung der deutschen Meere in Kiel für die Jahre 1877—
1881. 7—11 Jahrgang. Abtheilung 3. Berlin 1884 in 4*. De la
" part de la Commission pour examiner les mers Allemands à
21.
Kiel.
Schriften des Naturwissenschaftlichen Vereins in Schleswig-
Holstein. Band V. Heft 2. Kiel 1884 in 8°. De la part de la
Société d’histoire naturelle de Schleswig-Holstein a Kiel. .
128.
29.
90.
91.
34.
35.
36.
38.
39.
40.
ame it
Mittheilungen des Vereins der Aerzte in Steiermark. XX. Ve-
reinsjahr 1883. Graz 1884 in 8°. De la part de la Société des
Médecins à Graz.
R. Comitato geologico d'Italia. 1884. Bollettino 9 e 10. Roma
1884 in 8°. De la part du Comité В. géologique d'Italie a Rome.
Sitzungsberichte der mathematisch-naturwissenschaftlichen Clas-
se der К. Akademie der Wissenschaften in Wien. 1884. № 20—
23. Wien 1884 in 8°. De la part de l'Académie I. des sciences à
Vienne.
Annales de Observatoire de Moscou. Vol. X, livrais. 2. Moscou
1884 in 4°. De la part de Mr. Th. Bredichin.
‚ Записки Kiesckaro Общества Естествоиспытателей. Tour 7,
вый. 2. Приложене. Kies» 1884 in 4°. De la part de l’Univer-
site de Kieff.
Russisches Revue. Jahrgang 13, Heft 4. St. Petersburg 1884 in
8, De la part de la Redaction.
Publicazione del Reale ОБЬ di Brera in Milano. № 24.
Milano 1884 in 4°. De la part de l’Observatoire Royal de Brera
a Milan.
Atti dell’ Accademia pontifica de’Nuovi Lincei. Anno 36. Ses-
sione 1 del 31 Dicembre 1882. Sess. 2. 8. Gennaio 1883, Sess.
3. Febrar. Sess. 4. Roma 1883—84 in 4°. De la part de l’Aca-
demie pontificale de Nuovi Lincei à Rome.
. Крыловъ, А. По вопросу o вывоз$ нашихъ фосфоритовъ. 1884
in 8°. De la part de l’Auteur.
André, Ed. Species des Hyménoptères d'Europe et d'Algérie,
Fascicules 21, 22 et 23. Beaune 1884 in 8°. De la part de
l'Auteur. |
Будринз, II. B. Отчеть mo оцытной qopwb5 Института Сель-
скаго Хозяйства m ЛЪсоводетва въ Новой Александр за 1883
годъ. Варшава 1884 in 8°. De ia part de l’Institut d'agriculture
de Novii Alexandrie.
Transactions of the Norfolk and Norwich Naturalits Society.
Vol. 3, part 4, 5. Norwich 1883—84 in 8°. Dela part de la So-
ciele des naturalistes à Norwich.
41.
42.
49.
44.
40.
406.
4T.
49.
50.
51.
53.
28 De le
Nova Acta Regii Societatis scientiarum Upsalensis. Seriei teraiet.
Vol. 12, fasc. 1. Upsaliae 1884 in 4°. De la part de la Société
Royale des sciences de Upsaia.
Garten-Zeitung. Jahrgang 3. Ne 47, 48, 49, 50. Berlin 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Dr. Wittmack de Berlin.
Труды Ими. Вольнаго Экономическато Общества. 1884 г. Toms
3-й вып. 2. С.-Петерб. 1884 in 8°. De la part de la Societé I.
libre économique de St.-Pétersbourg.
Proceedings of the american philosophical Society. Vol. 21. №
115, Philadelphia 1884 in 8*. De /a part de la Société philoso-
phique américaine de Philadelphie.
Sanucxu Имп. Харьковскаго Университета. 1881 г. T. Ши
IV. 1882 r., T. 1. Харьковъ 1883—84 in 8°. De la part de VU-
niversité de Kharkoff.
Mémoires de l'Académie Royale de Copenhague. 6-ème série.
Classe des sciences Vol. 2, № 6. Kjobenhaon 1884 in 4". De la
part de l'Académie Royale de Copenhague.
Mittheilungen des Vereins für Erdkunde zu Halle a. S. 1884.
Halle a. S. 1884 in 8°. De la part de la Société géographique
de Halle.
. Mittheilungen des Anthropologischen Gesellschaft in Wien.
Band 14. Heft 2 u 3. Wien 1884 in 49. De la part de la, Société
anthropologique de Vienne.
Der Zoologische Garten. Jahrgang 25. № 10. Frankfurt a. M.
1884 in 8°. Dela part de la Société zoologique de Francfort s. M.
The Canadian Entomologist. Vol. 16. № 8. London 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Rédacteur. Wm. Saunders.
Pessoa Allen, W. Portugal a Africa. Primeire parte. Lisboa
1884 in 8°. De la part de РАщеиг.
. Lanzi, M. Fungi in ditione florae romanae enumerati. Roma
1884 in 4°. De la part de l’Auteur.
Dybowski, W. Notiz über einen neuen Mammuthzahn-Fund im
Gouvernement Minsk. St.-Petersburg 1874 in 8°.
54.
55.
56.
57.
60.
61.
e.
bo
63.
64.
65.
66.
e 9054
— — Die mit Lungen versehenen Fische. in 8°. —
— -— Einige Bemerkungen über die Veränderlichkeit der
Form u. Gestalt von Lubomirskia baicalensis. St.-Petersburg
1880 in 8°. Les „№ 58—55 de la part de l’Auteur.
Feuille des jeunes Naturalistes. 15-ème Année. X 170. Paris
1884 in 8°. De la part de Mr. Adrien Dollfus.
Mittheilungen der К. К. Mährisch-Schlesischen Gesellschaft
zur Beförderung des Ackerbaues, der Natur—u. Länderkunde
in Brünn. Jahrgange 1858 u. 1878. Brünn 1858 u 1878 in 4*.
De la part de la Société I. R. de la Moravie et de la Silesie
pour l'agriculture et de la connaissance de la nature et du pays.
‚ Archives du Musée Teyler. Série II. Vol. 2 premiére partie.
Haarlem 1884 in gr. 8°. De la part du Musée Teyler de Harlem.
. Videnskabelige Meddelelser fra Naturhistorisk Forening i Kjo-
benhavn for Aaret 1883. X 2. Kjobenhavn 1884 in 8°. De la
part de la Société d'histoire naturelle de Copenhague.
duypuaas Министерства Народнаго [pocrbmenis. 1884. Ноябъь.
C.-Ilerep6. 1884 in 8°. De la part de la Rédaction.
Abhandlungen der Naturforschenden Gesellschaft zu Görlitz.
Band 18. Band 2. Heft 1, 9. Band 3. Heft 2. Band 4. Heft 1
u 2. Band 5. Heft 1 u 2. Band 6. Heft 1 u 2. Band VII. Heft
1. Górlitz 1836—84 in 8°.
Glocker, Ernst Fr. Geognostische Beschreibung der preussischen
Oberlausitz. Görlitz 1857 in 8° et 2 cartes géologiques in fol.
Les Л 61 et 62 de la part de la Société d'histoire naturelle de
Görlitz. * :
Satzungen der Freien Deutschen Hochstiftes für Wissenschaf-
ten, Künste u. allgemeine Bildung zu Frankfurt a. M. 3-te
Ausgabe. Frankfurt u. M. 1865 in 8°. Se
Verzeichniss des Hohen Beschützer sowie sammtlicher Genos-
sen der Fr. O. Hochstiftes. Frankf. a. M. 1876 .in 8°.
Die Feier des Góthe-Tages. Frankfurt a. M. 1880 in 8°.
Carl August in Frankfurt a. M. Frankfurt a. M. 1880 in 8°,
67.
68.
69.
40.
a) i ape
Die Schreibung der Deutschen Sprache. Frankf. a. M. 1880.
Berichte über die Verhandlungen des Freien Deutschen Hoch-
stiftez zu Frankfurt a. M. Erstes Jahrgang. Frankf. a. M; 1861
in 9°,
Berichte des Freien Deutschen Hochstiftes in Göthes Vater-
hause. Vom Lenzmonate 1878. Wintermonat 1879—87. Jahr-
gang 1880—81. Lief. 1. Jahrgang 1881—2. Liefer. 8. Jahrgang
1882—83. Lief. 1—4. Jahrgang 1883—84. Lieferung 1 u. 9.
Frankfurt a. М. 1880—84 in 8°.
Satzungen der Freien Deutschen Hochstiftes in Frankfurt am
Маш 1884 in 8. Les Л 63—70 dela part de UÜ Institut Allemand
. libre des sciences d'art etc. etc. à Francfort s. M.
79.
. 80.
. Visit of the British Association for the advancement of science
to the City of Quebec. 1884. Montreal in 8°.
. Rayleigh Lord. Address, Montreal 1884 in 8*.
. Programme. Local Arrangements. Montreal Meeting 1884. Mon-
treal 1884 in 8°.
. Second List of Resident and non-resident Membress and Asso-
ciates. Montreal 1884 in 8°.
j Supplementary list and second Supplementary of Resident and
non resident members and Associates. Montreal 1884 in 8*.
. Journal of Sectional Proceedings. № 2—7. Montreal 1884 in 8*.
. Report on Conveyance. Montreal Meeting. Montreal 1884 in 8°. |
. List of Visiting members. Montreal Meeting. Montreal 1884
in 9*. Les N* 71—78 de la part de Mr. le Chevalier L. A. Hu-
gurt-Latour de Montreal.
American Chemical Journal. Vol. 6. № 4. Baltimore 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Rédacteur Ira Remsen à Baltimore.
Transactions of Vassar Brothers Institute and its scientific
section. Poughkeepsie, N. I. 1883—84. Vol. 2, part 1. Poughkeep-
sie 1884 in 8°. De la part de l'Institut Vassar Brothers à Pough-
keepsie.
81.
82.
83.
84.
85.
86.
87.
88.
89.
90.
91.
92
conde es
Sizungsberichte der mathematisch-physikalischen Classe der
K. K. Akademie der Wissenschaftens zu München. 1884. Heft 2.
Munchen 1884 in 8°. De la part de l’Academie В. des sciences
de Munich.
Bapwasexia Университетская Useberia 1884. № 1—4. . Ворона
1884 in 8°. De la part de l’Université de Varsovie.
Jahres-Bericht (6l-ter) der Schlesischen Gesellschaft fir Va-
terlandische Cultur. Breslau 1884 in 8°. De la part de la So-
ciete silesique pour la culture du pays a Breslau.
Petermann’s A. Mittheilungen aus Justus Perthes geographi-
scher Anstalt. Band 30. 1864. Gotha 1884 in 4°. De la part de
Mr. Justus Perthes.
Annales de l'Observatoire Royal de Bruxelles. Tomes I, part
1 et 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 partie 1 et 2, 9, 10, 11, 12, 14, 15, 16,
19, 20, 21, 22, 23, 24, 25. Bruxelles 1834—1877 in 4°.
— — — — — — — — — — Nouvelle Série. Anna-
les astronomiques. Tome 1—4. Bruxelles 1878—1888 in 4*. Les
Ae 85 et 86 de la part de l'Observatoire Royal de Bruxelles.
Memorie della Aecademia delle scienze dell'Instituto di Bo-
logna. Serie IV. Tomo IV. Bologna 1882 in 4°. De la part de
l'Académie des sciences de l'Institut de Bologne.
Korrespondenzblatt des Naturforscher-Vereins zu. Riga. XXVII.
Riga 1884 in 8°. De la part de la Société des Naturalistes de
Riga.
Tijdschrift der nederlandsche Dierkundige Vereeniging. Sup-
plement Decl 1. Aflevering II. Leiden 1883—84 in 8°. De la
part de la Société Néerlandaise de Zoologie a Leide.
Struckmann, C. Die Einhornhöhle bei Scharzfeld am Harz.
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De la part de Mr. Henry Woodward à Londres.
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sée Royal d'histoire naturelle de Belgique à Bruxelles.
Société d'histoire naturelle de Toulouse. 1884. Bulletin tri-
mestriel: Avril, Mai, Juin, Toulouse 1884 in 8°. De la part de
la Société d'histoire naturelle de Toulouse.
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Toulouse. Tome 5. № 2. Toulouse 1884 in 8°. De la part de la
Societe academique franco-hispano-portugaise de Toulouse.
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Denissenko, Gabriel. Einiges über den Bau der Netzhaut des
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vulgaris) u. bei Ophidium barbatum 1881 in 8°.
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108.
109.
110.
113.
114.
115.
+17.
BR er
— — Ueber den Bau u. die Function des Kammes (Pecten)
im Auge der Vögel. in 8°. Les № 104—106 de la part de l’Au-
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part de la Société forestiére de St.-Pétersbourg.
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водной губки Dosilia Stepanovii. Харьковъ 1884 in 8°. De la
part de V Auteur.
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l'Académie Royale des sciences, letires et arts de Modéne.
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Nancy 1884 in 8°. De la part de l'Académie de Stanislas à
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6—10. Тифлисъ 1884 in 8°. De la part de la Socicté d’agricul-
ture du Caucase à Tiflis.
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Wissenschaft u. Kunst 1883. Münster 1884 in 8°. De la part
de la Société westphalienne des sciences et des arts à Münster.
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TIS,
120.
121.
122.
a (HR duis
Труды Имп. С.-Петерб. Ботаническаго Сада. Tow» 8, BB. 8.
Томь 9, вып. 1. С.-Петсрб. 1884 in 8°. De la part du Jardin
botanique de St-Pétersbourg.
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rum. Petropoli 1880 in 8°. Les № 119, 120, de la part de l'Au-
teur. |
Parrey, Paul. Gàrtnerischer Katalog. in 8°. De la part de Mr.
Parrey de Berlin.
Линдемань. В. О видахъ Anisoplia, живущихъ въ Донской
Области. Одесса. 1884.
Membres elus.
Actifs:
(Sur la proposition de M. M. Vechniakoff et Renard).
M. le Prof. J. B. Carnoy à Louvaine.
(Sur là propos. de M. M. Mensbier et Lindeman).
Philipp Lutey Sclater.
Richard Bowdler Scharpe.
Henry Seebohm à Londres.
Corespond. ants:
(Sur la proposit. de M. M. Renard et Lindeman).
Wen. Iw. Dybovsky à Niankow. prés de Minske.
Premiére série du don a la Société Impériale des
Naturalistes de Moscou de la Bibliothéque des sciences na-
turelles appartenant à M. THEODORE WECHNIAKOFF,
membre de la Société et auteur des ,Recherches sur les
conditions anthropologiques de la production scientifique et
esthétique. 1865—1873“.
Plusieurs ouvrages contiennent des notes manuscrites en
marge du donateur.
A. Anthropologie Somatique, Fonctionelle, Historique et
Géographique.
62. *) Appun, C. F. Unter den Tropen. Venezuela. Britisch Guyana.
Jena. 1871. B. 1—2. in 8*.
47. Aubert, H. Physiologie der Netzhaut. Breslau. 1864 in 8*.
22, Baerenbach, Е. Das Problem einer Naturgeschichte des Wei-
bes. Jena. 1877 in 8*.
6. Bain, A. Sens et l'intelligence. Paris. 1874 in 8°.
24. Barrier, Е. Principes de sociologie. T. 1—2. Paris. 1867 in 8*.
27. Bastian, A. Das Beständige in den Menschenrassen. Berlin. 1868
in 8°,
*) Les ouvrages sont classés d’après les numéros d’ordre du do-
nateur, lequels numéros sont conservés à ce Catalogue.
33.
46.
10.
25.
57.
45.
55.
11.
54.
18.
У
Biard, Е. Deux années au Brésil. Paris. 1862 in 8°.
Böhmer, H. Sinneswahrnehmung. Lief. 1—8. Erlangen. 1863—65
in 8°.
Brosius, C. M. Elemente des Irrsinns. Leipzig. 1865 in 8°.
— Gehirn ist das Organ des Geistes. Neuwied. 1864 in 8°.
Carrey, E. Le Pérou. Paris. 1875 in 8°.
Cerise, Des fonctions et des maladies nerveuses. Paris. 1870
in 8% 3
Charcot, J.—M. Lecons sur les troubles trophiques consécutifs aux
maladies du cerveau. Paris. 1872 in 8°.
Cornelius, C. S. Theorie des Sehens und ráumlichen Vorstellens.
Halle. 1861 in 8*.
. Cros, A. Fonctions supérieures du systeme nerveux. Rogues
des conditions organiques et dynamiques de la pensée. Paris.
1875 in 8°.
. Dally, E. Programme d'un cours d'Ethnologie. Extr. de la Philos.
positive. Nov.—Dec. 1861 in 8°.
. D'Avril, A. Arabie contemporaine. Paris 1968 in 8°.
. Delboeuf, J. Psychologie comme science naturelle. Son présent
et son avenir. Paris. 1876 in 8°.
Dühring, E. Kritische Geschichte der Philosophie. 1-re et 2-me
éditions. Berlin. 1869 u. 1873 in 8°.
‚ Dupin de Saint Andrée, A. Mexique aujourd'hui. Paris. 1884 in 8*.
. Eulenburg, A. Lehrbuch der functionellen Nervenkrankheiten
auf physiologischer Basis. Berlin. 1871 in 8*.
. Ferrier, D. Fonctions du cerveau. Paris. 1878 in 8*.
. Fontpertuis, A. Les états Latins de l'Amérique. Paris. 1882 in 8°.
Fournie, Ed. Recherches expérimentales sur le fonctionnement du
cerveau. Paris. 1873 in 8°.
— Essai de Psychologie. La bête et l’homme. Paris. 1877 in 8°.
59.
43.
23.
30.
15.
19.
14.
Ri our.
Girard de Rialle. Peuples de l'Asie et de l'Europe. Paris in 16°,
. — Peuples de l'Afrique et de l'Amérique. Paris in 16°.
Gratiolet, P. De la physionomie et des mouvements d'expres-
sion. Paris in 8°.
. Guillaume de Moissey, J. A. Nouveau traité des sensations. T.
1—2. Paris. 1876 in 8°.
Houdoy, J. Beaut& des femmes dans la littérature et dans les
arts du XII au XVI siécle. Paris. 1876 in 8°.
Jagor, F. Singapore. Malacca. Java. Reise-Skizzen. Berlin. 1866
in 8°.
. Jouan, H. Iles du Pacifique. Paris in 16°.
. Lange, F. A. Geschichte des Materialismus. Neuere Philoso-
phie. Naturwissenschaften. Bd. 1—2. Leipzig. 1874—75 in 8°.
. Lefevre, A. L'homme à travers les ages. Paris. 1880 in 8°.
. Letourneau, Ch. Physiologie des passions. Paris. 1868 in 8°.
. Liard, L. Logiciens anglais contemporains. Paris. 1878 in 8°. |
. Гоше, H. Geschichte der Aesthetik in Deutschland. München.
1868 in 8$".
. Luys, J. Cerveau et ses fonctions. Paris. 1876 in 8°.
. — Leçons sur la structure et les maladies du systeme ner.
veux. Paris. 1875 in 8*.
. Maudsiey, H. Die Physiologie und Pathologie der Seele. Bearb.
v. В. Boehm. Würzburg. 1870 in 8°.
Medem, R. Grundziige einer exacten Psychologie. Leipzig. 1876
in 8°.
Moreau de Tours, J. Psychologie morbide dans ses rapports
avec la philosophie de l'histoire. Paris. 1859 in 8°.
Morel, B. A. Traité de dégénerescences physiques, intellectuel-
les et morales de l’espéce humaine. Paris. 1857 in 8°.
1*
51.
40.
28.
29.
17.
31
30.
20.
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53.
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— Psychologie anglaise contemporaine. Paris. 1875 in 8°.
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Saleta, К. Principes de logique positive. Paris. 1873 in 8°.
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in 16°.
4. — Leçons sur les humeurs normales et morbides. Paris. 1867
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decine de Paris. 1-ге et 2-de éditions. Paris. 1867 et 1870 in 8°,
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87.
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T
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Hilaire. Paris. 1847 in 8*.
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Bericht über die Fortschritte der Anatomie und Physiologie.
. Herausg. von Henle, J. Meissner, G. u. Grenacher, H. Leipzig et
Heidelberg. in 8°. 1856. 1857. 1858. 1859. H. 1—3, 1859. H. 1. 2.
1860. H. 1— 3. 1861.H. 1. 2. 1862. 1865—1869.
aos CAF a,
91. Centralblatt Biologisches. Herausg. v. J. Rosenthal. Erlangen.
in 8°. 1882 u. 1883.
99. Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. Directeur
A. Dechambre. Paris. in 8°.
Toute pe tee Men Ti hy ee У (ch. 1. 2).
1864—72.
I. Série XV p. 1.2. XVI. 2. XVII—XXIV. XXX. 1. 2. XXXI. 1.
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2, XII. 1. 2. XVII—XV. p. 1. 2 ЖЕ 2: XX. E72.
In .2.103,:2; HE 1.2.-IV.. 25: V5 15,2: VE 1.:2.. VII. 1. VOL
B2. DX T2 Х 1.2. XI. 2. Хо Хх. 1.
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WII DL 218% 1. 2.X. 1.
88. Handwórterbuch der Zoologie und Anthropologie.Herausg. vou
Pr. а. Jäger. Aus Encyclopädie der Naturwissenschaften. Lief
1—7. Breslau. 1879—1881 in 8°.
90. Jahresberichte über die Fortschritte der Anatomie und Physio-
logie. Herausg. v. Hoffman und Schwalbe. Band I, II, III. H. 1.
209. Ns 1. 2. VI. 1.2. X. 1. 2 XI. 2. XIL 1. 18791879;
1882—1884 in 8°.
97. Journal d'anatomie et de physiologie normale et pathologique
de l’homme et des animaux. Publ. par Ch. Robin et G. Pouchet.
Paris. in 8°. 1870. 1872. 1—6. № 2—6. 1873. № 1—6, 1874. № 1—6.
1875. № 1—6. 1876. № 1—6. 1877. № 1—6. 1878—1884.
98. Révue des seiences médicales en France et a l'etranger. Re-
dig. par G. Hayem. Paris. in 5° 1873—82. № 1. 3—23. 25—40.
(T. 1—XX). [able par noms d'auteurs et table des matièrs.
Tom. VII—X, XIII, XIV, XVII, XVIII. in &°.
Cosmologie: Chimie générale, Mathématiques, Physique,
science inorganique concrète et leur histoire.
C.
22. Béchamp, A. Circulation du carbone dansla nature. Paris. 1867
in 8*
96. Behrens, H. Die Krystalliten. Kiel. 1874 in 8°.
ziv || FAR
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turelle. Liège. 1866 in 8°. Texte et Atlas.
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Leipzig. 2 Aufl. 1864 in 8°.
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Klein, H. Entwickelungsgeschichte des Kosmos. Braunschweig.
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Leipzig. 1867 in 8*.
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58.
24.
82.
34.
47.
50.
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schweig. 1869 in 8°.
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dien. Bonn. 1867 in 8° gr.
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55.
40.
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12.
ве
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Zóllner. Ueber die Natur der Cometen. Leipzig. 1872 in 8°.
Dictionnaire des mathématiques appliquées. Par Sonnet. Fasc.
1—9. Paris. 1867—68 in 8°.
13. Dictionnaire de Chimie pure et appliquée. Par Ad. Wurtz.
Fasc. I—VIII et Suppl. 1—8, IX—XVI, XX, XXV, XXVI. Paris
1869—72 in 8*.
(à continuer).
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BULLETIN
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DES VATURALISTBS
DE MOSCOU.
Publié
gous la Rédaction du Docteur Renard.
ANNEE 1884.
A- S,
(Avec 5 planches.)
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MOSCOU.
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EXTRAIT DU REGLEMENT |
DE LA
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SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATURALISTES —
DE MOSCOU.
Année 1884,—79-ème de sa fondation.
Les Membres qui auront payé la cotisation de 4 ВЫз anmuelle- .
ment, ou la somme de 40 Rbls une fois payée, recevront, sans au-
cune redevance nouvelle, les Mémoires ct le Bulletin de la Société.
L'auteur de tout Mémoire inséré dans les publications de la So-
ciété, recevra gratuitement 50 exemplaires de son Mémoire, tirés
à part.
Les travaux présentós à la Société peuvent étre rédigés dans tou-
tes les langues généralement en usage. | |
La Société doit à la munificence-de Sa Majesté VEmpcroue une
somme annuelle de 4.857 r. 14 c.
Seances pendant lannee 1885.
17 Janvier. | 19 Septembre.
2] Février. | 9 et 24 Octobre.
14 Mars. | 14 Novembre. .
18 Avril. | 19 Décembre.
Les séances ont lieu dans le local de la Société, hôtel de l'Université.
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TABLE DES MATIERES
CONTENUES DANS CE NUMERO.
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"Quelques formules de p cere des cométes. Par Eh. Bre-
diehin. . . . LA
‚Neue Beiträge zur Round dé or Fauna as Baikal:
. Rees. Von Dr. №. Dybowski. Mit 8 Tafel-Abbildungen.
Sur la grande cométe de 1811. o une planche). Par. Th.
^| Mrediehin. : . . ME
0 добыванш It boii pasate и, А. банана,
‚sur les têtes des comètes. (Avec deux seid Par Wh. E re-
dichin.
Onucors растен1й изъ dr части О en
Виктора М$шаева.
"Notes sur l'histoire géologique des oiseaux. ark Pao
"Liste des algues observées dans le gouvernement de Moscou.
Par A. Artari. . . MOT S is
Ein Beitrag zur Kenntniss deny im Baikal- did bowen gee
* arten von Dr. W. Dybowski in Niankow. Hiezu Tat. IV.
Новые виды рода Jalla Hahn. B, E. Яковлева.
"Reise nach Chanskaja Stafka und zum grossen Bogdoberg. Be-
schreibung der Mylabris melanura - Larve; Verhinderung
der Wasserscheu durch Cetonia aurata; das-Vorkommen
versehiedener Insekten und oen Ti
Von Alex. Becker.
"Note sur les Pecten lucidus Goldf. E. Deu “Manet. Par le
Marquis. Ant. de Gregorio. . . AP int
Extrait des protocoles des séances de la о iy Natura-
+ listes.
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100
124
161
MEMBRES DU BUREAU.
POUR i ANNÉE 1885.. = NC
PRÉSIDENT: Mr. Dh rius Ly: Renard, Conscilles pr ve. » n
er maison de la Princesse Ka
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SECRÉTAIRE: ‘Mr Charles (QUU UP Conseiller Pee |
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MEMBRES DU CONSEIL: | vont Qu
Mr. Serge Oussov, п. d'État
: Aphanasievskoi Péréoulok, maison Fritsch
Mr. Th éodore Sloudsky,. Conseiller dÉt |
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Troitzi griazi. | M NL
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l'Université. DUM y Per. : um Ä de 4 Uni-
versité. OR E |
BIBLIOTHÉOATRES Mr. DO Para p n
mande, Poslannikov Рег ees maison Delsalle
À CONSERVATEURS DES COLLECTIONS: —
Mr. Adrien Golovatschov, Е de
lections zoologiques. Premiere. Metschanskai
du Jardin botanique de Université. A.
Mr. Ch. Lindeman, Professeur, à V Académie. d'A
culture de Petr ovsky-Hazoumovsky, e |
Mr. J.N.Goroschankine, De pt
des collections OHNE. au ara E. |
l'Université. | issus
| Мг. Valerien Kiprijanoff, Cons. brisé CH eur
. des collections minéralogique. et paléontologique
+ Chérémetiévsky Pereoulok, m. Chérémetiéf, Ae 11
; MEMBRE. ADJ OINT pour la Rédaction des Mémoires et du Bull
: ° Mr. Jean Dumouchel, Conseiller d'État. d
Gontcharnaïa, maison Sfépa now. d
TRÉSORIER ET AIDE-BIBLIOTHÉCAIRE:
Mr. Alexis Koudriavzev. Arbat, Keriooniklsha
— Péréoulok, т. Magherovskoi. .
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DES NATURALISTES —
Publié
sous là Rédaction du Docteur Renard,
ANNEE 1881.
à A,
(Avec 2 planches.)
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DE M OSCOU.
Année 1884, — 19-éme de sa fondation. -
Les Membres qui auront payé la cotisation de 4 Rbls iuge |
ment, ou la somme de 40 Rbls une fois payée, recevront, sans au- .
cune redevance nouvelle, les Mémoires et le Bulletin de la Société. |
L'auteur de tout Mémoire inséré dans les publications de la So- |
clété, recevra gratuitement 50 exemplaires de son Ma tirés
à part. ! : EE
Les travaux présentés à la Société peuvent étre die dans tou- à
tes les langues généralement en usage. |
La Société doit à la munificence de Sa Majesté PERO Une
. somme annuelle de 4.857 r. 14 c. | Eu
Séances pendant lannée 1885.
17 Janvier. | | 19 Septembre.
21 Février. | 3 et 24 Octobre.
14 Mars. 14 Novembre.
18 Avril : | i 19 Décembre.
- Les séances ont lieu dans le local de la Société, hôtel de l'Université.
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TABLE DES MATIERES
CONTENUES DANS CE NUMÉRO.
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-- По поводу предложенпаго г. Вышнеградекимъ вывода Манс-
веллова закона. А о lolo ee
Ueber Meromyza saltatrix Mg. und Elachiptera cornuta Е.
Vion sero. c Eandemamq.::. T... Se 3
"Studien über die Zahnplatten der Gattung Limnaea Lam. Von
Dr. W. Dybowski in Niankow. Hiezu Tafel.V........
Verzeichniss der;bei Moskau vorkommenden Borkenkaefer. Von
Deore иена.
Dritter Bericht über den Bestandmeines Herbariums. Von Dr.
р p Re seis do
"Beiträge zur Histologie der Haut der Reptilien. Von W.
| areal Hun nk else lee Sa о а RES
Extrait des protocoles des séances de la Société des Natura-
MEE А Mantes M uL. ela e aa win de E M
Premiére série du don de la Bibliothéque appartenant à Mr.
Th. WI. Weehniakoff. .............:.-...e RI
Page.
181
245
251
256
“MEMBRES DU BURBAU
POUR L’ ANNEE 1885.
PRESIDENT: Mr. Chartes iv. Renard Conte ler. privé: ‘Star
Pimène, ‚maison de la Princesse ouais ‘à
VICE-PRÉSIDENT: Mr. Théodore Bern Conseiller d'État
| . . actuel, à laPresnia, m. de l'Observatoire d Astron a
S mis, de PUniversité. :
| SECRÉTAIRE: Mr. Charles demon ба d'État, I
Pa fesseur à Lane de Pétroveky,. a Pétrovs
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| MEMBRES DU | CONSEIL: s о : d
"Mr. Serge Wo "onset. d'État ach
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Mr. Theodore Sloudsky, Conseiller d'État
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| Mr. Valerien рено в Conseil pe
… ve. Cher émetiéosky. Péréoulok, m. Chérémetiéf, “el
Mr. Alexandre Sabanéeff on
l'Université. Dolgor guion Per, 2 - de PU, ;
‘versité. 3 и AR
BInLIOTHMECATRE: Mr. han Poren “alle
mande, Poslamnikov Péréoulok, maison. Delsalle.
CON SERVATEURS DES COLLECTIONS: —
—Mr. Adrien Golovatschov, on oi Hee ob s
lections zoologiques. Premiere Metschanskaia, m. a,
du Jardin botanique de l'Université, — s ne
5 Mr. Ch. Lindeman, Professeur, à l Académie d'age nn
_ culture de Pétrovsky-Razowmovsky, = | ie
| Mr. J.N. Goroschankine, Professeur. pru
des collections botaniques, au Jardin dod de.
l'Université. _
Mr.Valerien Kiprijanof, Cons.privé. Convert a E
— des collections minéralogique et oe
Chérémetiévsky Péréoulok, m. Chérémetiéff, Me 11.
MEMBRE ADJ CINT pour la Rédaction des Mémoires et du Bulletin:
— Mr. Jean Dumouchel, Conseiller d'État. actuel
| _ Gontcharnata, maison Slépa now. | à
TRÉSORIER ET AIDE-BIBLIOTHÉCAIRE:
Mr. Alexis Koudriavzev. Aa, Krivonikolskoi
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